• Aucun résultat trouvé

A. KUNDT. — Die elektromagnetische Drehung der Polarisationsebene des Lichtes durch Eisen, Cobalt und Nickel (Sur les rotations électromagnétiques du plan de polarisation de la lumière au travers du fer, du cobalt et du nickel) ; Sitzungsberichtc der Köni

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "A. KUNDT. — Die elektromagnetische Drehung der Polarisationsebene des Lichtes durch Eisen, Cobalt und Nickel (Sur les rotations électromagnétiques du plan de polarisation de la lumière au travers du fer, du cobalt et du nickel) ; Sitzungsberichtc der Köni"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238287

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238287

Submitted on 1 Jan 1884

HAL

is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire

HAL, est

destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

A. KUNDT. - Die elektromagnetische Drehung der Polarisationsebene des Lichtes durch Eisen, Cobalt und Nickel (Sur les rotations électromagnétiques du plan de polarisation de la lumière au travers du fer, du cobalt et

du nickel) ; Sitzungsberichtc der Königlich preussischen Akademie der Wissenschaften zu Berlin, L. XXXIV, p.

761 ; 1884

E. Bichat

To cite this version:

E. Bichat. A. KUNDT. - Die elektromagnetische Drehung der Polarisationsebene des Lichtes durch Eisen, Cobalt und Nickel (Sur les rotations électromagnétiques du plan de polarisation de la lumière au travers du fer, du cobalt et du nickel) ; Sitzungsberichtc der Königlich preussischen Akademie der Wissenschaften zu Berlin, L. XXXIV, p. 761 ; 1884. J. Phys. Theor. Appl., 1884, 3 (1), pp.496-498.

�10.1051/jphystap:018840030049601�. �jpa-00238287�

(2)

496

Il résulte de ce

qui précède

que l’on peut, dans un

grand

nombre

de cas,

regarder

le courant

électrique

comme le mouvement d’un

fluide

incompressible

obéissant aux lois de la

Mécanique.

Plus le courant

électrique

est

fort, plus

les effets

qu’il produit

se

rapprochent

de ceux d’un courant

liquide.

Quand

un courant

électrique

passe d’un conducteur

métallique

à

large section,

dans un fil

fin,

il échauffe

celui-ci,

le fait

rougir,

le fond et même le volatilise.

Lorsqu’un

courant

liquide,

sous forte

pression,

passe d’un tube

large

dans un tube étroit et flexible

(par exemple

un tube de

caoutchouc de 5mm de diamètre et de 1mm

d’épaisseur),

il tend à

gonfler celui-ci,

à le tordre et à le faire éclater.

L’analogie

entre

les deux effets

paraît

évidente.

()onclllsions.

- Après avoir imité, aU1110)endes c;ourantsliquides

ou gazeux, dans de nombreuses

expériences,

les

principaux phé-

nomènes d’électricité

statique

ou

dynamique, d’électromagnétisme

et

d’induction,

d’électrochimie et même

d’électroplysiologie, je

me crois autorisé à conclure de

l’analogie

des effets à

l’analogie

des

causes, à savoir que les

phénomènes électriques (

ou

magnétiques)

sont assimilahles aux

phénomènes hydrodynamiques,

c’est-à-dire que l’électricité sous forme de courant

(d’éther

ou de matière

pondérable) est analogue

à un courant

liquide, et, àl’état de

tension)

est

analogue

à une certaine

quantité

de

liquide

se

répandanu

en

jet.

A. KUNDT. 2014 Die elektromagnetische Drehung der Polarisationsebene des Lichtes durch Eisen, Cobalt und Nickel (Sur les rotations électromagnétiques du plan

de polarisation de la lumière au travers du fer, du cobalt et du nickel) ; Sitzungs-

berichtc der Königlich preussischen Akademie der Wissenschaften zu Berlin,

L. XXXIV, p. 761 ; 1884.

M. Kundt a observé la rotation

électrolnagnétique

du

plan

de

polarisation

de la lumière

qui a

traversé des lames de

fer,

de cobalt

et de nickel suffisamment minces pour être transparentes. Ces lames étaient obtenues en

déposant

ces métaux par voie électro-

ly tique

sur des miroirs en verre

plauiné, analogues

à ceux dont se

sert NI.

K0153nig

pour ses

appareils d’acoustique.

Les lames ainsi

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018840030049601

(3)

497

préparées

étaient

placées

entre les

pôles

d’un électro-aimant de Ruhmkorff excité par un courant d’une intensité moyenne de

I g

ampères.

La rotation due au fer est énorme : une lame d’une

épaisseur

d’environ

0mm, 000055

donne une rotation de

1°48’;

elle est

plus

de 30 00o fois

plus grande

que celle que l’on ohserverait dans les mêmes conditions avec une lame de verre de même

épaisseur,

et

1462 fois

plus grande

que celle que donnerait naturellement une

épaisseur égale

de quartz. Le cobalt donne une rotation

spécifique

voisine de celle du fér; la rotation

produite

par le nickel est envi-

ron moitié moindre. Toutes ces rotations sont d’ailleurs

positives,

c’est-à-dire dans le sens du courant

qui

excite l’électro-aimant.

M. Kundt a pu aussi observer d’une manière très nette la

disper- ,

sion des

plans

de

polarisation

dans le cas du fer et constater

quelle

est anomale : la rotation pour les rayons rouges est nota- blement

plus grande

que pour les rayons bleus.

1B1. Kerr avait trouvé

(’ )

que le

plan

de

polarisation

de la lu-

lnière réfléchie normalement sur le

pôle

d’un aimant subit une

rotation

négative;

31. Hall

(2)

avait confirmé ce résultat et l’avait

étendu au cas du nickel et du cobalt. M. Kundt

répète

ces

expé- riences,

soit dans le cas de l’incidence

normale,

soit dans le cas

de l’incidence

oblique

étudiée

également

par 3’I.

Kerr;

il les con-

firme en tenant compte, ce que n’avaient pas fait ses

devanciers,

de la rotation due à la réfraction au travers des

glaces

utilisées

dans la

disposition

des

appareils,

rotation que l’on peut calculer

au moyen des formules de Fresnel. Il constate de

plus

que, si le fer

placé

dans le

champ magnétique

est recouvert

d’argent

ou de

cuivre,

il ne se

produit plus

aucune rotation du

plan

de

polarisa-

tion de la lumière réfléchie. 11 montre enfin que 1"on peut rendre compte des résultats assez

compliqués

obtenus dans le cas de la

réflexion

oblique

en admettant que la lumière ne se réfléchit sur ces surfaces

métalliques qu’après

avoir

pénétré

à une certaine pro-

fôndeur,

et que c’est dans ce

passage à

travers une mince couche de la

substance

que se

produit

la rotation du

plan

de

polarisa-

tion.

(1) Phil.lMag., 51 série, t. III, p. 321-343 (1877), et 5, série, t. Y, p. 161-1ï7 (1878).

e) Phil. lJlag.) Se série, t. XII, p. 171; 1881.

(4)

498

Dans la réflexions normale aussi bien

due

dans le cas de la trans-

mission,

la rotation due au nickel est

beaucoup plus petite

que celle due au fer et au

cobalt;

dans les deux cas

aussi,

et pour le

fer,

la

dispersion

est anomale : la rotation est

plus grande

pour les rayons rouges que pour les rayons bleus.

M.

Fitzgerald (1)

avait cherché à donner une

explication

du

phénomène

de la rotation du

plan

de

polarisation produite

par la réflexion de la lumière

polarisée

sur la surface d’un

aimant ;

M. Kundt combat cette

théorie, qui

ne s’accorde pas avec certains

faits

qu’il

a observés. E. BICHAT.

E. BAZZI. 2014 Sul calore sviluppato da una corrente durante il periodo variabile ( Sur la chaleur développée par un courant pendant la période variable ); Nuovo Cimento, terza serie, t. XIII, p. 5, 1883.

L’auteur s’est

proposé

de rechercher

si, pendant

la

période

via-

riable,

l’échauffement d’un fil traversé par un courant se fait,

comme dans l’état permanent, suivant la loi de Joule. Pour cela,

il détermine la

quantité

totale de chaleur

développée pendant

un

certain temps T par le courant variable. D’un autre

côté,

en par-

tanu des formules de Helmholtz et en supposant que l’échauffen1ent du circuit est

régi

par la loi de

Joule,

il établit des formules ex-

primant

cette même

quantité

de chaleur. Dans le cas des extra-

courants, la relation entre q et z est de la forme

et, dans le cas des courants

induit

de la forme

fi

et a étant des constantes

dépendant

de

l’appareil calorimétrique,

du

circuit,

de la

pile,

etc. L’accord des nombres déduits de ces

formules avec les résultats de

l’expérience

a montré que

l’appli-

cation de la loi de Joule au courant,

pendan t

la

période

variable,

était

légitime.

(’ ) Proceedinfjs Roy. Soc., t. XXV, p, 447.

Références

Documents relatifs

- Ueber die elliptische Polarisation des Lichtes, und ihre Beziehungen zu den Oberflächenfarben der Körper (Sur la polarisation elliptique de la lumière et ses rapports avec

2014 Ueber die electromagnetische Drehung der po- larisationsebene des Lichtes in den Gasen (Sur la rotation electromagnetique du plan de polarisation de a lumière

- Ueber die electromagnetische Drehung der Polarisa- tionsebene des Lichts in den Gasen (Sur la rotation électromagnétique du plan de polarisation de la lumière dans les gaz);

- Ueber die Phasenänderungen des Lichtes durch Reflexion (Sur le changement de phase de la lumière par la réflexion); Annalen der Physik und Chemie, neue Folge, t... Aussitôt que les

A partir des raies d’émission de ces ions, seize vies moyennes ont pu être mesurées dans le Fe IV-VII, trois dans le Co VI-VIII et deux dans le Ni VII-VIII..

- Ueber die electromagnetische Drehung der Polarisation- sebene des Lichtes Eisenchlorid (Pouvoir rotatoire magnétique des dissolutions de chlorure de fer) ;

Par contre, si un tel mecanisme est partiellement responsable du couplage entre les sous- rCseaux 4(i) et 2(a), il ne doit pas Ctre modifiC de f a ~ o n importante par la

A comparison of the calculated and experimental Koopmans’ theorem ionization potentials and dipole moments for the compounds containing nickel are shown in Table 6.. -