Intégration temporelle
Méthodes d’intégration d’équations d’évolution
D. Ryckelynck Centre des Matériaux
Approche universelle :
description de transformations de l’état d’un système, en respectant le principe de causalité.
En physique et en mécanique, pas de méthode de description d’état de façon absolue (questions philosophiques ou spirituelles)
Choix du système à isoler :
matière ou domaine dont l’état est affecté par la
transformation.
Etat de traction uniforme
F
-F
Méthode d’intégration temporelle.
Méthode d’intégration des équations différentielles en temps D. Ryckelynck
Mots clés
Problème de Cauchy
Le temps sert à représenter l’effet des couplages avec d’autres équations (champs de température agissant en plasticité). Différence finie, Méthode pas à pas, Euler implicite, Euler explicite, réponse instationnaire, régime transitoire, stabilité, critère de Rougth?, schéma à un pas, série de Taylor tronquée, theta-methode (explicite, Cranck-Nicholson, implicite), méthode des trapèzes généralisée, matrice d’amplification (sans sollicitations), Newmark, méthodes analytiques, équations différentielles linéaires à coefficients constants, équation caractéristique, méthodes par récurrence, équation "quasi-harmoniques", réponse libre, réponse périodique, réponse harmonique, réponse transitoire, pas de temps critique en thermique, Runge-Kutta, for- mule de quadrature des trapèzes, du point milieu, contrôle d’erreur, adapatation du pas de temps, algorithme SSpj (schéma à un pas d’ordre j approximation de q d’ordre p)
forme faible, formulation variationnelle
Méthode Galerkin discontinu TDG méthode de Hilber-Hughes-Taylor conditions CFL réduction de modèles
Plan :
Pourquoi l’intégration en temps, différence avec les méthode de quadrature car calcul de prévisions.
Schéma d’intégration pour les équa diff du premier ordre, lien avec formule des trapèzes, différence finie, théta méthode Runge Kutta, stabilité, application à la thermique.
Schéma pour les pb d’ordre 2, coût de résol des systèmes linéaires, Newmark, stabilité, application régime transitoire en dynamique
Intérêt et limites des approches analytiques (étude des vibrations, sens des formes propres, cas linéaire découplé, certains cas non-linéaires)
Remarques sur la réduction de modèles, base modale, POD
1 Introduction
Notation:
e1 x1 u(x, t) u(x + dx, t) du = Grad(u).dx
s(x, t) =T {N}(x).{q}(t) {q}
{q˙} = ∂ {q}
∂t {¨q} = ∂2 {q}
∂t2 Lien avec les formules de quadrature.
I =
! t
0 {f}({q},τ) dτ avec{q˙} = {f}({q}, t) on obtient {q}(t) = I + {q}(0) θ-méthode
Pourquoi des schémas pour les équations du second ordre?
Mécanique et physique : description de transformations, cas particuliers transfo linéaires en régime station- naire ou quasi statique description d’un état
Pour les transformation besoin d’une prévision au cours du temps (régimes transitoires, pb quasi statiques non linéaires) donc d’un schéma d’intégration temporel.
Principe de causalité (le présent est indépendant du futur) , méthode de récurence 1
Méthode d’intégration temporelle.
Méthode d’intégration des équations différentielles en temps D. Ryckelynck
Mots clés
Problème de Cauchy
Le temps sert à représenter l’effet des couplages avec d’autres équations (champs de température agissant en plasticité). Différence finie, Méthode pas à pas, Euler implicite, Euler explicite, réponse instationnaire, régime transitoire, stabilité, critère de Rougth?, schéma à un pas, série de Taylor tronquée, theta-methode (explicite, Cranck-Nicholson, implicite), méthode des trapèzes généralisée, matrice d’amplification (sans sollicitations), Newmark, méthodes analytiques, équations différentielles linéaires à coefficients constants, équation caractéristique, méthodes par récurrence, équation "quasi-harmoniques", réponse libre, réponse périodique, réponse harmonique, réponse transitoire, pas de temps critique en thermique, Runge-Kutta, for- mule de quadrature des trapèzes, du point milieu, contrôle d’erreur, adapatation du pas de temps, algorithme SSpj (schéma à un pas d’ordre j approximation de q d’ordre p)
forme faible, formulation variationnelle
Méthode Galerkin discontinu TDG méthode de Hilber-Hughes-Taylor conditions CFL réduction de modèles
Plan :
Pourquoi l’intégration en temps, différence avec les méthode de quadrature car calcul de prévisions.
Schéma d’intégration pour les équa diff du premier ordre, lien avec formule des trapèzes, différence finie, théta méthode Runge Kutta, stabilité, application à la thermique.
Schéma pour les pb d’ordre 2, coût de résol des systèmes linéaires, Newmark, stabilité, application régime transitoire en dynamique
Intérêt et limites des approches analytiques (étude des vibrations, sens des formes propres, cas linéaire découplé, certains cas non-linéaires)
Remarques sur la réduction de modèles, base modale, POD
1 Introduction
Notation:
e1 x1 u(x, t) u(x + dx, t) du = Grad(u).dx
s(x, t) =T {N}(x).{q}(t) {q}
{q˙} = ∂ {q}
∂t {¨q} = ∂2 {q}
∂t2 Lien avec les formules de quadrature.
I =
! t
0 {f}({q},τ) dτ avec{q˙} = {f}({q}, t) on obtient {q}(t) = I + {q}(0) θ-méthode
Pourquoi des schémas pour les équations du second ordre?
Mécanique et physique : description de transformations, cas particuliers transfo linéaires en régime station- naire ou quasi statique description d’un état
Pour les transformation besoin d’une prévision au cours du temps (régimes transitoires, pb quasi statiques non linéaires) donc d’un schéma d’intégration temporel.
Principe de causalité (le présent est indépendant du futur) , méthode de récurence 1
Méthode d’intégration temporelle.
Méthode d’intégration des équations différentielles en temps D. Ryckelynck
Mots clés
Problème de Cauchy
Le temps sert à représenter l’effet des couplages avec d’autres équations (champs de température agissant en plasticité). Différence finie, Méthode pas à pas, Euler implicite, Euler explicite, réponse instationnaire, régime transitoire, stabilité, critère de Rougth?, schéma à un pas, série de Taylor tronquée, theta-methode (explicite, Cranck-Nicholson, implicite), méthode des trapèzes généralisée, matrice d’amplification (sans sollicitations), Newmark, méthodes analytiques, équations différentielles linéaires à coefficients constants, équation caractéristique, méthodes par récurrence, équation "quasi-harmoniques", réponse libre, réponse périodique, réponse harmonique, réponse transitoire, pas de temps critique en thermique, Runge-Kutta, for- mule de quadrature des trapèzes, du point milieu, contrôle d’erreur, adapatation du pas de temps, algorithme SSpj (schéma à un pas d’ordre j approximation de q d’ordre p)
forme faible, formulation variationnelle
Méthode Galerkin discontinu TDG méthode de Hilber-Hughes-Taylor conditions CFL réduction de modèles
Plan :
Pourquoi l’intégration en temps, différence avec les méthode de quadrature car calcul de prévisions.
Schéma d’intégration pour les équa diff du premier ordre, lien avec formule des trapèzes, différence finie, théta méthode Runge Kutta, stabilité, application à la thermique.
Schéma pour les pb d’ordre 2, coût de résol des systèmes linéaires, Newmark, stabilité, application régime transitoire en dynamique
Intérêt et limites des approches analytiques (étude des vibrations, sens des formes propres, cas linéaire découplé, certains cas non-linéaires)
Remarques sur la réduction de modèles, base modale, POD
1 Introduction
Notation:
e1 x1
u(x, t) u(x + dx, t) du = Grad(u).dx
s(x, t) =T {N}(x).{q}(t) {q}
{q˙} = ∂ {q}
∂t {¨q} = ∂2 {q}
∂t2 Lien avec les formules de quadrature.
I = ! t
0 {f}({q},τ) dτ avec{q˙} = {f}({q}, t) on obtient {q}(t) = I + {q}(0) θ-méthode
Pourquoi des schémas pour les équations du second ordre?
Mécanique et physique : description de transformations, cas particuliers transfo linéaires en régime station- naire ou quasi statique description d’un état
Pour les transformation besoin d’une prévision au cours du temps (régimes transitoires, pb quasi statiques non linéaires) donc d’un schéma d’intégration temporel.
Principe de causalité (le présent est indépendant du futur) , méthode de récurence 1
Description de l’état à l’instant t
Il est plus universel de décrire un problème d’évolution...
1. Introduction
Méthode d’intégration temporelle.
Méthode d’intégration des équations différentielles en temps D. Ryckelynck
Mots clés
Problème de Cauchy
Le temps sert à représenter l’effet des couplages avec d’autres équations (champs de température agissant en plasticité). Différence finie, Méthode pas à pas, Euler implicite, Euler explicite, réponse instationnaire, régime transitoire, stabilité, critère de Rougth?, schéma à un pas, série de Taylor tronquée, theta-methode (explicite, Cranck-Nicholson, implicite), méthode des trapèzes généralisée, matrice d’amplification (sans sollicitations), Newmark, méthodes analytiques, équations différentielles linéaires à coefficients constants, équation caractéristique, méthodes par récurrence, équation "quasi-harmoniques", réponse libre, réponse périodique, réponse harmonique, réponse transitoire, pas de temps critique en thermique, Runge-Kutta, for- mule de quadrature des trapèzes, du point milieu, contrôle d’erreur, adapatation du pas de temps, algorithme SSpj (schéma à un pas d’ordre j approximation de q d’ordre p)
forme faible, formulation variationnelle
Méthode Galerkin discontinu TDG méthode de Hilber-Hughes-Taylor conditions CFL réduction de modèles
Plan :
Pourquoi l’intégration en temps, différence avec les méthode de quadrature car calcul de prévisions.
Schéma d’intégration pour les équa diff du premier ordre, lien avec formule des trapèzes, différence finie, théta méthode Runge Kutta, stabilité, application à la thermique.
Schéma pour les pb d’ordre 2, coût de résol des systèmes linéaires, Newmark, stabilité, application régime transitoire en dynamique
Intérêt et limites des approches analytiques (étude des vibrations, sens des formes propres, cas linéaire découplé, certains cas non-linéaires)
Remarques sur la réduction de modèles, base modale, POD
1 Introduction
Notation:
e1 e2 x1
u1(x1, t) = ε11(t) x1 u2(x2, t) = −νε11(t) x2
σ11(t) = E ε11(t) F(t) = S σ11(t)
u(x, t) u(x + dx, t) du = Grad(u).dx
u ∈ VD
!
Ω
v ρ u dΩ¨ + !
Ω
ε(v) : σ dΩ −
!
Ω
v fd dΩ−
!
∂ΩN
v Fd dΓ = 0 ∀v ∈ V
σ = K ε(u) ∀x u|t=0 = uo ∀x
˙
u|t=0 = wo ∀x 1
Méthode d’intégration temporelle.
Méthode d’intégration des équations différentielles en temps D. Ryckelynck
Mots clés
Problème de Cauchy
Le temps sert à représenter l’effet des couplages avec d’autres équations (champs de température agissant en plasticité). Différence finie, Méthode pas à pas, Euler implicite, Euler explicite, réponse instationnaire, régime transitoire, stabilité, critère de Rougth?, schéma à un pas, série de Taylor tronquée, theta-methode (explicite, Cranck-Nicholson, implicite), méthode des trapèzes généralisée, matrice d’amplification (sans sollicitations), Newmark, méthodes analytiques, équations différentielles linéaires à coefficients constants, équation caractéristique, méthodes par récurrence, équation "quasi-harmoniques", réponse libre, réponse périodique, réponse harmonique, réponse transitoire, pas de temps critique en thermique, Runge-Kutta, for- mule de quadrature des trapèzes, du point milieu, contrôle d’erreur, adapatation du pas de temps, algorithme SSpj (schéma à un pas d’ordre j approximation de q d’ordre p)
forme faible, formulation variationnelle
Méthode Galerkin discontinu TDG méthode de Hilber-Hughes-Taylor conditions CFL réduction de modèles
Plan :
Pourquoi l’intégration en temps, différence avec les méthode de quadrature car calcul de prévisions.
Schéma d’intégration pour les équa diff du premier ordre, lien avec formule des trapèzes, différence finie, théta méthode Runge Kutta, stabilité, application à la thermique.
Schéma pour les pb d’ordre 2, coût de résol des systèmes linéaires, Newmark, stabilité, application régime transitoire en dynamique
Intérêt et limites des approches analytiques (étude des vibrations, sens des formes propres, cas linéaire découplé, certains cas non-linéaires)
Remarques sur la réduction de modèles, base modale, POD
1 Introduction
Notation:
e1 e2 x1
u1(x1, t) = ε11(t) x1 u2(x2, t) = −ν ε11(t) x2
σ11(t) = E ε11(t) F(t) = S σ11(t)
u(x, t) u(x + dx, t) du = Grad(u).dx
u ∈ VD
!
Ω
v ρ u dΩ¨ + !
Ω
ε(v) : σ dΩ −
!
Ω
v fd dΩ −
!
∂ΩN
v Fd dΓ = 0 ∀v ∈ V
σ = K ε(u) ∀x u|t=0 = uo ∀x u˙ |t=0 = wo ∀x
1
éprouvette
Méthode d’intégration temporelle.
Méthode d’intégration des équations différentielles en temps D. Ryckelynck
Mots clés
Problème de Cauchy
Le temps sert à représenter l’effet des couplages avec d’autres équations (champs de température agissant en plasticité). Différence finie, Méthode pas à pas, Euler implicite, Euler explicite, réponse instationnaire, régime transitoire, stabilité, critère de Rougth?, schéma à un pas, série de Taylor tronquée, theta-methode (explicite, Cranck-Nicholson, implicite), méthode des trapèzes généralisée, matrice d’amplification (sans sollicitations), Newmark, méthodes analytiques, équations différentielles linéaires à coefficients constants, équation caractéristique, méthodes par récurrence, équation "quasi-harmoniques", réponse libre, réponse périodique, réponse harmonique, réponse transitoire, pas de temps critique en thermique, Runge-Kutta, for- mule de quadrature des trapèzes, du point milieu, contrôle d’erreur, adapatation du pas de temps, algorithme SSpj (schéma à un pas d’ordre j approximation de q d’ordre p)
forme faible, formulation variationnelle
Méthode Galerkin discontinu TDG méthode de Hilber-Hughes-Taylor conditions CFL réduction de modèles
Plan :
Pourquoi l’intégration en temps, différence avec les méthode de quadrature car calcul de prévisions.
Schéma d’intégration pour les équa diff du premier ordre, lien avec formule des trapèzes, différence finie, théta méthode Runge Kutta, stabilité, application à la thermique.
Schéma pour les pb d’ordre 2, coût de résol des systèmes linéaires, Newmark, stabilité, application régime transitoire en dynamique
Intérêt et limites des approches analytiques (étude des vibrations, sens des formes propres, cas linéaire découplé, certains cas non-linéaires)
Remarques sur la réduction de modèles, base modale, POD
1 Introduction
Notation:
e1 e2 x1 σ =
F
S 0 0
0 0 0 0 0 0
(e1, e2, e3)
u1(x1, t) = ε11(t) x1
u2(x2, t) = −ν ε11(t) x2 σ11(t) = E ε11(t)
F(t) = S σ11(t)
u(x, t) u(x + dx, t) du = Grad(u).dx
u ∈ VD
%
Ω
v ρ u dΩ¨ + %
Ω
ε(v) : σ dΩ −
%
Ω
v fd dΩ −
%
∂ΩN
v Fd dΓ = 0 ∀v ∈ V
1
(Etat isostatique)
...en exploitant des équations d’évolution.
1.1.Transformation mécanique
élastodynamique infinitésimale (eq. linéaire) Méthode d’intégration temporelle.
Méthode d’intégration des équations différentielles en temps D. Ryckelynck
Mots clés
Problème de Cauchy
Le temps sert à représenter l’effet des couplages avec d’autres équations (champs de température agissant en plasticité). Différence finie, Méthode pas à pas, Euler implicite, Euler explicite, réponse instationnaire, régime transitoire, stabilité, critère de Rougth?, schéma à un pas, série de Taylor tronquée, theta-methode (explicite, Cranck-Nicholson, implicite), méthode des trapèzes généralisée, matrice d’amplification (sans sollicitations), Newmark, méthodes analytiques, équations différentielles linéaires à coefficients constants, équation caractéristique, méthodes par récurrence, équation "quasi-harmoniques", réponse libre, réponse périodique, réponse harmonique, réponse transitoire, pas de temps critique en thermique, Runge-Kutta, for- mule de quadrature des trapèzes, du point milieu, contrôle d’erreur, adapatation du pas de temps, algorithme SSpj (schéma à un pas d’ordre j approximation de q d’ordre p)
forme faible, formulation variationnelle
Méthode Galerkin discontinu TDG méthode de Hilber-Hughes-Taylor conditions CFL réduction de modèles
Plan :
Pourquoi l’intégration en temps, différence avec les méthode de quadrature car calcul de prévisions.
Schéma d’intégration pour les équa diff du premier ordre, lien avec formule des trapèzes, différence finie, théta méthode Runge Kutta, stabilité, application à la thermique.
Schéma pour les pb d’ordre 2, coût de résol des systèmes linéaires, Newmark, stabilité, application régime transitoire en dynamique
Intérêt et limites des approches analytiques (étude des vibrations, sens des formes propres, cas linéaire découplé, certains cas non-linéaires)
Remarques sur la réduction de modèles, base modale, POD
1 Introduction
Notation:
u(x, t) u(x + dx, t) du = Grad(u).dx
s(x, t) =T {N}(x).{q}(t) {q}
{q˙} = ∂ {q}
∂t {¨q} = ∂2 {q}
∂t2 Lien avec les formules de quadrature.
I = ! t
0 {f}({q},τ) dτ avec{q˙} = {f}({q}, t) on obtient {q}(t) = I + {q}(0) θ-méthode
Pourquoi des schémas pour les équations du second ordre?
Mécanique et physique : description de transformations, cas particuliers transfo linéaires en régime station- naire ou quasi statique description d’un état
Pour les transformation besoin d’une prévision au cours du temps (régimes transitoires, pb quasi statiques non linéaires) donc d’un schéma d’intégration temporel.
Principe de causalité (le présent est indépendant du futur) , méthode de récurence
1
Méthode d’intégration temporelle.
Méthode d’intégration des équations différentielles en temps D. Ryckelynck
Mots clés
Problème de Cauchy
Le temps sert à représenter l’effet des couplages avec d’autres équations (champs de température agissant en plasticité). Différence finie, Méthode pas à pas, Euler implicite, Euler explicite, réponse instationnaire, régime transitoire, stabilité, critère de Rougth?, schéma à un pas, série de Taylor tronquée, theta-methode (explicite, Cranck-Nicholson, implicite), méthode des trapèzes généralisée, matrice d’amplification (sans sollicitations), Newmark, méthodes analytiques, équations différentielles linéaires à coefficients constants, équation caractéristique, méthodes par récurrence, équation "quasi-harmoniques", réponse libre, réponse périodique, réponse harmonique, réponse transitoire, pas de temps critique en thermique, Runge-Kutta, for- mule de quadrature des trapèzes, du point milieu, contrôle d’erreur, adapatation du pas de temps, algorithme SSpj (schéma à un pas d’ordre j approximation de q d’ordre p)
forme faible, formulation variationnelle
Méthode Galerkin discontinu TDG méthode de Hilber-Hughes-Taylor conditions CFL réduction de modèles
Plan :
Pourquoi l’intégration en temps, différence avec les méthode de quadrature car calcul de prévisions.
Schéma d’intégration pour les équa diff du premier ordre, lien avec formule des trapèzes, différence finie, théta méthode Runge Kutta, stabilité, application à la thermique.
Schéma pour les pb d’ordre 2, coût de résol des systèmes linéaires, Newmark, stabilité, application régime transitoire en dynamique
Intérêt et limites des approches analytiques (étude des vibrations, sens des formes propres, cas linéaire découplé, certains cas non-linéaires)
Remarques sur la réduction de modèles, base modale, POD
1 Introduction
Notation:
u(x, t) u(x + dx, t) du = Grad(u).dx
s(x, t) =T {N}(x).{q}(t) {q}
{q˙} = ∂ {q}
∂t {¨q} = ∂2 {q}
∂t2 Lien avec les formules de quadrature.
I = ! t 0
{f}({q},τ) dτ avec{q˙} = {f}({q}, t) on obtient {q}(t) = I + {q}(0) θ-méthode
Pourquoi des schémas pour les équations du second ordre?
Mécanique et physique : description de transformations, cas particuliers transfo linéaires en régime station- naire ou quasi statique description d’un état
Pour les transformation besoin d’une prévision au cours du temps (régimes transitoires, pb quasi statiques non linéaires) donc d’un schéma d’intégration temporel.
Principe de causalité (le présent est indépendant du futur) , méthode de récurence
1
Méthode d’intégration temporelle.
Méthode d’intégration des équations différentielles en temps D. Ryckelynck
Mots clés
Problème de Cauchy
Le temps sert à représenter l’effet des couplages avec d’autres équations (champs de température agissant en plasticité). Différence finie, Méthode pas à pas, Euler implicite, Euler explicite, réponse instationnaire, régime transitoire, stabilité, critère de Rougth?, schéma à un pas, série de Taylor tronquée, theta-methode (explicite, Cranck-Nicholson, implicite), méthode des trapèzes généralisée, matrice d’amplification (sans sollicitations), Newmark, méthodes analytiques, équations différentielles linéaires à coefficients constants, équation caractéristique, méthodes par récurrence, équation "quasi-harmoniques", réponse libre, réponse périodique, réponse harmonique, réponse transitoire, pas de temps critique en thermique, Runge-Kutta, for- mule de quadrature des trapèzes, du point milieu, contrôle d’erreur, adapatation du pas de temps, algorithme SSpj (schéma à un pas d’ordre j approximation de q d’ordre p)
forme faible, formulation variationnelle
Méthode Galerkin discontinu TDG méthode de Hilber-Hughes-Taylor conditions CFL réduction de modèles
Plan :
Pourquoi l’intégration en temps, différence avec les méthode de quadrature car calcul de prévisions.
Schéma d’intégration pour les équa diff du premier ordre, lien avec formule des trapèzes, différence finie, théta méthode Runge Kutta, stabilité, application à la thermique.
Schéma pour les pb d’ordre 2, coût de résol des systèmes linéaires, Newmark, stabilité, application régime transitoire en dynamique
Intérêt et limites des approches analytiques (étude des vibrations, sens des formes propres, cas linéaire découplé, certains cas non-linéaires)
Remarques sur la réduction de modèles, base modale, POD
1 Introduction
Notation:
u(x, t) u(x + dx, t) du = Grad(u).dx
s(x, t) =T {N}(x).{q}(t) {q}
{q˙} = ∂ {q}
∂t {¨q} = ∂2 {q}
∂t2 Lien avec les formules de quadrature.
I = ! t
0 {f}({q},τ) dτ avec{q˙} = {f}({q}, t) on obtient {q}(t) = I + {q}(0) θ-méthode
Pourquoi des schémas pour les équations du second ordre?
Mécanique et physique : description de transformations, cas particuliers transfo linéaires en régime station- naire ou quasi statique description d’un état
Pour les transformation besoin d’une prévision au cours du temps (régimes transitoires, pb quasi statiques non linéaires) donc d’un schéma d’intégration temporel.
Principe de causalité (le présent est indépendant du futur) , méthode de récurence
1
Méthode d’intégration temporelle.
Méthode d’intégration des équations différentielles en temps D. Ryckelynck
Mots clés
Problème de Cauchy
Le temps sert à représenter l’effet des couplages avec d’autres équations (champs de température agissant en plasticité). Différence finie, Méthode pas à pas, Euler implicite, Euler explicite, réponse instationnaire, régime transitoire, stabilité, critère de Rougth?, schéma à un pas, série de Taylor tronquée, theta-methode (explicite, Cranck-Nicholson, implicite), méthode des trapèzes généralisée, matrice d’amplification (sans sollicitations), Newmark, méthodes analytiques, équations différentielles linéaires à coefficients constants, équation caractéristique, méthodes par récurrence, équation "quasi-harmoniques", réponse libre, réponse périodique, réponse harmonique, réponse transitoire, pas de temps critique en thermique, Runge-Kutta, for- mule de quadrature des trapèzes, du point milieu, contrôle d’erreur, adapatation du pas de temps, algorithme SSpj (schéma à un pas d’ordre j approximation de q d’ordre p)
forme faible, formulation variationnelle
Méthode Galerkin discontinu TDG méthode de Hilber-Hughes-Taylor conditions CFL réduction de modèles
Plan :
Pourquoi l’intégration en temps, différence avec les méthode de quadrature car calcul de prévisions.
Schéma d’intégration pour les équa diff du premier ordre, lien avec formule des trapèzes, différence finie, théta méthode Runge Kutta, stabilité, application à la thermique.
Schéma pour les pb d’ordre 2, coût de résol des systèmes linéaires, Newmark, stabilité, application régime transitoire en dynamique
Intérêt et limites des approches analytiques (étude des vibrations, sens des formes propres, cas linéaire découplé, certains cas non-linéaires)
Remarques sur la réduction de modèles, base modale, POD
1 Introduction
Notation:
u(x, t) u(x + dx, t) du = Grad(u).dx
s(x, t) =T {N}(x).{q}(t) {q}
{q˙} = ∂ {q}
∂t {¨q} = ∂2 {q}
∂t2 Lien avec les formules de quadrature.
I = ! t
0 {f}({q},τ) dτ avec{q˙} = {f}({q}, t) on obtient {q}(t) = I + {q}(0) θ-méthode
Pourquoi des schémas pour les équations du second ordre?
Mécanique et physique : description de transformations, cas particuliers transfo linéaires en régime station- naire ou quasi statique description d’un état
Pour les transformation besoin d’une prévision au cours du temps (régimes transitoires, pb quasi statiques non linéaires) donc d’un schéma d’intégration temporel.
Principe de causalité (le présent est indépendant du futur) , méthode de récurence
1
Déplacement d’un milieu continu Position
initiale Position à l’instant t
Formulation variationnelle:
Trouver à chaque instant t le champ
Méthode d’intégration temporelle.Méthode d’intégration des équations différentielles en temps D. Ryckelynck
Mots clés
Problème de Cauchy
Le temps sert à représenter l’effet des couplages avec d’autres équations (champs de température agissant en plasticité). Différence finie, Méthode pas à pas, Euler implicite, Euler explicite, réponse instationnaire, régime transitoire, stabilité, critère de Rougth?, schéma à un pas, série de Taylor tronquée, theta-methode (explicite, Cranck-Nicholson, implicite), méthode des trapèzes généralisée, matrice d’amplification (sans sollicitations), Newmark, méthodes analytiques, équations différentielles linéaires à coefficients constants, équation caractéristique, méthodes par récurrence, équation "quasi-harmoniques", réponse libre, réponse périodique, réponse harmonique, réponse transitoire, pas de temps critique en thermique, Runge-Kutta, for- mule de quadrature des trapèzes, du point milieu, contrôle d’erreur, adapatation du pas de temps, algorithme SSpj (schéma à un pas d’ordre j approximation de q d’ordre p)
forme faible, formulation variationnelle
Méthode Galerkin discontinu TDG méthode de Hilber-Hughes-Taylor conditions CFL réduction de modèles
Plan :
Pourquoi l’intégration en temps, différence avec les méthode de quadrature car calcul de prévisions.
Schéma d’intégration pour les équa diff du premier ordre, lien avec formule des trapèzes, différence finie, théta méthode Runge Kutta, stabilité, application à la thermique.
Schéma pour les pb d’ordre 2, coût de résol des systèmes linéaires, Newmark, stabilité, application régime transitoire en dynamique
Intérêt et limites des approches analytiques (étude des vibrations, sens des formes propres, cas linéaire découplé, certains cas non-linéaires)
Remarques sur la réduction de modèles, base modale, POD
1 Introduction
Notation:
e1 x1
u1(x1, t) = ε11(t) x1 σ11(t) = E ε11(t)
F(t) = S σ11(t)
u(x, t) u(x + dx, t) du = Grad(u).dx
s(x, t) =T {N}(x).{q}(t) {q}
{q˙} = ∂ {q}
∂t {¨q} = ∂2 {q}
∂t2 Lien avec les formules de quadrature.
I = ! t
0 {f}({q},τ) dτ avec{q˙} = {f}({q}, t) on obtient {q}(t) = I + {q}(0) 1
avec
Méthode d’intégration temporelle.
Méthode d’intégration des équations différentielles en temps D. Ryckelynck
Mots clés
Problème de Cauchy
Le temps sert à représenter l’effet des couplages avec d’autres équations (champs de température agissant en plasticité). Différence finie, Méthode pas à pas, Euler implicite, Euler explicite, réponse instationnaire, régime transitoire, stabilité, critère de Rougth?, schéma à un pas, série de Taylor tronquée, theta-methode (explicite, Cranck-Nicholson, implicite), méthode des trapèzes généralisée, matrice d’amplification (sans sollicitations), Newmark, méthodes analytiques, équations différentielles linéaires à coefficients constants, équation caractéristique, méthodes par récurrence, équation "quasi-harmoniques", réponse libre, réponse périodique, réponse harmonique, réponse transitoire, pas de temps critique en thermique, Runge-Kutta, for- mule de quadrature des trapèzes, du point milieu, contrôle d’erreur, adapatation du pas de temps, algorithme SSpj (schéma à un pas d’ordre j approximation de q d’ordre p)
forme faible, formulation variationnelle
Méthode Galerkin discontinu TDG méthode de Hilber-Hughes-Taylor conditions CFL réduction de modèles
Plan :
Pourquoi l’intégration en temps, différence avec les méthode de quadrature car calcul de prévisions.
Schéma d’intégration pour les équa diff du premier ordre, lien avec formule des trapèzes, différence finie, théta méthode Runge Kutta, stabilité, application à la thermique.
Schéma pour les pb d’ordre 2, coût de résol des systèmes linéaires, Newmark, stabilité, application régime transitoire en dynamique
Intérêt et limites des approches analytiques (étude des vibrations, sens des formes propres, cas linéaire découplé, certains cas non-linéaires)
Remarques sur la réduction de modèles, base modale, POD
1 Introduction
Notation:
e1 x1
u1(x1, t) = ε11(t) x1 σ11(t) = E ε11(t)
F(t) = S σ11(t)
u(x, t) u(x + dx, t) du = Grad(u).dx
u ∈ Hg1(Ω)
!
Ω
v ρ u dΩ¨ + !
Ω
ε(v) : σ dΩ −
!
Ω
v fd dΩ −
!
∂FΩ
v Fd dΓ = 0 ∀v ∈ H01(Ω)
σ = K ε(u) ∀x u|t=0 = uo ∀x
˙
u|t=0 = wo ∀x
1
Données du modèle de transformation
Méthode d’intégration temporelle.
Méthode d’intégration des équations différentielles en temps D. Ryckelynck
Mots clés
Problème de Cauchy
Le temps sert à représenter l’effet des couplages avec d’autres équations (champs de température agissant en plasticité). Différence finie, Méthode pas à pas, Euler implicite, Euler explicite, réponse instationnaire, régime transitoire, stabilité, critère de Rougth?, schéma à un pas, série de Taylor tronquée, theta-methode (explicite, Cranck-Nicholson, implicite), méthode des trapèzes généralisée, matrice d’amplification (sans sollicitations), Newmark, méthodes analytiques, équations différentielles linéaires à coefficients constants, équation caractéristique, méthodes par récurrence, équation "quasi-harmoniques", réponse libre, réponse périodique, réponse harmonique, réponse transitoire, pas de temps critique en thermique, Runge-Kutta, for- mule de quadrature des trapèzes, du point milieu, contrôle d’erreur, adapatation du pas de temps, algorithme SSpj (schéma à un pas d’ordre j approximation de q d’ordre p)
forme faible, formulation variationnelle
Méthode Galerkin discontinu TDG méthode de Hilber-Hughes-Taylor conditions CFL réduction de modèles
Plan :
Pourquoi l’intégration en temps, différence avec les méthode de quadrature car calcul de prévisions.
Schéma d’intégration pour les équa diff du premier ordre, lien avec formule des trapèzes, différence finie, théta méthode Runge Kutta, stabilité, application à la thermique.
Schéma pour les pb d’ordre 2, coût de résol des systèmes linéaires, Newmark, stabilité, application régime transitoire en dynamique
Intérêt et limites des approches analytiques (étude des vibrations, sens des formes propres, cas linéaire découplé, certains cas non-linéaires)
Remarques sur la réduction de modèles, base modale, POD
1 Introduction
Notation:
e1 x1
u1(x1, t) = ε11(t) x1 σ11(t) = E ε11(t)
F(t) = S σ11(t)
u(x, t) u(x + dx, t) du = Grad(u).dx
u ∈ VD
!
Ω
v ρ u dΩ¨ + !
Ω
ε(v) : σ dΩ −
!
Ω
v fd dΩ −
!
∂ΩN
v Fd dΓ = 0 ∀v ∈ V
σ = K ε(u) ∀x u|t=0 = uo ∀x u˙ |t=0 = wo ∀x
1
Ω,∂ΩD, ud sur∂ΩD, ρ, K, fd, Fd, uo, wo
s(x, t) =T {N}(x).{q}(t) {q}
{q˙} = ∂{q}
∂t {¨q} = ∂2{q}
∂t2 Lien avec les formules de quadrature.
I = ! t
0 {f}({q},τ)dτ avec{q˙} = {f}({q}, t) on obtient {q}(t) = I +{q}(0) θ-méthode
Pourquoi des schémas pour les équations du second ordre?
Mécanique et physique : description de transformations, cas particuliers transfo linéaires en régime station- naire ou quasi statique description d’un état
Pour les transformation besoin d’une prévision au cours du temps (régimes transitoires, pb quasi statiques non linéaires) donc d’un schéma d’intégration temporel.
Principe de causalité (le présent est indépendant du futur) , méthode de récurence
2 Méthode à un pas
Euler Explicite
[A] (t1) = [A] (t0) +"
A˙#
([A] (t0) , t0) ∆t (1)
Euler Implicite
[A] (t1) = [A] (t0) +"
A˙#
([A] (t1) , t1) ∆t (2)
Lorsque la zone de contact est connue,[B]est connu et le problème est linéaire.
On pose :
{Qc} = [B]T {λ}
3 Algorithme d’Usawa
Pour trouver {q} , {Qc} et [B] on utilise un algorithme d’Usawa. Cet algorithme permet de déterminer {Qc}à l’aide d’une suite de corrections{∆Qc}n.
Première étape : pour{Qc} donné on recherche{q}n tel que :
{q∗}T $
[K] +k [B]T [B]%
{q} = {q∗}T $
k [B]T [B]{jo}+{Qc}+{F}%
(3) Deuxième étape : calculer localement les jeux, en chaque point d’intégration du bord succeptible d’être en contact:
{j} = {jo}−"
&
B#
{q} (4)
Troisième étape : adapter[B]pour prendre en compte les points d’intégration ne vérifiant pas les conditions de contact.
Quatrième étape : adapter la valeur des actions de contact en fonction du jeu, à partir des points d’intégration ne vérifiant pas les conditions de contact :
{Qc} = {Qc}−k "
&
B#T
{j}
2
Méthode d’intégration temporelle.
Méthode d’intégration des équations différentielles en temps D. Ryckelynck
Mots clés
Problème de Cauchy
Le temps sert à représenter l’effet des couplages avec d’autres équations (champs de température agissant en plasticité). Différence finie, Méthode pas à pas, Euler implicite, Euler explicite, réponse instationnaire, régime transitoire, stabilité, critère de Rougth?, schéma à un pas, série de Taylor tronquée, theta-methode (explicite, Cranck-Nicholson, implicite), méthode des trapèzes généralisée, matrice d’amplification (sans sollicitations), Newmark, méthodes analytiques, équations différentielles linéaires à coefficients constants, équation caractéristique, méthodes par récurrence, équation "quasi-harmoniques", réponse libre, réponse périodique, réponse harmonique, réponse transitoire, pas de temps critique en thermique, Runge-Kutta, for- mule de quadrature des trapèzes, du point milieu, contrôle d’erreur, adapatation du pas de temps, algorithme SSpj (schéma à un pas d’ordre j approximation de q d’ordre p)
forme faible, formulation variationnelle
Méthode Galerkin discontinu TDG méthode de Hilber-Hughes-Taylor conditions CFL réduction de modèles
Plan :
Pourquoi l’intégration en temps, différence avec les méthode de quadrature car calcul de prévisions.
Schéma d’intégration pour les équa diff du premier ordre, lien avec formule des trapèzes, différence finie, théta méthode Runge Kutta, stabilité, application à la thermique.
Schéma pour les pb d’ordre 2, coût de résol des systèmes linéaires, Newmark, stabilité, application régime transitoire en dynamique
Intérêt et limites des approches analytiques (étude des vibrations, sens des formes propres, cas linéaire découplé, certains cas non-linéaires)
Remarques sur la réduction de modèles, base modale, POD
1 Introduction
Notation:
e1 x1
u1(x1, t) = ε11(t) x1
σ11(t) = E ε11(t) F(t) = S σ11(t)
u(x, t) u(x + dx, t) du = Grad(u).dx
u ∈ VD
!
Ω
v ρ u dΩ¨ +
!
Ω
ε(v) : σ dΩ −
!
Ω
v fd dΩ−
!
∂ΩN
v Fd dΓ = 0 ∀v ∈ V
σ = K ε(u) ∀x u|t=0 = uo ∀x
˙
u|t=0 = wo ∀x
1
Besoin d’un modèle de l’état initial (méconnaissance de l’état initial)
Dans de nombreux domaines de la physique des milieux continus (mécanique, thermique, diffusion, électromagnétisme) :
modèle linéaire
& méthode des éléments
finis
système linéaire
différentiel du premier ou du second ordre
Ω,∂ΩD, ud sur ∂ΩD, ρ, K, fd, Fd, uo, wo
s(x, t) = {N}T (x).{q}(t)
{q} {q˙} = ∂ {q}
∂t {¨q} = ∂2 {q}
∂t2
[M] ¨{q} + [C] ˙{q} + [K] {q} = {F} Lien avec les formules de quadrature.
I = ! t
0 {f}({q},τ) dτ avec{q˙} = {f}({q}, t) on obtient {q}(t) = I + {q}(0) θ-méthode
Pourquoi des schémas pour les équations du second ordre?
Mécanique et physique : description de transformations, cas particuliers transfo linéaires en régime station- naire ou quasi statique description d’un état
Pour les transformation besoin d’une prévision au cours du temps (régimes transitoires, pb quasi statiques non linéaires) donc d’un schéma d’intégration temporel.
Principe de causalité (le présent est indépendant du futur) , méthode de récurence
2 Méthode à un pas
Euler Explicite
[A] (t1) = [A] (t0) + "
A˙#
([A] (t0) , t0) ∆t (1)
Euler Implicite
[A] (t1) = [A] (t0) + "
A˙#
([A] (t1) , t1) ∆t (2)
Lorsque la zone de contact est connue, [B] est connu et le problème est linéaire.
On pose :
{Qc} = [B]T {λ}
3 Algorithme d’Usawa
Pour trouver {q} , {Qc} et [B] on utilise un algorithme d’Usawa. Cet algorithme permet de déterminer {Qc} à l’aide d’une suite de corrections {∆Qc}n.
Première étape : pour {Qc} donné on recherche {q}n tel que : {q∗}T $
[K] + k [B]T [B]%
{q} = {q∗}T $
k [B]T [B]{jo} + {Qc} + {F}%
(3) Deuxième étape : calculer localement les jeux, en chaque point d’intégration du bord succeptible d’être en contact:
{j} = {jo} − "
&
B#
{q} (4)
Troisième étape : adapter [B] pour prendre en compte les points d’intégration ne vérifiant pas les conditions de contact.
Quatrième étape : adapter la valeur des actions de contact en fonction du jeu, à partir des points d’intégration ne vérifiant pas les conditions de contact :
{Qc} = {Qc} − k "
&
B#T
{j}
2
variable d’état
Fonctions de forme définies par morceaux
inconnues
Ω,∂ΩD, ud sur ∂ΩD, ρ, K, fd, Fd, uo, wo
s(x, t) = {N}T (x).{q}(t)
{q}
{q˙} = ∂ {q}
∂t {¨q} = ∂2 {q}
∂t2
[M] ¨{q} + [C] ˙{q} + [K] {q} = {F} Lien avec les formules de quadrature.
I = ! t
0 {f}({q},τ) dτ avec{q˙} = {f}({q}, t) on obtient {q}(t) = I + {q}(0) θ-méthode
Pourquoi des schémas pour les équations du second ordre?
Mécanique et physique : description de transformations, cas particuliers transfo linéaires en régime station- naire ou quasi statique description d’un état
Pour les transformation besoin d’une prévision au cours du temps (régimes transitoires, pb quasi statiques non linéaires) donc d’un schéma d’intégration temporel.
Principe de causalité (le présent est indépendant du futur) , méthode de récurence
2 Méthode à un pas
Euler Explicite
[A] (t1) = [A] (t0) + "
A˙#
([A] (t0) , t0) ∆t (1)
Euler Implicite
[A] (t1) = [A] (t0) + "
A˙#
([A] (t1) , t1) ∆t (2)
Lorsque la zone de contact est connue, [B] est connu et le problème est linéaire.
On pose :
{Qc} = [B]T {λ}
3 Algorithme d’Usawa
Pour trouver {q} , {Qc} et [B] on utilise un algorithme d’Usawa. Cet algorithme permet de déterminer {Qc} à l’aide d’une suite de corrections {∆Qc}n.
Première étape : pour {Qc} donné on recherche {q}n tel que : {q∗}T $
[K] + k [B]T [B]%
{q} = {q∗}T $
k [B]T [B]{jo} + {Qc} + {F}%
(3) Deuxième étape : calculer localement les jeux, en chaque point d’intégration du bord succeptible d’être en contact:
{j} = {jo} − "
&
B#
{q} (4)
Troisième étape : adapter [B] pour prendre en compte les points d’intégration ne vérifiant pas les conditions de contact.
Quatrième étape : adapter la valeur des actions de contact en fonction du jeu, à partir des points d’intégration ne vérifiant pas les conditions de contact :
{Qc} = {Qc} − k "
&
B#T
{j}
2
Ω,∂ΩD, ud sur ∂ΩD, ρ, K, fd, Fd, uo, wo
s(x, t) = {N}T (x).{q}(t)
{q} {q˙} = ∂ {q}
∂t {¨q} = ∂2 {q}
∂t2
[M] ¨{q} + [C] ˙{q} + [K] {q} = {F} [M] = 0
Lien avec les formules de quadrature.
I =
! t
0 {f}({q},τ) dτ avec{q˙} = {f}({q}, t) on obtient {q}(t) = I + {q}(0) θ-méthode
Pourquoi des schémas pour les équations du second ordre?
Mécanique et physique : description de transformations, cas particuliers transfo linéaires en régime station- naire ou quasi statique description d’un état
Pour les transformation besoin d’une prévision au cours du temps (régimes transitoires, pb quasi statiques non linéaires) donc d’un schéma d’intégration temporel.
Principe de causalité (le présent est indépendant du futur) , méthode de récurence
2 Méthode à un pas
Euler Explicite
[A] (t1) = [A] (t0) + "
A˙#
([A] (t0) , t0) ∆t (1)
Euler Implicite
[A] (t1) = [A] (t0) + "
A˙#
([A] (t1) , t1) ∆t (2)
Lorsque la zone de contact est connue, [B] est connu et le problème est linéaire.
On pose :
{Qc} = [B]T {λ}
3 Algorithme d’Usawa
Pour trouver {q} , {Qc} et [B] on utilise un algorithme d’Usawa. Cet algorithme permet de déterminer {Qc} à l’aide d’une suite de corrections {∆Qc}n.
Première étape : pour {Qc} donné on recherche {q}n tel que : {q∗}T $
[K] + k [B]T [B]%
{q} = {q∗}T $
k [B]T [B]{jo} + {Qc} + {F}%
(3) Deuxième étape : calculer localement les jeux, en chaque point d’intégration du bord succeptible d’être en contact:
{j} = {jo} − "
&
B#
{q} (4)
Troisième étape : adapter [B] pour prendre en compte les points d’intégration ne vérifiant pas les conditions de contact.
Quatrième étape : adapter la valeur des actions de contact en fonction du jeu, à partir des points d’intégration ne vérifiant pas les conditions de contact :
{Qc} = {Qc} − k "
&
B#T
{j} 2