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L’évaluation positive est une évaluation conduite avec BIENVEILLANCE. Elle souligne

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Academic year: 2022

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L’évaluation positive est une évaluation conduite avec BIENVEILLANCE. Elle souligne les petites réussites, les progrès petits ou grands, les essais et elle participe à la motivation de l’enfant.

C’est une évaluation qui considère que les différences inter-individuelles ne sont pas systématiquement synonymes de difficultés.

Evaluation positive? Elle ne dit pas que du positif et n’est pas destinée à masquer des lacunes ou difficultés

Elle est menée :

- dans un esprit positif : bienveillance (veiller bien, être attentif) vouloir du bien. La bienveillance permet d’exprimer positivement une exigence.

- avec une finalité (orientation) positive : celle délibérément faite dans une

perspective d’aide à l’enfant. Perspective d’aide : débusquer des écarts (marquer des écarts) ..on ne parle pas de difficultés (selon V Bouysses), les pointer de manière dynamique : « tu as fait des progrès, tu n’es pas encore tout à fait là, mais on va t’aider à y arriver » (posture d’AIDE).

Posture positive: vouloir donner de la lisibilité, de la valeur à ce que fait l’enfant (aux premiers mots qui ne constituent pas encore une phrase, à des productions qui ne ressemblent pas à grand-chose), cela concourt à donner de la motivation. C’est la

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réussite qui motive – pour faire des efforts.

Evaluation : ex valuere: sortir la valeur de… ce que l’élève vaut (ce qui a de la valeur) sentiment d’efficacité personnelle, sa motivation. Et pointer des erreurs qui sont propres à tout apprentissage (l’errreur est normale) et amener l’élève à analyser , décrire, comprendre le pourquoi des erreurs, de manière individuelle, de manière collective.

Est-ce que ce concept de bienveillance, d’évaluation positive peut heurter les enseignants? non, mais se rappeler l’importance de l’erreur et l’importance de la mesure. Souci : parfois la norme, l’étalon, ce qui permet de mesurer la performance de l’élève…n’est pas toujours explicite, pas toujours clair dans la tête de l’élève, car souvent pas très clair dans la tète de l’enseignant.

Quelle rupture dans cette réforme de l’évaluation? L’élément possiblement de rupture par rapport à certaines pratiques: le programme définit et explicite des attendus de fin de cycle, mais il n’y a pas explicitement d’attendus sur le programme des 3 ou 4 années (de fin de PS, MS, GS). Les balises qu’on peut poser sont des repères de progressivité (mais pas des normes). L’enseignant se fixe des objectifs d’étape par rapport à ce qu’il a observé, évalué. Et il va pointer les progrès. Ces objectifs d’étape ne sont pas des normes à tel ou tel moment. Même s’il y a des repères auxquels il faut être sensible, si l’enfant est trop en décalage par rapport à certains repères d’acquisition, et on ne peut pas refuser de voir que certains écarts alertent !

Normes = idéal d’enfant

Normes : celui qui réussit le mieux

Ce qui peut inquiéter les enseignants c’est d’être dans le flou complet…

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Que faire des outils existants dans la classe, l’ECOLE ?

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Attention, il ne s’agit que de documents d’accompagnement qui ne sont donc pas prescriptifs

Conclusion: ancien livret avec A, NA…trop normatif et approximatif, est-ce qu’on peut dire que l’enfant n’a rien acquis? Et est-ce qu’on peut dire qu’il a acquis en fonction du matériel, du contexte…

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Voici la forme du document

Outil de communication avec les familles: signature des parents obligatoire.

C’est un outil qui permet de formaliser ce qui se disait déjà en réunion de fin d’année dans les écoles entre les enseignants de GS et de CP.

Il s’agit d’un outil de SYNTHESE destiné à dresser en quelque sorte le « profil » de l’élève à son entrée en CP de manière globale : ses points forts et ses besoins ( afin qu’une aide spécifique se mette rapidement en place).

Il ne s’agit en aucun cas d’une évaluation « fine » des compétences des élèves . Tous les domaines sont concernés :

Mobiliser le langage dans toutes les dimensions

Agir s’exprimer comprendre avec son corps à travers l’activité physique Agir s’exprimer, comprendre à travers les activités artistiques

Construire les premiers outils pour structurer sa pensée Explorer le monde

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La thématique « Apprendre ensemble et vivre ensemble » ne constitue pas un domaine spécifique du programme de cycle 1…. Elle est transversale.

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L’avantage du document national est que tous les élèves ont le même, donc en CP, même lorsque les élèves viennent d’écoles différentes, l’enseignant récupère la même forme de document (facile à lire).

Ce document de synthèse ne donne pas lieu à la passation préalable d’une série d’épreuves spécifiques d’évaluation car il est renseigné à partir du carnet de suivi des apprentissages (2èmeoutil obligatoire).

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CF Documents d’accompagnement Site EDUSCOL

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A l’école maternelle, les écarts d’âge entre les enfants donc de développement et de maturité ont une grande importance et influent sur le rythme des acquisitions.

Les différences interindividuelles doivent être prises en compte pour que chacun progresse au mieux et se développe harmonieusement

Ce qui est écrit en gras fait référence aux textes suivants: loi 2013 + Décret et arrêté

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L’évaluation constitue un outil de régulation dans l’activité professionnelle des enseignants, elle n’est pas un élément de prédiction ou de sélection »

Donc:

- 1eroutil: synthèse des acquis: document qui synthétise les compétences (pas toutes, choix décisif qui a été fait pas le groupe de travail), quoi dire à la fin de l’école maternelle (la question est l’enfant est il prêt pour le CP?)

- 2èmeoutil: carnet de suivi: pour objectif de suivre l’évolution des apprentissages pour l’enfant, les parents et les enseignants lorsque l’élève change d’école.

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En OBSERVANT

En valorisant le cheminement de l’enfant, les progrès accomplis, les réussites En INTERPRETANT ce que chaque enfant DIT et FAIT

En posant l’écart / expliciter ce qu’il reste à acquérir, le prochain objectif d’apprentissage

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ATTENTION: ce n’est pas récupérer des traces comme aujourd’hui pour attester de manques mais au contraire pour attester des réussites.

Or on remarque souvent qu’on veut récupérer des traces /apprentissages qui n’ont pas été dispensés.

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Cf Définition de la notion de compétence: CONNAISSANCES, CAPACITES, ATTITUDES

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Sorte de carte mentale sur Eduscol: pour trouver tous les observables (balises, indicateurs…) par attendu de fin de cycle.

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ATTENTION: le suivi des acquis ne nécessite pas de tout observer et de tout noter TOUS les jours pour chaque enfant, dans tous les domaines!!

ETRE VIGILANT par rapport aux stagnations ou régressions….prendre le temps d’approfondir la compréhension de la situation lorsque les acquis d’un enfant n’évoluent pas ou régressent, se demander s’il a durablement bénéficié de temps d’apprentissage et d’étayages et les lui FOURNIR, si besoin, avant d’envisager des interventions d’autres natures. « tu n’en es pas encore là mais je vais t’aider à y arriver »

Pointer les erreurs, aider les enfants à les analyser et lui faire prendre conscience que l’erreur fait partie prenante du processus d’apprentissage

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Ce qui est essentiel c’est d’associer les enfants à l’observation de ces écarts

éventuels: ce qui était attendu ( cf métacognition) et de mettre en place au sein de la classe des modalités d’accompagnement de ces élèves.

Ne pas « externaliser » tout de suite les difficultés dès lors qu’une « balise « n’est pas franchie en temps voulu…

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Extrait du document « Points de vigilance »

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1- Partir des attendus de fin de cycle

2- Réfléchir en équipe pour choisir les balises d’apprentissage (observables) en fonction des contextes d’enseignement, des priorités du projet d’école…etc.

Travail à réaliser au sein des équipes d’école en tenant compte du contexte ( plus ou moins d’étapes)

*Ce qui ne signifie pas « découper les balises en fonction des niveaux de classe ( cela irait à l’encontre des partis pris de cette évaluation positive et du programme) Attention dans les programmes sont bien spécifiées les distinctions 2/4 ans et 4/6 ans

Indicateurs = observables = balises

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3- Mettre en place des séquences ( longues) au service de la construction des apprentissages visés.

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« Les enseignants relèvent au moment le plus opportun les faits notables qui surviennent pour chaque élève, ceux qui apparaissent comme des MARQUEURS d’une évolution significative;

Ils les notent pour eux-mêmes ( outils personnels afin d‘en garder la mémoire) Quel « outil enseignant » pour évaluer, garder une trace de ce qu’il observe/évalue?

Grille d’observation critériée (observables)

Des créneaux de travail en autonomie (matériel dans bac, plateau)…pour

correspondre à des besoins personnelles (actions variées, dans domaines variés) ce qu’il a envie de faire (avec de vrais objectifs). Et pour l’enseignant observer chaque enfant dans ses choix, ses démarches. Carnet d’autonomie : on garde des traces de ce qu’on fait dans ces moments. Idéal: les élèves ont appris à utiliser l’appareil photo numérique.

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Observation instrumentée, planifiée…. Avec l’objectif pour l’enseignant de réguler son enseignement.

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Cf conseils donnée pas les documents d’accompagnement mais qui ne sont pas prescriptifs

Comment sélectionner les traces ? (dans le carnet d’autonomie? Chronologique?

toutes les traces que l’élève a voulu garder?...). L’enseignant sélectionne les traces pertinentes, significatives pour montrer les progrès…mais ne restera pas forcément définitivement dans le carnet de suivi des apprentissages puisque l’élève progresse.

Il n’est pas possible de tout garder… d’où la sélection des traces pertinentes!

photos/propos des élèves/ écrit : du maitre, de l’élève.

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GTD 78 "Evaluation positive en maternelle": B.Tissier IEN maternelle, M.Besnardeau CP maternelle, M.Goëtz CPC, C.Godin CPC, B.Riom PEMF, S. Buot PEMF

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En quoi « il » répond aux caractéristiques énoncées précédemment, en quoi « il » n’y répond pas?

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Exemples donnés par les documents d’accompagnement -

Ici, on constate que l’outil n’est pas lisible par l’élève, et peu par les familles (jargon pédagogique).

Que veut dire « commence à réussir »?

Pas de trace de l’élève

Quel changement significatif? Quelle interprétation de l’enseignant ? +

Bandelettes collées chronologiquement

Outil personnel puisque toutes les bandelettes ne seront pas forcément collées dans le même ordre pour tous les élèves.

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Idem, un peu plus compréhensible par les familles.

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Ici, on constate que l’outil n’est pas lisible par l’élève.

Pas de trace de l’élève.

Quel changement significatif?

+

Bandelettes collées chronologiquement

Outil personnel puisque toutes les bandelettes ne seront pas forcément collées dans le même ordre pour tous les élèves.

Outil lisible par les familles

Interprétation de l’enseignant et contrat d’apprentissage (« ce qu’enzo va maintenant apprendre »)

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On peut se poser la question du temps passé à la réalisation de cet outil

« numérique »..

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Mission maternelle 77

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Mission maternelle 77

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L’idée n’est pas de multiplier les outils mais au contraire de se réinterroger sur les fonctions et objectifs de chacun.

Il est essentiel de réfléchir à la place des traces à l’école maternelle A- Cet outil suit-il l’enfant tout au long de sa scolarité en maternelle ? B- Met-il en avant des réussites ?

C- Précise-t-il le moment où cette réussite est mise en avant ? D- L’enseignant commente-t-il la réussite ?

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Le cahier de vie garde trace de la vie de classe au quotidien qu’il soit individuel ou collectif = n’atteste pas des réussites de l’élève mais il pourrait être adapté ….

Importance des écrits de l’enseignant Ne pas oublier de dater réussites

Attention : ce carnet doit suivre l’enfant durant toute sa scolarité en maternelle (donc l’outil « cahier » parait peut pertinent…)

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Quelques traces peuvent être prélevées pour être intégrées au carnet de suivi (traces de l’élèves avec consigne, date, interprétation, valorisation…)

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On retrouve tout à fait l’état d’esprit du carnet de suivi… toutefois, tous les portfolios n’ont pas les mêmes objectifs :

Portfolio de présentation Portfolio d’apprentissage Portfolio d’évaluation

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Des extraits pertinents peuvent être insérés au carnet de suivi des apprentissages

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Les vignettes utilisées dans les cahiers de progrès peuvent être utilisées MAIS de manière individualisée ( tous les enfants n’auront pas forcément les mêmes vignettes dans leur carnet et si c’est le cas pas forcément au même moment dans l’année).

Les vignettes ne pourront être mises par avance dans le carnet de suivi puisque ce sont les réussites et elles seules qui devront y figurer et non le chemin à parcourir …

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Ne construit pas la notion de réussites …souvent évaluation sommative « déguisée »

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C’est un outil collectif qui ne peut donc en aucun cas remplacer le carnet de suivi des apprentissages mais constitue un outil pertinent qui peut servir de point d’appui pour l’évaluation individuelle des élèves

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Ces outils permettent de construire les notions visées, en ayant la possibilité de faire et de refaire.

Des éléments de réussite peuvent être isolés et intégrés au carnet de suivi

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Les équipes pédagogiques ont souvent déjà longuement réfléchi sur l’évaluation, car l’ancien livret posait problème (A, NA)..comment peut-on dire qu’il n’a rien acquis…

De plus, les parents ne portaient pas attention à ce livret (ancien) et les enseignants de CP n’en voulait pas. Besoin d’explicitation aux élèves est primordial dans

l’apprentissage. Donc la réforme de l’évaluation va de soi, mais pas facile à mettre en œuvre.

Assez chronophage et grande rigueur dans la formalisation des apprentissages auprès des élèves,

avoir une certaine souplesse, admette que tous n’apprennent pas la même chose au même moment.

Pas de forme imposée, pas de timing imposé, les équipes ont droit à l’erreur, laisser la liberté aux enseignants de faire/défaire, sinon, comme pour les élèves, ça ne marchera pas. Leur laisser le temps de trouver les réponses, d’échanger, de confronter…tatonner…

Nécessité de tester dans chaque classe, la mise en œuvre d’un carnet de suivi des apprentissages (pour le moment qq photos, qq travaux? Pour quelques élèves?).

Directeurs : impulser les questionnements, les confrontations, encourager, valoriser,

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laisser la liberté… ce qui impose un suivi d’une classe à l’autre, donc de prendre le temps de faire le point pour chaque enfant sur ces acquisitions. Programmations, progressions trimestriels, mais les enfants ont un chemin différent, donc il faut avoir la progression dans sa tête pour offrir une souplesse et donc le caractère positif Les freins éventuels :… coté chronophage : une nouvelle organisation de classe à trouver, qui permette de prendre le temps d’échanger avec chaque enfant.

Positif : la joie des enfants qui partent avec leur carnet de suivi des apprentissages, les parents sont ravis, et effet bénéfique sur les enseignantes qui observent + d’apprentissages car les élèves devienent capable d’expliquer leurs apprentissages, ils formulent, reprennent les propos des enseignants et progressent plus vite.

Evaluation : ne peut être qu’une pratique collective d’équipe.

Dans la refondation pédagogique de l’école, la question de l’équipe est centrale : un certain nombre de mesures (scolarisation des moins de 3, travail

partenarial…etc…+DMQDC) ont déjà bousculé les esprits. De plus l’enseignant isolé est en fragilité, et risque de s’essouffler. Les enseignants ont tout à y gagner sur ces partages.

La question de l’impact sur l’évaluation à l’école élémentaire…? La question va se poser pour la continuité des formes d’évaluation, mais pas que, la bienveillance, les différents rythmes… ! car évaluer à l’école maternelle, n’est pas comme évaluer à l’école élémentaire. Si ce qui est écrit sur la synthèse n’est pas pris en compte par les collègues de l’élémentaire, c’est un irrespect pour les collègues de maternelle et les élèves. Les différences ne sont pas forcément des difficultés. Les enfants sont-ils prêts à entrer au cours préparatoire ? Cela ne s’évalue pas en nombre d’items. Ne pas condamner les enfants! Bienveillance indispensable pour estime de soi des élèves, donc il ne faut pas qu’en début de CP, il y ait un verdict qui tombe !

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Il faut Construire du sens, on ne va pas à l’école pour avoir des notes, des smileys ou des points verts, oranges et rouges…! On va à l’école pour : apprendre à bien tenir son crayon, pour apprendre à écrire son prénom…etc (objectif explicites, l’enfants est capable de dire ce qu’il a réussi, ce qu’il a appris…)

Les pratiques au quotidien sont rythmées par les évaluations : diagnostiques, formatrices, finales qui visent à engager l’intérêt de l’élève, visent l’activité.

Pour que les élèves rentrent dans les apprentissages, il convient de les rendre actifs, et de permettre aux élèves de construire du sens (on ne va pas à l’école pour avoir des notes, des couleurs vertes ou des smiley…mais pour construire des

compétences, parler, lire, écrire…parler avec les autres..) Et les enseignants doivent accompagner les parents…

Il s’agit d’une perspective importante pour la communauté scolaire. On ne peut imaginer que cela se fera en claquant des doigts, il faut se donner du temps et faire appel à la bienveillance. Un processus de changement du système va se faire par ce biais…cela ne va pas se faire en un an, cette perspective ne peut s’inscrire que dans le temps.

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Préoccupations à avoir :

1) Mettre en place l’évaluation positive : l’observation des apprentissages, des essais, des erreurs, des réussites , au cours de jeux, au cours d’observations programmées.

2) Dialoguer avec l’enfant pour qu’il prenne conscience des progrès qu’il fait par rapport à lui-même.

3) Rendre compte aux parents de manière différente de ce qu’il sait faire, les petits progrès de l’enfant (mais qui laisseraient à penser que l’élèves n’atteindrait pas les attendus de fin de cycle) et les prochaines étapes qu’il aura à franchir.

Propositions pour commencer:

- tester sur un domaine ciblé (déterminé en équipe, en lien avec le projet d’école), définir les balises en équipe, les situations…

- ou tester dans chaque classe pour les quelques élèves les plus en difficulté.

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