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J'apprends les maths avec Picbille CP - Pack de 10 fichiers | Les Editions Retz

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

Sous la direction de

RÉMI BRISSIAUD

Maitre de conférences de psychologie expérimentale

ANDRÉ OUZOULIAS

Professeur agrégé

FLORENCE SUIRE

Professeur des écoles

PIERRE CLERC

Instituteur

Fichier de l’élève

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J’apprends les

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J’apprends les

(2)

© Retz, 2016

ISBN : 978-2-7256-3471-5

Une progression organisée autour

de la distinction entre

comptage-numérotage et calcul

Présentons cette distinction en considérant le problème sui-vant : « J’ai 4 jetons dans ma poche gauche et 3 jetons dans la droite. Je vais les mettre sur la table. Combien y aura-t-il de jetons ? »

■ Pour résoudre ce problème, certains enfants comptent 4 doigts sur une main, comptent 3 doigts sur l’autre, puis recomptent un à un ces 7 doigts.

■ D’autres enfants énoncent directement que 4 et 3 est égal à 7, ou trouvent le résultat sous la forme 4 + 1 + 2 : ils calculent. Apprendre à calculer est évidemment un objectif essentiel dès le CP. Mais il est moins évident de répondre à la ques-tion suivante : comment favoriser l’apprentissage du calcul ? Ce n’est pas à force de compter-numéroter que l’enfant apprend à calculer. Certains enfants peuvent même s’enfer-mer très longtemps dans cette forme de comptage. Tous les professeurs de cycle 3 savent que leurs élèves en diffi -culté sont des « enfants compteurs ». Rappelons que dans

J’apprends les maths CP avec Picbille, l’usage du

comptage-numérotage n’est jamais valorisé.

Ce n’est pas non plus à force de répéter les résultats de la table d’addition (ce qu’on appelle l’apprentissage « par cœur ») que les enfants apprennent à calculer. Les recherches montrent que ce qui est possible au CE avec la table de multiplication, parce que les enfants ont déjà une bonne connaissance des nombres, ne l’est pas avec la table d’addition.

Une démarche pédagogique qui

c’est-à-dire des confi gurations de points sous la forme 5 + 2 et un cadre matériel de 10 (une « boite de Picbille* ») dans lequel 7 apparaitre comme 5 jetons dans un compartiment dont le couvercle est fermé et 2 jetons dans l’autre. Et pour 12, par exemple :

Dès lors, des sommes telles que 5 + 2 et 10 + 2 sont connues précocement et ce sont leurs résultats mémorisés que l’en-fant utilise dans les autres calculs. Ainsi :

4 + 3 est pensé comme 4 + 1 + 2 (cf. sq 30 et 34) ; 5 + 7 est pensé comme 5 + 5 + 2 (cf. sq 58), etc. C’est ce qu’on appelle souvent le « calcul réfl échi ». Dans J’apprends les maths CP avec Picbille, les élèves uti-lisent également une schématisation de la main qui fait apparaitrere 5 sous la forme 2 + 1 + 2. Les nombres 5, 7 et 10, par exemple, sont représentés ainsi :

En cohérence avec ce choix pédagogique, on repère d’une croix les jetons correspondants dans la représentation des nombres « comme Picbille » :

C’est donc un nouveau repère que nous introduisons : le repère 3. La raison de ce choix est triple : a) Notre repré-sentation mentale des nombres est linéaire ; b) Lorsque des unités sont alignées, on n’en reconnaît immédiatement le nombre exact que jusqu’à 3 (cf. la notion de subitizing) ; c) Un enfant qui ne ne sait pas utiliser le repère 3 ne peut ni utiliser le repère 5 pour calculer, ni utiliser la dizaine pour se représenter les grands nombres !

* Une version de ce matériel est disponible en fi n de fi chier grâce aux couvercles autocollants repositionnables. Le matériel collectif appelé « Boite de Picbille » est édité chez Retz.

On sait aujourd’hui que les élèves en diffi culté grave et durable échouent dans leurs apprentissages numériques parce qu’ils font un usage systématique de ce qu’on appelle un comptage-numérotage. Lorsqu’ils comptent, chaque mot de la comptine est un numéro qu’ils associent à 1 élément et 1 seul  : le un, le deux, le trois, le quatre… L’entrainement de cette forme de comptage permet aux élèves les plus faibles de résoudre de nombreux problèmes, ce qui laisse espérer des progrès futurs, alors qu’en réalité ils vont s’enfermer dans cette façon de faire et échoueront en calcul mental.

C’est pourquoi le programme pour la maternelle de 2015 fait la recommandation suivante : « Les

acti-vités de dénombrement doivent éviter le comptage-numérotage et faire apparaitre, lors de l’énuméra-tion de la collecl’énuméra-tion, que chacun des noms de nombres désigne la quantité qui vient d’être formée. » J’apprends les maths CP est le premier ouvrage à avoir proposé une alternative à l’enseignement du

comptage-numérotage. Celui-ci n’y est jamais favorisé. Même l’écureuil, le personnage qui incarne l’usage du comptage, utilise un comptage-dénombrement. Il dit : « un plus 1, deux ; plus 1, trois ; plus 1, quatre ; plus 1… » Il calcule pour compter, même s’il s’agit de calculs rudimentaires (+ 1 successifs).

5 7 10

Apprendre le calcul mental à l’aide

des repères 3, 5 et 10

Dès la première édition, nous avons choisi de favoriser un autre mode d’apprentissage où l’enfant apprend à repré-senter les nombres à l’aide des repères 5 et 10. Pour 7, par exemple, on utilise les trois représentations suivantes :

Cet ouvrage suit l’orthographe recommandée par les rectifi cations de 1990 et les programmes scolaires. Voir le site

http://www.orthographe-recommandee.info

(3)

Apprendre le calcul mental

dans des situations d’anticipation

Donnons d’abord un exemple de situation d’anticipation :

Apprendre à calculer en simulant

mentalement l’action du maitre

Mais les situations d’anticipation utilisées dans J’apprends

les maths CP favorisent l’apprentissage du calcul mental

pour une autre raison, plus fondamentale encore. Consi-dérons par exemple la situation utilisée pour enseigner le « passage de la dizaine » : 8 + 4 = (8 + 2) + 2.

avait anticipé les programmes 2016

Dans ce cas, il s’agit d’anticiper le nombre de cases vides d’un cadre matériel de 10 cases lorsque 7 d’entre elles sont remplies. Ou encore : il s’agit d’anticiper le nombre de jetons qu’il faudrait ajouter pour qu’il y en ait 10.

Les élèves prennent conscience de la différence entre ce type de tâche et la devinette : contrairement à la devinette, l’élève qui raisonne correctement réussit systématiquement. Par ailleurs, la situation est autocorrective : comme l’enjeu du raisonnement arithmétique est d’anticiper le résultat d’ac-tions avant qu’elles ne soient effectivement réalisées, il suffi t de procéder à ces actions (ici, ajouter 3 jetons et observer que la boite est pleine) pour valider ou non l’anticipation. Les enfants prennent ainsi conscience que l’enjeu des tâches arithmétiques se situe dans les transactions avec le monde des objets. Il ne s’agit pas seulement de deviner la réponse verbale qui ferait plaisir à l’enseignant.

De même, la résolution de problèmes prend du sens pour les élèves. Il est important que les situations d’anticipation soient privilégiées au CP parce que c’est l’une des classes où les enfants construisent leur rapport à l’activité mathématique.

Il y a 7 jetons dans la boite. Imaginez ce que je vois. Combien y a-t-il de cases vides ?

Écrivez. Je remplis la boite. Imaginez ce que je fais. Écrivez : 8 + 4 égale… Combien y a-t-il de cases vides ? Il y a 8 jetons dans la boite et j’ai 4 jetons dans la main. Phase d’anticipation. Phase de validation :

l’enseignant bascule la boite*.

Lorsque les élèves sont seulement confrontés à une situation comme celle qui est utilisée ici pour la validation, c’est-à-dire une situation où le complément à 8 est visible, où la collec-tion ajoutée est visible et donc facilement décomposable, la plupart d’entre eux se trouvent en grande diffi culté dès que le matériel n’est plus présent.

Simuler mentalement l’action que l’enseignant a réalisée de manière masquée oblige à reconstituer mentalement les données correspondant aux différentes étapes de la procé-dure et à enchaîner ces étapes : devenir capable de le faire rend autonome dans la mise en œuvre de cette procédure. Les élèves sont conduits à simuler mentalement l’action que l’enseignant réalise de façon masquée. Or les recherches en neuropsychologie montrent que l’apprentissage repose grandement sur ce type de processus mentaux. Au-delà des travaux scientifi ques, on en comprend bien les raisons en considérant la phase de validation :

Phase de validation : l’enseignant reconstitue la situation initiale tout en basculant la boite et en ouvrant la main.

Il peut ensuite réaliser l’action de manière visible en la commentant : « Il y a 8 jetons dans la boite, donc 2 cases vides. Les 4 jetons que j’ajoute, c’est 2 jetons pour les cases vides et encore… 2 jetons qui restent dans la main. Le résultat est 12. » Phase d’anticipation (début). Phase d’anticipation (fi n).

On lit dans le programme de 2016 pour le cycle 2 que les élèves doivent « comprendre que le successeur

d’un nombre entier c’est "ce nombre plus un", décomposer / recomposer les nombres additivement, multiplicativement… ». En fait, le calcul se fonde toujours sur l’usage de stratégies de décomposition-recomposition. C’est pourquoi, dans J’apprends les maths CP, celui-ci est systématiquement favorisé. La mise en avant des décompositions explique que la fi le numérique soit introduite sous la forme d’une fi le structurée de blocs de 10 cases vides, les boites de Picbille (voir sq 44). Pour un élève, la suite des écritures chiffrées n’est pas une authentique fi le numérique tant que le numéro d’une case n’évoque pas les décompositions du nombre correspondant grâce aux repères 5, 10, 15, 20… Quand c’est le cas, la présence des numéros est inutile, et même néfaste car incitant au comptage-numérotage.

Concernant la résolution de problèmes, le programme 2016 recommande de demander aux élèves de «

pré-voir des résultats d’actions portant sur des collections ou des grandeurs ». Depuis sa 1re édition, J’apprends

les maths CP a constamment utilisé et perfectionné ce type d’activités, essentiel pour que les élèves donnent

du sens à leurs apprentissages numériques. Sa forme la plus achevée est sans conteste celle que nous avons appelée la simulation mentale d’une action que l’enseignant réalise de manière masquée (voir ci-dessous).

* Remarquons que l’enseignant tient la boite de façon que les élèves voient les nombres croissant de gauche à droite lors de la phase de validation et qu’ils les imaginent ainsi lors de la phase d’anticipation ; c’est en effet le sens de leur « fi le numérique mentale » et il doit être privilégié.

(4)

Apprendre, dès le CP,

le calcul mental d’une soustraction

Rappelons qu’entre 1970 et 1990 la soustraction n’était plus enseignée au CP, seule l’« addition à trou » l’était. J’apprends

les maths CP avec Picbille a été le premier manuel à

réintro-duire cet enseignement dès le CP. Aujourd’hui, cela ne fait plus vraiment débat. En revanche, la progression abordée ici reste originale du fait que, dès le CP, les élèves apprennent différentes stratégies de calcul mental d’une soustraction. Un adulte n’utilise pas la même stratégie de calcul mental pour déterminer 102 – 6 et 102 – 94. Pour calculer 102 – 6, les adultes procèdent généralement par retraits successifs, c’est-à-dire en reculant sur leur fi le numérique mentale ; ils font : (102 – 2) – 4 = 96. En revanche, pour calculer 102 – 94, ils calculent par compléments successifs, c’est-à-dire en avançant sur leur fi le numérique mentale : à partir de 94, il faut 6 pour aller à 100 ; et encore 2 pour aller à 102, il faut 8 en tout.

Dès le CP, il est donc crucial d’enseigner que 9 – 2 ne se calcule pas de la même manière que 9 – 7. L’adulte qui a automatisé ces calculs ne s’en rend plus compte mais, à son insu, son activité mentale reste différente. Le mode de repré-sentation des nombres comme Picbille est particulièrement bien adapté pour cet enseignement.

Le calcul de 9 – 2, par exemple, est enseigné de la manière suivante (cf. sq 39) :

Comme dans le cas de l’addition, les élèves apprennent d’abord à calculer les soustractions en dessinant des points « comme Picbille » avant de barrer ceux qui doivent être ôtés. Cependant, très vite, l’enseignant favorise une mentalisation de ce calcul en proposant une situation d’anticipation qui conduit les enfants à simuler mentalement un retrait que l’enseignant effectue de manière masquée.

Dès le CP, donc, les élèves commencent à s’approprier les deux grandes stratégies de calcul d’une soustraction : en

reculant (ou encore : en « barrant à la fi n ») lorsque le nombre

retiré est petit et en avançant (ou encore : en « barrant au début ») lorsqu’il est grand.

Lorsqu’on retarde cet enseignement, les élèves privilégient la stratégie en reculant ; les plus fragiles d’entre eux s’en-ferment dans cette stratégie et ne développeront pas de bonnes compétences en calcul mental d’une soustraction. Diverses recherches mettent en évidence que cela aura des répercussions négatives en résolution de problèmes. En revanche, le calcul de 9 – 7 l’est ainsi (cf. sq 53) :

Pour enseigner le calcul mental de 8 – 2, par exemple (sq 41), il prend un carton avec 8 doigts dessinés et il masque 2 doigts « à la fi n », c’est-à-dire sur sa gauche. Pour enseigner celui de 8 – 6 (sq 55), il cache 6 doigts « au début », c’est-à-dire sur sa droite.

Dans tous les cas, la validation se fait en basculant le car-ton contenant les 8 points et en effectuant le masquage de façon visible.

Là encore, les nombres apparaissent à l’enseignant comme croissant de droite à gauche : l’important est que les élèves les imaginent derrière le carton comme croissant de gauche à droite, c’est-à-dire dans le sens de leur ligne numérique mentale. Ces cartons sont fournis avec le Livre du maitre et téléchargeables sur japprendslesmaths.fr.

Favoriser les généralisations

Nous avons été particulièrement attentifs à J’apprends

les maths CP avec Picbille favorise les généralisations. Les

exemples sont nombreux, donnons-en quelques-uns : ■ La notion de différence est étudiée dès le début de l’année dans un contexte simple : la différence, c’est ce qu’il faut ajouter au petit nombre pour avoir le grand nombre (sq 7). Elle n’est mise en relation avec la soustraction que plus tard dans l’année (sq 74). Ainsi, dès le CP, les élèves ont la possibi-lité de comprendre que la soustraction permet de résoudre d’autres types de problèmes que ceux où l’on perd, où l’on retire, etc.

■ La fi le des écritures chiffrées est mise en relation avec le remplissage d’une fi le de boites de Picbille (sq 44).

■ La compréhension de la notion de dizaine est facilitée parce que les élèves ont à comparer des « nombres comme Dédé » et des « nombres comme Picbille » alors que la dizaine de Dédé est constituée d’un groupe de 10 points visibles et celle de Picbille d’un groupe de 10 jetons mas-qués. De plus, la généralisation est explicitement appliquée aux paquets de 10 gâteaux, aux bouquets de 10 fl eurs, aux équipes de 10 enfants…

■ La compréhension de la notion de dizaine est également facilitée du fait que les élèves étudient plus généralement la notion de groupement, et notamment ceux par 2 et par 5, avant d’étudier la numération décimale qui, elle, se fonde sur un groupement par 10.

(5)

L‘organisation en 5 périodes

Périodes Nombres et calculs Géométrie et mesures Pages

8 à 35

Calcul jusqu’à 5

décompositions, additions et soustractions

Les 10 premiers nombres

5 + 1 = 6 ; 5 + 2 = 7 ; 5 + 3 = 8, etc.

Tracés à la règle

36 à 67

Calcul jusqu’à 10

décompositions, additions et soustractions

Les 20 premiers nombres

comprendre 14 comme 10 et 4; groupes de 2 et 5

Tracés à la règle (suite)

68 à 95

Calcul jusqu’à 20

additions ( ajouter 5 ; les doubles) ; soustractions

Numération décimale jusqu’à 59

les nombres jusqu’à 59 ; groupes de 2, 5 et 10

Tableaux cartésiens ;

repérage et tracés sur quadrillage

96 à 123

Calcul et numération jusqu’à 79

la soustraction pour calculer une différence ; additions du type 9 + 7 (passage de la dizaine) ; du type 35 + 27 en dessinant puis sans dessiner ; comparer des nombres

Mesure des longueurs ; le centimètre.

124 à 155

Calcul et numération jusqu’à 100

calcul d’additions à partir des écritures chiffrées (addition naturelle puis addition en colonnes); soustractions avec des nombres de 2 chiffres

Solides ; fi gures simples ;

heures et demi-heures ; masses (le kg) ; décrire un trajet (gauche, droite)

49 ; 57 ; 65 ; 75 ; 85 ; 105 ; 113 ; 129 ; 145 ; 153

Problèmes pour apprendre à chercher

Un code de couleurs pour savoir si une activité

est un moment de :

• découverte

• d’appropriation

• d’entretien

Dans les activités de découverte (cadre de couleur forte), l’enseignant doit s’assurer de la compréhension de la situation et de la consigne. De plus, il doit organiser l’échange entre les élèves afi n que ce qui est nouveau dans les savoirs ou savoir-faire utilisés émerge clairement.

Dans les activités d’entretien (cadre grisé), les élèves travaillent de manière beaucoup plus autonome.

Du point de vue de l’autonomie des élèves, les activités d’appropriation (cadre à la couleur légère) sont intermédiaires.

Exemple dans une page de 1re période

Cadre à la couleur forte : découverte d’une nouvelle notion ou d’un nouvel outil.

Cadre à la couleur légère : activité d’appropriation de ces nouveautés.

Cadre grisé :

activité d’entretien des notions ou des outils introduits dans des pages antérieures.

1

rouge

2

jaune

3

verte

4

bleue

5

violette

(6)

Nombres et calculs Espace et géométrie Grandeurs et mesures

Problèmes pour apprendre à chercher

1

re

période

1 5, c’est 2 et encore 1 et encore 2 . . . .8

2 Tracer à la règle (1) . . . .10

3 Les 5 premiers nombres dans la boite de Picbille . . .12

4 Reconnaitre 2 et 3 par leurs décompositions . . . .14

5 Reconnaitre 3 et 4 par leurs décompositions . . . .15

6 Tracer à la règle (2) . . . .16

7 La différence (n ≤ 5) : combien faut-il donner à Minibille ? . . . .18

8 La différence (n ≤ 5) : imaginer les collections . . . .19

9 Introduction du signe « + » dans une situation d’ajout . . . .20

10 L’addition dans une situation de réunion . . . .21

11 Écrire l’égalité qui correspond à une addition . . . .22

12 Les nombres 6 et 7 défi nis comme 5 + 1 et 5 + 2 . . . .23

13 Addition (sommes ≤ 5) : calculer mentalement . . . .24

14 Comparaison de 1 + 4 et 4 + 1, de 1 + 3 et 3 + 1 . . . .25

15 Addition de 3 nombres et introduction du nombre zéro . . . .26

16 Décompositions de 4 et de 5 : écrire toutes les égalités . . . .27

17 Le nombre 10 défi ni comme 5 + 5 . . . .28

18 Introduction du signe « – » dans une situation de retrait . . . .29

19 Tracer à la règle (3) . . . .30

20 Soustraction (n ≤ 5) : calculer mentalement . . . .32

21 Décompositions additives explicites : 4, c’est 1 plus… . . . .33

22 Décompositions additives explicites : 5, c’est 1 plus… . . . .34

23 Bilan terminal de la 1re période . . . .35

2

e

période

24 Les nombres 6, 7, 8, 9 et 10 dans le contexte de la boite . . . .36

25 Tracer à la règle (4) . . . .38

26 Dessiner des collections avec le repère 5 (« comme Dédé ») . . . .40

27 Dessiner des collections avec le repère 5 (« comme Picbille ») . . . .41

28 Écriture littérale des 5 premiers nombres . . . .42

29 Les compléments à 10 (1 ≤ n ≤ 9) . . . .43

30 Calculer une addition (sommes ≤ 10) : utilisation du repère 5 . . . .44

31 La commutativité de l’addition . . . .45

32 Décompositions additives explicites : 6, c’est 1 plus…46 33 Les nombres après 10 sur les doigts (de 11 à 16) . . . .47

34 Additions (sommes ≤ 10) : simulation mentale de l’ajout . . . .48

35 Problèmes pour apprendre à chercher . . . .49

36 Les nombres après 10 sur les doigts (de 17 à 20) . . . .50

37 Les moitiés et les doubles (jusqu’à 5 + 5) . . . .51

38 Les nombres après 10 « comme Dédé » . . . .52

39 Calcul réfl échi de la soustraction : retirer un petit nombre . . . .53

40 Tracer à la règle (5) . . . .54

41 Retirer un petit nombre : simulation mentale du retrait . . . .56

42 Problèmes pour apprendre à chercher . . . .57

43 Décompositions additives explicites : 8, c’est 1 plus… . . . .58

44 Situer un nombre sur la fi le numérique : les repères 5, 10, 15…. . . .59

45 Écriture littérale des premiers nombres jusqu’à 10 . .60

46 Décompositions additives explicites : 10, c’est 1 plus… . . . .61

47 Groupement par 2, 3… ; n fois 2, n fois 3… . . . .62

48 La monnaie (1) : sommes ≤ 10 € . . . .64

49 Problèmes pour apprendre à chercher . . . .65

50 La monnaie (2) : sommes ≤ 20 € . . . .66

51 Bilan terminal de la 2e période . . . .67

3

e

période

52 10 jetons, c’est 1 groupe de dix et 0 jeton ; 11 jetons, c’est… . . . .68

53 Calcul réfl échi de la soustraction : retirer un grand nombre (1) . . . .72

54 Décompositions additives explicites : 7, c’est 1 plus… . . . .73

55 Soustractions (retirer un grand nombre) : calculer mentalement . . . .74

(7)

56 Problèmes pour apprendre à chercher . . . .75

57 43, c’est 4 groupes de dix et 3 unités isolées ; 57, c’est… . . . .76

58 Calcul réfl échi de n + 5 en « regroupant les 5 dans la tête ». . . .78

59 La planche des nombres comme Picbille. . . .79

60 Comparaison des nombres comme Dédé et comme Picbille . . . .80

61 Écriture littérale des nombres à 2 chiffres (1) . . . .82

62 Calcul réfl échi de la soustraction : choisir la stratégie83 63 Calcul réfl échi de l’addition : les « grands doubles »84 64 Problèmes pour apprendre à chercher . . . .85

65 Décompositions additives explicites : 9, c’est 1 plus… . . . .86

66 Comparaison de longueurs : approche intuitive . . . . .87

67 Grouper par 10 pour dénombrer une collection . . . . .88

68 Groupes de 2, 5 et 10 (paquets de gâteaux) . . . .90

69 La monnaie (3) : former une somme avec des billets et des pièces . . . .91

70 Reproduire une fi gure sur un quadrillage . . . .92

71 Groupes de 2, 5 et 10 (contexte général) . . . .94

72 Bilan terminal de la 3e période . . . .95

4

e

période

73 Addition de 2 nombres à 2 chiffres (1) . . . .96

74 La soustraction pour calculer une différence . . . .98

75 Vers les passages de la dizaine du type 9 + n . . . 100

76 Calcul réfl échi de l’addition : le passage de la dizaine (1) . . . 101

77 Passage de la dizaine et commutativité de l’addition102 78 Écriture littérale des nombres à 2 chiffres (2) . . . .104

79 Problèmes pour apprendre à chercher . . . .105

80 Vers les passages de la dizaine du type 8 + n . . . 106

81 Calcul réfl échi de l’addition : le passage de la dizaine (2) . . . 107

82 Mesure de longueurs (1) : reporter un étalon quelconque . . . 108

83 Calculs du type 7 + n, 8 + n et 9 + n : calculer mentalement . . . 109

84 Décompositions des nombres 11, 12, 13… . . . 110

85 Les nombres de 60 à 79 . . . .111

86 Addition de 2 nombres à 2 chiffres (2) . . . 112

87 Problèmes pour apprendre à chercher . . . .113

88 Ajouter 10, retrancher 10 . . . .114

89 Addition d’un nombre à 2 chiffres et d’un nombre à 1 chiffre . . . 115

90 Les moitiés (cas des nombres jusqu’à 20) . . . 116

91 Plus grand que, plus petit que, égal à. . . .118

92 Mesure de longueurs (2) : le cm . . . 120

93 Organiser le répertoire additif . . . 122

94 Bilan terminal de la 4e période . . . . 123

5

e

période

95 Addition de 2 nombres à 2 chiffres : l’addition « naturelle » (1) . . . 124

96 Les solides (1) . . . 126

97 Calcul réfl échi de la soustraction : cas du type 12 – 3 ; 14 – 6 . . . 127

98 Soustractions du type 11 – 3 : calculer mentalement 128 99 Problèmes pour apprendre à chercher . . . 129

100 Addition de 2 nombres à 2 chiffres : l’addition « naturelle » (2) . . . 130

101 Groupes de 2, 5 et 10 : combien en tout ? . . . 131

102 Les triangles et les rectangles (quelconques et « réguliers ») . . . 132

103 Les nombres de 80 à 100 . . . 133

104 Ordonner les nombres . . . 134

105 Calcul réfl échi de la soustraction : cas du type 12 – 9 . . . 135

106 Soustractions du type 13 – 9 : calculer mentalement . . . 136

107 Les solides (2) : les pavés . . . 137

108 Tracés géométriques à l’aide de « formographes » (1)138 109 Écriture littérale des nombres de 70 à 99 . . . 140

110 Soustraire un nombre à 1 chiffre d’un nombre à 2 chiffres . . . 141

111 L’addition en colonnes (1) . . . 142

112 L’addition en colonnes (2) . . . 143

113 Heures et demi-heures : la grande aiguille . . . 144

114 Problèmes pour apprendre à chercher . . . 145

115 Tracés géométriques à l’aide de « formographes » (2)146 116 La soustraction des nombres à 2 chiffres . . . 147

117 Comparaison de masses (1) : « plus lourd que » . . . 148

118 Repérage dans l’espace : décrire un trajet (gauche, droite) . . . 150

119 Les moitiés de 10, 20, 30, 40 et 50 . . . 152

120 Problèmes pour apprendre à chercher . . . 153

121 Comparaison de masses (2) : le kg . . . 154

122 Bilan terminal de la 5e période . . . . 155

Les problèmes avec cache. . . 156

Activités avec la planche des nombres comme Picbille . . . 157

Le répertoire additif . . . 162

(8)

Progression par domaine

Représenter les nombres

Les 5 premiers nombres . . . .Sq 1, 3, 4, 5,28 Le nombre 10 . . . Sq 17, 24, 26 Les nombres 6, 7, 8, 9 et 10 . . . .Sq 12, 14, 17,24 Organiser pour dessiner des collections . . . .Sq26, 27, 38, 60 Les compléments à 10 . . . .Sq29 Les nombres entre 10 et 20 . . . .Sq33, 36, 38, 44, 52 Les nombres jusqu’à 59 . . . .Sq52, 57, 59, 60, 67 Les nombres de 60 à 79 . . . .Sq85 Les nombres de 80 à 100 . . . Sq103 Situer un nombre sur la file numérique . . . Sq44, 52, 85, 103 Écriture littérale des nombres . . . Sq45, 61, 78, 109 Comparer des nombres . . . .Sq 91 Ordonner les nombres . . . Sq104

Le calcul mental

Addition (somme ≤ 10) . . . .Sq 9, 10, 11, 12, 13, 15, 30, 31, 34 Addition (10 ≤ somme ≤ 20) . . . .Sq50, 58, 63, 73, 75, 76, 77, 80, 81, 83 Stratégie d’appui sur 5 . . . Sq58, 63 Stratégie de passage de la dizaine . . . .Sq75, 76, 77, 80, 81, 83 Addition (20 ≤ somme ≤ 99) . . . Sq59, 63, 73, 86, 89, 93, 95, 100 Décomposition . . . .Sq 16, 21, 22, 32, 43, 46, 54, 65, 84 Différence informelle . . . Sq 7, 8, 60, 66 Soustraction (retrait) . . . Sq 18, 20, 39, 41, 53, 55, 62, 97, 98, 105, 106, 110, 116 Soustraction (différence) . . . .Sq74 Les doubles . . . .Sq37, 63 Les moitiés . . . Sq37, 90, 119 Groupement par 2, 5 et 10 . . . Sq47, 57, 67, 68, 71, 101 De 10 en 10 . . . .Sq88

Les techniques en colonnes

L’addition en colonnes . . . .Sq111, 112

Nombres et calculs

Tracer à la règle . . . Sq 2, 6, 19, 25, 40 Reproduire une figure sur un quadrillage . . . .Sq70 Solides . . . Sq95, 107 Décrire un trajet (gauche, droite) . . . Sq 118 Triangles et rectangles . . . Sq102 Tracés à l’aide de « formographes » . . . .Sq108, 115

Espace et géométrie

La monnaie . . . .Sq48, 50, 69 Longueurs . . . .Sq82, 92 Heure, durée . . . .Sq113 Comparaison de masses . . . Sq 117, 120

Grandeurs et mesures

Les couleurs des numéros de séquences correspondent aux couleurs des périodes.

Dénombrement . . . .Sq42, 64, 79, 87 Décompositions . . . .Sq42, 87, 99, 114, 120 Problèmes additifs . . . Sq49, 64, 79 Problèmes soustractifs . . . Sq35, 49, 79, 99, 120 Groupement . . . .Sq35, 49, 56, 99 Partage . . . Sq35, 87, 114 Repérage de cases . . . .Sq 56, 64

Références

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