• Aucun résultat trouvé

Au point M x(s) y(s

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Au point M x(s) y(s"

Copied!
8
0
0

Texte intégral

(1)

SEMAINE 23 COURBES PLANES NAPPES PARAM ´ETR ´EES

EXERCICE 1 :

SoitO un point du plan euclidien orient´e, soit Γ un arc de classe C1, r´egulier. `A tout pointM sur Γ, on associe le pointT, intersection de la tangente `a Γ enM avec la perpendiculaire

`

a (OM) issue deO.

D´eterminer Γ de sorte que la distance M T soit constante ´egale `a 1. Calcul d’une abscisse curviligne sur Γ.

- - - - Notons s une abscisse curviligne sur Γ. Au point M

x(s) y(s)

, le vecteur tangent unitaire est

→τ

x0(s) y0(s)

. Quitte `a changer l’orientation de Γ, on peut supposer que −−→

M T = −→ τ. La condition `a ´ecrire est alors−→

OT·−−→

OM = 0, ce qui conduit `a l’´equation diff´erentielle (*) : x(x+x0) +y(y+y0) = 0.

On peut supposer que l’arc recherch´e ne passe pas parO, et le th´eor`eme de rel`evement permet de poser

(x(s) = ρ(s) cosθ(s)

y(s) = ρ(s) sinθ(s) , les fonctions ρ et θ ´etant de classe C1. On a alors la relation(**):ρ0(s)2+ρ(s)2θ0(s)2= 1 qui exprime quesest un param`etre normal sur Γ.

En posant R(s) = ρ(s)2 = x(s)2+y(s)2, l’´equation (*) s’´ecrit R0(s) + 2R(s) = 0, ce qui s’int`egre en R(s) = C2e−2s, puis ρ(s) = C e−s. En r´einjectant dans (**), on obtient C2e−2s 1 +θ0(s)2

= 1, d’o`u

θ0(s) =dθ ds =±

re2s C2 −1. Cherchons maintenant une ´equation polaire de Γ :

dρ dθ = dρ

ds ds

dθ =± C e−s qe2s

C2 −1

=± C2e−2s

1−C2e−2s =± ρ2 p1−ρ2 .

Nous sommes donc ramen´es `a int´egrer l’´equation diff´erentielle autonome (`a variables s´eparables) dθ=±

p1−ρ2

ρ2 dρ. En posantρ= sinu(on a n´ecessairement 0< ρ≤1), on obtient Z p

1−ρ2 ρ2 dρ=

Z

cotanudu=−cotanu−u+k=− r1

ρ2−1−arcsinρ+k , o`ukest une constante. Finalement,

θ=θ0±

arcsinρ+ r1

ρ2 −1

(0< ρ≤1).

Les courbes solutions s’obtiennent `a partir de l’une d’entre elles par toutes les isom´etries fixantO.

L’abscisse curviligne est s=−lnρ C

soit, `a une constante pr`es,s=−lnρ. La spirale a donc une longueur infinie.

(2)

EXERCICE 2 :

Dans le plan euclidien, soit Γ un arc de classeC4, bir´egulier. On noteIle centre de courbure de Γ en un pointM. On noteDla d´evelopp´ee de Γ (lieu des centres de courbure). Le centre de courbure de Dau pointI (s’il existe) est not´eJ. On note enfinP le milieu de [M I], et C le lieu des pointsP lorsqueM parcourt Γ.

Montrer que la tangente `aC au pointP est orthogonale `a la droite (M J).

- - - -

Soitsun param`etre normal (“une abscisse curviligne”) sur Γ. SoitR le rayon de courbure de Γ enM. Notons enfin (M;−→

t ,−→

n) le rep`ere de Frenet de Γ enM. Alors I=M+R−→ n et, en d´erivant cette ´egalit´e (grˆace aux formules de Frenet), on a

dI ds =−→

t +dR ds

→n +R· −

→t R

!

= dR ds

→n .

Remarque : l’arc Γ ´etant de classe C3, la fonction s 7→ R(s) dont l’expression utilise des d´eriv´ees d’ordre deux, est de classe C1.

Les points singuliers sur la d´evelopp´ee D (dI ds = −→

0 ) correspondent donc aux “sommets” de la courbe Γ (extremums de la courbure), on exclut d´esormais ces points. On constate alors que la tangente `a D au point I est la normale `a Γ au point M (propri´et´e classique : la d´evelopp´ee d’une courbe est l’enveloppe de ses normales). Orientons D(c’est au moins possible localement) de fa¸con que son vecteur tangent unitaire orient´e −→

τ au pointI soit

→n ; le rep`ere de Frenet deDau pointI est alors (I;−→ τ ,−→

ν) = (I;−→ n ,−−→

t).

Soitσune abscisse curviligne surD. On a alors dI dσ =−→

τ =−→

n, m´ezˆossi dI

dσ = ds dσ

dI ds = dR

ds ds dσ

→n = dR dσ

→n .

On en d´eduit la relation dR

dσ = 1 (ce qui traduit en fait que Γ est une d´eveloppante de D), ou encore dσ

ds = dR

ds (interpr´etation : en int´egrant cette ´egalit´e pour s∈[s1, s2], avec des notations ´evidentes, on voit que la longueur de l’arc I1I2 sur la d´evelopp´ee est ´egale

`

a |R2−R1|, c’est-`a-dire `a la variation du rayon de courbure de Γ entre les points M1 et M2, `a condition que la courbeΓ ne pr´esente pas de “sommet” entre les points M1 etM2, c’est-`a-dire que la fonctions7→R(s)soit monotone sur l’intervalle[s1, s2]).

On a ensuite d−→ n dσ = ds

dσ d−→

n ds =−

R dR

ds −1

→t puisque d−→ n ds =−

→t

R. Soit alors ρle rayon de courbure de la d´evelopp´eeD au pointI ; les formules de Frenet montrent que d−→

τ dσ =

→ν ρ, c’est-`a-dire d−→

n dσ =−

→t

ρ. Par comparaison avec la relation obtenue ci-dessus, on obtient une relation entre les courburesRet ρ:

(3)

ρ=R dR ds . Le pointJ est donc d´efini par −→

IJ =ρ−→

ν =−R dR ds

→t et

−−→M J =−−→ M I+−→

IJ =R −→

n −dR ds

→t

.

D’autre part, P =M+1 2 R−→

n, donc la tangente `aC au pointP est dirig´ee par le vecteur (s’il est non nul) :

dP ds =−→

t +1 2

dR ds

→n +1 2 R −

→t R

!

=1 2

−→ t +dR

ds

→n

.

Ce vecteur est donc effectivement non nul et l’arc s 7→ P(s) est r´egulier, et on v´erifie la nullit´e du produit scalaire −−→

M J·dP ds.

EXERCICE 3 :

1. Soit a > 0, soit (H) l’hyperbole ´equilat`ere d’´equation xy = a. Soit M un point de (H).

Calculer les coordonn´ees deK, centre de courbure de (H) enM. V´erifier la relation −−→

OK·−−→

OM = 2k−−→

OMk2. En d´eduire une construction g´eom´etrique du point K.

2.R´eciproque : d´eterminer toutes les courbes planes Γ dont le centre de courbure peut s’obtenir par cette construction g´eom´etrique.

- - - - 1. Param´etrons (H) par

 x = t y = a

t

(t ∈ IR). Alors

 x0 = 1 y0 = −a

t2 et

x00 = 0 y00 = 2a

t3 , d’o`u k−→

F0(t)k = x02 +y02 = t4+a2

t4 , Det −→ F0(t),−→

F00(t)

= x0y00−x00y0 = 2a

t3 et le rayon de courbure est

R= (x02+y02)

32

x0y00−x00y0 = (t4+a2)

32

2at3 . On d´etermine le rep`ere de Frenet :

→T t2

√t4+a2, −a

√t4+a2

; −→ N

a

√t4+a2, t2

√t4+a2

. On d´etermine le centre de courbureK parK=M +R−→

N :

(4)





xK = t + t4+a2

2t3 = 3t4+a2 2t3 yK = a

t + t4+a2

2at = t4+ 3a2 2at

.

On v´erifie imm´ediatement que −−→

OK·−−→

OM = 2k−−→

OMk2= 2t4+a2

t2 . Cela signifie que le point N, projet´e orthogonal de Ksur la droite (OM), v´erifie−−→

ON = 2−−→

OM. Pour construire le point K, on place d’abord N tel que −−→

ON = 2−−→

OM ; le point K est `a l’intersection de la normale `a (H) enM et de la perpendiculaire `a (OM) issue deN.

2. Supposons l’arc Γ de classe C2 bir´egulier, ce qui permettra de consid´erer l’angle α comme param`etre admissible ; enfin, on suppose naturellement que l’arc ne passe pas parO, ce qui permet d’utiliser le th´eor`eme de rel`evement pour param´etrer par l’angleθdes coordonn´ees polaires.

SoitM(x, y) un point de Γ, soit K(ξ, η) le centre de courbure de Γ en ce point. On veut que soit satisfaite la relation −−→

OK·−−→

OM = 2k−−→

OMk2, c’est-`a-dire(R): xξ+yη=x2+y2. Notons (M;−→

T ,−→

N) le rep`ere de Frenet de Γ enM, et soit l’angleα= (−→ i ,−→

T). DeK=M+R−→ N avecR= ds

dα et−→

T =−dx ds

→i +dy ds

→j, on d´eduit que les coordonn´ees du centre de courbure

sont donn´ees par





ξ = x−dy dα η = y+dx dα

. On a donc

(R) ⇐⇒ x

x− dy

+y

y+dx dα

= 2(x2+y2)

⇐⇒ y dx dα−x dy

dα =x2+y2

⇐⇒ y2· d dα

x y

=x2+y2. Passons en coordonn´ees polaires :

(R) ⇐⇒ ρ2 sin2θ· d

dα(cotanθ) =ρ2 ⇐⇒ dθ

dα=−1 ⇐⇒ dα dθ =−1.

Posonsθ=α+V (notation classique ;V est une mesure de l’angle que fait le vecteur tangent

`

a Γ au pointM avec le rayon vecteur−−→

OM, on sait que tanV = ρ

ρ0 avec iciρ0= dρ

dθ). Alors

(R) ⇐⇒ dV

dθ = 2 ⇐⇒ V = 2θ+θ0

⇐⇒ ρ

ρ0 = tan(2θ+θ0) ⇐⇒ ρ0

ρ = cotan(2θ+θ0)

⇐⇒ ln

ρ ρ0

=−1

2 ln|sin(2θ+θ0)|

(5)

⇐⇒ ρ= ρ0

p|sin(2θ+θ0)| .

Les courbes solutions du probl`eme se d´eduisent de l’une d’entre elles par les similitudes de centre O. Il suffit donc de reconnaˆıtre la courbe Γ0 d’´equation polaire(E): ρ= 1

√ sin 2θ. Or,

(E) ⇐⇒ ρ2 sin 2θ= 1 ⇐⇒ (x2+y2) 2xy

x2+y2 = 1 ⇐⇒ 2xy= 1. Les courbes solutions sont donc les arcs d’hyperboles ´equilat`eres de centreO.

EXERCICE 4 :

Soit Γ un arc ferm´e simple de classeC2 bir´egulier, soitr >0. On suppose qu’en tout pointM de Γ, le rayon de courbure alg´ebriqueR v´erifieR≥r. Donner une minoration de la longueur de l’arc Γ. Dans quel cas la minoration obtenue est-elle une ´egalit´e ?

- - - -

Soit l la longueur de la courbe, on peut param´etrer Γ par une abscisse curviligne s d´ecrivant [0, l]. En notant α=α(s) l’angle (−→

i ,−→

t), o`u −→

t est le vecteur tangent unitaire orient´e et c(s) la courbure au pointM(s), on a 0< c(s)≤1

r et Z l

0

c(s) ds= Z l

0

ds ds=α(l)−α(0)∈2πZ, donc

Z l 0

c(s) ds≥2π puisque la fonctions7→c(s) est strictement positive sur [0, l]. Mais on a aussi

Z l 0

c(s) ds≤ l

r, d’o`u l’in´egalit´e l≥2πr.

Si l= 2πr, alors n´ecessairement Z l

0

c(s) ds= 2π= l

r avecc(s)≥1

r sur l’intervalle [0, l], ce qui entraˆıne que R(s) =r : le rayon de courbure est constant. L’arc Γ est alors un cercle de rayonr ; en effet, le centre de courbureK de Γ au pointM(s) v´erifieK=M+r−→

n, donc (puisqueR(s) =r est constant) :

dK ds =dM

ds +rd−→ n ds =−→

t +r −

→t r

!

=−→ 0 :

le centre de courbureK est constant ; il est alors imm´ediat que le support de Γ est le cercle de centre Ket de rayonr.

(6)

EXERCICE 5 :

L’espace euclidien orient´e de dimension trois est rapport´e `a un rep`ere orthonormalR= (O;−→ i ,−→

j ,−→ k).

SoitT letoreobtenu par rotation autour de l’axeOzdu cercleCd’´equations

( y = 0 x2+z2−4x+ 3 = 0. 1.Ecrire une repr´´ esentation cart´esienne deT. En d´eduire une ´equation cart´esienne deT.

2.D´eterminer les plans tangents `a T passant par l’origine.

3. Montrer que l’intersection avec T de l’un quelconque de ces plans est une r´eunion de deux cercles.

- - - - 1.Le cercleCadmet pour ´equations

( y = 0

(x−2)2+z2 = 1, d’o`u le param´etrage





x = 2 + cosθ y = 0 z = sinθ

. Par ailleurs, la rotation rt d’axe Oz et d’angle t (t ∈ IR) admet pour expressions analy- tiques





x0 = xcost−ysint y0 = xsint+ycost z0 = z

. Le toreT est la r´eunion des images du cercle C par toutes

les rotationsrt, d’o`u un param´etrage





x = (2 + cosθ) cost y = (2 + cosθ) sint z = sinθ

.

Pour obtenir une ´equation cart´esienne deT, on ´elimine les param`etrestet θen ´ecrivant que x2+y2+z2= (2 + cosθ)2+ sin2θ= 5 + 4 cosθ ,

ce qui ´eliminet, donc cosθ=1

4(x2+y2+z2−5), puis

(E) 1

16(x2+y2+z2−5)2+z2= 1.

Nous avons ainsi prouv´e que le toreT est inclus dans la surfaceSd’´equation cart´esienne(E).

R´eciproquement, si les coordonn´ees (x, y, z) d’un pointM v´erifie(E), il existe un r´eelθtel que

 1

4(x2+y2+z2−5) = cosθ z = sinθ

, d’o`u l’on tire x2+y2= 5−sin2θ+4 cosθ= (2+cosθ)2,

puis l’existence d’un r´eelttel que

(x = (2 + cosθ) cost

y = (2 + cosθ) sint etSest confondue avecT. Donc (E)est bien une ´equation cart´esienne du toreT.

2.SoitM le point deT de param`etres (t, θ). Un vecteur normal `aT enM est

→N = ∂M

∂t ∧∂M

∂θ =

(2 + cosθ) cosθ cost (2 + cosθ) cosθ sint

(2 + cosθ) sinθ

 , colin´eaire `a

cosθ cost cosθ sint

sinθ

 .

(7)

On v´erifie en effet que tout point est r´egulier, c’est-`a-dire que ce dernier vecteur n’est jamais nul. Une ´equation du plan tangent `aT au pointM est alors−→

N·−−→

M X = 0 (o`uXest le point courant sur la tangente), soit

x−(2 + cosθ) cost

cosθcost+ y−(2 + cosθ) sint

cosθsint+ (z−sinθ) sinθ= 0. Ce plan passe par l’origine si et seulement si

−(2 + cosθ) cosθcos2t−(2 + cosθ) cosθsin2t−sin2θ= 0, soit cosθ=−1

2.

Les points du toreT en lesquels le plan tangent passe par l’origine sont donc situ´es sur deux cercles C1et C2 `a l’intersection du toreT avec les plans horizontaux de cotes

√3 2 et −

√3 2

respectivement, et qui ont pour ´equations











 x = 3

2 cost y = 3

2 sint z = ±

√ 3 2

.

Les plans tangents `a T aux points du cercleC1 ont pour ´equations Pt : xcost+y sint−z√

3 = 0.

On peut remarquer que les plans tangents `aT aux points deC2 sont les mˆemes puisque le plan Pt ci-dessus est tangent `a T au point de param`etres

t,2π

3

sur C1, mais aussi au point de param`etres

t+π,−2π 3

sur C2.

3.Le planPtse d´eduit du planP0 par la rotation d’axeOz et d’anglet, il suffit donc d’´etudier l’intersection du plan P0 : x−z√

3 = 0 avec le tore.

Pour cela, choisissons un rep`ere orthonormalR0 = (O;−→ I ,−→

J ,−→

K) de sorte que les deux premiers vecteurs−→

I et −→

J dirigentP0 ; on peut choisir

→I =−→ j ; −→

J =

√3 2

→i +1 2

→k ; −→ K= 1

2

→i −

√3 2

→k .

La matrice de passage est P =

 0

√3 2

1 2

1 0 0

0 1

2 −

√3 2

, d’o`u les formules de changement de

coordonn´ees











 x =

√ 3 2 Y +1

2 Z y = X

z = 1 2Y −

√3 2 Z

. La courbe intersection du toreT avec le planP0admet

(8)

alors pour ´equations dans le rep`ereR0 :

Z = 0 1

16 3

4Y2+X2+1

4Y2−52

+1

4Y2 = 1, soit, toujours avec Z= 0,

(X2+Y2−5)2−16 + 4Y2= 0 ; (X2+Y2)2−10X2−6Y2+ 9 = 0 ;

(X2+Y2−3)2−4X2= 0 ;

(X2+Y2−2X−3)(X2+Y2+ 2X−3) = 0 :

on reconnaˆıt bien, dans le planP0, une r´eunion de deux cercles, chacun de rayon 2.

Ces cercles sont les cercles de Villarceaudu tore T.

Références

Documents relatifs

Soit F un sous espace vectoriel ferm´ e d’un espace de Hilbert muni d’un produit scalaire h., .i et d’une

COPIL « Gestion des risques de ruissellement » en régions PACA et Occitanie 12/04/2018. Secteurs tests

L'arc de cercle de centre P et de rayon PC coupe son homologue de centre Q et de rayon QB en un point S,sommet de l'arc brisé en tiers-point BSC, situé du même côté que A par rapport

homologue de centre Q et de rayon QB en un point S,sommet de l'arc brisé en tiers-point BSC, situé du même côté que A par rapport à BC. Soit O le sommet du triangle équilatéral

L'arc de cercle de centre P et de rayon PC coupe son homologue de centre Q et de rayon QB en un point S, sommet de l'arc brisé en tiers-point BSC, situé du même côté que A par

Il s’agit d’un pentagone r´

Nota : pour dresser une telle table, il suffit de se rappeler que, dans le plan complexe, les racines n ièmes de l'unité ont pour affixes e 2ik/n , aux sommets d'un n-gone

L'arc de cercle de centre P et de rayon PC coupe son homologue de centre Q et de rayon QB en un point S, sommet de l'arc brisé en tiers-point BSC, situé du même côté que A par