dont jouissent la circonférence du cercle, entre les périmètres des figures planes de même surface, et la surface de la sphère entre les surfaces des corps de même volume
Annales de Mathématiques pures et appliquées, tome 13 (1822-1823), p. 132-140
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I32
GÉOMÉTRIE ÉLÉMENTAIRE.
Démonstration de la propriété de minimum dont
jouissent la circonférence du cercle,
entreles péri-
mètres des figures planes de même surface ,
etla surface de la sphère
entreles surfaces des corps de même volume ;
PROPRIÉTÉ DE MINIMUM
Par
unABONNÉ.
GERGONNE
ON
a vu a la page 61 duprésent volume ,
qiie, même en em-ployant
lespuissans
moyens que fournit la méthode desvariations,
il n’est pas du tout aisé d’établir lapropriété
dontjouit
lasphère
d’être le corps de moindre surface entre tous ceux de même vo-
lume,
ou le corps deplus grand
volume entre tous ceux de mêmesurface. C’est
pourtant
là unepropriété
tellement saillantequ’on
ne saurait
trop
s’efforcerd’en
rendre la démonstration assezsimple
pourpouvoir
l’introduire dans les élémens degéométrie,
et tel est le but que nous nous proposons
ici ; Mais,
comrne lapropriété
dontjouit
le cercle d’être lafigure plane
de moindrepérimètre
entre toutecelle
de mêmesurface,
ou lafigure plane
de
plus grande
surface entre celles de mêmepérimètre ,
a une très-grande analogie
aveccelle-là,
nous nous en occuperonségalement.
Ce
sujet
adéja
été traité à la page 338 du IV.E volume duprésent
recueil;
et si nous y revenons de nouveauici,
c’estuniquement
dansla vue de le
présenter
d’une manièreplus simple.
LEMME 1. De tous les
triangles
de même base etqui
ont leursommet sur une même droite
indéfinie,
celui danslequel
la som-me des deux autres côtés est la moindre
possible,
est celui danslequel
ces deux côtésfont
desangles égaux
avec la droiteindéfinie.
Démonstration. Soient
AB ( fig. I I )
la base commune à tous cestriangles-,
et DE la droite indéfinie sur laquelle
leurs sommets doi-vent être
situés ;
de l’unequelconque
A des extrémités de cettebase soit abaissée sur DE une
perpendiculaire AF , prolongée
au-delàde cette droite d’une
quantité
FG=FA. Enquelque point C
de DE quel’on veuille
placer
le sommet de l’un destriangles
dont ils’agit,
on auratoujours CG=CA ;
doncCA-t-CB
sera la rnoindrepossible, quand CG+CB
sera la moindrepossible ; c’est-a-dirc, lorsque
lepoint C
sera en
ligne
droite avec lespoints
B etG;
mais alors lesangles
BCE et GCD seront
égaux ,
commeopposés
par le sommet ;puis
donc que , par suite de la
construction ,
lesangles
GCD et ACDsont aussi
égaux ;
il s’ensuit que lesangles
ACD et BCD doivent aussi êtreégaux
comme nous l’avons annoncé.LEMME Il. De tous les
trapézes qui
ont baseségales
et mêmehautfur, le trapèze isocèle, c’est-à-dire ,
celui danslequel
les deuxcôtés non
parallèles
sontégaux,
est aussi celui danslequel
la som-me des
longueurs
de ces deux côtés est la moindrepossihle.
Démonstration. Soit
AA’ ( fig. I2 )
la base commune à tous cestrapèzes ,
et soit DE la droite indéfinie surlaquelle
doit se trou-ver l’autre base ;
enportant
lalongueur
de cette dernière sur AA!de AI en
C ,
versA ,
dequelque
manière que l’on pose cette base BB’ surDE ,
on auratoujours BC=B’A’;
d’où il suit que pour queAB+A/BI
soit la moindrepossible ,
il sera nécessaire et il sul1ira queAB+BC
soit elle-mêmela plus petite possible;
donc(
LemmeI. )
lesangles
ABD et CBE devront êtreégaux ;
il ensera donc de même de leurs alternes internes BAC et
BCA ;
on devra donc avoir AB=CB et parconséquent
AB=A’B’. Letrapèze
devra donc être
isocèle
, ainsiqu’il
avait été annoncé.I34 PROPRIÉTÉ DE MINIMUM
LEMME
III.De
toutesles pyramides triangulaires qui
ontpour
base
commune un mêmetrapèze
et danslesquelles
le sommetse troupe
situé
sur une mêmeparallèle
aux côtésparallèles
de cettebase ,
celle danslaquelle
la somme des airesdes faces
latéralesqui
ont pour base les deux côtés nonparallèles
de cetrapèze
est larnoindre possible ,
est celle danslaquelle
lesplans
de ces deuxfacis
sontégalement inclinés
sur leplan
dutrapèze.
Démonstration. Soient AA’ et
BB’ ( fig. I3 )
les deux, côtésparal-
lèles d’un
trapèze,
base commune d’une suite depyramides
qua-drangulaires
de mêmehauteur, ayant
toutes leurs sommets sur une mêmeparallèle
à ces deuxdroites, parallèle
dont nous supposerons que laprojection
sur leplan
de la base de lapyramide soit
CC’coupant
en C et CIrespectivement
les deux côtés nonparallèles
AB et A’B’ de cette base.
Des deux
extrémités
B et BIde l’un BB’
descôtés parallèles
dutrapèze
soient
abaissées
lesperpendiculaires
BD et B/D’ sur la direction du côté-
opposé
AA/. Soientprolongés
les côtés BA et B’A’ au-delà de Aet A’ en E et
E’,
de. telle sorte que CE et C’E’ soientégales à
la
hauteur
commune de toutes nospyramides.
Despoints
E et E’élevons des
perpendiculaires
sur CE etCIEl,
terminées en F etFI
à leur rencontre avec lesperpendiculaires élevées
à CC’ enC-
et
C’ ;
enfin menons la droite FFI.Considérons présentement
une de nospyramides ,
dont le sommetse
projette
aupoint
G deCC’;
menons , par cepoint G, la
droiteKL
perpendiculaire
commune aux deux côtésparallèles
dutrapèze ,
et
conséquemment égale
à BD et B’D’. Menons les droites GF etGFI ,
et abaissons sur les directions de AB et A’B’ lesperpendi-
culaires GH et GH/.
Si
l’onjoint
le sommet dela pyramide
aupoint
H - par unedroite,
cette droite sera évidemment la hauteur de la face laté- rale dont AB est labase ;
cette hauteur sera doncl’hypothénuse
d-7un
triangle rectangle ayant
GH pour l’un des côtés del’angle
droit
etpour l’autre la hauteur de
lapyramide , c’est-à-dire une
longueur égale
àCE ;
de sorte que lahauteur
de cette face trian-gulaire
aura pourexpression
or les
trois triangles rectangles
semblablesBDA,
CEF etGHC
donnentdonc
au
moyen
dequoi
la hauteur de la face latérale dont labase
estAB se trouvera
simplement exprimée
paret par
conséquent
l’airede
cette face aurapour expression
Or ,
comme les circonstances sont absolument les mêmes depart
et d’autre de la droite
KL ,
il s’ensuit que l’aire de la face latérale dont la base est A’B’ devra avoir pourexpression
la somme des aires des deux faces
latérales ayant pour
bases ABet A’B’ aura donc
pour expression
a cause du facteur constant
KL 2 ,
il sera nécessaire etil suffira ;
pour que cette somme soit la moindre
possible,
que la sommeGF+GF’
le soit elle -même,
cequi exigera (Lemme 1 ) que
I36 PROPRIÉTÉ DE MINIMUM
le
point G
soittellement situé
surCC’ que
lesangles FGC
et-
F’GC’
soientégaux
entre eux.Les deux
triangles rectangles FCG
etF/C/G devront donc
êtresemblables ;
de sortequ’on
devra avoirmais les
triangles rectangles
semblablesdéjà employés
donnentmultipliant donc
cesproportions
terme à terme , ilviendra ,
enréduisant
or
par construction,
les deux derniers termes de cetteproportion
sont egaux ;
donc,
on doit avoirGH=GH’ ,
cequi
montre que le.point
G doit être l’intersection deCC’
avec la droitequi divise
en deux
parties égales l’angle
formé par les directions des côtésnon
parallèles AB
et A’B’ dutrapèze,
base de lapyramide.
On voit de
-plus
que lestriangles rectangles
formés par la hau-teur de la
pyramide,
lesperpendiculaires égales
GH et GH’ et leshauteurs
desdeux
faces latéralesayant
pour bases AB et A’B’ serontégaux ;
d’où il suit que lesplans
de ces faces serontégalement
inclinéssur celui de- la base de la
pyramide,
ainsiqu’on
l’avait annoncé.’LEMME IV.
De tous les troncs deprismes triangulaires qui
ont les trois mêmes arêtes latérales et la même section
perpendi-
culaire à leur direction commune, celui dans
lequel
la somme desaires des deux bases est la moindre
possible
est le tronc deprisme triangulaire isocèle, c’est-à-dire ,
celui danslequel le plan qui passe
par les milieux des trois arêtes latérales est
perpendiculaire à leur
direction
commune.Démonstration. Soit
abc ( fig. I4 )
la sectionperpendiculaire
auxarêtes AA’, BB/,
CC’ d’un tronc deprisme triangulaire.
Par l’unC’ des
sommetsde l’une des bases A’B’C’ soit conduit
unplan
03B103B2C
03B103B2C’, parallèle
auplan
de l’autre baseABC ;
ceplan
détachera dutronc une
pyramide quadrangulaire , ayant
pour base letrapèze 03B1A’B’03B2
et devant avoir son sommet en
quelque point
de laparallèle
menéepar le
point c
aux deux bases dutrapèze.
En outre , les deuxtriangles
ACB et 03B1C’03B2 serontégaux ;
de sorte que, la face laté- rale AA’B’B étantdonnée ,
pour que la sommeACB+A’C’B’
des aires des deux bases soit la moindrepossible ,
il sera nécessaire etil suffira que la somme
03B1C’03B2+A’C’B’
des aires des faces latérales de lapyramide , ayant
pour bases les côtés nonparallèles 03B103B2
et A’B’du
trapèze,
soit ia moindrepossible,
cequi exigera (
LemmeIII )
que l’arête CCI soit tellenlent située que les
plans
de ces deuxfaces
soient également
inclinés sur la base de cetrapèze ;
d’oùil résultera que les deux bases ACB et A’C’B’ seront aussi
également
inclinées sur la face latérale ABB’A’.
Ainsi ,
les situations de deux des arêtes latérales du tronc étantdonnées
, la situation de la troisièmequi
rend minimum lasomme des aires des deux bases est celle
qui
rend ces baseséga-
lement inclinées sur lue
plan
des deux autresarètes ;
d’où il suitque, pour que la somme des aires de ces bases soit un minimum
absolu ,
il faut que leursplans
soientégalement
inclinés sur celuide chacune des trois faces
latérales ;
orc’est ce à quoi
onparvient
évidemment en
plaçant
les milieuxa , b , c
des trois arêtesAA’, BB/, CCI
sur leplan
de la sectionperpendiculaire
à leur direction com- mune ou, en d’autres termes, en rendant le tronc isocèle.THÉORÈME
7. Entre toutes lesfigures planes de
mêmesurface ,
le l
celle qui a le
moindrepérimètre.
Démonstration. Si l’on nie cette
proposition ,
il faudra admettreque,
parmi les figures planes
d’une même étenduedonnée ,
cellede moindre
périmètre
est autre que lecercle ;
et que c’est parconséquent
unefigure
danslaquelle
on pourra trouver denx cordesparallèles,
infinimentvoisines , qui
n’auront pas leurs milieux sur une mêmeperpendiculaire
à leurdirection
commune.Tom. XIII. 20
I38 PROPRIÉTÉ DE MINIMUM
Soit
AA’ ( fig. I5 )
une de cescordes,
et soit MN laperpendi-
culaire indéfinie menée à sa direction par son
milieu a ;
soit BB’la corde consécutive à
AA’, ayant
son milieu b hors deMN ;
sil’on fait
glisser
cette cordeBB’ , jusqu’à
ce que son milieu se trouvesur cette
droite,
en faisant suivre le mouvement à toute lapartie
intérieure de la
figure ;
sa surface totale n’en auraéprouvé
aucunchangement,
mais la sommeAB+A’B’
etconséquemment
lepéri- mètre ( Lemme II )
seradevenu moindre ;
d’où l’on conclura que la surfaceproposée
n’est pas celle de moindrepérimètre,
entretoutes celles
qui
lui sontéquivalentes.
Corollaire. Il suit de là
qu’entre
toutes les surfacesplanes
de mêmepérimètre,
le cercle est celle deplus grande
étendue.Supposons
en effet que l’on
prétende
que la surface de moindreétendue,
sous un
périmètre
donnéP,
soit une surface S différente d’un cercle, Soit fait un cercle Céquivalent
àS ;
sunpérimètre Q,
par cequi précède ,
seraP ; donc,
si l’on fait un cercle CI dont lepéri-
mètre soit
= P ,
ce cercle aura une surfaceplus grande que C
etconséquemment plus grande que S ;
d’où il résulteraque S
ne serapas la
plus grande
surface contenue sous lepérimètre P,
commeon l’avait d’abord
supposé.
THÉORÈME
Il. De toutes lescourbes planes qui , ayant
unecorde commune ,
enferment
le même espace entre elles et cettecorde ,
l’arc de cercle est celle dé moindrelongueur.
Démonstration. Admetions
qu’il
n’en soit pas ainsi. Soit l’arc de cercle A et un arc d’une autrecourbe,
d’unelongueur CA
en-fermant le même
espace S,
et soit achevée la circonférence.Sup-
posons
que lalongueur
dusurplus
soitL ,
etqu’elle
enferme unespace
1;
nous aurions ainsi un mêmeespace S+T renfermé
d’unepart
par une circonférence dont lalongueur
seraitA+L,
et d’uneautre
par
une courbe non circulairedont
lepérimètre
seraitC+LA+L,
ce
qui
estimpossible (
Théoréme 1).
Corollaire. Par un raisonnement tout
semblable à celui dont
nousI39
avons fait usage dans le
précédent corollaire ,
on démontreraqu’à
renverse entre tons les arcs de courbes de môme
longueur qui
ontune corde commune , l’arc de cercle est celui
qui
renferme leplus grand
espace entre lui et sacorde.
THÉORÈME
III. Entre tous les corps de mêmerolume ,
lasphère
est celuiqui a
la moindresurface.
Démonstration. Si l’on nie cette
proposition,
il faudra admettre que ,parmi
tous les corps d’un même volumedonné,
celui demoindre surface est autre que la
sphère ,
et que c’est par consé-quent
un corps danslequel
on pourra trouver trois cordesparal-
lèles infiniment
voisines
aumoins,
non situées dans un mêmeplan,
dont les milieux ne soicm pas dans un même
plan perpendiculaire
à leur direction commune.
Soit c ( fig. I6 )
le milieu d’unecorde ,
et soit leplan
de lafigure
unplan
conduit par cemilieu
,perpendiculairement
à sadirection ; soient a , b
lespoints
où ceplan
estpercé
par deuxautres cordes
parallèles
à celle-làqui
en soient infiniment voisineset
qui
ne soient pas situées dans le mêmeplan
avecelle ;
et sup-posons
que ces deux nouvelles cordes n’aientpoint
leurs milieuxen a et b. Concevons le
plan
de lafigure partagé
en un réseaude
triangles
infinimentpetits
par les sommetsdesquels
soient menéesdes cordes
parallèles
aux troispremières ;
ces cordes seront lesarêtes latérales d’une suite de tronos de
prismes triangulaires
dontnos
triangles
seront des sectionsperpendiculaires
aux arêtes.Cela
posé,
on pourra faireglisser
les cordes ou arêtesqni passent
par a
et b , jusque
cequ’elles
aient leurs milieux en cespoints.
Enopérant
ainsi deproche
enproche
sur toutes celles des autres cordesqui
n’auront pas leur milieu sur notreplan, jusqu’à
cequ’on
lesait amenées à
les y
avoir toutes , on n’aurapoint change
le volume du corps dont il
s’agit ,
tandisqu’on
enaura (
LemmeIV )
diminué
lasurface ;
d’où l’on conclura que cette surface n’étaitpas
la moindre de toutes cellesqui pouvaient
contenir le volume donné.140 PROPRIETÉ
DEMINIMUM
DUCERCLE
ET DE LASPHERE.
Corollaire. Il suit de là
qu’entre
tous les corps de mêmesurface,
la
sphère
est celui duplus grond
volume.Supposons,
eneffet ,
que l’onprétende
que le volume de moindreétendue ,
sous une surfacedonnée
S
soit un volume V différent de lasphère.
Soit faite unesphère 03A3 équivalente à V,
sa surface SI sera , par cequi pré-
cède
S ; donc,
si l’on fait unesphère
03A3’ dont la surface soitégale à S
cettesphère
aura un volumeplus grand que 03A3 ,
etconséquemment >V ;
d’où il résulteraitque V
ne serait pas leplus grand
volume contenu sous lasurface S ,
ainsiqu’on
l’avaitsuppose.
THÉORÈME
IV. De toules lessurfaces
courbesqui ,
se fer-minant à une même
circonférence
decercle renferment
le mêmevolume entre elles et le
plan
de cecercle
la calottesphérique
est celle de moindre étendue.
Démonstration.
Supposons qu’il
n’en soit pas ainsi. Soit la calottesphérique C
et une autresurface SC
enfermant le même volume V et soit achevée lasphère. Supposons
que la surface dusurplus
soit C’ enfermant un
volume V’ ;
nous aurions donc ainsi un même volumeV+V’
enfermé d’unepart
par une surfacesphérique C+C’ ,
et d’une autre par une surface moindre
S+C’,
cequi
estimpos- sible ( Théorème III ) (*).
Corollaire. Par un raisonnement tout semblable à celni dont nous ayons fait usage, dans le
précédent corollai-re ,
on démontreraqu’à
rinverse de toutes les surfaces courbes de même
étendue ,
terminéesA une même circonférence de
cercle,
la calottesphérique
est cellequi
enferme leplus grand volume
entre elle et ce cercle.(4) Ceci
explique
enparticulier, pourquoi
les bulles de savon sont sensi- blementsphériques ;
elles le seraientrigoureusement
si elles étaient partout d’uaeépaisseur uniforme
, et si la pesanteur n’existait pas.J. D.