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ÉTUDE, PAR SPECTROSCOPIE INFRAROUGE, DES TROIS FORMES CRISTALLINES DE LA SULFANILIDE p. NH2-C6H4-SO2NH2

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00213088

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00213088

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ÉTUDE, PAR SPECTROSCOPIE INFRAROUGE,

DES TROIS FORMES CRISTALLINES DE LA

SULFANILIDE p. NH2-C6H4-SO2NH2

Mme Vincent

To cite this version:

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d'amortissement de l'oscillateur fondamental, avec la température, indique une diminution de l'anharmoni- cité du cristal.

Les fréquences des phonons des bords de la zone de Brillouin s'obtiennent en observant les processus d'absorption faisant intervenir deux ou plus de ces phonons. On a pu ainsi obtenir les fréquences de dix de ces phonons sur un total de 12, ce qui permet de donner une image qualitative des courbes de disper- sion d'un cristal à structure wurtzite.

DISCUSSION

M. NADNI.

-

Comment repérez-vous la tempéra- ture de l'échantillon cristallin qui n'est pas dans une enceinte adiabatique ? C'est un problème difficile que nous n'avons pas encore résolu au laboratoire.

M. LE TOULLEC.

-

On mesure la température en soudant un thermocouple sur l'échantillon lui-même. On compare la température à celle du liquide orga- nique. Avec de l'azote liquide, par exemple, on obtient une température de 89 à 90 "K pour l'échantillon.

M. TEISSIER DU CROS. - Ces résultats éclairent-ils la structure du spectrè de fluorescence du cristal de CdS à très basse température, signalée par Ewles et Kroger, et dont l'origine restait encore débattue ?

M. BENOIT A LA GUILLAUME.

-

Dans quelle mesure l'analyse de l'intensité des diverses bandes en fonction de T est-elle rendue difficile par un recouvrement partiel entre ces bandes ?

M. BALKANSKI. - Le recouvrement partiel des bandes ne gêne pas trop l'analyse de l'intensité de ces bandes en fonction de T.

ÉTUDE, PAR SPECTROSCOPIE INFRAROUGE,

DES TROIS FORMES CRISTALLINES DE

LA

SULFANILIDE

P. NH2-C6H4-S02NH2

Mme J. VINCENT

Laboratoire de Recherches physiques. Département infrarouge. Sorbonne

On propose ici une nouvelle méthode de déter- mination des constantes optiques de cristaux, à l'inté- rieur de leurs fortes bandes d'absorption infrarouge. On mesure, à cette fin, le facteur de réflexion d'une surface du cristal, d'abord nue, puis successivement recouverte de deux couches minces d'un diélectrique d'indice connu et d'épaisseurs e et 2 e. Un calcul très simple permet d'exprimer les constantes optiques du cristal A partir d'une combinaison de ces trois facteurs de réflexion.

La méthode a été appliquée aussi à deux carbonates uniaxes taillés perpendiculairement à l'axe, la sidérite (FeCO,) et la smithsonite (ZnCO,).

DISCUSSION

André KAHANE.

-

Quelle épaisseur doit-on donner aux couches déposées sur le cristal ?

Mme VINCENT.

-

Ne pas dépasser pour la couche double, une couche quart d'onde.

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