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Sur l'évaluation de la moyenne par rapport aux états de polarisation dans les processus comportant des émissions ou absorptions de corpuscules de spin ħ. Application aux effets Compton électromagnétiques, mésiques et photomésique

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(1)

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ou absorptions de corpuscules de spin ħ. Application

aux effets Compton électromagnétiques, mésiques et

photomésique

Gérard Petiau

To cite this version:

(2)

SUR

L’ÉVALUATION

DE LA MOYENNE

PAR

RAPPORT AUX

ÉTATS

DE POLARISATION DANS LES PROCESSUS

COMPORTANT DES

ÉMISSIONS

OU ABSORPTIONS DE CORPUSCULES DE SPIN 0127.

APPLICATION AUX EFFETS COMPTON

ÉLECTROMAGNÉTIQUES,

MÉSIQUES

ET

PHOTOMÉSIQUE

Par GÉRARD PETIAU. Institut Henri

Poincaré,

Paris.

Sommaire. - Démonstration directe et extension d’une formule de R. P.

Feynman sur l’évaluation de la moyenne par rapport aux états de polarisation dans les processus comportant des émissions ou absorptions de quanta réels de spin 0127 et de type vectoriel. Application au calcul des sections efficaces de diffusion de l’effet Compton électromagnétique et des effets Compton généralisés mésiques, photo-mésiques et mésophotoniques.

1. Dans sa théorie

générale

des interactions

électromagnétiques,

M. R. P.

Feynman [1]

]

a

intro-duit une méthode

remarquable

permettant

d’effec-tuer, dans le calcul

covariant,

des sections efficaces des

processus’

comportant

des émissions ou

absorp-tions de

quanta

électromagnétiques,

l’évaluation des moyennes sur les états de

polarisation

des

quanta

émis ou absorbés.

Il en a

conclu,

en

particulier,

que le

concept

de

lumière non

polarisée

peut

être considéré comme

invariant du

point

de vue relativiste.

Nous allons montrer ici que les résultats de

M.Feyn-man se

transposent,

se

précisent

et se

complètent

dans le cas où les

quanta

émis sont des

photons

satisfaisant aux

équations

de la théorie de ~I. Louis

de

Broglie

[2]

ou des mésons de

type

vectoriel. Nous

appliquerons

ensuite les résultats obtenus au cas de l’effet

Compton

électromagnétique

et aux

effets

Compton mésiques

et

photomésiques.

Considérons un

phénomène

résultaiit d’une suite

d’émission ou

d’absorption

de

quanta

réels

appar-tenant à des

champs

en, ... neutres, par

des

corpuscules

de Dirac de

spin il- ,

soient

A,

B,

C,

....

2

Nous

représenterons

les

quanta

des

champs

CI, dm, ... par des ondes

planes

d’énergies, impulsions

et masses réduites

A

chaque

processus élémentaire d’émission ou

d’absorption

d’un

quantum

de

champ correspond

un élément de matrice

qui,

pour la transition d’un

des

corpuscules,

soit A entre les états d’ondes

planes

avec émission ou

absorption

du

quantum kL

(L= 1,

m, n,

.. , )

s’écrit

ÚJL étant un invariant construit sur les matrices de

Dirac caractérisant le

corpuscule

A que nous

préci-serons

plus

loin.

Les gL

sont des constantes de

couplages

entre

champs

et

corpuscules,

telles que les

charges

électriques

dans le cas

électromagnétique.

Désignant par P

L,

M, N, ...)

B une

permuta-(l,

> n, ...

tion des indices

l,

m, n, ..., 1 l’élément de matrice

du processus

global

s’écrit en nous bornant pour

simplifier

l’écriture,

à une suite de trois émissions

ou

absorptions

~~, EM, EN étant

égaux

à + 1

ou -

i, suivant que le

quantum

ki, km, kn

correspondant

est émis ou

absorbé.

Les indices

(p,

q,

... ),

(p’,

q’, ... )

caractérisent des états intermédiaires pour

lesquels

il

n’y

a pas, en

général,

conservation de

l’énergie,

celle-ci n’étant

conservée que dans le processus

global,

ce

qui

nous

donne la relation

Au

contraire,

la

quantité

de mouvement est

conservée au cours de la suite des processus

élémen-taires,

d’où les relations

(3)

l’élément de matrice

(2)

s’écrit encore

Le calcul de la section efficace de réalisation du

phénomène

considéré conduit à l’évaluation de

j ,H’~’’ ;2 qui

se

ramène,

par la méthode de

Casimir,

au calcul d’une somme de traces de matrices que

nous écrivons

symboliquement

1B(-B),

désignant

des matrices que nous n’avons

pas besoin

d’expliciter

ici.

Dans le cas où le

quantum

de

champ

Ci,

émis ou

absorbé,

est de

type

électromagnétique

ou

mésique

vectoriel,

cette émission ou

absorption

peut

s’effec-tuer suivant trois

types

de

quanta :

deux

quanta

transversaux, un

quantum longitudinal.

Nous dési-gnerons par ni,

ni, nï

trois vecteurs unités formant

un

trièdre,

ni étant

dirigé

suivant la direction de

propagation

du

quantum,

ki,

n)

et

ni

lui étant

per-pendiculaire.

Nous avons ainsi

Suivant le formalisme de la théorie du

photon

ou de la théorie du méson

vectoriel,

les éléments de matrice

(1)

pour l’émission ou

l’absorption

de Ci

La masse propre réduite du

corpuscule

de

champ

est infiniment

petite

dans le cas du

photon

suivant la théorie de M. L. de

Broglie,

elle

corres-pond

à la masse du méson dans le cas où le

corpuscule

de

champ

Ci est un méson vectoriel.

Pour chacun de ces trois

types

de

quantum,

ou

Lg,

nous avons une

expression

de

H’ ~ ~’

12

de la forme

(6),

~~~A~,

étant les mêmes pour les trois cas.

Nous

prendrons

la valeur moyenne sur les trois

états de «

polarisation »

en considérant les trois

types

d’émission comme

indépendants

et

également

probables,

ce

qui

nous conduit à évaluer la somme

Introduisant dans cette somme

l’expression (6)

et les éléments de matrice

(8),

on obtient

Développant

le second terme et

remarquant

que

on obtient en

regroupant

les termes à l’aide de la relation

Nous écrirons encore cette

expression

Posant

on voit que le

premier

terme

correspond

à la consi-dération de l’élément de matrice d’émission vectoriel

et

(4)

Nous allons montrer en suivant un raisonnement

identique

à celui de

Feynman

que l’on a ici

Pour

cela,

nous introduisons

l’expression

dans l’élément de matrice

développé

(5).

Remarquons

que, tenant

compte

de

(3)

et

(4),

l’on a

et

remplaçant

dans

(5),

on obtient

Effectuant la sommation sur les états

intermé-diaires p,

p’,

q,

qui

ne

figurent

plus

aux

dénomina-teurs, on voit immédiatement que cette somme est nulle.

_____

Il reste

donc,

pour la moyenne

H’ ~" i2

sur les

trois états de

polarisation,

l’expression

donnée par M.

Feynman

dans le cas de

l’électro-magnétisme classique

et que nous retrouvons ici directement en théorie du

photon

ou du méson vectoriel en introduisant

l’expression explicite

des

ondes

longitudinales.

Toutef ois,

le raisonnement ci-dessus considère les

quanta

Cl

appartenant

à des

champs

de

type

« pur », c’est-à-dire tels que l’émission ou

l’absorp-tion d’un

quantum

de

champ

ne modifie pas la masse propre ou

l’énergie

interne du

corpuscule

qui

l’émet ou l’absorbe.

Dans le cas

contraire,

qui

est le cas

général,

nous devons considérer que les masses propres

corres-pondant

aux états intermédiaires d’indices p,

p’,

... ,

c~, q’,

... sont distinctes des masses propres initiales

ou

finales,

lui, ~;.

Nous écrirons alors que l’émission ou

l’absorption

du

quantum

1~l fait passer le

corpuscule

A de l’état

(Kp,

up)

à l’état

avec la variation de masse propre

(Ei=

+ i ou -

i, suivant

qu’il

y a émission ou

absorption

de

Ci).

ai

caractérisera la liaison du

champ

Ci et du

corpuscule

A. Dans le cas de

champ

« pur ~~,

01 ==

o. Dans le cas d’émission « interne »,

81.

Dans ces

conditions,

nous ayons, au lieu des relations

(20)

s’exprime

maintenant par une somme de deux

expressions.

La

première,

identique

à celle du cas

précédent,

est nulle.

La seconde nous redonne

l’expression

de H’ (1;

avec, pour mi, le terme

ce

qui

revient à considérer l’élément de matrice d’émission ou

d’absorption

correspondant

à un

potentiel

de

type

scalaire associé

à l’invariant

corpusculaire

(ex,,)

et non

plus

au

quadrivecteur

courant

(1),

(a).

Dans le cas

général,

la moyenne sur les

polari-sations conduit donc à

ajouter

un terme

¡2,

qui

ne s’élimine pas, au terme vectoriel de la forme

(16),

considéré seul par

Feynman.

Les éléments de matrices d’émission ou

d’absorp-tion considérés en

(8)

correspondent

à l’interaction

s’exerçant

par le

couplage

corpuscule-potentiel

quadri-vecteur du

champ

vectoriel. Dans la théorie du

(5)

Considérons le cas des interactions en

f

seules. La moyenne

(9)

sur les ondes

longitudinales

et

transversales s’écrit d’une

façon

analogue

à

(10)

Or,

nous avons les relations

Regroupant

les termes de

(29),

il reste alors

Si l’on pose

nous avons

et l’on voit immédiatement que

(32)

s’écrit

.

Par

suite,

nous

obtenions ! I~’ ~1’ ~2

en évaluant

l’expression

avec

H’ (1 B

construit avec l’élément de matrice

Nous voyons que, dans ce cas, la méthode

de sommation sur les états de

polarisation

de

Feynman

se

généralise

sans difficultés et sans

faire intervenir de terme

supplémentaire.

Dans le cas d’intervention simultanée des termes en gl et

fi,

l’on est conduit à

considérer,

dans

(29),

des termes de la forme

qui

s’écrivent encore

après

remaniements’

*

Posant encore

on voit immédiatement que se met sous

la forme

(36),

H’ 1’,,

étant construit avec les éléments

de matrices

2. Nous allons maintenant

appliquer

la théorie

générale

ci-dessus au cas de l’effet

Compton

élec-tromagnétique

et des effets

Compton généralisés

mésiques,

photomésiques

et

mésophotoniques.

Nous considérons un

corpuscule

libre

(A)

de

spin

décrit par les solutions de

l’équation

d’ondes de

Dirac,

initialement dans un état

(Ao) d’énergie,

impulsion

et masse propre réduites

I~.,o,

K.,o,

=

Klo

+

représenté

par l’onde

plane

à

énergie positive

d’amplitude

u~ ,

normée dans le volume unité. Ce

corpuscule,

d’une

part

absorbe un

quantum

Co représenté

par l’onde

plane

de

paramètres k,, ko, !-Lo (k)

=

k~

+

p.~)

d’un

champ

C,

constitué par des

corpuscules

de

spin

o

ou h

(photons

ou

mésons),

neutres ou

chargés

et,

d’autre

part,

émet un

quantum Ci représenté

par

l’onde

plane

de

paramètres kl,

k1,

(k2-

ki

+

(6)

iden-tique

ou non au

premier.

Le

corpuscule (A)

se

trouve finalement dans l’état

(Al)

de

paramètres

KA1’ KA1’

représenté

par

l’onde

plane

à

énergie positive

Dans le processus

global,

il y a conservation de

l’énergie

et de la

quantité

de mouvement, d’où les relations

Selon notre discussion

générale,

nous n’admettrons pas, a

priori,

la conservation de la masse propre du

corpuscule (A),

ni dans le processus

global,

ni dans

les états intermédiaires.

Nous admettrons que

l’absorption

de

Co

augmente

la masse propre réduite de

(Ao)

d’une

quantité

ôo,

tandis que l’émission de

G’1

la diminue d’une

quan-tité

6,,

les différences po

- 00’

ô1

étant

ana-logues

à des

énergies

de liaison.

Le cas

électromagnétique

se caractérisera par la

condition de masse propre évanescente pour les

corpuscules

de

champs,

soit

Dans le cas

général,

nous aurons, dans le processus

global,

-

-En

général,

l’état final

(A,)

pourra être obtenu par deux processus. Dans le

premier,

il y a d’abord

absorption

de

C,,

(A)

passe de l’état initial

(Ao)

à

l’état intermédiaire

(A’),

avec

puis

émet

CI

pour se trouver finalement dans l’état

(A,).

Dans le

second,

il y a d’abord émission

de

CI, (A)

passant

de

(Ao)

à l’état intermédiaire

(Ali)

uA" avec

Nous

désignerons

par

les constantes de

couplage

du

corpuscule (A)

dans les états

(A,), (A’), (A")

avec les

champs

do

et

el,

Dans le cas de

champ

« neutre a~, c’est-à-dire tel que

l’émission ou

l’absorption

de

Co

ou de

CI

ne modifie

pas la

charge électromagnétique

ou

mésique

de

(A),

nous avons a = b = i.

-Avec les notations introduites

ci-dessus,

l’élément de matrice du processus

global

s’écrit

Nous poserons

et nous introduirons les notations covariantes

Nous avons alors

L’élimination de

KA,

et de introduit les dénominateurs

L’élément de matrice

(46)

se ramène à la forme

La section efficace de diffusion

Compton

géné-ralisée

correspondant

à l’émission du

quantum

Ci

dans

l’angle

solide

d Qk1

autour de la direction

kl’

le

corpuscule (A)

étant

projeté

dans la direc-tion

K~1

a pour

expression

Le calcul de

(S)

ou

de ~

H’

t1’ ’i2

s’effectue sans

difplculté par la méthode des traces de Casimir

[3].

(7)

Nous donnerons ci-dessous les

expressions

complètes

de S pour divers

types

d’interaction en

effectuant pour les interactions vectorielles les

moyennes sur les états de

polarisation

par la méthode

de

Feynman généralisée

que nous avons

développée

ci-dessus.

Pour faciliter

l’écriture,

nous noterons par eo, el, les.vecteurs «

polarisations

» transversaux

désignés

par

n~

ou

n§ , ni

ou

n‘1

antérieurement.

Nous avons donc

Dans le cas d’une interaction vectorielle

transver-sale nous aurons

pour une interaction scalaire

pour une interaction

pseudoscalaire

Nous noterons S

(eo,

l’expression

de S

corres-pondant

aux

polarisations

eo, el; par S

(eo,

el)’

résultat des moyennes

effec-tuées sur eo et el; par

S( e,o ,

;’-111)’ s( --¡¡(O , el),

le résultat des moyennes effectuées

s

aj),

avec a4 ou a3 les fonctions S

cor-respondant

au cas de l’émission

CI

scalaire ou

pseudo-scalaire.

Pour

simplifier

l’écriture des termes de S nous

remarquerons que les différents covariants

qui

s’introduisent dans leurs

expressions

se ramènent à des formes

simples

si l’on y introduit les

dénomi-nateurs

Do

et

Dl

définis en

(50).

Nous avons, en

effet,

Selon la théorie

générale

ci-dessus,

au cas où les

champs C,

et

Cl

sont tous deux

vectoriels,

corres-pondent

les fonctions S

avec

Cette formule se

simplifie

notablement dans le cas

des

champs

neutres pour

lesquels

a = b = 1.

Dans le cas

photonique

pour

lequel

on obtient la formule de Klein-Nishina

généralisée [4]

tenant

compte

du mouvement du centre diffuseur

avec 1

Si,

de

plus,

le

corpuscule A

est initialement au

(8)

Pour et S

(eo,

CX4)’

nous obtenons successivement

et

qui

se réduit dans le cas neutre à

Dans le cas où les

champs

eo

et

Cl

sont

électro-magnétiques

et où l’on effectue la moyenne sur la

polarisation

el

seule,

l’on a

Si,

de

plus,

l’on a

Pour

S

-,D

"

a~n ~~

s

cx.~),

S

(cx.!~,

cx.!~),

nous obtenons

(9)

Dans le cas

électromagnétique,

on a

Dans cette

expression,

ne

figure

aucun élémen t

angulaire

et cette formule semble distincte de celle donnée par M.

Heitler,

mais si nous posons

nous avons, à

partir

de

qui

se réduit ici à

d’où

nous retrouvons ici la formule de Heitler.

Lorsque

le

champ

(:0

est de

type

vectoriel,

le

champ

Cl

étant de

type pseudoscalaire,

nous avons

les fonctions S

(10)

Dans le cas

photomésique pseudovectoriel

neutre

(e 0

électromagnétique,

éB

pseudoscalaire),

ces formules se réduisent aux

expressions

Dans le cas où le

champ

eo

est du

type

vectoriel,

le

champ

C,

étant du

type

mésique

scalaire,

nous avons les fonctions S

déjà

données par les

expressions (64), (70), (71).

Dans le cas

photomésique

neutre

(eo

électro-magnétique,

Cl

mésique scalaire),

ces formules se

réduisent aux

expressions

Nous remercions 1B1. le Professeur Louis de

Broglie

pour la bienveillante attention

qu’il

a bien voulu

accorder à ce travail.

Manuscrit reçu le 22 octobre 1951.

BIBLIOGRAPHIE.

[1] FEYNMAN R. P. 2014

Phys. Rev., I949, 76, 780. [2] DE BROGLIE L. -

Voir, par exemple, Mécanique ondula-toire du photon et Théorie quantique des champs, Paris.

I949.

[3] CASIMIR H. - Helv.

Phys. Acta, I933, 6, 287; HEITLER W.

2014 The quantum Theory of Radiation, p. I50; PETIAU G. 2014 J. Physique Rad., I95I, 12, 565.

[4] KLEIN O. et NISHINA Y. 2014 Z.

Physik, I929, 52, 853;

HEITLER W. 2014 The quantum Theory of Radiation,

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