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Academic year: 2022

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Texte intégral

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LA POLARISATION

Ce n’est qu’au XIXeme si `ecle qu’on d ´ecouvrit la polarisation de la lumi `ere.

Cependant `a l’ ´epoque de Newton, on connaissait d ´ej `a un ph ´enom `ene d ˆu `a la polarisation : l’existence de cristaux dits bir ´efringents (tel le spath d’Islande) qui ont la propri ´et ´e de r ´efracter un seul rayon en 2 rayons distincts. Aujour- d’hui nous savons que les 2 rayons r ´efract ´es par un tel crystal sont polaris ´es lin ´eairement dans des directions mutuellement perpendiculaires.

Il a fallu attendre le d ´ebut du XIXeme si `ecle, les travaux de Fresnel et de Young pour interpr ´eter la bir ´efringence comme une preuve que la lumi `ere est une onde transversale.

La polarisation s’explique par le fait que la lumi `ere est une onde trans- versale.

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Polarisation lin ´eaire

Revenons au cas d’une onde se propageant sur une corde. Une telle onde peut le faire dans un plan vertical (droite) aussi bien que dans un plan horizontal (gauche). Dans les 2 cas, on dit que l’onde est polaris ´ee lin ´eairement, ce qui signifie que les oscilla- tions se font uniquement dans un plan, appel ´e plan de polarisation. Une telle onde peut pas- ser `a travers une fente verticale si elle est po- laris ´ee verticalement, une onde polaris ´ee ho- rizontalement ne le pourra pas.

Nous avons vu que pour les ondes EM, le champ ´electrique E~ oscille et est orthogonal `a la direction de propagation. Si E~ oscille dans un plan fixe, l’onde est polaris ´ee lin ´eairement.

Dans une onde EM polaris ´ee lin ´eairement, c’est la direction du vecteur champ ´electrique E~, qu’on prend pour la direction de polarisation.

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Polarisation circulaire

Les vecteurs E~ et B~ tournent autour de la direction de propagation z et leur extr ´emit ´e d ´ecrit un cercle sur un plan perpendiculaire ; on dit que l’onde est polaris ´ee circulairement.

L’exemple familier est le mouvement d’une corde `a sauter.

Dans la figure, la lumi `ere est polaris ´ee

`a droite : un observateur regardant la source voit E~ tourner dans le sens des aiguilles d’une montre. E~ reste constant en module mais tourne tout en progressant, effectuant un tour complet pour chaque parcours ´egal `a une longueur d’onde.

Dans la suite, nous n’allons pas consid ´erer ces polarisations circulaires.

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Lumi `ere naturelle

La lumi `ere n’est pas forc ´ement polaris ´ee.

Chaque atome ´emet un train d’ondes qui dure moins de 10−8s, et toutes ces ondes n’ont aucune corr ´elation de phase ou d’orientation. Le champ r ´esultant, en une position donn ´ee de l’espace, est la somme g ´eom ´etrique de tous ces trains d’ondes : il change donc constamment.

Ainsi la lumi `ere naturelle est un m ´elange al ´eatoire et tr `es rapidement va- riable d’ondes lin ´eairement polaris ´ees dans toutes les directions.

En regardant vers la source, on observe un champ, E~, r ´esultant qui oscille dans une certaine direction durant une fraction de p ´eriode puis saute brus- quement `a une nouvelle direction al ´eatoire tout en restant perpendiculaire `a la direction de propagation.

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Lumi `ere naturelle

Le vecteur champ ´electrique, E~, d’une onde peut ˆetre d ´ecompos ´e en 2 composantes perpendiculaires l’une `a l’autre, E~x et E~y si l’onde se pro- page dans la direction z. Ces 2 com- posantes changent `a tout moment lorsque E~ varie. Le r ´esultat `a tout ins- tant est un champ horizontal total et un champ vertical total.

Nous pouvons donc consid ´erer la lumi `ere non polaris ´ee comme la superposition de 2 ondes pola- ris ´ees lin ´eairement, dans 2 direc- tions transversales orthogonales, mais qui varient rapidement et al ´eatoirement.

Comme la lumi `ere naturelle est un m ´elange al ´eatoire d’ondes lin ´eairement polaris ´ees dans toutes les directions, la somme des composantes selon x et celle des composantes selon y sont, en moyenne, ´egales.

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Polariseurs

Un polariseur est un dispositif qui transforme la lumi `ere naturelle en lumi `ere polaris ´ee.

La lumi `ere naturelle tombe sur un polariseur lin ´eaire. L’axe de transmission du polariseur est inclin ´e d’un angle θ ; seule la composante du champ ´electrique parall `ele `a l’axe de transmission est transmise, la composante perpendiculaire est absorb ´ee.

Si un faisceau de lumi `ere naturelle d’intensit ´e Io tombe sur le polariseur, un faisceau de lumi `ere polaris ´ee lin ´eairement d’intensit ´e Io/2 est trans- mis ; la quantit ´e de lumi `ere transmise ne d ´epend pas de l’orientation de l’axe du polariseur.

I1 = Io

2 R `egle de moiti ´e On ne peut utiliser cette formule que lorsque la lumi `ere qui atteint le polariseur est non polaris ´ee.

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Polariseurs

Supposons maintenant que cette lumi `ere d ´ej `a polaris ´ee atteigne un polariseur dont l’axe de transmission est vertical (x). On peut d ´ecomposerˆ E~1 en ses 2 composantes par rapport `a cet axe. Seule la composante parrall `ele `a l’axe de transmission sera transmise, soit

E1x = E1 cosθ

Comme l’intensit ´e est proportionnelle au carr ´e de l’amplitude du champ

´electrique associ ´e `a cette onde (voir page 22-16), l’intensit ´e des ondes

´emergente, I2, et initiale,I1, sera

I2 ∝ E1x2 ∝ E12 cos2 θ et I1 ∝ E12 On peut ´ecrire que I2/I1 = cos2 θ, soit

I2 = I1 cos2 θ = Io

2 cos2 θ Loi de Malus En faisant tourner lentement

l’analyseur, on fait varier l’in- tensit ´e transmise : si polari- seur et analyseur ont leurs axes orthogonaux, la lumi `ere transmise est nulle.

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Exemple : loi de Malus

Un faisceau de lumi `ere non polaris ´ee d’intensit ´e 1000 W/m2 tombe sur un polariseur id ´eal et lin ´eaire dont l’axe de transmission est vertical. La lumi `ere est analys ´ee `a l’aide d’un deuxi `eme polariseur lin ´eaire id ´eal et on trouve que l’intensit ´e finale ´emergente est de 250 W/m2. (a) Quelle est l’intensit ´e lumineuse qui ´emerge du premier polariseur ? (b) Quelle est l’orientation du 2eme polariseur ?

SOLUTION : (a) Si la lumi `ere naturelle tombe sur le 1er polariseur avec une intensit ´e Io, il ne transmet que I1 = Io/2 = 500W/m2.

(b) Comme le 2eme polariseur laisse passer I2 = 250W/m2, d’apr `es la loi de Malus nous obtenons que

cos2 θ = I2

I1 = 0, 5

et θ = 45. L’axe du 2eme polariseur est inclin ´e de 45 par rapport `a la verti- cale.

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Diff ´erents type de polariseurs

1. Grille de fils parall `eles

Consid ´erons une grille de fils conduc- teurs et k s ´epar ´es par une distance inf ´erieure `a λ. La composante de E~ k aux fils d ´eplace les ´electrons libres dans les fils. Il en r ´esulte un courant oscillant le long de chaque conducteur qui dissipe une partie de l’ ´energie de l’onde par effet Joule. En m ˆeme temps, les charges acc ´el ´er ´ees

´emettent des rayonnements, mais qui sont en opposition de phase avec l’onde incidente, annulant la plus grande partie du champ ´electrique k aux fils.

La grille absorbe le champ

´electrique vertical parall `ele aux fils et transmet le champ hori- zontal perpendiculaire aux fils.

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Diff ´erents type de polariseurs

2. Polaro¨ıds

L’invention des mat ´eriaux polaro¨ıd en 1928 est due `a E. Land, ´etudiant de 19 ans `a Harvard.

Une feuille transparente d’alcool de polyvinyle est chauff ´ee et ´etir ´ee alignant ainsi ses mol ´ecules d’hydrocarbure en rang ´ees presque parall `eles, formant de longues chaˆınes. La feuille est ensuite tremp ´ee dans une solution de tein- ture riche en iode. Les atomes d’iode impr `egnent le plastique et s’attachent

`a chaque mol ´ecule polym `ere formant ainsi une longue chaˆıne conductrice.

Les ´electrons de conduction associ ´es `a l’iode peuvent alors se d ´eplacer le long de chaque chaˆıne comme si la mol ´ecule ´etait un long fil. Le r ´esultat est litt ´eralement une grille de fils avec un axe de transmission perpendiculaire aux mol ´ecules ´etir ´ees.

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Exemple : Polariseurs

Un faisceau de lumi `ere non polaris ´ee d’intensit ´e 800 W/m2 tombe sur une paire de polariseurs lin ´eaires crois ´es. On ins `ere entre cette paire un 3eme polariseur identique dont l’axe de transmission forme un angle de 45 avec l’axe de chacun des 2 autres. D ´eterminer l’intensit ´e ´emergente avant et apr `es l’insertion du 3eme polariseur et expliquer ce qu’il arrive.

SOLUTION : Avant l’insertion du 3eme polariseur, aucune intensit ´e n’est trans- mise `a travers la paire de polariseurs crois ´es. Il pourrait sembler qu’ins ´erer encore un autre polariseur n’a aucun effet ; mais cela est faux. Si le pre- mier polariseur a son axe de transmission vertical, il transmet une intensit ´e I1 = 12Io = 400 W/m2 de lumi `ere polaris ´ee lin ´eairement dans la direction verticale. Le 3eme polariseur fait un angle de 45 avec le premier. D’apr `es la loi de Malus :

I2 = I1 cos2 45 = 200W/m2

Le champ ´electrique transmis est maintenant inclin ´e `a 45 et forme un angle de 45 avec l’axe de transmission (horizontal) du 2eme polariseur. Toujours d’apr `es la loi de Malus, on trouve : I3 = I2 cos2 45 = 100W/m2. C’est l’intensit ´e de lumi `ere polaris ´ee lin ´eairement dans la direction horizontale qui

´emerge du dernier polariseur.

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Polarisation par r ´eflexion

On peut att ´enuer l’ ´eblouissement d ˆu aux rayons solaires r ´efl ´echis (par l’eau par exemple) en regardant `a travers un polaro¨ıd et en tournant son axe de polarisation. On peut faire ceci car la lumi `ere r ´efl ´echie est totalement ou partiellement polaris ´ee.

Soit un rayon de lumi `ere non polaris ´ee incident sur une surface de verre.

D ´ecomposons les vecteurs champ ´electrique de la lumi `ere en ses 2 compo- santes. La composante horizontale est perpendiculaire au plan incident et la composante verticale est parall `ele au plan incident. Comme la lumi `ere est non polaris ´ee, ces 2 composantes ont m ˆeme intensit ´e.

La lumi `ere r ´efl ´echie aura en g ´en ´eral ces 2 com- posantes mais avec des intensit ´es diff ´erentes ; elle sera donc partiellement polaris ´ee – les champs

´electriques oscillants le long d’une direction ont des amplitudes plus grandes que ceux oscillant le long des autres directions. La lumi `ere r ´efl ´echie est constitu ´ee des composantes incidentes perpendi- culaires au plan incident et de composantes plus faibles parall `eles `a ce dernier.

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Polarisation par r ´eflexion : Loi de Brewster

Quand la lumi `ere est incidente `a un angle particulier, θB, l’angle de Brewster, la lumi `ere r ´efl ´echie a seulement des composantes perpendiculaires au plan d’incidence ; elle est donc totalement polaris ´ee. La lumi `ere r ´efract ´ee contient les composantes incidentes parall `eles au plan d’incidence et de plus faibles composantes perpendiculaires `a ce plan.

Pour la lumi `ere incidente `a l’angle de Brews- ter, on trouve exp ´erimentalement que

θBt = 90. Avec la loi de Snell-Descartes : ni sin θB = nt sin θt

= nt sin(90 − θB) = nt cos θB Divisant les 2 membres par cosθB et par ni :

tan θB = nt

ni Loi de Brewster

La lumi `ere r ´efl ´echie est totalement pola- ris ´ee lin ´eairement dans un plan perpendi- culaire au plan d’incidence→ verres pola- roids pour lunettes solaires.

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Polarisation par diffusion

Lorsque la lumi `ere est diffus ´ee par des particules de la taille des mol ´ecules, comme dans la diffusion de Rayleigh, les particules se comportent comme de petits dip ˆoles oscillants. Parce que la radiation d’un dip ˆole n’est pas la m ˆeme dans toutes les directions (l’intensit ´e ´emise est nulle dans la direction d’oscil- lation (page 22-19)), la lumi `ere diffus ´ee est polaris ´ee.

(a) diffusion de la lumi `ere polaris ´ee verticalement,

(b) diffusion de la lumi `ere polaris ´ee horizontalement,

(c) comme la lumi `ere naturelle peut ˆetre consid ´er ´ee comme la superpo- sition de ces 2 ´etats de polarisation lin ´eaire, la lumi `ere diffus ´ee est alors la superposition des cas (a) et (b). La lumi `ere diffus ´ee perpendiculairement

`a la direction de propagation dans (c) est lin ´eairement polaris ´ee.

La lumi `ere du Soleil est diffus ´ee et rediffus ´ee plusieurs fois avant de nous parvenir ; elle est partiellement polaris ´ee.

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Diffusion de Rayleigh : le bleu du ciel

Les couchers de soleil sont rouges, le ciel est bleu et la lumi `ere du ciel est partiellement polaris ´ee : ces ph ´enom `enes s’expliquent gr ˆace `a la diffusion de la lumi `ere par les mol ´ecules de l’atmosph `ere.

Le champ ´electrique de l’onde ´electromagn ´etique fait osciller les charges

´electriques de la mol ´ecule. Comme la lumi `ere est une onde transversale, la direction du champ ´electrique se trouve dans le plan y − z et le mouvement de ces charges a donc lieu dans ce plan. Mais, comme les charges oscillent, la mol ´ecule r ´e ´emet rapidement cette lumi `ere car des charges ´electriques os- cillantes ´emettent des ondes ´electromagn ´etiques.

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Diffusion de Rayleigh : le bleu du ciel

Au point O, on peut d ´ecomposer E~ en ses 2 composantes y et z. Chaque composante est ´equivalente `a 2 petites antennes qui oscillent avec la m ˆeme fr ´equence que la lumi `ere incidente dans le plan yz.

Une charge oscillante ne rayonne pas dans sa direction d’oscillation (page 22- 19). Ainsi seule la lumi `ere provenant de la charge oscillant dans la direction z parvient `a l’observateur. Cette lumi `ere est donc polaris ´ee lin ´eairement avec son champ ´electrique le long de z.

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Diffusion de Rayleigh : le bleu du ciel

La diffusion de la lumi `ere terrestre d ´epend de λ. Lorsque les objets diffu- sants sont beaucoup plus petits que la longueur d’onde de la lumi `ere, l’intensit ´e diffus ´ee, pour une direction d’observation donn ´ee, est inver- sement proportionnelle `a la puissance quatri `eme de λ,

I α 1/(λ4) Diffusion de Rayleigh

Les mol ´ecules de l’atmosph `ere (φ ∼ 0,2nm) diffusent donc beaucoup moins les lumi `eres rouge et orange que bleu et violette, d’o `u la couleur bleue de l’at- mosph `ere. Au cr ´epuscule, les rayons du Soleil traversent une longueur d’at- mosph `ere maximale. La diffusion ´elimine la plus grande partie du bleu. La lumi `ere qui atteint la surface de la Terre et qui se r ´efl ´echit sur les nuages et le brouillard manque de bleu et les couchers de Soleil rougeoient. En l’absence d’atmosph `ere, le ciel du jour serait aussi noir que l’espace ext ´erieur vide ou un ciel vu depuis la lune. (Voir Pour la Science Avril 2000).

Les gouttes d’eau/cristaux de glace que les nuages contiennent sont beaucoup plus grands que λ, il y a diffusion pour toutes les fr ´equences presque uniform ´ement. Voila pourquoi les nuages nous paraissent blancs (ou gris quand ils sont ´epais).

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Diffusion de Raleigh : Exemple

Un faisceau de lumi `ere blanche traverse un milieu compos ´e de particules dis- tribu ´ees au hasard et qui sont beaucoup plus petites qu’une longueur d’onde ordinaire de la lumi `ere. Comparer la quantit ´e diffus ´ee du rouge (λr = 710nm)

`a celle du violet (λv = 400nm).

SOLUTION : Le degr ´e de diffusion de Rayleigh est proportionnel `a 1/λ4. Entre les longueurs d’onde rouge et violette, nous avons la relation :

λr = [(710 nm)/(400 nm)]λv = 1,775λv Ainsi le degr ´e de diffusion du rouge vaut :

Ir

Iv = λ4v

λ4r = λ4v

(1, 775λv)4 = 1

(1, 775)4 = 1 9, 926

En cons ´equence le violet est diffus ´e (1, 775)4 = 9.93 fois plus intensivement que le rouge.

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Bir ´efringence

Plusieurs substances cristallines, comme la glace, le quartz et la calcite, n’ont pas les m ˆemes propri ´et ´es optiques dans toutes les directions. Parce que les atomes de ces substances ne sont pas dispos ´es d’une fac¸on isotrope, les forces sur leurs nuages ´electroniques sont diff ´erentes dans des directions diff ´erentes. Ainsi la r ´eponse des oscillateurs atomiques d ´epend de la direction du champ ´electrique incident. De telles substances poss `edent 2 indices de r ´efraction diff ´erents : ils sont bir ´efringents.

Quand la lumi `ere non polaris ´ee tombe sur un cristal de spath d’Islande, tout se passe comme si chacun des 2 ´etats de polarisation perpendiculaires ren- contrait un milieu d’indice diff ´erent, chacun se propageant avec une vitesse diff ´erente. Les 2 faisceaux se r ´efractent `a des angles diff ´erents (loi de Snell- Descartes), se s ´eparent et produisent une double image. En observant les 2 faisceaux avec un polariseur, on constate qu’ils sont polaris ´es dans des direc- tions perpendiculaires.

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