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Cours Vibrations et Acoustique 1

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(1)

ECOLE NATIONALE SUPERIEURE D'INGENIEURS DU MANS - UNIVERSITE DU MAINE

2007-2008

V V I I B B R R A A T T I I O O N N S S e e t t A A C C O O U U S S T T I I Q Q U U E E 1 1

Jean-Claude Pascal

(2)

Cours Vibrations et Acoustique 1

Partie A : Vibrations

I - Vibrations libres des systèmes mécaniques à un degré de liberté 1 - Système mécanique élémentaire

2 - Amortissement visqueux

3 - Méthode énergétique de Rayleigh 4 - Notion de stabilité

II - Réponse forcée des systèmes mécaniques à un degré de liberté 1 - Réponse à une excitation harmonique

2 - Différents types d'amortissement 3 - Réponse à une excitation quelconque

III - Systèmes à plusieurs degrés de liberté 1 - Système à deux degrés de liberté

2 - Généralisation aux systèmes à plusieurs degrés de liberté 3 - Absorbeur dynamique

4 - Introduction à l'analyse modale expérimentale

Partie B : Acoustique

IV - L'équation d'onde acoustique et ses solutions 1 - Equation d'onde à une dimension

2 - Equation d'onde en 3D

3 - Ondes propagatives et ondes stationnaires 4 - Intensité et puissance acoustique

V - Notions d'acoustique physiologique et d'acoustique des salles 1 - Introduction à la physioacoustique

2 - Applications de l'acoustique statistique des salles

VI - Mesures acoustiques

1 - Chaine de mesure acoustique

2 - Mesure des caractéristiques des matériaux

3 - Mesure de la transparence acoustique

4 - Mesure de la puissance acoustique

(3)

[1] Acoustique générale (P.J.T. Filippi, éd.), Les Editions de Physique, 1994.

[2] L.L. Beranek, I.L.Vér, Noise and vibration control engineering, J. Wiley, 1992.

[3] D.A. Bies, C.H. Hansen, Engineering noise control (2nd edition), E. and F. N. Spon, 1995.

[4] M. Bruneau, Manuel d'acoustique fondamentale, Hermès, 1998.

[5] A.P. Dowling, J.E. Ffowcs-Williams, Sound and sources of sound, Horwood, 1989.

[6] Encyclopedia of acoustics, (Tomes 1 à 4), (M.J. Crocker, éd.), Wiley-Interscience, 1997.

[7] Encyclopedia of vibration, (Tomes 1 à 3), (S.G. Braun, D.J. Ewins, S.S. Rao, éd.), Academic Press, 2002.

[8] D.J. Ewins, Modal Testing : Theory, Practice, and Application (2nd edition), Research Studies Press, 2000.

[9] F. Fahy, Foundations of engineering acoustics, Academic Press, 2001.

[10] Fundamentals of noise and vibration,(F. Fahy, J. Walker, éditeurs), E. and F. N. Spon, 1998.

[11] D.J. Inman, Engineering Vibration, Prentice Hall, 1996.

[12] M. Lalanne, J. Der Hagopian, P. Berthier, Mécanique des vibrations linéaires, Masson, 1986 [13] C. Lesueur et al., Rayonnement acoustique des structures, Eyrolles, 1988.

[14] S. Léwy, Acoustique industrielle et aéroacoustique, Hermès, 2001.

[15] J. Piranda, Analyse modale expérimentale, Vol RAB (Mesures et contrôle), ref. 6180, Techniques de l'Ingénieur, 2001.

[16] C. Potel, M. Bruneau, Acoustique générale, Ellipses, 2006.

[17] M.P. Norton, Fundamentals of noise and vibration analysis for engineers, Cambridge University Press, 1989.

[18] S.S. Rao, Mechanical Vibrations (3rd ed.), Addison-Wesley, 1995.

[19] A.A. Shabana, Theory of vibration (2nd ed.), Springer, 1995.

Répartition selon les parties du cours (en italique, lectures complémentaires d'un niveau supérieur)

Partie A : Vibrations [11] [18] [19] [10] [12] [13] [15] [8] [1]

Partie B : Acoustique [5] [9] [10] [14] [16] [4] [1] [13]

Général : Vibrations et

acoustique industrielles [2] [3] [17] [10] [6] [7]

(4)

L'adresse des sites de l'Internet est indiquée, mais les changements d'hébergement sont encore fréquents.

Publications d'organismes sur l'acoustique industrielle

Brüel & Kjaer [http://www.bk.dk]

Documentation sur les méthodes de mesure et d'analyse en acoustique et vibrations Acoustic noise measurements (5th ed.)

Noise control

Frequency analysis (3rd ed.)

Brüel & Kjaer Technical Review (publiée régulièrement de 1949 à 1998 puis épisodiquement)

Centre Technique des Industries Mécaniques (CETIM) [http://www.cetim.fr]

Recueils de conférences et guides pratiques :

Applications of Active Control to the Reduction of Noise and Vibrations (1996)

Les nouveaux outils de la qualité acoustique. Comment façonner l'image sonore de vos produits (1996)

Le bon usage du silencieux pour la réduction du bruit : machines, installations, véhicules (1997)

Guide acoustique des installations de pompage (1997) Matériaux acoustiques pour l'industrie (2003)

Réduction du bruit au voisinage des usines (2003)

Centre d'Information et de Documentation sur le Bruit (CIDB) [http://www.infobruit.org]

Annuaire Bruit des acteurs de l'environnement sonore édité chaque année (organismes publics, associations professionnelles, formations, laboratoires, organismes de contrôle, bureaux d'études, fabricants de matériaux acoustiques et d'instruments)

Echo-Bruit (magazine trimestriel de l'environnement sonore pour le grand public et les collectivités locales)

Acoustique & Techniques (revue trimestrielle destinée aux techniciens, acousticiens et tous professionnels concernés par les techniques de lutte contre le bruit)

Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) [http://www.cstb.fr]

Cahiers du CSTB (revue technique dans le domaine du bâtiment avec des articles sur le bruit)

Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) [http://www.inrs.fr]

Cahiers de notes documentaires - Hygiène et sécurité du travail (revue trimestrielle scientifique et technique avec des articles sur la prévention du bruit)

Techniques de l'Ingénieur [http:/www.techniques-ingenieur.fr], voir en particulier la rubrique

"mesures et contrôle"

Revues internationales

Les sites web permettent la plupart du temps d'avoir accès aux résumés des articles des dernières parutions.

Applied Acoustics [http://www.elsevier.com/inca/publications/store/4/0/5/8/9/0/]

Acustica united with acta acustica [http://www.icp.inpg.fr/ACTA/]

International Journal of Acoustics and Vibration [http://www.rcom.ru/IJAV/]

Journal of Acoustical Society of America [http://ojps.aip.org/jasa/]

(5)

Journal of Vibration and Acoustics (Transactions of ASME) [http://www.asme.org/pubs/journals/vibrate/vibrate.html]

Noise Control Engineering Journal [http://users.aol.com/inceusa/indxncej.html]

Principales sociétés d'acoustique

Société Française d'Acoustique (SFA) [http://www.loa.espci.fr/sfa/]

Association Française de Mécanique (SFM) [http://www.afm.asso.fr/]

European Acoustics Association (EAA) [http://eaa.essex.ac.uk/eaa/]

International Institute of Noise Control Engineering (IINCE) [http://users.aol.com/iince1/] (et INCE USA [http://users.aol.com/inceusa/])

International Institute of Acoustics and Vibration (IIAV) [http://www.iiav.org]

Acoustical Society of America (ASA) [http://asa.aip.org]

Diverses sources de documentation et d'information

Association Française de Normalisation (AFNOR) : normalisation, certification, catalogues de normes, directives, formations, forums [http://www.afnor.fr]

Centre d'Information et de Documentation sur le Bruit (CIDB) : publications, bibliothèque documentaire, stages, colloques. Edite chaque année l'Annuaire des acteurs de l'environnement sonore (organismes publics, associations professionnelles, formations, laboratoires, organismes de contrôle, bureaux d'études, fabricants) [http://www.cidb.org]

Laboratoire National d'Essais (LNE) : métrologie acoustique, étalonnages, certification [http://www.lne.fr]

Institut de l'Information Scientifique et Technique (INIST-CNRS) : fourniture de documents scientifiques et techniques [http://www.inist.fr]

Réglementation

Les Journaux Officiels [http://djo.journal-officiel.gouv.fr/] chercher avec le mot clé "Bruit". En particulier :

Législation communautaire en matière d'environnement /Volume 5 – Bruit Situation au 01.09.91 (Edition de 1993 - réf. : 3699100541)

Situation au 30.06.94 (Edition de 1996, complément à l' Edition de 1993 - réf. : 3699600541)

Bruit - Prévention, maîtrise et contrôle des nuisances sonores (réf. : 313830000, édition du 2 juin 1995)

Cet ouvrage regroupe l'ensemble des textes législatifs et réglementaires d'origine nationale et communautaire qui régissent la prévention, la maîtrise et le contrôle

des nuisances sonores.

(6)

Pont de Tacoma (USA) - 7 Novembre 1940

Quelques théories

http://www.me.utexas.edu/~uer/papers/paper_jk.html Modélisation de l'instabilité aérodynamique

http://www-sop.inria.fr/caiman/AIIFS/perspectives.html

(7)
(8)

I - VIBRATIONS LIBRES DES SYSTEMES MECANIQUES A UN DEGRE DE LIBERTE

1. SYSTEME MECANIQUE ELEMENTAIRE

1.1 - Equation du mouvement 1.2 - Raideurs équivalentes 1.3 - Masses équivalentes 1.4 - Linéarisation

Application 1 : Détermination de la fréquence propre 2. AMORTISSEMENT VISQUEUX

2.1 - Mouvement sous-amorti 2.2 - Mouvement sur-amorti

2.3 - Mouvement avec amortissement critique

2.4 - Equation normalisée d’un système à 1 degré de liberté Application 2 : Mesure du taux d'amortissement 1

3. METHODE ENERGETIQUE DE RAYLEIGH

3.1 - Equation du mouvement 3.2 - Pulsations propres 3.3 - Exemples

4. NOTION DE STABILITE

ANNEXE : Equations différentielles et mouvement harmonique

0903

(9)
(10)

1 – SYSTEME MECANIQUE ELEMENTAIRE

Le modèle du système mécanique élémentaire considère le mouvement d'une masse (corps rigide) par rapport à une partie fixe. On parle de système à 1 degré de liberté (DDL) quand la masse unique a un mouvement dans une seule direction (translation ou rotation autour d'un axe). Si une ou plusieurs masses ont des mouvements de translation et de rotation dans plusieurs directions, il s'agit d'un système à plusieurs degrés de liberté.

Malgré sa simplicité le système à 1 DDL peut représenter le comportement dynamique de systèmes très variés dans le domaine des basses fréquences. La modélisation considère une masse équivalente en mouvement qui possède des liaisons avec les parties fixes caractérisées par une raideur équivalente (souvent schématisé par un ressort).

1.1 - Equation du mouvement

Il existe principalement deux types de systèmes : les systèmes de translation et les systèmes de torsion.

1.1.1 – Systèmes avec mouvement de translation

Ils sont schématisés par le système masse – ressort : la masse m [en kg] est animée d'un mouvement de translation dans la direction x auquel s'oppose la force due à la raideur du ressort. Dans le domaine linéaire du ressort, le coefficient de raideur k [en N/m] est une constante et la force de réaction F

k

= − kx .

Le principe d'Alembert permet d'écrire l'équilibre dynamique du système masse-ressort (Figure 1.1)

) ( ) ( t F t F

k

=

i

entre la force dynamique m x

dt x m d t

F

i

=

2

= & &

2

) (

et la force de réaction exercée par le ressort F

k

( t ) = − kx (le signe – est du à la force qui s'oppose au déplacement)

Figure 1.1 – Equilibre du système masse-ressort

L'équation différentielle du mouvement (homogène du second ordre) se déduit de l'équation d'équilibre précédente

(1)

m

x

k

F

k

= − kx . F

i

= m x & &

= 0

+ kx

x

m & &

(11)

Sa solution (voir Annexe) est une fonction périodique pour le déplacement

( ω + φ )

= A t t

x ( ) sin (2a) A et φ sont l'amplitude et la phase qui dépendent des conditions initiales et ω est la pulsation (ou fréquence angulaire)

vitesse : ( ) = x = ω A ( ω t + φ )

dt t

dx & cos (2b)

accélération : ( ) = x = − ω A ( ω t + φ )

dt t x

d

2

sin

2 2

&

& (2c)

L'équation (1) s'écrit alors

( ω φ ) ( ω φ )

ω + = − +

m

2

A sin t kA sin t La pulsation naturelle est la valeur de ω qui satisfait la relation

[en rad/s] (3)

ω

0

ne dépend que des constantes mécaniques du système. Les constantes A et φ dépendent des conditions initiales ( x & & est intégré deux fois pour obtenir x , d'où deux constantes d'intégration). Les conditions initiales sont le déplacement x

0

et la vitesse v

0

à l'instant t = 0 :

( ) 0 sin ( ω

0

0 φ ) sin φ

0

x A A

x = = + = [m]

( ) 0 ω

0

cos ( ω

0

0 φ ) ω

0

cos φ

0

x A A

v = & = + = [m/s]

donc ω ω

02 2

(

2

φ

2

φ )

2 0 2 0 2

0

x + v = A sin + cos et

0 0 0

cos sin

v ω x φ

φ = , soit

0 2 0 2 0 2 0

ω ω x v

A +

= et

0 0

arctan

0

v ω x

φ = (4) Le déplacement

(5) est la réponse libre du système à 1 degré de liberté non-amorti.

C'est une fonction harmonique à la pulsation naturelle ω

0

dont l'amplitude est imposée par les conditions initiales. Cette amplitude reste constante car la modélisation n'a pas pris en compte le phénomène de dissipation d'énergie présent dans tout système mécanique. Dans la réalité, une décroissance de l'amplitude avec le temps sera observée.

m

= k ω

0

 

 

 +

= +

0 0 0 0

0 2 0 2 0 2

0

sin arctan

)

( v

t x v

t x

x ω

ω ω

ω

(12)

Figure 1.2 – Réponse libre du système à un degré de liberté (déplacement et vitesse) de pulsation propre

ω

0

= 2 π f

0.

Remarque 1

La solution de l'équation différentielle peut aussi s'exprimer par la somme d'une fonction sinus et d'une fonction cosinus :

( ) t A ( t ) A t A t B t B t

x = sin ω

0

+ φ = sin φ cos ω

0

+ cos φ sin ω

0

=

1

cos ω

0

+

2

sin ω

0

En utilisant cette forme de solution, les conditions initiales conduisent à

v t t x

t

x

0

0 0 0

0

cos sin

)

( ω

ω + ω

= .

Il est aussi possible d'exprimer la solution à l'aide d'une seule fonction cosinus

( ) t A ( t ) A t A t

x = cos ω

0

+ θ = cos θ cos ω

0

+ sin θ sin ω

0

A partir de l'expression précédente

0 0 0

sin cos

ω θ

θ v A

x A

=

=

ce qui permet de retrouver la même amplitude que précédemment

2 0 2 0 2 0 2

2 2

2

cos θ A sin θ x v ω

A

A = + = +

et conduit à la phase

0 0

arctan

0

x v θ = ω

On note qu'il existe une relation entre θ et φ l'angle de phase associée à la solution sinus car

ω φ

θ cot

tan

0 0

0

= −

= − x

v d'où θ = φ − π .

A A

ω

0

A

0 t

0

temps [s]

0 t

0

temps [s]

− ω

0

A

( ) t

x &

x ( ) t

x

0

v

0

2 π ω

0

=

T

(13)

Remarque 2

Figure 1.3 – Système masse-ressort suspendu

Système suspendu : au repos, la masse exerce une force de traction mg sur le ressort qui se traduit par un étirement initial x

0

. L'équation du mouvement s'obtient à partir de l'équilibre dynamique des forces appliquées à la masse : F

k

( t ) − F

i

( t ) = 0

0

= 0 + +

+ mg kx kx x

m & &

Avec mg = − kx

0

, on obtient la même équation du mouvement x ( ) t que précédemment (centrée sur la position d'équilibre x

0

).

1.1.2 – Systèmes de torsion

Un corps rigide oscille autour d'un axe (vibration de torsion).

Figure 1.4 – Equilibre d'un système de torsion.

L'équilibre dynamique entre le moment dynamique θ θ & &

2 0 2

)

0

( J

dt J d t

M

i

= = et le moment

de torsion M

t

( t ) = − k

t

θ permet d'écrire l'équation du déplacement angulaire θ ( ) t

0

θ + k

t

θ = 0

J & &

(6) J

0

moment d'inertie de la masse et k

t

raideur de torsion [en Nm/rad].

La pulsation naturelle est

0

0

J

k

t

ω = [rad/s] (7) θ

k

t

θ & &

J

0

M

i

=

t

θ

t

k

M = −

k

m

0 g

x x

0

( x x )

k F

k

= −

0

+

mg x m

F

i

= & & +

(14)

et la réponse libre du système non-amorti

( )

 

 +

= +

0 0 0 0

0 2 0 2 0 2

0

sin arctan

θ θ ω ω

ω θ θ

θ ω &

&

t

t (8)

Exemple :

1.2 – Raideurs équivalentes

Le modèle le plus simple pour représenter la raideur correspond au ressort suspendant une masse. En négligeant la masse du ressort, les forces agissant sur la masse sont

la force de gravité F = mg

la force de réaction du ressort F

k

= − kx

Le travail effectué en déformant le ressort est stocké dans le système sous la forme d'une énergie potentielle (travail de la force: F = kx )

Le coefficient de raideur k est une constante qui montre que la force de réaction est proportionnelle à la déformation (qui augmente avec la masse). Ce modèle est valide jusqu'à un certain point au-delà duquel k n'est plus constant.

Figure 1.5 – Zone de comportement linéaire d'un ressort de constante k = 750 N/m.

=

=

x

kx d

k U

0

2

2 α 1 α

repos

x k

F

k

0

F

0 0.01 0.02

0 5 10 15

élongation [m]

force [N]

zone de linéarité

D

h

d l pour un disque de diamètre D et

d'épaisseur h, à l'extrémité d'un arbre de longueur l et de diamètre d

8

2 0

J = mD et

l d k

t

G

32 π

2

= avec la masse

4 D

2

h

m π

ρ

= et le

module de cisaillement G.

(15)

Figure 1.6 – Trois configurations pour un système masse ressort

1.2.1 – Raideurs en parallèle

Figure 1.7 – Raideurs en parallèle

x k x k x k

F =

1

+

2

=

eq

La raideur équivalente est la somme des raideurs k

1

et k

2

2

1

k

k k

eq

= +

Ce résultat se généralise pour n raideurs en parallèle

n

eq

k k k

k = + + K +

2

1

(10) F

k

1

k

2

x

F F

x k x

k

1

2

k

eq

x

mg

k

M

F

x

M

x k

F

x

0

x

F x

F

x

0

x

F

M

x

k

F

(16)

1.2.2 – Raideurs en série

Figure 1.8 – Raideurs en série

L'équilibre des forces conduit aux relations suivantes : k x x k x

k x

k

eq eq

1 1 1

1

= =

k x x k x

k x

k

eq eq

2 2 2

2

= =

L’élongation totale s’écrit alors x

k k k x k x

x

x

eq eq



 

 +

⇒ = +

=

2 1 2

1

d'où

2 1

1 1

1

k k

k

eq

= + .

Ce résultat se généralise pour n raideurs en série

n

eq

k k k

k

1 1

1 1

2 1

+ + +

= K

1.2.3 – Raideurs de flexion

Dans l'ouvrage de Rao (voir Références), des raideurs de flexion (translation) et de torsion sont données pour quelques systèmes mécaniques simples. Elles peuvent être obtenues en utilisant les résultats du cours de RDM. Par exemple, la déformation statique d'une poutre sur appuis simples chargée par une masse M se calcule par

( ) (

2 2 2

)

6 L b a

EIL x Pbx

y = − −

avec L = a + b

Figure 1.9 – Raideur équivalente d'un système masse-poutre F

1 1

x

k

F k

1

k

2

x

1

2

1

x

x +

1 1

x k

2 2

x

k

2 2

x k

( ) x

y

a b

δ

P

(17)

La raideur équivalente de la poutre s'obtient par ( k

eq

δ = Mg = P ) δ

δ Mg k

eq

= P =

où ( )

EIL b a Pa

y 3

2 2

=

δ = est la déflexion de la poutre à l'emplacement de la masse ( x = a ), d'où

2 2

3 b a

EIL k

eq

= P =

δ

1.3 – Masses équivalentes

Principe : Si T correspond à l' énergie cinétique totale de toutes les masses en mouvement (en translation et en rotation),

+

=

i j

j j i

i

x J

m

T

2 2

2 1 2

1 & θ &

la masse équivalente est définie par

x & est la vitesse au point où on veut calculer la masse équivalente (généralement, où se

trouve définit la raideur équivalente).

Note :

a) les masses en mouvement doivent être connectées rigidement entre elles sinon il s'agit d'un système à plusieurs degrés de liberté.

b) pour les systèmes en mouvements de rotation, on considère le moment d'inertie équivalent

2

2

1 J

eq

θ &

T =

1.4 – Linéarisation

1.4.1 – Pendule simple

θ θ

sin

0

l mg l

F M

M J

t t

t

=

=

& =

&

θ l

F

t

mg m

2

2 1 m x

T =

eq

&

Figure 1.10 – Pendule simple

(18)

Equation différentielle : J

0

θ & & + mgl sin θ = 0

Linéarisation pour les petits mouvements: sin θ ≈ θ ⇒ J

0

θ & & + mgl θ = 0 avec J

0

= ml

2

2

θ + mgl θ = 0

ml & &

La pulsation propre du système est

l

= g ω

0

.

1.4.2 – Pendule composé

G : centre de gravité

Figure 1.11 – Pendule composé

Longueur équivalente du pendule simple :

Md l = J

0

[APPLICATION 1]

[APPLICATION 1]

[APPLICATION 1]

[APPLICATION 1] Détermination de la fréquence propre Détermination de la fréquence propre à partir de l'écrasement x

0

du système de suspension

Figure 1.12 – Fréquence propre des plots anti-vibratiles

O

d G

Mg

0

0

θ + Mgd sin θ =

J & &

0

θ + Mgd θ = 0

J & &

(Eq. linéarisée)

0

0

J

= Mgd ω

x

0 M

k

plots anti-vibratiles

Mg

kx

0

=

M x Mg M

k

0

0

= =

ω

0

0

x

= g

ω

(19)

Ce principe s'applique également aux systèmes continus : ici une masse fixée sur une poutre. Si la masse de la poutre est négligeable devant la masse de l'ensemble, la poutre n'apportera que de la raideur au système (mouvement de flexion). La déflexion statique δ observée à l'emplacement de la masse permet d'obtenir la première fréquence propre du système

Par exemple, pour le système de la Figure 1.9 :

2 0 2

3 b a M

EIL g =

= δ

ω .

2 – AMORTISSEMENT VISQUEUX

Figure 1.13 – Exemple d'amortisseur

L'amortisseur dissipe l'énergie. L'écoulement laminaire de l'huile crée une force de réaction proportionnelle à la vitesse du piston

( )

dt t c dx F

c

= −

Le coefficient d'amortissement c dépend de la viscosité [en Ns/m]

Autre type d'amortisseur sensiblement proportionnel à la vitesse : un bloc de caoutchouc.

Equilibre des forces :

= 0

− +

c i

k

F F

F

d'où

.

m

x

kx . F

k

= −

x m

F

i

= & &

k

c

F

c

= − c x &

( ) ( )

2

( ) 0

2 2

= +

+ kx t

dt t c dx dt

t x m d

huile

ω

0

= δ g

(20)

l'équation décrivant le mouvement d'un système amorti à 1 degré de liberté. En posant

( ) t e

rt

x = α , cette équation devient ( mr

2

+ cr + k ) α e

rt

= 0 . Puisque α e

rt

ne peut pas être nul quel que soit t , c'est l' équation caractéristique suivante qui doit être vérifiée

2

+ cr + k = 0

mr .

Ses solutions sont

m km c

m c r

r

2 4 2

2

2

1

±

 =

 

.

Plusieurs types de solutions sont envisageables en fonction de la valeur du discriminant km

c

2

− 4 : deux racines réelles, une racine double ou deux racines complexes.

Pour faciliter l'analyse, on définit le coefficient d'amortissement critique c

cr

0

2

4 km 0 c 2 km 2 m ω

c

cr

− = ⇒

cr

= =

ω

0

pulsation naturelle non-amortie (fréquence ou pulsation propre) Définition du taux d'amortissement

.

Les racines de l'équation caractéristiques peuvent donc s'écrire en fonction du taux d'amortissement

2

1

0 0 2

1

= − ± −

 

 ζω ω ζ

r

r x ( ) t = α

1

e

r1t

+ α

2

e

r2t

En fonction de la valeur de ζ , trois types de mouvement peuvent être observés : - le mouvement sous-amorti (oscillations vibratoires amorties),

- le mouvement sur-amorti (retour à la position d'équilibre sans oscillations), - le mouvement avec amortissement critique, qui correspond à la limite entre les

deux cas précédents.

2.1 – Mouvement sous-amorti ( 0 < ζ <1)

2 0

0

1

= − ζω − j ω 1 − ζ

r r

2

= − ζω

0

+ j ω

0

1 − ζ

2

avec j = − − 1 et ζ

2

1 = ( ) 1 ( 1 ζ

2

) = j 1 ζ

2

.

La solution de l'équation différentielle est de la forme

( ) t a e

j t

a e

j t

e

t

x

1 1ζ2ω0 2 1ζ2ω0

ζω0

 

 +

=

a

1

, a

2

sont des constantes complexes arbitraires 2 ω

0

ζ m

c c

c

cr

=

=

( ) t = A e

ζω

( ω t + φ )

x

0t

sin

d

(21)

A et φ sont les constantes d'intégration et ω

d

est la pseudo-pulsation (fréquence naturelle amortie)

.

Les conditions initiales permettent de déterminer les constantes

( ) ( )

2

2 0 2 0 0 0

d

x

d

x A v

ω

ω ω

ζ +

= +

0 0 0

arctan

0

x v

x

d

ω ζ φ ω

= + .

Figure 1.14 - Réponse libre d’un système sous-amorti (

ζ < 1

)

2.2 – Mouvement sur-amorti ( ζ >1)

2

1

0 0

1

= − ζω + ω ζ −

r r

2

= − ζω

0

− ω

0

ζ

2

− 1 La solution pour le déplacement est

a

1

et a

2

sont réels.

Les conditions initiales

( )

1 2

0

x 0 a a

x = = +

( ) ( ) ( )

2

2 0 0 1

2 0 0 0

0

1 a 1 a

dt t v dx

t

− +

− +

=

=

=

ζ ω ζω ζ

ω ζω

0 t

0

temps [s]

( ) t

x

x

0

A exp ( − ζω

0

t )

2

0

1 ζ

ω ω

d

= −

( ) t ( a e

t

a e

t

) e

t

x =

1 ζ21ω0

+

2 ζ21ω0 ζω0

(22)

conduisent à

( )

1 2

1

2 0

0 0 2

0

1

− +

= +

ζ ω

ω ζ

ζ x

a v et ( )

1 2

1

2 0

0 0 2

0

2

− +

− +

= −

ζ ω

ω ζ

ζ x

a v

Un système sur-amorti n’est pas un oscillateur.

Figure 1.15 - Réponse libre d’un système sur-amorti

( ζ > 1 )

a)

x

0

= − 1

et

v

0

= 0 ,

b)

x

0

= − 0 . 5

et

v

0

= 3 ,

c)

x

0

= 0

et

v

0

= 5 .

2.3 – Mouvement avec amortissement critique ( ζ =1)

C’est la valeur de ζ qui sépare le mouvement oscillant d’un mouvement non-oscillant. La racine double fournit une solution particulière

0 0 2

1

= r = − ζω = − ω

r .

La solution générale de toute équation différentielle du second ordre est donnée par la combinaison linéaire de deux solutions particulières indépendantes. La première solution est

e

t

x

1

=

ω0

L’intégration complète de l’équation différentielle se fait en définissant une deuxième solution de la forme x

2

= z ( ) t e

ω0t

= ( α + β t ) e

ω0t

, ce qui conduit à la solution générale

( ) t x x ( a a t ) e

t

x =

1

+

2

=

1

+

2 ω0

Les conditions initiales permettent d’identifier les constantes

1

0

a

x =

(

0 1 2 0 2

)

0 0 1 2

0

a a e

0

a t e

0

a a

v

t t

t

− = − +

+

=

=

ω ω

ω

ω ω

0 t

-1 -0.5 0 0.5 1

temps [s]

( ) t x

a b

c

(23)

est d’obtenir la solution cherchée

Figure 1.16 - Réponse libre d’un système ayant un amortissement critique

( ζ = 1 )

a)

x

0

= 0 . 5

et

v

0

= − 4 ,

b)

x

0

= 0 . 5 et v

0

= 4 .

2.4 – Equation normalisée d’un système à 1 degré de liberté

L’équation différentielle du mouvement d’un système à 1 ddl est souvent représentée avec des termes normalisés par rapport à la masse m :

= 0 +

+ x

m x k m

x & c &

&

En considérant = ω

02

m

k et puisque

2 ω

0

ζ m

= c , on obtient la relation = 2 ω

0

ζ m

c qui

conduit à la forme normalisée de l’équation différentielle

[APPLICATION 2] Mesure du taux d’amortissement

Le coefficient d’amortissement ou le taux d’amortissement sont les plus délicats à déterminer. Si la masse et la raideur peuvent être déterminées par des tests statistiques, l’amortissement nécessite une mesure dynamique.

Une approche consiste à mesurer la décroissance de l’enveloppe pour un système sous- amorti : les points de mesure x ( ) t

1

et x ( ) t

2

correspondent à A e

ζω0t1

et à A e

ζω0t2

.

0 t

-1 -0.5 0 0.5 1

temps [s]

a b

( ) t x

( ) ( t x x t v t ) e

t

x =

0

+ ω

0 0

+

0 ω0

0 2

0

+

02

=

+ x x

x & ζ ω & ω

&

(24)

Cette approche conduit au concept de décrément logarithmique :

avec

d

T ω π

= 2 la pseudo-période d’oscillation.

Figure 1.17 – Réponse libre amortie

avec x ( ) t = A e

ζω0t

sin ( ω

d

t + φ ) . Puisque ω

d

T = 2 π ,

( t + T ) = A e

ζω (+ )

( ω t + ω T + φ ) = A e

ζω

e

ζω

( ω t + φ )

x

0t T

sin

d d 0t 0T

sin

d

on obtient

T e

0T 0

ln ζω

δ =

ζω

= . En posant

2 0

1

2 2

ζ ω

π ω

π

=

=

d

T , le décrément logarithmique s’écrit

1

2

2 ζ ζ δ π

= et permet d’exprimer le taux d’amortissement

.

Le décrément est obtenu par des mesures en t

1

et t

2

par ( ) ( )

2

ln

1

t x

t

= x

δ . Connaissant m , k et ζ il est aussi possible de calculer le coefficient d’amortissement

km c = 2 ζ .

0 t

-1 -0.5 0 0.5 1

temps [s]

t

1

t

2

T

( ) ( t T )

x t x

= ln + δ

2

4 π

2

δ ζ δ

= +

(25)

3 – METHODE ENERGETIQUE DE RAYLEIGH

Figure 1.18 – Déplacement et vitesse d'un système à 1 ddl en vibration libre

En faisant l'hypothèse qu'il n'y a pas d'énergie dissipée : Energie potentielle en fonction du temps

( ) t =

x

k d = k x = k A ( t + )

U

0

0 2 2

2

sin

2 1 2

1 ω φ

α α

Energie cinétique en fonction du temps

( ) t = m x = m ω A ( ω t + φ )

T

2 02 2

cos

2 0

2 1 2

1 &

En considérant k = m ω

02

,

( ) ( ) [ ( ) ( ) ]

2 2

2 0

0 2 0

2 2 2 0

2 1 2

1

cos 2 sin

1

A k A m

t t

A m t

T t U

=

=

+ +

+

= +

ω

φ ω φ

ω ω

L’énergie totale instantanée du système conservatif en mouvement est proportionnelle à A

2

et indépendante du temps t :

Deux conséquences importantes :

1) La dérivée de l'énergie totale (potentielle + cinétique) est nulle, d'où la relation R1

2) A deux instants t

1

et t

2

quelconques

( ) t

1

T ( ) t

1

U ( ) t

2

T ( ) t

2

U + = +

x m & &

m

x

k

( ) ( )

( ) ω ( ω φ )

φ ω

+

=

+

=

t A

t x

t A

t x

0 0

0

cos sin

&

( ) t T ( ) t t

U + = Cte, ∀

( ) ( )

( )

d 0

d + =

t

t

T

t

U

(26)

En choisissant t

1

et t

2

, tels que

si U ( ) t

1

= U

max

alors T ( ) t

1

= 0 si U ( ) t

2

= 0 alors T ( ) t

2

= T

max

on obtient la relation R2

valable pour les systèmes conservatifs soumis à des mouvements harmoniques . Ce principe de conservation est utilisé :

• pour obtenir des équations du mouvement,

• pour calculer directement la pulsation naturelle des systèmes.

3.1 – Equation du mouvement

Figure 1.19 – Masse suspendue en vibration libre

L’énergie potentielle totale du système est la somme de l’énergie potentielle élastique du ressort et de l’énergie potentielle gravitationnelle. Toutes les deux doivent être exprimées comme un changement à partir d’une position arbitraire. On choisit ici (voir Figure 1.19) la position d’équilibre x

0

qui correspond à une énergie élastique stockée dans le ressort

2 0

1

2

1 k x

U = .

L’énergie potentielle U

2

à une distance x de la position d’équilibre correspond à une augmentation de l’énergie élastique qui devient (

0

)

2

2

1 k x + x et une diminution de l’énergie potentielle mgx due au changement de position

( x x ) mgx

k

U

2

=

0

+

2

− 2

1 .

La différence d’énergie potentielle est

2 0 0

2 2

0 1

2

2

1 2

1 2

1 k x k x k x x mg x k x

U U

U = − = + + − −

k

M

0 g

x x

0

max

max

T

U =

(27)

et en considérant que kx

0

= mg , il reste

2

2 1 k x

U = .

L’énergie totale (cinétique + potentielle) est

= +

=

+

2 2

2 1 2

1 m x k x

U

T & Constante

et sa dérivée par rapport au temps ( R1 )

( )

= 0 +

+ =

x x k x x dt m

U T

d & & & &

Puisque la vitesse x & n’est pas identiquement nulle (quel que soit t ) dans l’expression précédente, on peut en déduire l’équation différentielle du mouvement

= 0 + k x x

m & &

3.2 – Pulsation propre

La méthode énergétique peut aussi être utilisée pour obtenir la fréquence propre (naturelle) des systèmes oscillants conservatifs. Il suffit d’appliquer la relation :

2 max 2

max max

max

2

1 2

1 m v k x

T

U = ⇒ =

Pour un mouvement périodique d’amplitude A et de pulsation propre ω

0

, x

max

= A et A

v

max

= ω

0

, d’où

2 2

2

0

2

1 2

1 m ω A = k A

ce qui conduit à

m

= k ω

0

.

3.3 – Exemples

3.3.1 – Pendule simple

La masse est supposée quasiment ponctuelle par rapport à la longueur l du bras et la masse du bras est considérée comme négligeable. Dans ces conditions, le moment d’inertie autour de l’axe est

2

0

ml

J =

(28)

Figure 1.20 – Pendule simple

Le déplacement angulaire est mesuré à partir de la position d’équilibre. L’énergie cinétique du système est

2 , 1 2

1

2 2 2

0

θ & m l θ &

J

T = =

et l’énergie potentielle

( − ) = ( 1 − cos θ )

= m g l h m g l

U .

La dérivée de l’énergie totale s’écrit alors

( ) ( 1 cos ) 0

2

1

2 2

 =

 

 + −

+ =

θ θ m g l

l dt m

d dt

U T

d &

( sin ) 0

2

θ & θ & & + m g l θ θ & =

l m

( θ

+ sin

θ )

=0

θ

& l&& g

.

La vitesse angulaire θ & ( ) t ne peut être nulle à tout instant donc θ + sin θ = 0 l

& g

&

et après linéarisation pour les petits mouvements ( sin θ ≈ θ )

= 0 + θ θ l

& g

&

Cette équation permet de calculer le déplacement angulaire et la pulsation naturelle l

= g

ω

0

du pendule.

Note : La méthode énergétique peut aussi s’appliquer directement sur l’approximation des petits déplacements :

2 2 2

sin 2 2 cos 1

2 2

2

θ θ θ

θ  =

 

≅ 

=

− .

Pour obtenir directement la pulsation propre par la méthode énergétique, il faut écrire

(

0 max

)

2

2

max

2

1 m l ω θ

T =

2

2 max max

l θ g m

U =

l T g

U

max

=

max

⇒ ω

02

=

3.3.2 – Ressort pesant

Détermination de la pulsation naturelle d’un système masse-ressort dont la masse du ressort n’est pas négligeable devant celle de la masse.

θ l

m h

m

g

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