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Le sort de la Convention des huit heures

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La ChauK-de-Fonds, Mercredi 17 Rvril 1929. Bureau*: Rue de la Serre, 58,

Quarante-quatrième Rnnée. — N° 29.

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Le sort de la Convention des huit heures

O n sait ce qui s'est passé au dernier Conseil du B . I. T., à Genève.

M . Albert Thomas a donc déclaré, à la fin de la discussion, que la question de la révision, re- poussée alors, pourrait revenir avant la session du mois d'octobre. Il a ajouté qu'il apporterait, aupa- ravant, des propositions précises, le Conseil devant en tout état de cause reprendre la question à 1 ex- piration du délai de 10 ans, dès la mise en vigueur de la Convention, c'est-à-dire en 1931.

L a décision prise en mars n en a pas moins été un échec pour les trois ministres du Travail, M . Arthur Steel Maitfand (Grande-Bretagne), Wissell (Allemagne), Loucheur ( F r a n c e ) , venus spéciale- ment à Genève demander une révision partielle de la Convention de Washington. L e groupe ouvrier, ap- puyé par plusieurs délégués parlementaux, y compris ceux de l'Italie et de la Belgique, a ainsi gagné cette première manche.

Mais, que va-t-il se passer maintenant?

Il est permis de supposer que si M . Arthur Steel Maitfand avait apporté des propositions concrètes concernant la modification de tel ou tel point de la convention, écartant ainsi toute possibilité de ré- vision du principe des 8 heures, il aurait dissipé les inquiétudes du groupe ouvrier. L e problème paraît avoir été mal posé. L'Angleterre voulait, en som- me, la semaine de 48 heures, de préférence à la journée de 8 heures, de façon à donner plus de sou- plesse à la loi.

Mais quand M . Albert Thomas déclare qu'il se propose de soumettre, lors d'une prochaine réunior, du Conseil du B . I. T., le mécanisme d'une pro- cédure qui permettrait d'envisager la révision d une partie nettement définie de la convention sans tou- cher à son esprit, il importe, tout de même, de sa- voir exactement ce qu'il entend apporter.

Déjà, quand, le mois dernier, M . Jouhaux suggéra d'introduire dans la Convention le protocole signé à Londres, en 1925, par les ministres du Travail de Grande-Bretagne, de France, de Belgique, d'I- talie et d'Allemagne, le groupe patronal, le seul auquel on demande des sacrifices, après tout, ni;

put que répondre, par la voix de M . Lambert Ribot, qu'insérer l'accord de Londres dans la Con- vention, ce serait entériner une interprétation établie, non par la Cour de la H a y e , seule compétente, mais par cinq gouvernements, réunis dans le privé, en l'absence des patrons et des ouvriers. Ce serait tenter de donner une vigueur nouvelle à un texte que l'un même de ses auteurs, celui dont on re- cherche l'acquiescement — le gouvernement britan- nique — déclare aujourd'hui condamné par ses juristes, et qui est, d'ailleurs, sur plusieurs points, plus restrictif que la Convention, donc moins ac- ceptable encore que celle-ci. E t ce serait enfin qu'on le veuille ou non — ouvrir la discussion gé- nérale sur tous les points visés dans le protocole.

aussi nombreux et importants que ceux dont la Grande-Bretagne demandait l'examen.

« Il n'est qu'une voie praticable, concluait M.

Lambert-Ribot : tous les intéressés, c'est-à-dire tous les gouvernements, patrons et ouvriers représentés à la Conférence, doivent être mis en mesure de dire leur sentiment et d'exprimer leurs vœux. Qu'une commission, aussi large que possible, soit donc constituée dans une toute prochaine conférence. Pa- trons et ouvriers, également désireux d'être placés en face de propositions précises, trouveront dans cette procédure l'examen préalable, franche et claire, les garanties qu'ils recherchent E t le Conseil pourra ensuite, en toute connaissance de cause, donner suite, dans l a mesure où il le jugera bon, aux suggestions du gouvernement britannique ».

En adoptant cette attitude, le groupe patronal n'a pas défendu seulement la garantie, reconnue aux pa- trons et ouvriers par le traité de paix, de ne pas rester devant la porte derrière laquelle se déroulent jes conciliabules gouvernementaux. Il faisait aussi

respecter les droits des quarante E t a t s qui n'ont pas de représentants dans le Conseil.

O n n'ignore pas que ce fut lorsque la proposition qui découlait de cette déclaration de principe et de ces suggestions pratiques eut été repoussé par 13 voix contre 7, que le groupe patronal, ne pouvant se rallier à des projets qui avaient pour traitj commun de confier à une commission du Conseil l'étude préliminaire dont il aurait désiré charger la conférence plénière des Etats-membres, s'abstint de voter, en expliquant que, favorable à la révision, ü voulait que celle-ci eut lieu en pleine lumière, et après un examen préalable auquel tous les pays intéressés pourraient participer.

Cette déclaration des patrons reste valable. Si les experts du B . I. T., ne présentent, prochainement, autre chose quune combinaison, le groupe ne pourra que persister dans son abstention, maintenant un statu quo plein de menace, puisque personne ne peut plus s'en accomoder. Ch. B.

Expositions, Foires et Congrès

L a F o i r e d e B â l e .

Ayant appris que le nombre des fabricants d'hor- logerie participant à la Foire de Bâle s'était accru d'une façon réjouissante, depuis l'année passée, nous avons voulu constater la chose de visu, en profitant de l'aimable invitation qui nous fut adressée par l'administration de cette entreprise. Le fait que la journée de l'ouverture de la 13c foire, qui était en même temps la journée de la Presse, tombait sur un 13, ne nous a nullement rebuté et nous avons tout lieu de nous féliciter d'avoir fait fi de ces pronostics soi-disant fâcheux.

Il faut, certes, être sûr de soi-même, comme l'est M. le Dr. W. Meile, directeur de la Foire, pour ne pas craindre d'inviter la Presse un jour d'ouverture, car il est généralement de tradition pour les expo- sitions et les foires que, ce jour-là, rien n'est encore installé. Or, à Bâle, comme les autres années;,

d'ailleurs, tout était parfaitement ordonné et terminé et rien ne pouvait faire supposer que quelques' heures plus tôt, le plus pittoresque des désordres ré- gnait encore dans toutes les parties de l'immense édi-

fice où, comme des^purmis diligentes s'agitaient tous les exposants.

Quelle est l'impression, que cette visite nous a laissée?

Sans doute, il est difficile, dans une manifestation qui se répète régulièrement dans les mêmes instal- lations avec, pour ainsi dire, presque toujours les' mêmes exposants, d'arriver à présenter chaque année quelque chose de nouveau, mais on a le sentiment malgré cela, que dans chacun des 30 groupements dans lesquels se répartissent les exposants, il y a chaque année des innovations. En outre, la Foire présente le caractère d'une manifestation vivante de' notre économie nationale; elle donne une idée claire de notre production suisse et elle est destinée à faire connaître non seulement chez nous, mais aussi à l'étranger, dont la présence est chaque année de plus en plus importante, la qualité de notre fabri- cation et l'excellence de nos produits.

En d'autres termes, la Foire de Bâle n'apparaît pas comme une simple affaire commerciale, mais bien comme une œuvre très efficace de propagande économique; elle constitue le grand marché où se concentre une bonne partie de notre activité indus- trielle et commerciale et elle donne surtout au petit fabricant, au modeste artisan une occasion unique de faire connaître ses produits. A ce seul point de vue, déjà, la Foire de Bâle mérite d'être soutenue et encouragée.

On peut juger de l'importance de cette manifesr tation par quelques chiffres: la valeur des mar- chandises exposées dépasse 2 % millions de frv

le nombre des exposants est de 1,082 et la superficie occupée dépasse 10,000 m2.

Pendant la tournée traditionnelle, faite à travers les stands, sous l'experte direction de Dr. Meile et de M. le Secrétaire Rey, nous avons pu constater l'importance prise par le groupe 20 où1 l'industrie horlogère occupe une place de premier plan. Il y a leji tous cas un très net progrès " sur les années précé- dentes.

Indépendamment du grand stand de Zénith, qui frappe par la diversité et la beauté de ses pendules!

et de ses montres, il y a lieu de signaler tout spé- cialement la collectivité d'une trentaine de fabricants, créée grâce à l'énergie inlassable du regretté. M.

Diem, alors qu'il était secrétaire de la Chambre bernoise du Commerce et de. l'Industrie. Il n'a pu, hélàs, jouir lui-même du succès définitif de l'œu- ivre à laquelle il a travaillé, malgré force mécomptes, pendant de nombreuses années.

Ce qui distingue cette exposition, c'est la variétié des produits, qui s'étend depuis la montre courante extra bon marché, valant quelques francs à la montre de haut luxe de fr. 10,000 et plus. Parmi cette collectivité, à citer spécialement les produits de la Glycine de Bienne, qui se distinguent par leur ri- chesse. La Chaux-de-Fonds y figure, croyons-nous, pour la première fois, représentée qu'elle est par la Fabrique Auréole. Souhaitons-lui bonne chance et de nombreux imitateurs, et espérons que la place importante prise cette année par notre industrie ne fera que se développer à l'avenir et qu'avec le temps, la Foire de Bâle finira par donner un reflet à peu près exact de la force et de la diversité de notre production.

En terminant, nous nous garderons d'omettre la fastueuse réception faite à la Presse par l'adminis- tration de la Foire.

Dans u n banquet qui réunissait environ 300 ...ma- nieurs de ciseaux et à laquelle l'excellence des mets rivalisait avec la finesse des vins, d'intéressants dis- cours furent prononcés, tout d'abord par M. le Dr.

Meile, qui souhaita la bienvenue aux invités, par M. le Conseiller d'Etat Brenner, qui parla au nom du gouvernement bâlois et enfin, par MM. Degen, Bauler et .Wimmers (de Cologne), qui remercièrent

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306 L A F É D É R A T I O N H O R L O G Ê R E S U I S S E N°.29.—.17 avril 1929

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N» 29. — 17 avril 1929 L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E 307

l'administration au nom de la presse suisse et étran- re. eonviyes furent non seulement comblés de bonnes larolès, "mais.aussi, d'une telle, quantité de « Basler- eckerli», -de chocolats Kaiser,' de boîtes « Energori

<raftnahrung », etc., qu'ils^ eurent toutes les peines^ du i nöhde • (d'emporter :'teurs: provisions;" Pour' l'avenir;

TOUS leur conseillons de suivre l'exemple d'une cer- taine' dame, épouse d'un grand journaliste, quij au

rouraht des usages, s'était munie, pour la circons tance, d'un grand filet de ménage.

: Après le banquet, une charmante réception eut lieu au champ d'aviation de Birsfelden, où une légion de journalistes — il ne s'agit pas ici de « canards »' '— prirentr-leur vol dans toutes les directions.

L'impression que nous a laissée cette journée est excellente et nous ne pouvons tout d'abord que fé- liciter l'administration de la Foire et plus spéciale- ment M. le Dr. Meile, pour l'organisation irré- prochable qui caractérise cette superbe entreprise et ensuite leur adresser nos meilleurs remerciements- pour les heures si agréables qu'ils nous ont pro- curées.

Commerce extérieur

Suisse.

Le volume total de nos échanges commerciaux a progressé de février à mars à 405,3 millions de fr., en augmentation de 53,6 millions de fr. Le trafic des marchandises entre la Suisse et l'étranger accuse à l'importation une valeur de 225,5 millions de fr.-, et participe par 37,0 millions de fr. à l'aug- mentation totale précitée. : Les exportations attei- gnent 179,8 millions de fr., avec une participation, à l'accroissement de 16,8 millions de fr.

Comparativement au mois de mars 1Q28, les im- portations ont fléchi de 18,5 millions (7,6 o/o) et les exportations de 11,0 millions de fr. (5,8 °/o).

Dans l'appréciation de ces résultats et pour se rendre compte des tendances réelles marquées par le-développement de notre commerce extérieur, il est à "considérer que mars compte un jour ouvrable de plus que le mois précédent et deux de moins que*

mars 1928. En outre, il faut tenir compte du fait que les résultats de février ont été quelque peu al- térés "par "des " facteurs tels que lés influences sai- sonnières, d'autres incidences et la durée inégale de la production par rapport au mois à comparer. Il n'y a donc pas lieu d'attribuer une importance excesi- sive au mouvement .de notre commerce extérieur en février, surtout pas au recul des importations. C'est précisément l'influence exercée par ces facteurs sur le développement normal du trafic qui doit, au vu des chiffres d'un seul mois, nous inciter à faire preuve de circonspection dans l'appréciation des résultats sta- tistiques. .

Déduction faite sur les exportations de 0,6 mil- lions de f r.- pour. l'or en barres, le solde passif de notre balance commerciale s'élève à 46,2 millions de fif," contre 25,8 millions de fr. en février et 53,4 millions de fr. en mars 1928.

.Si.l'on établit-une comparaison entre «les -résul- tats du premier trimestre 1929 et ceux de l'année précédente, on constate quel, les \ importations ' ôiit fléchi à 626,8 millions de fr,, en diminution,, de

:59,8 millions dé fr. (—30,386 t.) et que les expor- tations ont rétrogradé à 496,7 millions de' fr., en régression de 21,2 millions dé fr. (—23,660 t.) Le solde passif du commerce extérieur atteint 131,2 millions dé fr. pour le 1er trimestre 1929, en regard de 168,8 millions de fr. pour la période corres- pondante de 1928.

'..v . ' ; ' " . ' . ; ! '• -:

L a s i t u a t i o n é c o n o m i q u e d u C a n a d a . On a le grand tort de comprendre généralement sous le terme d'Amérique ou d'Amérique du Nord que les Etats-Unis. Il faut bien reconnaître que cette méprise, si elle pouvait s'expliquer autrefois, par la position dominante de ce pays dans le con- tinent américain, n'en perd pas moins de plus en plus toute justification.

Le Canada a, en effet, depuis la guerre mondiale surtout, acquis une telle importance qu'il occupe une situation en vue dans le système de l'économie de l'Amérique du Nord et de l'économie mondiale.

Ce pays couvre une superficie de 9,659,450 km2 et ne le cède que de peu aux Etats-Unis d'Amérique du Nord, dont l'étendue est de 9,695,360 km2.

Le Bulletin financier No. 2 du Crédit Suisse, dont nous tirons ces renseignements, fait remarquer que les sources de la richesse et de la prospérité du Canada sont l'agriculture, l'exploitation des forêts et les mines. L'agriculture occupe le tout premier rang. Tout le monde sait que le Canada constitue l'un des greniers les plus importants du monde et qu'il est le fournisseur indispensable auquel l'Europe achète le froment. Au cours des 3 dernières années, la valeur totale de la production de froment du Ca- nada a oscillé entre 450 et 500 millions de dollarsi Le pays n'en consomme qu'un quart à peine, le sur- plus faisant l'objet d'un important commerce d'ex- portation. Très répandue également est la culture de l'avoine, de l'Orge, du • seigle, du sarrasin, puis le maïs, le lin et J e tabac. .

Les forêts énormes qui couvrent environ le quart du territoire canadien constituent une importante sour- ce de richesse. La valeur de ses produits forestiers, façonnés ou non et dont lat: majeure partie est ex- portée, excède 200 millions de dollars par an. La richesse du Canada en produits minéraux de toutes sortes est également très grande, bien que l'ex- ploitation actuelle ne corresponde aucunement à l'im- portance des' gisements .En 1927, cette exploitation rapporta au pays une somme de 247,4 millions de dollars. Les produits les plus recherchés sont l'or, l'argent, le cuivre, le plomb, le nickel et le charbon.

L'accroissement annuel de la production de l'or, qui place le Canada au troisième rang des pays producteurs de ce métal, est à relever. Le Canada fournit les 90 o/o de la production mondiale du nickel, et sa production de plomb et d'argent le place aux troisième et quatrième rangs parmi les pays producteurs de ces métaux. La mise en exploi- tation des forces hydrauliques dont le pays est un réservoir presque inépuisable a pris une extension considérable. La puissance de ces forces hydrau- liques est évaluée à 43 millions de chevaux environ

- En .1914:'- (année 1er. avril-31. mars)',, ^importation (en millions de. $). était dé '618,46 et l'exportation était de 431,59; en 1921, respectivement dé 1,239.80

•et 1,190,24 et en 1928, de 1,108,96 et 1,228.21. ^ Ï Depuis 1914, exception faite des années de crisp 1921-1922, lé bilan commercial du Canada à présenté régulièrement un important" excédent d'exportations.

Les deux tiers au moins des exportations consistent en produits agricoles et forestiers, le surplus se rap- portant en parties à peu près égales à l'élevage du bétail ainsi qu'à la pêche, et à l'exploitation minière. Les importations consistent en majeure par- tie en fer et en-acier, de même qu'en objets de fer et d'acier, en charbon, en pétrole, en produits textiles de toutes sortes, en automobiles, en sucre et en produits chimiques. Plus des trois cinquièmes de l'importation canadienne proviennent des Etats- Unis; quant à l'Angleterre, elle n'entre en ligne de compte que pour un cinquième au plus! Ces deux pays, également, arrivent en premier rang pour l'importance des achats de produits canadiens; les Etats-Unis absorbent à eux seuls les 39 °/o de l'ex- portation canadienne, la Grande Bretagne les 33 o/o.

La Suisse entretient avec le Canada un commerce assez animé. Les chiffres ci-dessous montrent la part que nous prenons dans le commerce extérieur du Canada (en millions de francs) :

Année Impurtafioû cauadieune V A\ ril au totale de la Suisse

31 Mars en millions de francs 1925-26... 4,801.25 39,0 6,810.28 1926-27... 5,363.10 45,9 6,514.36 1927-28... 5,748.57 40,8 6,366.73

La balance de notre commence avec le Canada boucle par un excédent passif dont la principale cause réside dans notre forte importation de fro- ment (83,6 millions de francs en 1927). En tant que pays acheteur de produits suisses, le Canada s'intéresse particulièrement aux produits de nos in- dustries de la soie et de la broderie, de l'industriel horlogère et de l'industrie chimique.

Export, canadienne totale en Suisse

98,2 110,5 91.4

Ecoles professionnelles

Importations.

Le niveau total des importations s'est relevé con- sidérablement. On constate p n e . plus-value; :;de 19,6

pour cent par Tapport au "moil ' 'précédent. De fé- ! dont 4;8 millions seulement 9ont actuellement en vrier à mars i928; l'augmentation s'était chiffrée ! exploitation. Le • développement de l'industrie cana- à 9,5 o/o. Ces chiffres ne se prêtent pas à une dienne est illustré par les chiffres suivants:

comparaison directe, le recul enregistré le ^ mois E n l g 0 0 ) l e n o mbr e des exploitations industrielles précédent ayant été plus cons'dérable que ne l'aurait é t a i t d e 1 4 )65o, occupant 339,200 employés et comporté la seule incidence saisonnière. Cette fois o u v r i e r S ; a v e c u n capital investi de 446,9 millions aussi l'on est naturellement d'autant plus frappé par

les influences qui se manifestent au printemps en suite de

cous ft

de plus qu'en février.

Exportations.

de dollars et une valeur de production de 481,1 millions de dollars; en 1910 le nombre des exploi- te reprise générale des affaires. L étrange^ t a t i o n s industrielles était de 19,218, occupant 515,200 fourni en.mars 17,867 wagons de 10 tonnes e m p l o y é s e t ouvriers, avec un capital investi de 1247,6

millions de dollars et une valeur de production de 1166,0 millions de dollars; en 1926, le nombre des i exploitations industrielles était de 22,708, occupant , Le résultat de mars dépasse la valeur mensuel 4 | 5 8 1 )50o employés et ouvriers, avec un capital investi moyenne de 1928 et marque, au point de vue de la '• d e 3g8 1 ) 6 müHons de dollars et une valeur de pro- valeur, une amélioration de 10,3 o/o par rapport \ d u c t i o n d e 3247,8 millions de dollars.

au mois précédent. En /l aft é ^ \ * c * j ^ J ^ 8 ; grandement stimulée, il faut wagons de 10 tonnes de phis S. 1 on tient compteJ l'établissement d'un tarif douanier à

| e I l d n r & ^ U t e d C L P ™ ^ n t Ü « ' ^ tendances fortement protectionnistes. Elle n'aurai!

appert que le niveau des e x p o r t i o n s actuelles ™U ê t e r é a l i s é e cJ m d e Veloppc-

S Uprécédente. L'activité intensifiée des exportations est ; . * , !éI ie U rJ , ° Ä £ J T 7 / ^ î ? L t - l \ n t }Z l ment correspondant des voies de communication ne soulignée, par- le fait q u ' i l t été fourni à l'étranger, \ 1 > a v a l t Pa s accompagnée, j • - par joui" ouvrable, pour 0;4 millions de fr. de mar-1 Le reseau de lignes de chemin de fer, d'une eten- chandises de plus qu'en février. Par jour de calen-, due appromixative d» 68,000 km, appartient pour la drier1, la cote journalière est la_ même (5,8 .millions | moitié, à l'Etat (Canadian National Railways) qui de, fr;) que le mois précédent. L'index d'exportation [ l'exploite lui-même.

estptpmbé, ,de 86,3 (efl février) à 79,6 o/o et l'index \ La construction des voies de communication a agi d'importation a passé dé 115,6 à . 125,4 o/„. Les ; d'une façon très vivifiante sur le commerce extérieur marchandises importées .en mars représentent donc le | du Canada, dont l'évolution est illustrée par les l^èyfo/o de nos exportations. 'chiffres suivants:

;.J i . j A î i,8 i ) - / . ( i i ï,. J '• *-' y- ••" •

L ' E c o l e d ' h o r l o g e r i e d e P a r i s .

A la réunion des anciens élèves de l'Ecole d'hor- logerie et de mécanique de précision de Paris, M.

Paul Blot-Garnier, président de la Chambre syndi- cale de l'horlogerie, a fait connaître aux assistants que lé régime de cet établissement d'enseignement professionnel allait changer.

Un arrangement survenu entre la Ville de Paris et l'Etat le fera passer dans la catégorie des Ecoles) pratiques d'arts, et métiers qui dépendent de la Direction de l'Enseignement technique.

L'Etat nommera les professeurs et assurera, d'ac- cord avec la Ville, la gestion financière.

On prépare en ce moment les programmes gêné*

raux. C'est la Chambre syndicale qui s'en occupe, agissant à cet effet de concert avec la Chambre des détaillants qui était restée jusqu'ici étrangère à l'ad- ministration de l'Ecole.

A la rentrée d'octobre prochain, le nouveau ré- gime fonctionnera.

Ce qu'on peut dire aujourd'hui, c'est que l'Ecole de Paris sera désormais organisée sur le plan des écoles suisses de Genève, La ChatiXrde-Fonds, Néu- châtel, St-Imier, Bienne.

Il y aura toujours deux sections, celle d'horlogerie et celle de mécanique de précision; mais dans cha- cune l'on formera des techniciens et des praticiens^

comme on le fait déjà à Besançon depuis trois ans.

11 est infiniment probable que le programme res- semblera beaucoup à celui des écoles précitées qui a la consécration d'une, expérience déjà longue.

Cette réorganisation de l'enseignement parisien serai bien accueillie; elle était vivement désirée par tous ceux qui s'intéressent au bon renom de cette inté- ressante branche de l'industrie de la capitale de- la France. Il faut féliciter les fabricants d'avoir compris qu'il n'était vraiment pas possible de faire bande à part des rhabilleurs et des détaillants. Surtout dans une ville où la technique et l'art se mêlent et se pénètrent de façon aussi intime .qu'à Paris.

Il y a bien longtemps que, pour mon compte', je signale le danger d'une conception erronée. de l'enseignement chronométrique parisien. Et je le vois avec plaisir quitter une voie qu'à peu près seul en.

France Paris suivait encore. '..'. '.'...-' Fondée, sous l'impulsion de Rodanet, l'Ecole d'Hbr- logerie de Paris avait connu dés jours pénibles. Son programme primitif était à peu. près celui élaboré par Claudius Saunier. Elle fut inaugurée le 6 mai;

1881. Elle comportait un atelier, un professeur, un chef d'atelier et six élèves. Elle était la propriété d'une Société qui comprenait • 329 membr.es et avait

recueilli un capital de 67,000 fr. •--.._..

(4)

308 L A F E D E R A T I O N H O R L O G E R E S U I S S E

N° 2 9 . — 17 avril 1929

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N° 2 9 . — 17 avril 1929

L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E SUISSE 309

C'était l'aboutissement d'une longue série d'efforts

* infructueux dont le premier remonte à 1776, année où Michel Lévèque obtint un privilège pour «former des élèves » dans une manufacture qu'il comptait établir à Tours. En 1786-1787, Bralle réussit à ... mettre sur pied une école véritable, qui fonctionna jusqu'à la Révolution. Il avait même annoncé son intention de créer une classe d'horlogères, « les femmes étant douces par la nature de tout ce qu'il faut pour réussir dans un art où la force est moins nécessaire que l'adresse ».

• Pendant la révolution, le célèbre Antide Janvier essaya d'ouvrir dans le logement qu'il occupait à l'Institut une Ecole gratuite d'horlogerie.

En 1806, le gouvernement impérial confia à Louis Berthoud des élèves officiels, dont il payait la pen- sion à raison de 2000 frs. pour chacun, la durée des études étant de quatre ans.C'est ainsi que Louis Berthoud forma plusieurs artistes éminents: deux Berthoud, Motel et Jacob.

En 1832, l'Etat reprit l'idée et plaça des bour- siers chez Perrelet. De là sortirent Redier, Gannery, Lecoq, etc.

; Des tentatives de véritables écoles professibnl- nélles furent en outre faites en 1830 par Jacob,.et Armand Clerc, en 1841 par Dumontier, en 1864 par Charles Mildé, mais sans le moindre succès.

•En 1883, l'Ecole d'horlogerie de Paris fut re- connue d'utilité publique. Sa Société lança un em- prunt de 300,000 frs. et fit construire les bâti- ments de la rue Manin qui furent inaugurés le 21 novembre 1888.

En 1910, les négociations entreprises depuis long- temps avec la Ville de Paris aboutirent. M. Hour était alors président de la Chambre syndicale.

Moyennant la somme de 250,000 fr., la Société de l'Ecole d'horlogerie put éteindre ses dettes et la Ville devint propriétaire du terrain, des constructions*

du matériel et de l'outillage, ainsi que du Musée et de la Bibliothèque. La Chambre syndicale conservait la direction de l'enseignement professionnel, dont la vie matérielle était assurée par d'importantes sub- ventions municipales. Un contrat de dix ans liait les deux parties. Mais, en 1917, un nouveau ré- gime fut institué, le Conseil des édiles parisiens) désirant établir une « surveillance efficace d'un éta- blissement dont les ressources sont constituées pres<-

„.que exclusivement par les subventions municipales ».

L'Ecole fut placée sous la direction d'un ConseiL composé de cinq oonseillers municipaux, de quatre .membres de la Chambre syndicale de l'horlogerie

;!de. Paris et de quatre membres du Syndicat de î;Ia précision. L'orientation vers la mécanique était

très nettement marquée.

C'est ce régime qui va disparaître et auquel sera, I à la prochaine rentrée, substitué celui auquel il est

fait allusion au commencement de ces lignes.

Au cours d'une étude sur Les Ecoles d'horlogerie, -publiée dans l'Horloger en 1922 et 1923*), je

; faisais remarquer les anomalies de l'organisation!

: actuelle.

«On ne comprend pas, disaisje-, que dans le con-

« seil d'administration ne figurent ni ouvriers, ni

«représentants de la Chambre des détaillants.

«On le comprend d'autant moins que l'Ecole

« se donne comme but « la formation d'ouvriers ins-

« truits et habiles dans la construction, l'entretien

«et la réparation des appareils d'horlogerie, des

<( instruments de précision et d'électricité ».

«On ne conçoit pas bien non plus que... tout,

«le monde soit astreint à quatre années d'études

«.consécutives. Enfin, l'âge minimum d'admission qui

«est de treize ans, est certainement trop bas».

J'indiquais qu'une infusion de sang nouveau appa- raissait comme nécessaire si l'on voulait que Paris . eût un enseignement horloger digne de lui.

•; : Et je notais qu'une Ecole sérieuse doit avoir une

•direction unique, et suivre le mouvement de l'indus- trie comme le pouls suit les impulsions du cœur.

J'avais quelque mérite à formuler les critiques ique j'émettais dans {'Horloger. Je crois avoir été life seul dans la presse professionnelle à les formuler.

; Bien, entendu, je ne me flatte pas d'avoir été pour

^quelque chose dans l'évolution qui vient de se pro- duire, mais j'en suis plus heureux que quiconque, .n'y ayant aucun intérêt personnel.

••Je reviendrai sur cette question lorsque nous se-

; rons fixés sur les modalités financières, économiques et techniques du nouveau régime. Pour le moment, je me borne à constater que Paris semble bien main- itenant s'orienter dans la bonne voie. Avec lea

!.moyens dont il dispose et étant donné la faveur jque rencontre l'horlogerie a la Direction de l'En-

seignement technique, on peut augurer que la capi- t a l e de la France aura une Ecole de tout premier

;:plan, c'est-à-dire l'Ecole qu'elle doit avoir.

^Nul doute d'ailleurs qu'elle ne soit vue d'un bon cèil, cette Ecole par l'Université. Bien avant la réor- ganisation de l'enseignement bisontin, le Recteur de

Paris était disposé à ' lui tendre ' la main. "Et .'ç(est naturel, puisque l'horlogerie n'est pas seulement un métier, et un art, mais encore une Science et non des moindres. Leopold Rcverchon.

*) Cette étude a paru dans l'Horloger d'août;

septembre, octobre, décembre 1922, janvier mars avril et mai 1923.

Chambres de commerce

C h a m b r e c a n t o n a l e b e r n o i s e d u c o m m e r c e e t d e l ' i n d u s t r i e .

On annonce que le Conseil d'Etat de Berne a nommé M. Werner Iff, de Buren-s-Aar, actuelle- ment rédacteur à Zurich, au poste de secrétaire de la Chambre cantonale du commerce et de l'industrie, à Bienne, laissé vacant par la mort du regretté M A. Diem.

Informations

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La maison '. ' .;

Nathan-David Kaiz, Berlin, a été déclarée en faillite/

Les créanciers sont invités à nous envoyer au plus vite le relevé de leur compte en double, afin que

nous puissions produire dans les délais. i~

— Les fabricants qui recevraient des demandes d'une maison

Studier Hermanos, Concordia (Rép. Argentine), feront bien de s'adresser à nous avant de répoudre,

— Les créanciers de la maison Werner Tschuy, Londres, sont priés de s'annoncer chez nous.

— Les maisons qui recevront des demandes de:

VEDXTH HTOJV/Z WXEDOIR à OAENJOLOJ (clef 1929),

feront bien de se renseigner avant d'entrer ea

relations. :;

— Les maisons,qui recevraient'des demandes d e :

•.Ö/OHHX\NHWX

••-- LOTTO/SQVCCO. (clef 1929),

feront hien de se renseigner avant d'entrer en re- lations.

L'Information Horlogère Suisse

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Plomb., anglais 25.15;

211.7/6 26 —

79.^9 2C§:$3

Registre du commerce

Raisons sociales.

Enregistrements:

6/IV/29. — Johannes Zweifel, réparations de mon- tres et commerce d'horlogerie, Buchs (siège) suc- cursale à Ragaz.

8/IV/29. — Ed. et Ad. Droz, soc. n. coll. (Fernand Arnold et Alfred-Hervé D., tous deux de . La Chaux-de-Fonds), horlogerie, rue du Parc 91, La Chaux-de-Fonds.

Modifications:

8/IV/29. — La soc. n. coll. « Détraz et. Co., succes- seurs de Fritz Kunz et Cie », Neuchâtel,. est dis- soute. Actif et passif sont repris par Détraz et Co., soc. corn. (Albert-Ferdinand. D., de Neuchâtel, as- socié indéf. respons. Dame Sophie-Marguerite D., née Brunner de Neuchâtel, associée com. pr. . fn 2,000), diamants et pierres fines pour horloge- rie et bijouterie, rue du Musée 2, Neuchâtel.

10/IV/29. — Gustave Streit S. A. Industrie suisse de pierres fines, société anonyme, Genève. Gustave.

Streit, démissionnaire, est radié comme adminis- trateur et remplacé par Alfred Meidenreich, de Piainpalais. .comme seul administrateur et signature individuelle.

Radiations:

l l / I V / 2 9 . — Fernand Maître, fabrication de pierres fines pour l'horlogerie et sertissages, Noirmont.

9/IV/29. — Erankfefd frères, fabrique d'horlogerie, soc. n. coll., Genève.

4/IV/29. — Compagnie des montres layeff, Sodé té anonyme (Jayeff Watch Co. S. A.), fabrication et commerce d'horlogerie, La • Chaux-de-Fonds.

Faillites.

Ouvertures de faillite:

8/IV/29. — Schneller Charles, atelier de décolletages,4

ci-devant à Tramelan, actuellement en France.

Assemblée des créanciers: 17 avril 1929.

Délai pour productions : | 13 mai 1929.

4/IV/29. — Elechter et Roy, Efico Watch Co., Grenchen.

Assemblée des créanciers: 22 ;ayr.il L929. , . ' . [ Délai pour productions: 12 mai 1929.

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Zinc 26.13/9 Paris io avril

(Ces prix s'entendent

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en francs frança par kg. 1000/1000)

Nitrate • d'argent 359

Argent 525 Or 17.500

Platine 59.000

» iridié 25 o/0 131.750

Iridium 340.000 (en francs français

Chlorure de platine 25,—

Platinite 29,20 Chlorure d'or 9,25

359 359 525 525 17.500 17.500 59.000 59.000 131.750 131.750 310.000 340.000 par gramme).

25,— 25,—

29,20 29,20 9,25 9,25

:4;2jf$

26.10/

13 Mè

is. (IS-

• :i3$9

«526 1%500

"5&QÖ0

!3'LJoO 34ât|00

&&&

29,20

JtéS

13 a via) 84/flJ1i2

.p.

.2-7:7X6.

London lOaviil 11 a\ril 12 avril (Ces prix s'entendent par once troy

(31 gr. 103) 1000/1000).

Or (shill.) 84/IO'/2 84/1l1/2 84;l01/2

Palladium (Lstg.) I 2 - ! 2 - 7 3/„.

Platine (shill.) .. 277/6,. .^77?6^..^7/o .:

; . '(par once .standard, 925/i 000 en ; pence) y / ^ l ^ Argent en barres 257,8 2 5, 5/ ,6 25:'/8 ' 25'ViB

-.New-York . !0.ayril;? ,11 ;uvï-il -as^avril 13. avril ' (Ces prix s'entendent en cents par once '

. de: 31, g r . . 103). ' ^ Argent. en..barr.es •• 56 T--: ' " r5&:7| :Nô!6 — '"'55 3/<

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