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Contribution à l'étude de la séméiologie de la céphalée postérieure · BabordNum

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Texte intégral

(1)

ENTRE SOUS LE N: 6 °>3 0 9

FACULTÉ

DE

MÉDECINE

ET DE PHARMACIE DE BORDEAUX

ANNÉE 1897-1898 »• 104

CONTRIBUTION A L'ETUDH

Je la Céphalée pstéràp

THESE POUR LE DOCTORAT EN ME

présentée et#soutenue

publiquement

le 2 2 Juillet 1898

Charles-Jean FAUGHERAUD

à Tonnay-Boutonne (Charente-Inférieure), le 22 Juin 1873

Examinateurs de la Thèse :

MM. VERGELY COYN'E CASSAET AUCHÉ

professeur.... Président.

professeur....j agrégé ; Juges.

agrégé '

Le Candidat répondra aux questions qui lui seront faites sur les diverses parties de l'Enseignement médical.

BORDEAUX

IMPRIMERIE DU MIDI PAUL CASSIGNOL

91 RUE PORTE-DIJEAUX 91

1898

(2)

Faculté de Médecine et de Pharmacie de Bordeaux

M. DE NABIAS, doyen M. PITRES,doyen honoraire.

PltOFESSFFllS

MM. MIGÉ ^

AZAM DUPUY MOUSSOUS

Professeurs honoraires.

MM.

Clinique interne PICOT.PITRES.

DEMONS.

LANElONGI Clinique externe

Pathologie et théra¬

peutique générales. VERGELY.

Thérapeutique ARNOZAN.

Médecine opératoire. MASSE.

Clinique d'accouche¬

ments N...

Anatomie pathologi¬

que COYNE.

Anatomie BOUCHARD.

Anatomie générale et

histologie VJAULT.

Physiologie JOLYET.

Hygiène LAYET.

AGIlftlGSi$ UN

Médecine légale Physique

Chimie

Histoire naturelle ...

Pharmacie

Matière médicale....

Médecine expérimen¬

tale

Clinique ophtalmolo¬

gique

Clinique des maladies chirurgicalesdes en¬

fants

Clinique gynécologique Clinique médicale des maladies enfants Chimiebiologique...

i:\liK€l< 81 :

MM.

MORACHE.

BERGONIÉ.

BLAREZ.

GU1LLAUD.

FIGUIER.

DE NABIAS.

FERRÉ.

BADAL.

P1ECHAUD.

BOURSIER.

A. MOUSSOUS.

DENIGÈS.

.section demédecine (Pathologie interneetMédecine légale.) MM. MESNARD.

'|

MM.

SABRAZÈS.

CASSAET. | Le DANTEC.

AUCHiii.

sectionde ciiinijugie et accouchements

(MM. VILLAR.

Pathologie

externe'

BINAUD.

BRAQUEHAYE

Accouchements. \MM. RIVIÈRE.

•/ CHÀMBRELEINT

Anatomie

Physique.

SECTION DES SCIENCES ANAT0MIQUES ET l'IlYSIOl.OOIQUKS

!MM. PRINCETEAU | Physiologie MM. PAC110N

•••) CANNIEU. | Histoire naturel.e BE1LLE.

SECTIONDES SCIENCESPHYSIQUES

MM. SIGALAS. I Pharmacie.., M. BAUT1IE.

( O( US € ©19 B* Si B'1 H SO A T A HES 30«

Clinique des maladies cutanées etsyphilitiques Clinique des maladies des voies urinaires Maladies dularynx, des oreilles etdunez Maladies mentales

Pathologie interne Pathologie externe Accouchements Chimie Physiologie Embryologie Pathologie oculaire Hvdrologie etMinéralogie

MM. DUBREU1LH.

POUSSON.

MOU'RE.

RÉGIS.

RONDOT.

DENI'CE.

RIVIÈRE.

DUPOUY.

PACHON.

CANNIEU.

IAGRANGE.

N...

Le Secrétaire de la Faculté: LEMA1RE.

Par délibération du5 août1879, la Faculté aarrêté que les opinions émises dans les Thesesqui lui sontprésentées doivent être considérées commepropres à leursauteurs, et qu'elle n'entend leur donnerniapprobation ni improbation.

(3)
(4)

A MES PARENTS

A MES AMIS

(5)

A mon Président de Thèse

MONSIEUR LE DOCTEUR VERGELY

PROFESSEUR I)E PATHOLOGIE ET DE THÉRAPEUTIQUE GÉNÉRALES

CHEVALIER DE LA LÉGIOND'HONNEUR

OFFICIER DE i/lNSTRUCTION PUBLIQUE MEMBRE CORRESPONDANT DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE

(6)
(7)

Nous devons l'idée de ce travail à notre maître, M. le professeur

Vergelv.

11 a

bien

voulu nous aider de ses conseils etsouvent, au cours de ce travail, nous avonsfaire appel à sa science. Nous avons

toujours

trouvé auprès

de lui l'accueil le plus bienveillant et nous considérons

comme un devoir bien agréable de lui apporter aujourd'hui l'hommage de notre reconnaissance pour la bonté qu'il a eue pour nous et pour le grand honneur qu'il nous fait en

acceptant la présidence de notre thèse.

(8)
(9)

CHAPITRE PREMIER

L'étude des

céphalées postérieures a montré combien il est

souventdifficile de rapportera une cause

nettement définie

l'origine

de

ces

douleurs. Un grand nombre de maladies

retentissent en effet sur

cette région d'une façon très doulou¬

reuse,le

pronostic et le traitement doivent évidemment varier

suivant que

la maladie initiale est grave ou légère.

Légal dans sa

publication

: «

Une cause fréquente de

céphalalgie pharyngo-tympanique », puis M. le professeur

Yergelydans son

travail

: «

De la Céphalée postérieure, ses

relationsavec les maladies

du pharynx

»,

en 1887, et son

élève Tauzin, dans sa

thèse intitulée

: «

De la Céphalée tem-

poro

occipitale consécutive aux affections du pharynx », ont

montré qu'au

nombre des maladies capables de provoquer

la douleur qui nous occupe

devaient être comptées les

inflammations chroniques ou

aiguës d^ la muqueuse pha¬

ryngéeou

naso-pharyngée. Depuis, les observations deMas-

suchi,en1887,

sont

venues

enrichir la littérature médicale, et

nous-même, au cours

de

nos

études, avons pu trouver plu¬

sieurs cas de cette douleur.

Devant la multiplicité

de

ces

faits nous nous sommes

demandé si une erreur

de diagnostic ne pouvait pas être

commise et s'il ne

pouvait

pas

arriver qu'on attribuât à une

cause beaucoup plus grave,

la méningite par exemple, la

naturede la

céphalalgie d'origine pharyngée qui évolue sous

les yeux

du médecin.

On

pourrait s'étonner d'une semblable hypothèse si l'on

ne connaissait les

observations rapportées par ces auteurs.

(10)

Dans certainscas, en effet, la lésion

pharyngée

avait évolué si sournoisementque le maladene s'en était point aperçu et

que parconséquent le médecin n'en avaitpoint été prévenu.

Dans

d'autres,

au

contraire,l'inflammation

du

pharynx

avait bien été reconnue, mais la

céphalalgie

était si intense, coïn¬

cidant avec un étatgénéral si mauvais que le médecin était tenté de rechercher une cause plus grave pour y rattacher le symptôme alarmant qu'il voyait.

Nous citerons deux exemples de ces faits, l'un emprunté à Légal, l'autre rapporté par notre maître, M. le professeur

Vergely

dans son travail de 1887.

Légal rapporte l'histoire d'une femme âgée de trente ans,

hystérique,

qui se

plaignait

d'une douleur siégeant dans la région

temporale

et

l'apophyse

mast.oïde droite. Il existait

un point douloureux au-devant du tragus,un autre au-des¬

sus de

l'occipital.

Ces douleurs continues présentaient des exacerbations telles qu'elle en devenait folle. Tous les anti-

névralgiques

échouèrent et c'est à peine si les

injections

de morphine la calmaient un peu. On songea alors à unelésion de

l'oreille,011 pratiqua

des insufflationsd'air parla méthode

de

Politzer,

on fit le cathétérisme de la

trompe,

mais la dou¬

leur ne fut en rien modifiée.

A bout deressourceson se résolut à une intervention chi¬

rurgicale et on

trépgna l'apophyse

mastoïde, il ne fut trouvé ni pus ni inflammation dans les cellules. La douleur qui s'était calmée

après

cette opération revint quand la guérison de cette intervention fut achevée.

Le secondcas que nous citons est

l'Observation

VIII du travail de M. leprofesseur

Vergely

:

B...,trente-huit ans.boulanger,né clans la Charente-Inférieure,entre à

l'hôpital

Saint-André, salle 14, no 12, le 31 janvier 1887. pour des douleurs de tèteet de la fièvre ; le malade a son père etsa mèrevivants;

lui-même, robuste et vigoureux, n'a jamais été malade antérieure¬

ment.

Il y a trente-sixjours, il aété pris d'unviolent mal de gorge qui s'est

(11)

terminé par unabcès

dont le

pus a

été rejeté par la bouche ; depuis cette

époqueil

souffre constamment de la tête et a été atteint d'une insomnie

complète. Le

malade

est

très pâle, très amaigri, il peut à peine se tenir

sur sesjambes, ilaccuse une

douleur qui

occupe

la nuque, la région

occipitale et la

région temporale droite. Cette douleur est spontanée,

mais elle estnotablement exagérée

quand

on presse

les muscles de la

nuque, quand on

appuie

sur

l'occipital. En pressant avec le doigt le nerf

occipital à sa

sortie du crâne

on

constate

une

vive douleur à gauche,

rien àdroite; la pression de

l'apophyse mastoïde gauche est également

trèssensible, la douleurva en

s'atténuant au-dessus de l'oreille jusqu'au

point

d'implantation des cheveux

sur

le front. La pression du sterno-

mastoïdien,du trapèze,est

également très

peu

sensible. Pas de ganglions

engorgésdans cette

région ni dans l'aine. Le malade nie tous antécédents

syphilitiques.

Au début de la maladie, d'après B..., les parties latérales

du cou étaient très grosses,les

mouvements du

cou

sont plus difficiles de

gauche à droite que

de droite à gauche.

Lasensibilité de la peau au toucher,

à la douleur dans cette région est

conservée; elle est semblable à

celle du côté opposé,

pas

de troubles

trophiques

cutanés.

Lapointede la

langue est très légèrement déviée à droite, mouvements

de cetorganeet

parole absolument intacts. En examinant l'arrière-gorge,

onobserve quel'arc

formé

par

la moitié du voile du palais du côté droit

appartient àun rayon

plus grand

que

l'arc formé par celui du côté gau¬

che.Laluette est doncsensiblementplus

près de l'amygdale gauche que

de la droite, la paroi

pharyngienne est semée de granulations et sa

moitié

gauche, proéminente,

va presque

toucher le voile du palais. Le

voile du palaiset

la paroi pharyngienne forment donc un angle dont

l'extrémité serait tournée vers

les piliers gauche et la base, vers les

piliers

droits. L'amygdale gauche est plus rouge que la droite. Le pilier

antérieur etlepilier

postérieur du côté gauche sont manifestement plus

rougeset

plus tuméfiés

que ceux

du côté droit.

Labouche est assez saine, les dents ne sont pas

sensibles, les

gen¬

cives ne sontpas

tuméfiées ni saignantes, elles sont très pâles.

L'ouïe estexcellente à droite ; à gauche,

le malade n'entend

pas

le

tic-tac d'une montre à 10 centimètres,

il perçoit des bourdonnements

d'oreille, bruits de

coquillage qu'il attribue

au

sulfate de quinine qu'il a

(12)

- 12 -

pris. L'examen otoscopique permet de reconnaître un gros bouchon de cérumen qui comprime le tympan du côté gauche.On l'enlève, lasurdité estaussitôt amendée. L'étatgénéral du malade est très mauvais. Il est

pâle, affaibli, lesmuqueuses décolorées,ilaperdu beaucoup de son poids

et peut à peine setenir debout. Poulsfréquent : matin, 104 ; soir, 80.

Température sous l'aisselle: matin. 39° 6; soir, 39° 4. Mouvements inspiratoires, 36.

Les battements ducœur sontaffaiblis, battements de la pointe à sou

siège normal. Pas de

biuits>

anormaux. Ponctions respiratoires nor¬

males.

Appétit nul, soif, constipation, rien dans

l'abdomen

aprèspalpation.

Pas de sucre, pas d'albumine dans les urines, dont la quantité est normale.

Le maladeestdémoralisé, il ne dortpas depuis trente-six jours, il a

quelques vertiges.

Le2, le 3 etle 4 le malade a eu desaccès de fièvre débutant par un

légerfrisson.Le2, la température, à 36° 2 le matin, est montée le soir à 41° 2. Le 3. à 36° le matin, elleest montée à 40" 4 lesoir. Le 4. à 37°2 matin,elle atteint 39°6 le soir. Le pouls oscillaitentre 90 et 100.Jusque

vers le 12, la températurea atteint 38° 8. Les douleurs de tète s'étaient amendées vers le5 sous l'influence du sulfate dequinine queje donnais

ail malade pourenrayer sesaccès intermittents. La douleur a notable¬

mentdiminué à lapartie postérieure de latête,sauf à la région mas¬

toïdienne gauche qui restait si douloureuse que nous crûmesun instant à unepériostile etque nous fîmesune application de pointes de feu très fines.

Quant ausommeil, il n'étaitobtenuqu'à l'aide d'hydrate de chloral en lavement à la dose de3 gr. 50. La plupart des médicaments calmants, pilules de sulfate de quinine additionnée de-bromure de morphine, gra¬

nules d'aconitine, antipyrine, avaient amendé la douleur de toute la moitié gauche de la tète, même de

l'apophyse

mastoïde. Je lus alors un résumé du travail du I)r Légal etje fis badigeonner lagorge avec de la glycérine iodée. lie 17 février, la douleur spontanée avaitdisparu com¬

plètement. Le malade avaitrepris sesforces, une meilleure mine. Par la pression on constataitencore un peu de douleur à l'occipital et à l'apophyse mastoïde. Le sommeil était revenu.

(13)

13

Le malade sesentant capable de

travailler

ne

voulut plus rester à

l'hôpital.

Les deuxobservations que nous

venons d'exposer (la der¬

nière

intégralement)

nous

montrent qu'en effet, il peut se

présenter des

cas

où le diagnostic offre les plus grandes

difficultés; car nous voyons que

si dans le fait relaté par

Légal

l'affection pharyngée est restée méconnue, dans le cas

de M. le professeur

Vergelv. bien que l'origine ait été parfai¬

tement reconnue, les

symptômes étaient tels qu'ils purent

faireerrer le diagnostic

puisqu'on put croire un instant à

une

périostite de l'apophyse mastoïde.

Etces deux cas

concernent deux adultes, un homme de

trente-sixans, une femme

de trente

ans,

par conséquent fort

capables, tous

les deux, d'analyser leurs sensations, de pré¬

ciser le siège et le

point de départ de leur maladie.

Mais que ces

faits

se

passent chez un enfant trop jeune

pour

exprimer

ou pour

préciser le caractère de ses souffran¬

ces, que

le même tableau se trouve reproduit chez lui : mau¬

vais état

général, fièvre, douleur spontanée à la nuque,

l'empêchant de prendre

un

instant de repos, sensibilité si

exquise

de cette région postérieure de la tête que le moindre

attouchementluiarrache

des cris, qu'il existe en même temps

un peu

de contracture des muscles, ainsi qu'il l'a été assez

souventconstaté, n'aura-t-on pas un

ensemble de symptô¬

mesassez gravespour

induire le médecin en erreur, lui faire

porter un

diagnostic et un pronostic plus sombre qu'il ne

convient etlui fairesonger

même à

une

lésion inflammatoire

des méninges.

(14)

CHAPITRE II

La

céphalée

consécutive à une inflammation

chronique

ou

aiguë de la muqueuse

pharyngée

a son siège à la partie pos¬

térieure de la tête et du cou dans une région délimitée en haut par la ligne courbe occipitale supérieure; en bas, par une ligne réunissant le point de rencontre du bord vertical du trapèze avec son bord horizontal ou point symétrique

du côté opposé ; sur les côtés, par une ligne allant de l'extré¬

mité inférieure de

l'apophyse

mostoïde à cepoint de rencon¬

tre des deux bords du

trapèze.

De là, elle s'irradie dans dif¬

férentes directions. Dans cette région, cette douleur occupe des points plus particulièrementspéciaux, ainsi qu'on peut le constater dans les observations déjà publiées et dans les quatre nouvellesque nous allons rapporter.

Observation i

(CommuniquéeparM. le professeur Vergkly.)

M"ieÀ..., trenteans. grande, élancée, délicate, mère de troisenfants,

me faitappeler le7 avril, elleala fièvre depuis trois jours,se plaint de douleursde la partie postérieure de la tète, de difficulté de la dégluti¬

tion, ne peut manger. Elleest très accablée. Cette douleursiègeàl'anti- tragus, aux apophyses mastoïdes, surtout àla lignecourbe occipitale supérieure etle longdes muscles postérieurs ducou.

Lepharynx, les piliers postérieurs sont très rouges et gonflés; les piliers antérieurs sont un peu rosés, le voile du palais aussi.

(15)

15

Observation II

(Communiquéepar M. leprofesseur Vergely.)

YIlle X..., âgée de quarante ans. Scoliotique

(mal

de

Pott),

bonne

* santégénérale, estprise d'un violent frisson le31 mars. Fièvre intense.

Céphalée occupant toute la tète, particulièrement la partie postérieure.

Le 1er avril, la douleur de la nuque s'accentue, elle occupe les deux lignes courbes occipitales supérieures etles deux masses musculaires de la nuque. La pression del'apophyse mastoïdeet de Fantitragusest dou¬

loureuse, difficulté et douleur de déglutition. Le pharynx, les piliers postérieurs sont rouge vifet gonflés, les amygdales, les piliers anté¬

rieurs unpeurouges; la luette l'est moins ainsiquele voile du palais.

Ganglions sous-maxillaires gonflés.

Traitement : Gargarismes.

Lesphénomènes continuent jusqu'au 4. La fièvre cède, la douleur à la déglutitionestmoindre, mais la malade seplaint vivement de douleurs decéphalée postérieure, elle craint, «quelque chose du côté des os ».

Le G,la langue sedébarrasse un peu, le pharynx est moins rouge, la déglutition n'est plus douloureuse, la céphalée postérieure est moin¬

dre, mais elle existeencore.

Le7, elle estbien, ellesort, sa céphalée estpeu prononcée.

Observation III

(Personnelle).

T...,vingt-trois ans, garçon de restaurant, grand, un peupâle, pas d'antécédents morbides, a été réformé au conseil de révision pour hernie,se présente le 17 mars à la consultation pour mal de gorge. 11

est atteint d'un ulcèresimple de l'amygdaleet d'une stomatite ulcéro- membraneuse consécutive àl'apparitiond'une dent desagesse. En même tempsil présente de la pharyngite;le pharynx et les piliers postérieurs,

surtoutdu côté gauche,sont très rouges et enflammés. Ganglionssous- maxillairesgauches gonflés.

Il seplaint d'une douleuroccupant toute la partie postérieure de la

(16)

tèteetdu cou. Cette douleur est spontanée, sourde, « comme

s'il avait

reçu un coup », avec de temps en temps

des élancements douloureux,

allantde la nuqueau sommet de la tète; la

pression de l'apophyse

mas- toïdegauche est trèsdouloureuse, la droite

beaucoup moins,

on

déter¬

mine également dela douleuren pressantsur

la ligne courbe occipitale

supérieure. Quand onappuiesur

le nerf sous-occipital,

au

point occipital

entre l'apophyse mastoïde et les premières

cervicales,

on

détermine

une douleur qui s'irradie vers le sommet de

la téte

et vers

la région

tem¬

porale.

Le malade n'a pu nous

préciser

le début desa

céphalée

par

rapport à

celui de sapharyngite.

Traitement: Cargarismes. Chlorate dépotasse.

Le25. Pharynx et

piliers postérieurs

encore un peu

rosés. Stomatite

etulcère presque guéris. Le

malade

ne

présente plus de douleurs

spon¬

tanées delapartie postérieure de

la tète

à

la pression. L'apophyse

mas¬

toïdegauche estencore

douloureuse quoique beaucoup moins. La ligne

occipitale supérieureest presque

indolore, le point occipital est

encore sensible.

Observation IV

(Personnelle).

X..., quinzeanset

demi, vestonnière, pâle,

a

été chlorotique à douze

ans, n'est réglée quedepuis trois mois; a eu.

étant enfant,

une

ménin¬

gite(?),une fièvre

typhoïde

;se

présente le 28

mars

à la consultation des

maladies dela gorge. Elle a

pris froid

il y a

trois jours, depuis elle

a maldegorgeet dela fièvre.

Al'examen, on trouve des végétations adénoïdes et une assez notable hypertrophie des

amygdales, le pharynx

et

les piliers postérieurs

sont

rouges etgonflés, les amygdales sont rouges. Les

piliers antérieurs

et

levoile du palais sont un peu rosés.

Sensation de constriction, dégluti¬

tion difficile etdouloureuse. En mêmetemps que l'angine a paru une douleuràla nuque, lui donnant une

sensation de

courbature

dans

tous

les muscles de la région postérieure du cou. Cette

douleur s'irradie

dansles muscles sterno-oléido-mastoïdiens; les apophysesmastoïdes etla lignecourbe

occipitale supérieure sont sensibles à la pression, mais

ne sont pas le siège

de douleurs spontanées.

(17)

17 -

Les résultats de ces observations nouvelles concordent en tous points avec ceux des travaux

déjà publiés

sur

cette

question. Mais avant d'étudier les

caractères de cette cépha¬

lée consécutive auxmaladies du pharynx et

d'essayer de les

différencier de ceux des

céphalées relevant d'une autre ori¬

gineetlocalisées au mêmeendroit., il nous a semblé

intéres¬

sant de nous rendrecompte de la

sensibilité de cette région

à l'étatnormal,enexaminant un certain

nombre de

person¬

nes ne présentant pas de

douleurs de la

nuque

et n'ayant

aucune raison

appréciable capable de produire la céphalée postérieure.

Pau.

(18)

CHAPITRE III

Voici comment nous avons

procédé

pour

rechercher l'état

dela sensibilité de cette

région.

Nousavons examiné 20 hommes, 20 femmes

et 20 enfants.

Nous nous sommes assuré

auprès d'eux qu'ils n'avaient

jamaiseu

de douleurs à la

nuque,

et que depuis trois mois

ils n'avaienteu aucune maladiecapable

de produire des dou¬

leurs à lapartie

postérieure de la tète. Tous

ces

sujets étaient

indemnesde troubles nerveux,le

système digestif était régu¬

lier.

Nos recherches ont porté tant sur

des malades de l'Hô¬

pital

Saint-André, de l'Hôpital des Enfants, que sur des per¬

sonnesbien portantes

prises

en

ville et

sur

certains de nos

camarades qui ont

bien voulu

se

prêter à

nos

investigations.

Nous avons,

systématiquement, suivi la même marche

dans l'étude de tous nos sujets dans

l'ordre suivant

: 1. Sensibilité au contact.

2. Sensibilité à lapiqûre.

3. Sensibilité à la traction des cheveux.

4. Distance minima à

laquelle les deux pointes d'un

com¬

pas sont perçues

distinctes l'une de l'autre.

5.

Exploration de la sensibilité, des muscles à la pression.

6.

Exploration de la ligne courbe occipitale supérieure à

l'aidede la

pression digitale.

7.

Exploration de la ligne courbe occipitale inférieure, pres¬

sion digitale.

8.

Exploration du point d'émergence du nerf sous-occipi¬

tal à l'aide de la

pression digitale.

(19)

19

9. Exploration de l'apophyse mastoïde à la pression.

10. Etat de la sensibilité thermique.

11. Percussion des apophyses épineuses.

Dans les observations qui vont suivre,pour n'avoir pas à

répéter

constamment ce questionnaire, nous nous contente¬

ronsd'indiquer parleur numéro d'ordre les questionsque nous venons

d'indiquer.

Comme nous avons trouvé des différences très grandes au

pointde vue de la sensibilité à la traction des cheveux chez nos différents sujets, en particulier chez les femmes, nous dirons que cette sensibilité est normale non pas lors_

qu'ellese rapprochera d'un certain type donnécomme nor¬

mal, mais quand la traction descheveux ne sera ni plus ni

moins douloureuse dans cette

région

que dans les autres ré¬

gions du cuir chevelu.

FEMMES

Observation I

M™ X..., 40ans.

1. Normal.

6. : I). N. G. peuunplus sensible,

fortepression.

2. n.

3. n.

7. n.

8. n.

y. n.

10. n.

11. n.

4. : I). 10cent. G. 8cent.

5. n.

Observation 11

.mlle .m..., 28 ans. 6. n.

7. n.

8. n.

9. n.

10. n.

11. n.

1. n.

2. n.

3. n.

4. : 1). (3 cent. G.5cent.

5. N.

(20)

20 -

Observation III

Mm0 J...,27ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. 7cent. G. 5 cent.

5. N.

G. N.

7. N.

8. N.

9. N.

10. N.

11. N.

Observation IV

MraeH...,36 ans.

1. N, 2. N.

3. N.

4. : D. 10 cent. G. 10 cent.

5. N.

6. G. un peu plus sensible, forte pression.

7. N.

8. G. un peu plus sensible, forte pression.

9. G. un peu plus sensible, forte pression.

10. N.

11. N.

Observation V

MarieM..., 37ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. 7 cent. G. 6 cent.

5. N.

6. N.

7. N.

8. N.

9. un peu sensible pression.

10. N.

11. N.

à une forte

Observation VI

Jeanne B...,43 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. D.8cent. G. 8cent.

5. N.

6. N.

7. N.

8. unpeu sensible, forte

pression.

9. N.

10. N.

11. N.

(21)
(22)

Observation XI

MargueriteM..,21 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. 4cent. G. 4cent.

5. X.

6. D.Unpeusensible (forte

pression)

7. X.

8. N.

9. N.

10. N.

11. X.

Observation XII

Marie G.., 20ans.

1. N.

2. N.

3. X.

4. : D. 7cent. G. 7cent.

5. X.

0. X.

7. X.

8. I). Un peusensible.

9. X.

10. N.

11. X.

Observation XIII

AugustineD.., 28 ans.

1. X.

2. X.

3. N.

4. : D. 8 cent, G.7 cent.

5. X.

0. N.

7. N.

8. N.

9. N.

10. N.

11. X.

Observation XIV

Alida X.., 19ans.

1. N.

2. N.

3. X.

4. : D. 8cent. G. 8cent.

5. N.

G. \ l'npeusensible même àune 7. t faiblepression, mais elle aeu 8. ( malde gorgeily ahuit jours.

9. J

Actuellement il n'y

a

plus rien.

10. N.

11. X.

(23)

Observation XY

Marie G..,25 ans. 6. N

1. Ni 7. N

2. N. 00

3. N. 9. N

4. : D. 6 cent. G. 6 cent. 10. N

5. X. 11. N

Observation XYt

AuilaG..., 20 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D.

5. N.

7 cent. G. 7 cent.

6. N.

7. N.

8. N.

9. N.

10. N.

11. N.

Observation XVII

Jeanne G..., 22ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. 0 cent. G. 0cent, ô. X.

6. N.

7. N.

8. N.

9. N.

10. N.

11. N.

Observation XVIII

Marie H...,21 ans.

1. X.

2. N.

3. N.

4. : D. 8 cent. G. 8cent.

5. X.

6.

7.

8.

9.

10. N.

11. N.

un peu sensible à une pres¬

sion assez forte sans cepen¬

dantqu'ily aitdouleur.

(24)

Observation XIX

GabrielleB...,26 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. 5cent. G. 5 cent.

5. N.

0.

7.

8.

9. N.

10. N.

11. N.

un peu sensible mais

plus

à gauche.

Observation XX

Jeanne L..., 18ans.

1. N.

2. N.

3. X.

4. : D. 7 cent. G. 7 cent.

5. N.

Nous avons trouvéau cours de

cet

examen une

jeune fille,

CarmenA...,âgée de vingt ans,

qui présentait

une

anesthésie

complète

de la

nuque,

le bras gauche était également anes-

thésique.

7.

f

très peu

sensible à

une

fort©

8. i pression.

9.

]

10. N.

11. N.

HOMMES

Observation I

Pierre D...,66ans.

1. Normal.

2. N.

3. N.

4. : D. 7 cent. G. 7cent 5. N.

6. N.

7. N.

8. N.

9. N.

10. N.

11. N.

(25)

Observation II

Jean P...,54ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. G cent. G. 5cent.

5. N.

6. N.

7. N.

8. N.

9. N.

10. N.

11. N.

Observation III

Charles11..., 17 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. 5cent. G. 5 cent.

5. N.

6. N.

7. N.

8. N.

9. N.

10. N.

11. N.

Observation IV

Elie L...,40 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. 6cent, G. 5cent.

5. N.

G. N.

7. N.

8. N.

9. N.

10. N.

11. N.

Observation Y

JeanT.. ,45 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. 8 cent. G. 8 cent.

5. N,

G.

7.

8.

9. N.

10. N.

11. N.

un peusensible.

(26)

Observation' VI

HippolyteR...,64 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : I). 7 cent. G. 7 cent.

5. N.

6. N.

7. N.

8. : G. unpeusensible.

9. N.

10. N.

11. N.

Observation VII

Jean D...,25ans.

1. N.

2. N.

3.*N.

4. : D. 5cent. G. 5 cent.

5. N.

6. N.

7. N.

8. N.

9. N.

10. N. ,

11. N.

Auguste P..., 56ans.

1. N.

2. N.

3. X.

4. : D. 8cent. G. 8 cent.

5. X.

Observation VIII

"6.

X.

7. N.

8. N.

9. X.

10. N.

11. X.

Observation IX

VictorA.., 26ans.

1. X.

2. X.

3. X.

4. : D. 5 cent. G. 5 cent.

5. X.

6. X.

7. X.

8. : un peusensible, forte

pression.

9. X.

10. X.

11. X.

(27)

27

Observation X

Alphonse L..., 15 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. 4 cent. G. 4 cent.

5. N.

6. N.

7. N.

8. : un peusensible.

9. N.

10. N.

11. N.

Observation XI

AntoineB..., 17 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. 5cent. (t. 5 cent,

r». N.

6. N.

7. N.

8. "N.

9. N.

10. N.

11. X.

Observation XII

PierreL..., 50ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : I). 5 cent. G. 5 cent.

5. N,

G. N.

7. N.

8. Un peu sensible, forte pression.

9. N.

10. N.

11. N.

Observation XIII

Emile D..., 25ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. 6cent. G. 6cent.

5. N.

Un peu sensible, mais pas jusqu'à douleur.

(28)

28

Observation XIV

Marcel B...,38 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

-i. : D. 7 cent. G. 7 cent.

5. X.

6. N.

7. N.

8. N.

9. N.

10. N.

11. N.

PaulF...,33 ans..

1. X.

2. N.

3. N.

4. : D.5cent G. 5 cent.

5. XT.

Observation XV

6. X.

7. XV 8. XV 9. X.

10. XV 11. XV

Observation XVI

Pierre L...,23 ans.

1. N.

2. X.

3. N.

4. : D. 4 cent. G. 4 cent.

5. X.

6. XV 7. XV 8. XV 9. XV 10. XV 11. XV

Observation XVII

EvaristeF. ., 60ans.

1. X.

2. N.

3. XV

4. : D. 5cent. G. 5cent.

5. X.

<>. )

7. f Un peu sensible à forte pres- 8. ( sion.

9.

)

10. XV 11. N.

(29)

29

Observa'

Joseph R 38 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. 6cent. G. 6 cent.

5. N.

Observa

A.M..., 20ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. 6cent. G. 6 cent.

5. N.

[on XVI11

0. X.

7. X.

8.AssezSênsibleàunefortepression 9. N.

10. X.

11. X.

'ion XIX

6. X.

7. X.

8. X.

9. X.

10. X.

11. X.

Observation XX

J. F..., 25ans.

1. X.

2. X.

3. X.

4. : I). 6cent.

5. X.

G.6cent.

0.

7.

9.

10. X.

11. X.

Un peusensible et à une très

forte pression un peudou¬

loureux.

ENFANTS

Nous ne pouvons rapporter ici les résultats de notre enquête chez les tous jeunes enfants. La difficulté d'obtenir d'eux des réponses vraies aux questionsque nousleuravons

posées, malgré toutes les précautions que nous avons pu

prendre, ne nous permet pas de considérer comme exactes

(30)

les réponses

absolument contradictoires que nous avons

obtenues. Nous ne pensons

donc

pas

devoir faire entrer en

ligne de

compte dans cette série d'observations, que nous

avons prises avec

tout le soin dont nous sommes capa¬

ble, des

faits de l'authenticité desquels nous sommes le

premier à douter.

Nous ne mentionnerons

donc

que

les

cas se

rapportant à

des enfants plus

capables de

nous

répondre, âgés d'au

moins 6 à 8ans.

Observation

Raphaël Y..,,

il

ans. 6. N.

7. N.

8. N.

9. N.

10. N.

11. N.

1. N.

2. N.

3. Y.

1. : D. 5 cent. 0.5 cent.

5. N.

Observation 11

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. 5cent. G. 5 cent.

5. X.

AlfredF..., 12 ans. 6. X.

7. X.

8. N.

9. X.

10. N.

11. X.

Observation 111

4. : D. 0 cent. G. 0cent.

5. X.

1. X.

2. N, 3. N.

Alexis F..., 13 ans. 0. X.

. 7. X.

8. X.

9. N.

10. N.

11. X.

(31)

Observation IV

Maurice 11..., 14ans. G. X

1. X. 7. X

2. X. 8. X

3. X. 9. N

4. : D. 7 cent. G. 7cent. 10. X

5. X. 11. X

Observation V

Gustave G..., 7ans. 6. X

1. X. 7. X

2. X. 00

co 51 9. X

4. : D. 5 cent. G. 5cent. 10. X

5. X. 11. X

Observation VI

Jules D . 15 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D. G cent. G. 5 cent.

5. N.

G. N.

7. N.

8. Un peu sensible.

9. N.

10. N.

11. N.

Observation Vil

Jean 1).., 13 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : I). 5 cent. G.5cent.

5. X.

6. N.

7. N.

8. Un peusensible.

9. N.

10. X.

11. N.

(32)

32

Observation VIII

Edmond H.., 10 ans 1/2.

1. X.

2. X.

3. N.

4. : D.6 cent. G.6 cent.

5. X.

6. X.

7. X.

8. Un peu sensible.

9. N.

10. N.

11. N.

Observation IX

Alexandre D.., 10 ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D.5 cent. G. 5cent.

5. N.

7. N.

8.

g

X.

•à. v

10.

i\.

X.

11. X.

Observation X

Léopold ]M..,

10

ans.

1. N.

2. X.

3. N.

4. : D. 1 cent. G. 4cent.

5. N.

G. X.

7. N.

8. N.

9. N.

10. N.

11. N.

Observation XI

PaulR.., 12ans.

1. N.

2. N.

3. N.

4. : D.5 cent. G. 5 cent.

5. N.

6. N.

7. N.

8. Un peusensible.

9. N.

10. N.

11. X.

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