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Effet Auger dans l’ionisation multiple du manganèse et du cadmium par impact électronique
Robert Abouaf
To cite this version:
Robert Abouaf. Effet Auger dans l’ionisation multiple du manganèse et du cadmium par impact électronique. Journal de Physique, 1970, 31 (4), pp.277-283. �10.1051/jphys:01970003104027700�.
�jpa-00206903�
EFFET AUGER DANS L’IONISATION MULTIPLE
DU MANGANÈSE ET DU CADMIUM PAR IMPACT ÉLECTRONIQUE
par Robert ABOUAF
Laboratoire de Collisions
Electroniques,
Faculté desSciences, 91, Orsay (Reçu
le 10 novembre1969)
Résumé. 2014 On montre que les ions Mn4+, Mn5+, Mn6+, Cd5+, Cd6+ sont formés par des pro-
cessus
Auger
après ionisationprimaire simple
en couche 2 p et 2 s (Mn), 3 p(Cd6+)
ou après ionisationprimaire
double outriple
(Cd5+, Cd6+). L’abondance, à 1 000 eV, des ions Auger 5+et 6+ est
supérieure
aux ions formés par le processus direct d’arrachement simultané des électrons externes. La courbe d’ionisation et le comportement de la section efficace de Mn2+ jusqu’à 2 000 eVmontrent un effet
Auger
consécutif à une ionisation en couche 3 p.Summary. 2014 It is shown that the Mn4+, Mn5+, Mn6+, Cd5+, Cd6+ ions are formed by Auger
processes following single primary ionization in 2 p and 2 s shells (Mn), 3 p shell
(Cd6+)
or following double or tripleprimary
ionization(Cd5+, Cd6+).
The abundance at 1 000 eV of Auger ions 5+and 6+ is larger than abundance of ions
produced
by direct process of simultaneous external electronsejection.
Ionization curve, and cross section variation of Mn2+ up to 2 000 eV showan Auger process
following
ionization in the 3 p shell.1. Introduction. -
Après
lessuggestions
de Fox[1 ],
les
premières interprétations
par effetAuger
des ano-malies
apparaissant
dans les courbes d’ionisation(intensité ionique
en fonction del’énergie
des élec-trons
incidents)
ont été faites parFiquet-Fayard [2, 3].
Depuis,
les travaux deFiquet-Fayard
et Ziesel[4, 5],
et de Ziesel
[6, 7, 8, 9],
ont montré que de nombreux processussupérieurs
conduisant à des ions multi-plement chargés
sont attribuables à l’effetAuger.
Les études faites
jusqu’alors,
ont essentiellementporté
sur les gaz rares, les alcalins et les alcalino-terreux.
Nous entreprenons une étude
systématique
de l’effetAuger
dansquelques
éléments de transition(Mn, Co, Ni, Cr)
et dans descomposés plus
volatils commela triade
Ag, Cd,
In.Conditions
expérimentales.
- Lespectromètre
de masse et la source d’ions ont été décrits
précé-
demment[2, 8].
Le métal estvaporisé
dans une cellulede Knudsen. A 1 100 ~C nous avons pu observer les ions du
manganèse jusqu’à Mn6+.
Le collecteurest un
multiplicateur d’électrons,
de sorte que les abon- dances des ionsmultichargés
par rapport à l’ion decharge + 1,
sont surestimées[18].
II. Etude du
manganèse.
Résultats. Discussion. - Les courbes d’ionisation des ionsmultiplement chargés
du Mn sontreprésentées figure
1. Les abon- dances sont données dans le tableau1 ;
les donnéesénergétiques
concernant lespotentiels
d’ionisation sontgroupées
dans les tableaux II et III.FIG. 1. - Courbes d’ionisation (CI) des ions multiplement chargés du manganèse. Chaque courbe a été normalisée
au maximum.
TABLEAU 1
Abondance des ions
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01970003104027700
278
TABLEAU Il
Energies
desdi, fférente,r
couches internes de Mn et Cd(eV)
(a)
Valeurs de Slater[15] corrigées
pour l’état gazeux.(b)
Valeurs deHagstrom
et coll.[20].
Elles sont données pour l’état solide et sontprobablement
inférieures à celles de l’état gazeux au maximum de 5 à 6eV[15].
(’)
Valeurs de Moore[16].
TABLEAU III
Potentiels d’ionisation des ions de Mn et de Cd
(eV), d’après
Moore[16]
(*) Ces valeurs ont été calculées par la méthode d’approxi- mation donnée par Glockler [17].
1) Mn+. -
La courbe d’ionisation deMn+ (Fig. 2)
ne
présente
aucune structureindiquant
des processus d’auto-ionisation.Toutefois,
ladispersion d’énergie
des électrons de la source étant de l’ordre de 2
eV,
nous pouvons seulement affirmer
qu’il n’y
a pas de processussupérieur important,
contrairementaux cas de
Sr+
etBa+
que nous avons étudiésprécé-
demment
[7, 8].
FIG. 2. - CI de MnT près du maximum.
2) Mn2 + (Fig.
3a etb j.
- Lechangement
depente
vers 55 eV
indique
un processussupérieur.
Celui-cipeut
être un effetAuger
consécutif à une ionisationFIG. 3a. - CI de Mn2+ près du maximum.
primaire
en couche3 p (Tableau II). Mn2 +
seraitformé par des transitions
Auger
toutes exother-miques ( 1 )
dutype :
Les deux
premières transitions,
dutype
Coster-Krônig
sont lesplus probables.
(1) L’excès d’énergie au cours de la transition A - BC est calculé par la relation
EA - EB - Eg
où EA et EB sont connuesdans l’atome neutre. L’énergie d’ionisation d’un électron C dans un atome déjà ionisé en B n’est en général pas connue.
Une approximation fréquente est de considérer que
EB #
Edans l’atome de n° atomique Z -(- 1.
FIG. 3b. - Détail de la CI de Mn2+
dans la région du changement de pente.
Nous observons de
plus
undéplacement important
du maximum de la courbe vers les hautes
énergies.
On
s’attend,
avec notreappareil,
à obtenir le maximumvers 2 à 3 fois le
potentiel
d’ionisation(P I).
PourMn2 +,
le maximum se situe vers 6 P I. Ceci confirme l’existence d’un processusAuger
abondant se super- posant au processusprimaire.
Par
ailleurs,
nous avons étudié la variation de la section efficace de formation deMn2+ jusqu’à
2
keV,
c’est-à-dire dans un domained’énergie
oùl’approximation
de Born est valable.Nous avons observé que la section efficace relative décroissait
(Fig. 4)
suivant une loi dutype
(JaE-1 log
BE(1)
cette loi est celle
prévue
par la théorie de Bethe pour les ionssimplement chargés.
Les observations deFIG. 4. - Variation relative de la section efficace de Mn2+ et Cd2+ jusqu’à 2 keV. Les résultats sont normalisés à 500 eV
et comparés au comportement de l’argon.
Schram
[10, 11, 12]
et deFiquet-Fayard
et coll.[13, 14]
montrent que la loi de Bethe estgénéralement
bien suivie. Pour l’ionisation
double,
ces mêmesauteurs montrent
qu’on
observe une loi de décrois-sance de la forme
Deux processus conduisent donc à l’ion
Mn2 + : a)
Le processus direct par arrachement de deux élec- trons pourlequel
la loi de Bethe n’est pasapplicable
et dont la décroissance est de type
(2).
b)
Le processusAuger
dont l’acteprimaire
estl’arrachement d’un seul électron et
qui
suit la loide Bethe.
L’observation de la
figure
4 montre que l’écart à la loi enE-1
estconsidérable, indiquant
donc que le processusAuger
estprédominant.
3) Mn3 + . -
Bien que la formation deMn3 +
par effetAuger
soitpossible énergétiquement, après
uneionisation en couche
3 s,
par une cascade du typesuivie de l’une des transitions
nous n’avons pu mettre en évidence aucune anomalie
sur la courbe d’ionisation.
4) Mn~.2013On
observe un processussupérieur
vers 650 eV
qui indique probablement
un effetAuger après
ionisationprimaire
en couche 2 p(Fig. 5).
FIG. 5. - Détails des CI de Mn4+, Mn5+ et Mn6 au voisinage des changements de pente.
280
Après
une telleionisation,
la « cascadeoptimum »
c’est-à-dire conduisant à l’ion de
charge
laplus
élevéeest :
qui
donneMn6+.
Rappelons
que les bilansénergétiques
ont étéévalués dans l’atome neutre. A part
quelques
cas favo-rables,
on a trop peu derenseignements
surl’énergie
des niveaux de l’atome ionisé une ou
plusieurs
foisen couche interne pour évaluer avec
précision
lebilan
énergétique
d’une transition. Ainsi il estpossible
que des transitions peu
exothermiques
comme parexemple
les transitions3 s - 3 p 3 d ou 3 p - 3 d 4 s
soient
endothermiques
dans l’atomeplusieurs
foisionisé en couche
profonde [19].
Dans ces conditionsle processus le
plus probable
pour formerMn4+
serait :
5) Mn5 +.
- La courbe d’ionisation montre(Fig.
1et
5)
deux processus distincts. L’un àpartir
d’uneionisation en couche 2 p, l’autre à
partir
d’une ionisa- tion en couche 2 s. Nous avons vu que la « cascadeoptimum »
àpartir
d’une lacune2 p pouvait
conduireà
Mn5 +.
Apartir
d’une lacune 2 s nous proposons la « cascadeoptimum »
suivante conduisant àMn 7 + .
Le processus ayant pour seuil
l’énergie
de la couche 2 s estbeaucoup plus
abondant à 1 000 eV que l’autre processus. La « cascadeoptimum »
écrite ici utilise des transitions peuexothermiques
comme nous l’avonsvu
précédemment.
Si l’on admet commedouteuses,
en fin de
cascade,
les transitions3 s - 3 p 3 d et 3 p - 3 d 4 s on
obtiendraMn5 +
par une cascadeidentique
à celle écrite pourMn4 ~,
un électronsupplé-
mentaire étant
éjecté («
shake-ofl’» )
au cours de latransition
2 p - 3 s 3 s qui
est très fortement exother-mique.
Apartir
d’une lacune2 p
on aurait :conduisant à
Mn’ +.
A
partir
d’une lacune 2 s on aurait parexemple
conduisant à l’ion
Mn6+.
6) Mn6 + (Fig. 5).
- Le processussupérieur
trèsimportant
observé a pourorigine
une ionisation encouche 2 s. La « cascade
optimum »
aussi bien que que la cascade avecéjection
d’un électronsupplé-
mentaire montrent que la formation de
Mn6+
estpossible.
7)
CONCLUSION. - Nous n’avons obtenu aucune preuve directe del’éjection
d’un électronsupplé-
mentaire au cours de la transition
2 p -
3 s 3 s.Nous pensons
cependant
que les transitions 3 s - 3 p 3 d et3 p - 3 d 4 s
sontendothermiques
en fin decascade et que
Mn4 +, Mn5 +,
etMn6 +
sont forméspar le processus
invoquant l’éjection
d’un électronsupplémentaire.
L’ion
Mn 7 +
n’a pas pu êtreobservé,
le courant recueilli pourMn6 +
se trouvantdéjà
à la limite desensibilité de notre
appareil.
Nos résultats sont àrapprocher
de ceux obtenus pour le zinc[4, 9]
oùles abondances sont de même ordre de
grandeur
etles processus observés sur
Zn5 +
etZn6 +
très voisins de ceux deMn5 +
etMn6 +,
les ionisationsprimaires
étant
identiques (2
p, 2s).
Deplus,
onpeut
penserqu’il
est trèsprobable
queZn2 +
soit formé par effetAuger
bienqu’on
nepuisse
déceler aucun chan-gement
depente
dans la courbe d’ionisation.Cepen- dant,
ledéplacement
du maximum vers les hautesénergies [4],
lecomportement
de la section efficacejusqu’à
2 keV[14]
sont en faveur d’un effetAuger.
Toutefois,
contrairement au cas deZn3 + (2),
nous n’observons pas de preuve de la formation de
Mn3 +
par effetAuger.
Il estprobable
quel’impor-
tance du processus fondamental masque le pro-
cessus
supérieur.
III. Etude du cadmium. - Le cadmium comporte 8
isotopes
naturels stables de massescomprises
entreM = 108 et M =
116,
leplus
abondant d’entre eux(M
=114) atteignant 28,8 %.
Lepouvoir
de résolu- tion de notreappareil
ne permet pas de bienséparer
les différents
isotopes.
Dans le cas des ions multi-chargés
peuabondants,
lepic
s’étalant sur touteune gamme de valeurs de
M/q
il estparfois
difficilede le
séparer
nettement du résiduel. D’autre part, la source se salit trèsrapidement,
les isolants dequartz
(2) La seule cascade possible pouvant conduire à Zn3+ se
produira après une lacune en couche 3 s et non 3 p. On aura en
effet, par exemple :
se recouvrant
rapidement
d’undépôt métallique
conducteur
perturbant
le fonctionnement.Les données
énergétiques
concernant lespotentiels
d’ionisation sont données dans les tableaux II et III.
Les abondances sont données dans le tableau I.
Comme dans le cas du
manganèse,
l’utilisation dumultiplicateur
d’électrons fait que les abondances des ionsmultichargés
sont surestimées. L’abondance de l’ionCd4+
a étécorrigée
en tenantcompte
dela contribution d’un
hydrocarbure
durésiduel,
elle doit être considérée avecprudence (± 20 %).
Lesvaleurs données pour
Cd7+
etCd8 +
ne sont que des estimations(± 50 %).
Eneffet,
ces deux ions sont, dans le spectre,superposés
à deux ions du résiduel difficiles à éliminer(Mjq
= 16 et14).
Pour cette raisonnous n’avons pu étudier les courbes d’ionisation de
ces deux ions.
1) Cd+, Cd+~, Cd3+, Cd4+. -
La courbe d’ioni- sation deCd+ près
du seuil estreprésentée figure
6.FIG. 6. - CI de Cd+ jusqu’à 70 eV.
Les courbes d’ionisation de
Cd2 + Cd3 ~
etCd4 ~
décroissent defaçon
monotonedepuis
le seuiljus- qu’à
1 000 eV(Fig. 7).
FIG. 7. - CI des ions multichargés du Cd.
Chaque courbe a été normalisée au maximum.
Dans le cas de
Cd+ +,
nous avons étudié le compor- tement de la section efficacejusqu’à
2 keV(Fig. 4),
on observe une loi du type :
Le processus
prédominant
deproduction
deCd2 +
semble donc
être,
comme dans le cas deMn2+,
un processus consécutif à une ionisation
primaire simple.
Ce processuspourrait
être l’une des transi- tionsAuger
suivantesaprès
ionisation en couche 4 p :ou
4 p - 4 d 4 d exothermique
de 19 ou14,8
eV .ou
4
p _ 4 d 5 sexothermique
de 31 eV .2) Cd$ + (Fig. 8). - Le changement
de pente observé se situe vers 450 ± 10 eV. On ne peut donc pas attribuer ce processus à l’effetAuger simple
FIG. 8. - Détails des CI de Cd5+
et Cd6+ au voisinage des changements de pente.
après
ionisation en couche 3 d(Tableau II).
L’acteprimaire peut
être l’ionisationtriple
3 d 5 s 5 s(Tableau IV). Après
une telle ionisation la cascade«
optimum »
est :conduisant à
Cd6 + ,
Quelques énergies
d’ionisationmultiple
du Cd sontcalculées en
appendice.
TABLEAU IV
Energies
d’ionisationmultiple
dans le Cd(eV)
3) Cd6+ (Fig. 8).
- Deux processussupérieurs apparaissent :
l’un à 510 ± 10eV,
l’autre àCe dernier peut être
interprété
par effetAuger simple.
282
On aura en
effet, après
ionisation en couche3 p (Tableau II),
la cascade :Le processus à 510 eV ne peut pas
s’interpréter
par effet
Auger simple (Tableau II).
Le seuil dece processus semble
correspondre
à une ionisa-tion double
primaire
3 d 4 s(Tableau IV).
La forma-tion de
Cd6 +
se fera par la transition :3 d 4 s - 4 s 4 s
4 p exothermique
d’environ 210 eVsuivie de
4)
Discussion. - Nous n’avons pas tenu compte de la formation deCd5 +
etCd6 +
par une cascadeAuger après
une ionisation en couche 3d,
d’une part parcequ’on
n’observe pas dechangement
de pente dans les courbes d’ionisation pour uneénergie égale
à
E3d
et d’autrepart,
parce que cette cascade met enjeu
des transitions peuexothermiques
dans l’atome neutre,qui
sont certainementimpossibles
dans l’atomeplusieurs
fois ionisé.L’abondance très élevée à 1 000 eV des ions
Cd 7 +
et
Cdg+
permet de penserqu’ils
sont aussi formés par un processussupérieur.
Nous n’avons pas pu étudier leurs courbes d’ionisation pour des raisonsexposées plus
haut. Nousespérons
que l’étude des élé- ments voisins(In
Z =49, Ag
Z =47)
du Cd(Z
=48),
pour
lesquels
le résiduel est moinsgênant,
permettra de déterminer le seuil des processussupérieurs
etde proposer un mécanisme de formation des ions
7+
et8+.
APPENDICE
CALCUL DE QUELQUES ÉNERGIES D’IONISATION MUL- TIPLE DANS LE CADMIUM. - La méthode utilisée est
comparable
à celle de Beutler[21] : L’énergie
d’unetransition dans un atome de numéro
atomique
Zionisé en couche
profonde
Y est voisine(légèrement surestimée)
del’énergie
de la même transition dans l’atome de numéroatomique
Z + 1 ionisé en coucheexterne, dont toutes les couches sont
occupées
iden-tiquement,
la couche Y étantcomplète.
IONISATION TRIPLE 3 d 5 s 5 S. - C’est
l’énergie
de la transition
On a dans Cd
I,
l’énergie
de la transition menant à 3d9 4 s2 4 p6
4d10
est voisine de celle de la transition suivante dans l’indium
L’énergie
de l’ionisationtriple
IONISATION TRIPLE 3 d 4 d 5 s. - C’est
l’énergie
dela transition 3
d1° ...5 s2 -~ 3 d9 4~ s2 4 p6 4 d9
5 s.Cette valeur est celle calculée pour l’ionisation 3 d 5 s 5 s
augmentée
del’énergie
de la transitiondans In IV
On obtient donc
IONISATION TRIPLE 3 d 4 d 4 d. - On ne peut cal- culer cette
énergie
d’ionisation avecprécision
carl’énergie
de la transition dans In IVIONISATION DOUBLE 3 d
4 p.
- C’estl’énergie
dela transition état
fondamental --> 3 d4 s2 4p5
4d10 5 s2.
On a dans
L’énergie
d’arrachement d’un électron4 p
dansIn II n’est pas connue et on fait donc
l’approximation,
moins bonne que les
précédentes puisque
les couches externes ne sont pasoccupées identiquement
que cetteénergie
est voisine deE4p
dans In 1 = 77 eV.On a donc
1 "".Il
IONISATION DOUBLE 3 d 4 s. - On
procède
de la mêmefaçon
quepour E
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