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2. a. On vérie facilement sur la matrice les deux propriétés : q est orthogonal et q 2 = −Id .

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Texte intégral

(1)

MPSI B Corrigé du DS 10 29 juin 2019

Corrigé de l'épreuve M1 CCP 1996

PARTIE A : Les quarts de tours

1. Un quart de tour q est orthogonal donc x · q(x) = q(x) · q ◦ q(x) = −q(x) · x ce qui montre que x et q(x) sont orthogonaux.

2. a. On vérie facilement sur la matrice les deux propriétés : q est orthogonal et q 2 = −Id .

b. Il s'agit de construire une base. Le vecteur u ∈ U est donné, on pose b 1 = u, b 2 = q(u)

Alors Vect(b 1 , b 2 ) puis Vect(b 1 , b 2 )

sont stables par q . On choisit un b 3 unitaire quelconque dans Vect(b 1 , b 2 )

et on pose b 4 = q(b 3 ) La famille (b 1 , b 2 , b 3 , b 4 ) ainsi construite est une base orthogonale dans laquelle la matrice de q est M .

3. a. L'invariance globale de P = Vect(u, q(u)) est évidente. La matrice dans (u, q(u)) de la restriction de q à p est

0 −1

1 0

Cette restriction est donc une rotation d'angle

π

2 ou −

π

2 suivant l'orientation du plan. Si on décrète que (u, q(u)) est directe, l'angle est

π

2 .

b. Dans le plan P orienté en décrétant que (u, q(u)) est directe, le nombre θ est l'angle orienté entre u et v . On passe de (u, q(u) à (v, q(v)) par une rotation d'angle θ et de (v, q(v)) à (u, q(u) par une rotation d'angle −θ . Leurs matrices sont respectivement

cos θ − sin θ sin θ cos θ

,

cos θ sin θ

− sin θ cos θ

4. a. Vérions que f conserve le produit scalaire :

f (x) · f(y) = cos 2 α x · y + cos α sin α(x · q(y) + q(x) · y) + sin 2 α q(x) · q(y)

= x · y

car x · q(y) = q(x) · q 2 (y) = −q(x) · y et q(x) · q(y) = x · y

b. Notons P le plan engendré par u et q(u) . Il contient u , il est invariant par q donc aussi par f . Comme par dénition

Mat

(u,q(u)) f =

cos α − sin α sin α cos α

la restriction de f à P est une rotation. Son angle est α lorsque l'on a décidé que (u, q(u)) est directe.

c. Comme f est orthogonale, P

est aussi stable par f . La restriction de f à P

est encore une rotation. Dans une base orthogonale dont les deux premiers vecteurs forment une base de P et les deux suivants une base de P

, la matrice de f est diagonale par blocs. Son déterminant est le produit des déterminants des matrices 2,2 de la diagonale. Chacun de ces petits déterminants vaut 1. Le déterminant de f est donc 1.

PARTIE B : Orientations et commutations

1. Ici u est donné dans U , les bases (b 1 , b 2 , b 3 , b 4 ) et (c 1 , c 2 , c 3 , c 4 ) vérient

b 1 = c 1 = u, b 2 = c 2 = q(u) b 3 ∈ Vect(b 1 , b 2 )

et b 4 = q(b 4 ) c 3 ∈ Vect(c 1 , c 2 )

et c 4 = q(c 4 ) L'important est

c 3 ∈ Vect(c 1 , c 2 )

= Vect(c 1 , c 2 )

Ceci entraîne l'existence d'un θ tel que

c 3 = cos θ b 3 + sin θ b 4

Alors

q(c 3 ) = c 4 = cos θ b 4 + sin θ q(b 4 ) = cos θ b 4 − sin θ b 3

On en déduit que la matrice de passage de (b 1 , b 2 , b 3 , b 4 ) vers (c 1 , c 2 , c 3 , c 4 ) est

1 0 0 0

0 1 0 0

0 0 cos θ − sin θ 0 0 sin θ cos θ

Le déterminant de cette matrice de passage est +1 , les deux bases ont la même orien- tation.

2. a. À partir de deux vecteurs u , v normés et orthogonaux, on peut former deux bases orthonormées (u, v, w, s) et (u, v, w, −s) . L'une est directe, l'autre est indirecte

Cette création est mise à disposition selon le Contrat

Paternité-Partage des Conditions Initiales à l'Identique 2.0 France disponible en ligne http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/fr/

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MPSI B Corrigé du DS 10 29 juin 2019

(savoir laquelle est sans importance). On supposera par exemple (u, v, w, s) directe et (u, v, w, −s) indirecte. On dénit q et q

0

par

q(u) = v, q(v) = −u, q(w) = s, q(s) = −w q

0

(u) = v, q

0

(v) = −u, q

0

(w) = −s, q

0

(−s) = −w

ce qui assure que les matrices de q dans (u, v, w, s) et de q

0

dans (u, v, w, −s) sont

toutes les deux 

1 0 0 0

0 1 0 0

0 0 0 −1

0 0 1 0

Ainsi S(q, u) = +1 , q ∈ Q + et S(q

0

, u) = −1 , q

0

∈ Q

.

b. Soit (b 1 , b 2 , b 3 , b 4 ) ∈ B(q) . La matrice de −q dans (b 1 , −b 2 , b 3 , −b 4 ) est M . Les bases (b 1 , b 2 , b 3 , b 4 ) et (b 1 , −b 2 , b 3 , −b 4 ) ont la même orientation. On en déduit S(q, u) = S(−q, u) .

c. Soit v ∈ Vect(u, q(u)) et w ∈ Vect(u, q(u))

. Il existe θ tel que v = cos θ u + sin θ q(u) donc q(v) = − sin θ u + cos θ q(u) . De plus

w ∈ Vect(v, q(v))

= Vect(u, q(u))

Ainsi, (u, q(u), w, q(w)) et (v, q(v), w, q(w)) sont deux bases dans B(q) . La matrice de passage de la première vers la seconde est

cos θ − sin θ 0 0 sin θ cos θ 0 0

0 0 1 0

0 0 0 1

son déterminant est 1, les deux bases ont la même orientation : S(q, u) = S(q, v)

3. a. Ici, p et q sont deux quarts de tour tels que p(u) = q(u) et que S(p, u) = S(q, u) , on veut montrer que p = q .

Soit v unitaire dans Vect(u, p(u))

= Vect(u, q(u))

. Alors (u, p(u), v, p(v)) ∈ B(p) et (u, p(u), v, q(v)) ∈ B(q) . Le dernier vecteur p(v) ou q(v) est orthogonal aux trois premiers donc p(v) et q(v) sont colinéaires. Comme ils sont unitaires, ils sont égaux ou opposés. De plus, les bases (u, p(u), v, p(v)) et (u, p(u), v, q(v)) ont

la même orientation car S(p, u) = S(q, u) donc p(v) = q(v) . Les endomorphismes p et q ont la même matrice M dans la même base (u, p(u), v, p(v)) , ils sont donc égaux.

b. Lorsque S(p, u) = −S(q, u) , en reprenant les notations et le raisonnement du a. ;, il vient p(v) = −q(v) . Il est alors clair que P = Vect(u, p(u)) et P

0

= Vect(u, p(u))

= Vect(v, p(v)) conviennent. En décomposant dans P ⊕ P

0

, on montre facilement que p et q commutent.

4. Ici, p(u) = −q(u) , posons q

0

= −q , c'est un quart de tour et p(u) = q

0

(u) ce qui permet de se ramener à la question précédente en utilisant 2.b.

si S(p, u) = S(q, u) = S(q

0

, u) alors p = q

0

= −q

si S(p, u) = −S(q, u) = −S(q

0

, u) , p commute avec q

0

= −q donc aussi avec q . 5. a. Ici, p et q sont des quarts de tours et (u, p(u), q(u)) est libre

1

. Considérons un

vecteur unitaire v ∈ Vect(u, p(u), q(v))

(il en existe exactement deux). Alors v ∈ Vect(u, p(u))

et v ∈ Vect(u, q(u))

donc (u, p(u), v, p(v)) et (u, q(u), v, q(v)) sont dans B(p) et dans B(q) respectivement.

Par conséquent, (b 1 , b 2 , b 3 , b 4 ) = (u, p(u), v, p(v)) et (c 1 , c 2 , c 3 , c 4 ) = (u, q(u), v, q(v)) répondent à la question. De plus, comme

c 2 = q(u) ∈ Vect(u, v)

= Vect(b 1 , b 3 )

= Vect(b 2 , b 4 ) il existe α tel que c 2 = cos α b 2 + sin α b 4 .

De même, c 4 = q(v) est orthogonal à c 1 = b 1 et à c 3 = b 3 donc c 4 ∈ Vect(b 2 , b 4 ) . Dans ce plan, c 4 est orthogonal à c 2 et unitaire, il est donc de la forme

ε(− sin α b 2 + cos α b 4 ) avec ε ∈ {−1, +1} .

La matrice de passage de (b 1 , b 2 , b 3 , b 4 ) vers (c 1 , c 2 , c 3 , c 4 ) est

1 0 0 0

0 cos α 0 −ε sin α

0 0 1 0

0 sin α 0 cos α

son déterminant est ε donc ε = 1 si S(p, u) = S(q, u)

1

Attention à ne pas confondre analyse et synthèse. Dans cet interminable problème, je pense que le correcteur sera reconnaissant envers le candidat qui ne rédige que la synthèse.

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ε = −1 si S(p, u) = −S(q, u)

b. Ici on suppose S(p, u) = S(q, u) . En conservant les notations de la question pré- cédente on a

c 2 = b 2 cos α + b 4 sin α c 4 = −b 2 sin α + b 4 cos α

b 2 = c 2 cos α − c 4 sin α b 4 = c 2 sin α + c 4 cos α

alors (rappelons que b 1 = c 1 etb 3 = c 3 )

p(q(u)) = p(q(c 1 )) = p(c 2 ) = p(b 2 ) cos α + p(b 4 ) sin α

= −b 1 cos α − b 3 sin α q(p(u)) = q(b 2 ) = q(c 2 ) cos α + q(c 4 ) sin α = −b 1 cos α + b 3 sin α

Ici sin α 6= 0 sinon c 2 = p(u) = ±b 2 = ±q(u) en contradiction avec (u, p(u), q(u)) libre, donc p(q(u)) 6= q(p(u)) .

Lorsque (u, p(u), q(u)) libre et S(p, u) = S(q, u) , p et q ne commutent pas.

c. Ici on suppose S(p, u) = −S(q, u) . Ecrivons les relations de 5.a. puis inversons les pour exprimer b 2 et b 4 . On obtient

b 2 = cos α c 2 + sin α c 4

b 4 = sin α c 2 − cos α b 4

Considérons un vecteur v de la forme

v = cos θ b 1 + sin θ b 3 = cos θ c 1 + sin θ c 3

alors

p(v) = cos θ b 2 + sin θ b 4

q(v) = cos θ c 2 + sin θ c 4

= (cos θ cos α + sin θ sin α)b 2 + (cos θ sin α − sin θ cos α)b 4

= cos(α − θ) b 2 + sin(α − θ) b 2 ) b 4

Si on choisit θ =

α

2 alors α − θ = θ =

α

2 donc p(v) = q(v) . Ceci démontre l'existence d'un vecteur v tel que p(v) = q(v) lorsque S(p, u) = −S(q, u) .

Le résultat des questions B.3.a. et b. est que : si pour un certain vecteur v p(u) = p(v) , alors p et q commutent toujours. On déduit de de B.5.c. que : si (u, p(u), q(u)) est libre et que S(p, u) = −S(q, u) alors p et q commutent

6. Résumons les résultats des questions précédentes

B.3. ∃u tel que p(u) = q(u) ⇒ p et q commutent.

B.4. ∃u tel que p(u) = −q(u) ⇒ p et q commutent.

B.5. ∃u tel que (u, p(u), q(u)) libre ⇒

si S(u, p) = S(q, u) alors p et q ne commutent pas.

si S(u, p) = −S(q, u) alors p et q commutent.

Supposons que p et q ne commutent pas. Les questions B.3. et B.4. montrent que q(u) 6= p(u) et q(u) 6= −q(u) . A cause des propriétés du quart de tour, on doit alors avoir (u, p(u), q(u)) libre et B.5. entraîne S(p, u) = S(q, u) .

Conclusion Si p et q ne commutent pas, S(p, u) = S(q, u) ou S(p, u) = −S(q, u) entraine p et q commutent.

7. On veut montrer S(q, u) = S(q, v) . Lorsque v ∈ Vect(u, q(u)) on l'a déjà fait en B.2.c..

Supposons donc v 6∈ Vect(u, q(u)) c'est à dire (u, v, q(u)) libre.

Considérons un vecteur w orthogonal à v dans Vect(u, v) . On a alors Vect(u, v) = Vect(v, w) . Complétons (v, w) en une base orthonormée (v, w, s, t) de même orientation qu'une base de B(q, u) . C'est possible en remplaçant au besoin le dernier vecteur par son opposé.

Dénissons un quart de tour en posant

p(v) = w, p(w) = −v, p(s) = t, p(t) = −s

de sorte que (v, w, s, t) ∈ B(p) . Par construction de la base, S(p, v) = S(q, u) . Comme u ∈ Vect(u, p(w)), S(p, u) = S(p, v) . On a donc bien fabriqué un quart de tour p tel que S(q, u) = S(p, u) = S(p, v) .

Achevons de montrer que S(q, u) = S(q, v) . Comme S(q, u) = S(p, v) , trois cas sont possibles :

p(u) = q(u), p(u) = −q(u), (u, p(u), q(u))libre

Les deux premiers cas conduisent à p = ±q alors S(q, u) = S(p, u) donc S (q, u) = S(q, v) Dans le troisième cas, d'après B.5., p et q ne commutent pas. Alors, d'après B.6., pour n'importe quel vecteur de U (en particulier v ) : S(q, v) = S(p, v) . On en déduit S(q, u) = S(q, v) ce qui démontre le premier théorème.

Démontrons le deuxième théorème en notant S(p, u) = S(p, v) = S(p) .

Soit p ∈ Q + et q ∈ Q

alors S(p, u) = −S(q, u) et B.3.+B.5.c. entraînent que p et q commutent.

Soit p et q distincts dans Q + ou Q

c'est à dire S(p) 6= S(q) . Il existe un u unitaire tel que p(u) 6= q(u) . D'après B.4., p = −q si p(u) = −q(u) . Sinon (p(u), q(u)) est libre et p(q(u)) 6= q(p(u)) c'est à dire que p et q ne commutent pas.

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PARTIE C : Les sous groupes F + et F

1. Evident d'après les théorèmes de la partie B.

2. Considérons une base orthonormée directe (u 1 , u 2 , u 3 , u 4 ) avec u 1 = u et v ∈ Vect(u 1 , u 2 ) . Il exsite un α tel que v = cos α u 1 + sin α u 2 . Dénissons q ∈ Q + en posant

q(u 1 ) = u 2 , q(u 2 ) = −u 1 , q(u 3 ) = u 4 , q(u 4 ) = −u 3

La fonction f = cos α Id + sin α q ∈ F + convient. On fait de même avec la base orthonormée indirecte (u 1 , u 2 , −u 3 , u 4 ) en dénissant q ∈ Q

et f

0

= cos α Id+sin α p ∈ F

3. a. On vérie que C(F) 6= car il contient Id et qu'il est stable par composition et inversion.

b. Soit f

0

et f

00

dans C(F ) tels que f

0

(u) = f

00

(u) . On suppose F transitif à partir de u et on veut montrer que f

0

= f

00

.

En eet, pour tout v unitaire, il existe f ∈ F tel que f (u) = v alors f

0

(v) = f

0

◦ f (u) = f ◦ f

0

(u) = f ◦ f

00

(u) = f

00

◦ f (u) = f

00

(v) par linéarité, on en déduit l'égalité pour tous les autres v .

c. On suppose que F et F

0

sont transitifs à partir de u et qu'ils commutent. Ceci entraine immédiatement F ⊂ C(F

0

) et F

0

⊂ C(F ) . Pourquoi C(F ) est-il inclus dans F

0

?

Soit f

0

∈ C(F) , il existe f

00

∈ F

0

tel que f

0

(u) = f

00

(u) . Comme F

0

⊂ C(F) , f

0

et f

00

sont deux éléments de C(F ) égaux en u . D'après la question précédente, ils sont égaux partout d'où f

0

∈ F

0

4. D'après C.1., tout élément de F + commute avec tout élément de F

. D'après C.2., F + et F

sont transitifs. On en déduit alors d'après C.3.c. que F + = C(F

) et F

= C(F + ) . Ces relations montrent que F + et F

sont des sous-groupes.

Pour u et v donnés dans U , on a déjà montré l'existence de f et f

0

tels que f (u) = f

0

(u) = v . L'unicité est une conséquence de C.3.b.

5. a. Comme Vect(b 1 , b 2 ) et Vect(b 3 , b 4 ) sont invariants par q et q

0

, ils le sont aussi par g . En faisant les calculs avec les matrices 2,2, on trouve que la restriction de g à Vect(b 1 , b 2 ) est Id et que la restriction de g à Vect(b 3 , b 4 ) orienté de manière à ce que (b 3 , b 4 ) soit directe est la rotation d'angle 2α

b. Soit g ∈ G tel que g(u) = u , l'espace de dimension 3 orthogonal à u est alors stable par g . La restriction à cet espace de g est orthogonale et de déterminant 1,

c'est donc une rotation. Elle admet un axe Vect(v) . Tous les vecteurs de Vect(u, v) sont alors invariants par g .

La question 5.a. montre qu'il est possible de d'écrire g sous la forme g = (cos α Id + sin α q) ◦ (cos α Id − sin α q

0

) ∈ F + ◦ F

c. Soit g ∈ G et u ∈ U , comme F + est transitif, il existe f ∈ F + tel que f (g(u)) = u . D'après 5.b., il existe f 1 ∈ F + et f 2 ∈ F

tels que f ◦ g = f 1 ◦ f 2 donc g = f

−1

◦ f 1 ◦ f 2 avec f

−1

◦ f 1 ∈ F + et f 2 ∈ F

6. a. Supposons h = cos α Id + sin α q = cos β Id + sin β p avec q ∈ F + et p ∈ F

. Formons des équations vériées par h : sin α q = h − cos α Id donc

sin 2 α q 2 = − sin 2 α Id = h 2 − 2 cos α h + Id

donc h 2 − 2 cos α h + Id = o

L(E)

. De même, h 2 − 2 cos β h + Id = o

L(E)

. On en déduit cos α = cos β , sin α = ± sin β . Mais alors (sauf si sin α = sin β = 0 ) q = ±p ce qui est impossible pour p ∈ Q + et q ∈ Q

. La seule possibilité est donc sin α = sin β = 0 c'est à dire h = ±Id

b. Si g = f

∈F+

◦ f

0

∈F

= ϕ

∈F+

◦ ψ

∈F

, posons h = ϕ

−1

◦ f . Il appartient à F + . Alors ϕ◦ h◦f

0

= ϕ◦ψ donc h◦ f

0

= ϕ◦ ψ , h = ψ ◦f

0−1

∈ F

donc h ∈ F + ∩F

= {±Id} . Finalement g se décompose seulement de deux manières

g = f ◦ f

0

= (−f ) ◦ (−f

0

)

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