• Aucun résultat trouvé

de la Gare 7 tél

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "de la Gare 7 tél"

Copied!
47
0
0

Texte intégral

(1)
(2)

Votre prévoyance professionnelle:

plus un casse-tête avec nous.

Rendez-vous à la Banque Cantonale. Elle vous le rendra bien,

BANQUE DE L'ÉTAT ^F|

DE FRIBOURG H

Celui qiron préfère....

le bon lait pasteurisé dans remballage de sa réeion

MURTNER FASTNACHT 3. bis 5. März 1984

Sonntag, 4. März, GROSSER UMZUG, Start um 15.03 Uhr

Dimanche 4 mars 1984, départ 15 h. 03 GRAND CORTÈGE

du Carnaval de Morat ENTKEPM5E5 ELECTMQUE5

PMbOUKGEOlbEb

x II

€B€L%

Les Architectes du temps

grauwiller fribourg Av. de la Gare 7 tél. 22 3679

boutique susan Avry centre tél. 301510

2 aSBSïïaSu

(3)

SOMMAIRE

v J

jüiaouasu Revue bimensuelle d'informa¬

tion et d'actualité paraissant le premier et le troisième mercre¬

di du mois. Organe officiel de l'Association Joseph Bovet et des Fribourgeois «hors les murs».

Rédiction et administration:

Imprimerie FragnièreS.A. - 35.

rte de la Glane - Ca.se postale 331 - 1701 Fribourg - Tél.

037/24 75 75.

Rédacteur en chef responsable:

Gérard Bourquenoud (Gruyère - Sarine - Lac).

Correspondants et collaborateurs:

Monique Peytregnet (Arts et culture - Glane et Ve- veyse).

Gabriel Fahrni

(Broyé vaudoise et fribour- geoise).

Albert Jaquet (Musique et folklore).

Rose-Marie Ksseiva (Social et éducation).

Marcel Brodard (Sports).

Service d'abonnements et d'expédition:

Catherine Kacera.

Abonnements:

Annuel: Fr. 66.50. Semestriel:

Fr. 37.-. Etranger: Fr. 81.-. Par avion: Fr. 105.-. Vente au nu¬

méro: Fr. 3.50. Compte de chèques postaux 17-2851.

Tirage:

8500 exemplaires.

La reproduction de textes ou d'illustrations ne peut se faire qu'avec l'autorisation de la ré¬

daction - la rédaction n'assume aucune responsabilité pour les manuscrits et photos non com¬

mandés.

Publicité:

Assa - Annonces Suisses S.A. - 10. bd de Pérolles - 1700 Fri¬

bourg-Tél. 037/22 40 60. Dé¬

lai de réception des annonces:

15 jours avant la parution.

4 Du fair-play s'il vous plaît

Le billet de Gérard Bourquenoud 5 Le folklore en Singine

6 Foyer Sainte-Marguerite à Vuisternens:

Une maison propice pour une retraite paisible 8 Pèlerinage militaire international à Lourdes 13 Salon de l'automobile: Vitrine des nouveautés 23 La voix de Bernard Romanens s'est tue

Mais le «Ranz des vaches» vibre encore...

32 Les sports: le Ski-Club Hauteville 34 La fascination de la neige

36 Festivités carnavalesques dans le canton 40 Que la Suisse est belle!

41 Le gendarme ambitieux...

42 L'œil flâneur

V J

Notre couverture

La fascination de la neige au Pays de Fribourg Par les grands froids, sous un ciel serein, on voit flotter dans l'air des flocons de neige dont les mille faces étincelantes réfléchissent d'une manière merveilleuse des rayons du soleil. La neige communique au paysage un aspect artistique et pittoresque des plus remarquables. La tonalité tantôt changeante et tantôt uniforme dont elle pare le Pays de Fribourg offre un frappant contraste avec les forêts et les chalets alpestres aussi sombres que les sapins poudré à frimas.

Photo Leo Hilber, Fribourg Voir reportage sur le ski de fond à la page 34.

F.RIBOUR 3L. 3

(4)

If-,. fair-play s'il vous plaît!

Le hockey sur glace demeure un sport très populaire dans notre pays parce qu'il est le sport collec¬

tif le plus rapide du monde et parce que les succès obtenus par l'équipe nationale avant la guerre ont créé autour de lui une légende apparemment indestructible. Pen¬

dant longtemps, les meilleurs joueurs ont été formés dans les stations de Davos et d'Arosa, puis sont apparues de fortes équipes de plaine telles que Berne, Zurich, Neuchâtel, Viège et Villars. De 1968 à 1973,1e HC La Chaux-de- Fonds a été six fois champion suisse, ceci grâce à la compétence d'un entraîneur remarquable, le canadien Gaston Pelletier, lequel a également réussi l'ascension du HC Fribourg-Gottéron en ligue nationale A, équipe entraînée de¬

puis deux ans par le Grison Paul- André Cadieux.

Permettez que je vous parle l'es¬

pace d'un tiers temps du hockey sur glace dans la capitale fribour- geoise où, depuis quelques an¬

nées, il connaît un regain d'inté¬

rêt. Il y a deux ans, Saint Augustin a transmis ses pouvoirs à Saint Léonard qui, pour l'instant, se défend plus ou moins bien. Pour ce qui est de l'ambiance, celle-ci est presque aussi extraordinaire à la nouvelle patinoire que sur les bords de la Sarine. Cela est dû probablement à cette belle jeu¬

nesse qui est nombreuse à se déplacer à chaque match pour encourager le HC Fribourg-Got- téron. Il est évident que sa pré¬

sence joue un rôle primordial sur le moral des joueurs fribourgeois qui ont besoin d'être réconfortés et galvanisés non seulement lors¬

que la chance est de leur côté, mais tout particulièrement lorsqu'ils ont de la peine à tenir le rythme imposé par l'équipe visiteuse.

4

Ce qui, par contre, fait mal au cœur des joueurs du HC Fri- bourg-Gottéron, c'est de constater que dans le public qui assiste avec une rare fidélité aux matches de l'équipe fribourgeoise, il y a un certain nombre de spectateurs - car il ne faut pas mettre tout le monde dans le bain - à qui il manque vraisemblablement un brin d'éducation, car se permettre de siffler d'une manière aussi arrogante l'équipe visiteuse, lors¬

que celle-ci fait son entrée sur la patinoire pour disputer son match, provoque une indignation qui heurte la conscience morale.

Ne serait-il pas plus intelligent et beaucoup plus agréable d'applau¬

dir l'équipe visiteuse comme le fait la majorité du public pour l'équipe locale? Une autre impoli¬

tesse que nous souhaitons voir disparaître le plus rapidement possible, c'est le langage déplacé tenu par quelques dizaines de supporters à l'égard des arbitres qui ne méritent pourtant pas cela.

Avec la rudesse du jeu que nous connaissons aujourd'hui, il n'est pas toujours facile pour les arbi¬

tres d'appliquer le règlement à la lettre et de satisfaire chacun. Et comme personne n'est infaillible, pourquoi ne pas leur pardonner d'éventuelles erreurs?

u n autre point jugé crucial pour l'avenir du hockey sur glace, à Fribourg, c'est le comportement du public lorsqu'une bagarre éclate entre joueurs. Ce n'est pas son affaire, donc il n'a aucun motif valable pour lancer des

objets et boîtes de bière sur la patinoire, comme ce fut le cas lors du match contre Langnau, le 4 février dernier. Ces faits et gestes peuvent faire perdre le match à l'équipe fribourgeoise, laquelle pourrait également écoper d'une amende très élevée.

V enons-en à un problème d'au¬

tant plus important qu'il est né¬

faste à la santé des joueurs: la fumée. Celle-ci perturbe la respi¬

ration des hockeyeurs dans leur

effort et leur concentration au jeu.

Pourquoi les fumeurs ne feraient- ils pas aussi un effort dans ce sens, ceci déjà lors du tour final ainsi que la saison prochaine? Les res¬

ponsables des manifestations sportives nous ont informés que si cette discipline ne devait être res¬

pectée, la patinoire sera, lors de chaque match, ouverte en consé¬

quence. Ce qui ne sera pas de bon aloi pour tout le monde.

Avec le HC Fribourg-Gottéron, nous espérons vivement revivre l'ambiance chaleureuse qui exis¬

tait aux Augustins en souhaitant qu'à partir d'aujourd'hui, chaque match sera animé de fair-play.

Qu'on se le dise!

Match opposant A rosa à Fribourg-Gottéron, à la patinoire communale deSt-Léonard. A gauche, Ricardo Fuhrer projetant le puck dans la cage du gardien Sundberg. Photo D. Schäfer. Marly

(5)

r a MUSIQUE ET FOLKLORE

Le folklore appenzellois invité en Singine

Le samedi 24 janvier dernier, le «Sensler- gruess», club de yodleurs de Guin que préside avec un rare dévouement M. Mau¬

rice Werro, invitait la population à son concert annuel traditionnellement organisé à l'Hôtel de la Gare du grand village singinois. Pour meubler un programme où déjà alternaient yodels, lancers de drapeaux et sonnerie de cors des Alpes, on eut l'heureuse idée d'inclure le yodlerklub «Al- peblueme» d'Herisau, en Appenzell Rho¬

des-Extérieures, qui, par la voix, les jeux alpestres et le costume, réunit une culture pastorale régionale d'une beauté et d'une richesse étonnantes.

En effet, tout en elle témoigne des costumes et coutumes remontant, au bas mot, au XVIIIe siècle. Gilets rouges brodés, aux boutons d'argent ciselés; sur le côté gauche apparaît la pointe d'un mouchoir imprimé de motifs multicolores où se côtoient vaches et sentences. Le chapeau de feutre noir est décoré d'une couronne de fleurs et de rubans flottans rouges et verts. La culotte étroite, de peau jaune soufre, ou même celle du dimanche confectionnée en tissu métis brun, est retenue par des bretelles de cuir ornées d'applications en laiton. Partout on retrouve le thème de la montée à l'alpage:

dans les ornements de métal, sur la broche du col et les découpes de laiton des bretelles, aux boucles d'argent des souliers, sur la blague à tabac ou sur la fameuse pipe appenzelloise. Ce même motif est brodé sur le devant des chemises. La montre est retenue par une lourde chaîne d'argent garnie de pendentifs: vieilles monnaies, médailles et symboles de la vie alpestre. Au lobe de l'oreille se balance une minuscule cuillère à crème en laiton, parfois même en or.

Yodlerklub «Alpeblueme», Herisau, Appenzell.

Yodlerklub «Senslergruess», Diidingen.

Die kapelle Henberger-Geiger. Photos Otto Vonlanthen

Le jeu des cloches, ou celui des pièces d'argent qui tournent dans les écuelles, demande une habileté toute spéciale et s'accompagne de yodels très particuliers.

Tout est signe distinctif d'une région ainsi que fierté d'une classe paysanne aisée qui, autrefois, éclatait notamment lors de la montée à l'alpage ou du retour au foyer.

Quant au club de yodleurs de Guin, il s'est présenté avec de nombreux nouveaux visa¬

ges encadrant les anciens. La qualité de sa prestation doit être, certes, un encourage¬

ment pour son nouveau directeur, M. Louis Riedo, lequel a tout le mérite de continuer dans la voie précédemment tracée et d'ame¬

ner le cadet des clubs fribourgeois sur les chemins habituels du succès.

A. J.

SâBsKRëL. S

(6)

ART DE VIVRE

V. /

Le foyer Sainte-Marguerite à Vuisternens-devant

Une maison propice à une retraite paisible

Pris de l'église, vous quittez la route cantonale pour emprunter celle qui mène à Villariaz. A la sortie du village, une grande bAtisse n'attirera guère votre attention, et pourtant, en prenant la peine d'y entrer, vous serez immédiatement conquis par l'atmosphère chaleureuse, la tranquillité, l'abondance de plantes vertes et surtout les sourires bienveillants des sœurs responsables de la bonne marche du Foyer Sainte-Marguerite qui accueille une cinquantaine de personnes igées.

Une œuvre paroissiale

Le foyer a pu être construit, il y a 22 ans, grâce à une donation de Mllc Liénard faite dans ce but précis. Actuellement, la Com¬

mission du Foyer se compose d'un repré¬

sentant de chacune des huit communes qui s'occupent de sa gestion. Ce sont Vuister- nens, La Magne, Sommentier, Lieffrens, La Joux, Villariaz, Estévennens et la Neirigue.

Les personnes accueillies viennent en prin¬

cipe de ces villages et Sœur Marie-Pierre souligne l'intérêt de tous les membres de la commission pour «leur» Foyer.

Une vie simple et naturelle

Sœur Marie-Pierre, supérieure du Foyer, m'a guidée à travers cette grande maison et j'ai pu rencontrer Sœur Marie-Joseph qui se

Le Foyer Sainte-Marguerite, son jardin et son verger.

Romont

Une partie de cartes.

charge de la cuisine où elle mitonne des menus variés et appétissants à partir des produits du très grand jardin dont dispose le Foyer. Puis, j'ai fait la connaissance de Sœur Elisabeth qui aidait quelques dames à leur toilette et, est également, chaque après- midi, le professeur de français des jeunes filles venues passer un an en Romandie. Il paraît d'ailleurs que les pensionnaires s'at¬

tachent beaucoup aux jeunes dont les dé¬

parts ne sont pas toujours sans émotion.

Quelques dames de la région viennent aider au ménage, tandis que tous les pension¬

naires participent à la marche de la maison¬

née, dans la mesure de leurs possibilités respectives. J'ai pu me rendre compte que certains sont d'une efficacité dont les Sœurs mesurent l'importance. L'un deux, par exemple, fait tous les transports et les travaux mécaniques, d'autres jardinent, bri¬

colent à l'atelier, aident à la cuisine, au ménage, à la mise en place de la salle à manger... et quelques dames, bien agiles de leurs doigts, confectionnent de très beaux travaux au crochet ou au tricot. La vie du Foyer ne doit pas être en rupture avec celle que tous les pensionnaires ont vécue aupa¬

ravant.

Le secret de ce bonheur tranquille En discutant avec Sœur Marie-Pierre, en visitant cette grande maison pleine de lu¬

mière, de verdure et de fleurs, j'ai apprécié non seulement sa conception fonctionnelle, son ameublement confortable, mais sur¬

tout, j'ai compris l'importance du rôle et de l'attitude des Sœurs. Si les pensionnaires aiment participer et se sentent en famille.

6 JtâBsÂSà-

(7)

c'est qu'ils vivent en harmonie. L'aumônier du Foyer, l'abbé Hauser apprécie qu'ils viennent, chaque jour, nombreux à la messe dont ils retirent un grand réconfort spiri¬

tuel. A Vuisternens, on admet que le repos est un privilège du 3e âge et plusieurs lieux de réunion sont aménagés à cet effet. La radio, la télévision, les jeux de société et la visite des familles occupent une part impor¬

tante de ce temps. Les Sœurs du Foyer Sainte-Marguerite n'aiment pas qu'on parle d'elles, mais j'espère qu'elles me pardonne¬

ront de dire qu'elles ont su créer un climat de confiance particulièrement propice à une retraite paisible et entourée d'affection.

mpd

Courrier des lecteurs Monsieur le Rédacteur,

J'ai été très heureux de prendre connaissance du numéro spécial de

«FRIBOURG illustré». Tous les échos entendus sont très favorables et témoignent du fait que c'était là une enquête très utile, voire nécessaire.

Je voudrais souligner la qualité du travail réalisé par vous-même et par toute votre équipe. Le soin d'une telle information objective ne va pas de soi et n 'est pas facile. Il l'est plus lorsque l'on prend la peine de consacrer le temps qu 'ilfaut à ce que l'on réalise. Et c'est ce que vous avez fait et bien fait.

Pierre Quartenoud, directeur Hôpital cantonal de Bertigny

Monsieur le Rédacteur,

Etant un Fribourgeois «hors les murs», j'ai lu avec intérêt votre reportage sur l'Hôpital cantonal de Fribourg! «Maison d'espoir d'un peuple»! Quel bel objectif! Rien ne manque, tout est bien conçu. Une question toutefois: dans cette «maison d'espoir», n'y a-t-ilplace que pour les techniciens de la santé?

Si j'ai bien lu, aucune allusion à la présence et à l'activité d'un aumônier? Bizarre!

Avec mes félicitations et un brin de regret pour cette lacune.

Pierre Hayoz Av. Roseraie 52 - 1205 Genève

Monsieur,

Félicitations pour votre journal que nous avons bien du plaisir à lire.

Christian Décrind Rue du Lac 136 - Clarens

Plateau romand et Préalpes:

consommation d'électricité en hausse

Durant l'année 1983, la consommation d'électricité des cantons de Genève, Vaud et Fribourg, qui sont alimentés pour moitié environ par leurs propres usines et pour l'autre moitié par l'Energie de l'Ouest-Suisse (EOS), s'est accrue de 4,8 % par rapport à 1982. La hausse en 1982 avait été de 3,5 % par rapport à 1981.

L'accroissement de la consommation constaté en 1983 est d'environ 230 millions de kilowattheures. Cette consommation supplémen¬

taire se répartit à raison d'environ 210 mio de kWh pour la catégorie

«Ménages, services, artisanat et agriculture», et d'environ 20 mio de kWh pour l'industrie.

La quantité supplémentaire d'électricité, qu'il a fallu importer dans cette région de Suisse, correspond à peu près à la moitié de la consommation de la Commune de Lausanne en 1983.

SâBSÂEëU 7

(8)

r A MILITAIRE

Pèlerinage militaire international à Lourdes C'est en 1958 que les aumôniers militaires français et allemands,

dans un geste de réconciliation, ont institué le pèlerinage militaire international à Lourdes. Depuis lors, chaque année ce sont plus de 20 000 soldats (dont env. 18 000 jeunes entre 20 et 26 ans) de tous grades qui participent à cette rencontre internationale dans un esprit de camaraderie extraordinaire (environ 23 pays provenant de 4 continents).

Depuis 25 ans une délégation suisse participe également à ce pèlerinage militaire, (environ 120 participants).

Droit de participation en uniforme: tous les militaires, SCF et SC de tous grades qui sont encore incorporés dans l'armée.

Les militaires de tous grades qui sont libérés du service peuvent également participer mais EN CIVIL UNIQUEMENT.

Le voyage se fait en train (wagons-couchettes). Les participants en uniforme peuvent loger soit à l'hôtel soit au camp militaire (25 places disponibles) alors que les personnes civiles doivent obligatoirement loger à l'hôtel.

Ce pèlerinage est organisé par le DMF (office fédéral de l'adjudance de l'armée resp. par le service des aumôniers militaires).

Prix tout compris voyage, logement, nourriture, au départ de Genève env. 430 Fr. (camp militaire 300 Fr).

Réservez maintenant déjà les dates pour le

XXVIe pèlerinage militaire international à Lourdes, 24 - 29 mai 1984 (y compris jours de voyage)

Pour tout renseignement prenez contact avec une des personnes suivantes:

Cap aumônier: BAMERT Alois

Collège cantonal - 6430 SCHWYZ - Tél. 043/23 11 33 Chef de service SCF: KELLER Zita

Semli - 5304 ENDINGEN - 056/52 1 1 52 Lt Colonel: SCHAFER Willy

Saucens 13 - 1630 BULLE

Tél. privé 029/2 54 66 - bureau 029/3 12 99 Capitaine: CORTELLA Pio

Via Volta 16 - 6830 CHIASSO - Tél. 091/44 39 51

Impressions d'un participant au pèlerinage militaire international de Lourdes

Le vocable «pèlerinage» est pour la plupart des personnes synonyme de recueillement et de voyage en prières, où l'on associe également transport et bénédiction des malades. Sur ce point, ce pèlerinage diffère sensiblement des autres.

De plus, il figure comme évé¬

nement particulier et comme le plus important des pèlerin¬

ages de l'année au milieu des 542 inscrits au calendrier de Lourdes.

Ce pèlerinage qui, selon les dires du Vicaire Général MIN- GAM, l'actuel directeur du Pèlerinage Militaire Interna¬

tional (PMI) ne ressemble à

aucun autre et rencontre d'an¬

née en année un succès gran¬

dissant.

Historique

Si le pèlerinage militaire est, comme son nom l'indique, un événement militaire sur le plan international, il faut y voir ses origines après la dernière guerre mondiale. C'est en effet dès la fin de la guerre 39/45 que des soldats français et allemands décidèrent de se ré¬

concilier et de renouveler cet événement chaque année, en y organisant précisément une rencontre en reconnaissance

Rencontre dans la rue entre un sgtm porte-drapeau suisse, des paras et hôtesses de l'armée de l'air française.

de ce fait marquant. L'idée ayant fait son chemin, un nombre de soldats et de pays toujours plus importants par¬

ticipèrent à cette rencontre pour y atteindre le chiffre re¬

cord de près de 20 000 partici¬

pants d'une vingtaine de pays.

En 1977, une délégation co¬

réenne prit, pour la première fois, part au PMI représentant ainsi aussi l'Asie.

Organisation

Qui organise ce voyage? Le service de l'aumônerie de l'ar¬

mée française est responsable de l'organisation à Lourdes.

Pour la Suisse, c'est le service de l'adjudance de l'armée qui recrute et met sur pied ce voyage jusqu'à Lourdes. Sur le plan pratique (cantonnements, subsistance, etc.), il y a deux possibilités: l'hôtel ou le camp militaire.

Parlons un peu du camp mili¬

taire:

Celui-ci est situé à proximité immédiate de la ville de Lour¬

des, sur un promontoir. Il est monté dans une pinède et constitué par plusieurs centai-

Américains à droite. Suisses au milieu et Hollandais à gauche.

8

(9)

nés de tentes de l'armée. L'or¬

ganisation, le service de police, le déroulement des manifesta¬

tions à l'intérieur du camp, la préparation et le service des repas, sont assurés par une unité de service de l'armée française. Le camp est très bien organisé: électricité, eau courante, téléphone, WC, kiosque, bar, carnotzet, bref rien n'y manque.

Manifestations et cérémonies Le séjour à Lourdes dure 4 jours complets. Durant les 4 jours, diverses manifestations et cérémonies ont lieu, auxquelles participent, soit la totalité des participants (envi¬

ron 20 000), comme par exemple à l'office du dimanche qui se déroule dans la grande basilique souterraine et qui est une messe extraordinaire, tant par ses chants rythmés, par sa ferveur, par l'enthousiasme des participants, par ses cou¬

leurs et, disons-le, par son déroulement un peu particu¬

lier. D'autres oérémonies, par contre, sont organisées en te¬

nant compte de la langue des participants: par exemple pour les pays francophones, anglo¬

phones et germanophones.

Une expérience à vivre Quand un des plus grands soldats du dernier grand tour¬

ment mondial, le Général MONTGOMERY quitta Lourdes après quelques jours de recueillement et de ré¬

flexion, il avoua à Mgr Théas

«C'est vraiment la plus grande émotion de ma vie que j'ai connue à Lourdes...» et dire que ce grand général anglais a vécu l'enfer d'EL ALAMEIN.

Il est rappelé une fois encore que les aventuriers seront déçus, car ils n'y trouveront pas leur compte. La décision de participer à ce pèlerinage doit avant tout être le fruit d'une démarche intérieure per¬

sonnelle.

Tous ceux qui font du service militaire savent par expérience que les retrouvailles entre ca¬

marades sont de beaux et grands moments. Il en est de même à Lourdes où la déléga¬

tion suisse est très appréciée et très connue.

Le voyage et le séjour à Lour¬

des se font en uniforme. C'est précisément l'uniforme qui est en premier lieu la carte de visite et permet de reconnaître l'appartenance à tel ou tel pays.

C'est encore l'uniforme qui facilite les contacts et déclen¬

che, lors de cette rencontre internationale une camarade¬

rie extraordinaire et chaleu¬

reuse. C'est ainsi que, le soir venu, on rencontre, rassem¬

blés autour d'une bouteille, des soldats de langues et de pays différents, cherchant à se faire comprendre. L'ambiance du camp est, elle aussi, empreinte d'une grande et véritable ca¬

maraderie.

L'âge moyen des soldats pèler¬

ins se situe entre 20 et 25 ans environ. Seuls les of et sof de profession des armées étran¬

gères sont un peu plus âgés, ainsi que la plupart des partici¬

pants de la délégation suisse.

Parmi les nombreux événe¬

ments vécus à Lourdes, il y en a un qui m'a particulièrement frappé: la grotte de la Vierge.

Imaginez une ville en pleine effervescence due à la présence de plusieurs milliers de sol¬

dats. Après une journée bien remplie, nous nous étions at¬

tardés, mes camarades et moi, à boire un verre dans un bar.

Vers une heure du matin, alors que nous envisagions de ren¬

trer au camp, nous prîmes la décision de passer par la grotte pour nous recueillir un petit instant. Quelle ne fût pas notre surprise de constater, à cette heure avancée de la nuit, la présence de près d'une cen¬

taine de soldats de plusieurs pays se recueillant dans un silence extraordinaire.

C'est là que j'ai compris que pour beaucoup la vocation de Lourdes reste un lieu où l'on vient puiser l'ESPOIR ou en¬

core dire MERCI en guise de reconnaissance.

Conclusion

Chaque année, un thème sou¬

tient la préparation et le dérou¬

lement du PMI. Il est choisi au cours de la conférence interna¬

tionale d'octobre qui réunit les responsables de tous les pays participants.

A Lourdes, où des milliers de soldats des quatre coins du monde se rencontrent et prient pour la paix, la camaraderie entre soldats de tous rangs, provenant de différents pays, n'est pas un vain mot, même qu'elle ne connaît ni frontière, ni couleur de peau, malgré la diversité des uniformes et des provenances. Lourdes, c'est le carrefour de l'amitié de soldats de toutes les nations.

Droit de participation En uniforme: tous les mili¬

taires incorporés et âgés de 50

Un groupe qui montre bien la diversité des nations présentes à Lourdes.

Fusiliers allemands, paras français, pilotes hollandais et italiens, SCF, sdt et of suisses font bon ménage.

ans au plus (officiers: 55 ans).

En civil: les militaires ayant plus de 50 ans ainsi que le conjoint ou un membre proche de la famille d'un participant en uniforme.

Inscriptions

• Dates à retenir: 24 - 29.5.1984.

• Départ de Genève jeudi soir 24 mai aux environs de 20 h., en train (wagons-cou- chettes).

• Séjour à Lourdes vendredi, samedi, dimanche, lundi.

• Retour à Genève mardi 29 mai, aux environs de 8 h.

• Prix approximatif du sé¬

jour, voyage et nourriture compris, Fr. 300.- environ pour le camp militaire, et Fr. 400.- environ pour le logement à l'hôtel.

Les détails et précisions vous seront communiqués lors de l'inscription.

Equipement et tenue

Des précisions quant à la tenue et à l'équipement vous par¬

viendront lors de l'inscription.

Dernier délai pour l'inscrip¬

tion: 20 mars 1984.

Inscriptions et renseignements auprès de:

Willy Schafer

Chemin de Saucens 13 1630 Bulle

Tél. 029/2 54 66 ou 029/3 12 99

ou de:

Adj sof Albert Lanter Heubächliring 1 6020 EmmenbrUcke Tél. 041/53 27 53

sM~~ ' »9 wi

L'arrivée à Lourdes de la célèbre légion étrangère de l'armée française

(10)

r a LES JEUX

Concours «Avez-vous de l'œil?»

du 25 janvier 1984 La réponse exacte est:

Eglise de Villars-sous-Mont, dédiée à saint Simon et à saint Jude.

Index des personnes qui ont donné la réponse exacte:

Suzanne Rouiller, Ilgstrasse 29, Zurich; Gérard Mauron, Autafond;

Christine Koliy, Marsens; Thérèse Losio, Porsel; Léon Castella, Albeuve; Marcelle Vogt-Thorin, Vers-chez-Perrin; E. Castoldi, Chatelet 13, Payerne; Christian Décrind, Lac 136, Clarens; Suzanne Berger, Chasselas 13, Neuchâtel; Bernard EcofTey, Pralaz 11, Peseux; Emile Raboud, Grandvillard; Emma EcofTey, Villars-sous- Mont; Eliane EcofTey, Les Loyettes, Villars-sous-Mont; Marie- Jeanne Pythoud, Milice 3, Plan-les Ouates; Antoine Thorin, Villars- sous-Mont; Ariette Loup, Floréal 8, Lausanne; Francine Rolle, Crésuz; Sara Rouilly, St-Jean, Lonay; Félix Robadey, curé, Crésuz;

Rose-Marie Wegmann, Fleurette 32, Lausanne; Denis Küffer, Floréal 8, Lausanne; Raymond Horner, Autafond; Marie-Louise Gavillet, Esmonts; Max Gavillet, Esmonts; Agnès Donzallaz, Vauderens; Raymond Zurich, Lessoc; Maurice Grêt, La Joux; J.-D.

Dey, Villars-sous-Mont; Thérèse Ecofley-Butty, Villars-sous-Mont;

Cécile Laett-EcofTey, Simplon 19, Lausanne; Paul Pesse, La Joux.

Le tirage au sort a désigné comme gagnante d'un abonnement de trois mois à FRIBOURG illustré:

M ""Cécile Laett-Ecoffey, Simplon 19, Lausanne.

AVEZ-VOUS DE L'OEIL?

De quel village s'agit-il?

Votre réponse devra nous parvenir, sur carte postale uniquement, jusqu'au 29 février 1984, à l'adresse suivante: Rédaction de FRIBOURG illustré - Case postale 331 - 1701 Fribourg.

LABYRINTHE

Saurez-vous trouver votre chemin à l'intérieur de ces trois bâti¬

ments? Un chemin qui doit vous mener de l'étoile placée au dernier étage de l'immeuble central à l'une des trois sorties. Passez par les portes - mais pas par les murs! -, empruntez aussi les échelles, en descendant ou en montant. Interdiction, bien sûr, de sauter s'il n'y a pas d'échelle! Bonne route.

Qui êtes-vous?

Un abonnement de trois mois à FRIBOURG illustré vous est offert.

Seule la personne concernée peut s'annoncer.

Annoncez-vous par écrit à la Rédaction de FRIBOURG illustré Rte de la Glane 35 1701 Fribourg.

10 MâÊÂEâ-

(11)

En route pour le 54e Salon international de l'automobile de Genève

11

(12)

Agents locaux:

Bulle:

Garage Moderne SA Tél. 2 63 63 Avenches:

Garage du Faubourg M. John Jan 75 14 23

Citroën BX16.

1600 cm3.92 CV.

Venez l'essayer.

Garage Piller S.A. Fribourg Rue F.-Guillimann 14-16 Tél. 037/22 30 92

Courtepin:

City-Garage M. J. Dula Domdidier:

Garage Clément Clerc Estavayer-le-Lac:

Garage Jean Catillaz

34 12 14 75 12 91 63 15 80 Fribourg/Schcenberg:

Garage Bellevue. Oberson & Rappo SA 28 32 32

BX 2

Visitez notre exposition permanente

CITROEN ^BX

Payerne:

Garage F. Diserens Romont:

Garage Stulz Frères SA Wünnewil (Mühletal):

Garage Paul Schmied Tinterin:

Garage P. Corpataux SA Château-d'Oex:

Garage Jacky Yersin Morat:

Garage Maritzafeld SA

61 25 40 52 21 25 36 12 10 36 13 12 4 75 39 71 12 58

Au volant de la nouvelle Giulietta. vous serez encore plus sûr de dominer tous les problèmes du trafic, sans effort, en toute sécurité.

Laissez-vous tenter par un essai!

Vente - Echange - Réparations

GARAGE DE PALUD BULLE Rte de Morion - Tél. 029/2 36 60

GARAGE DE BROC

DUSA S.A. - 1636 BROC

MERCEDCS-KNZ ®

Tél. 029/6 17 97

imtan 10233

Oepu»s toujours, une technologie qui gagne GARAGE GAVILLET SA URS Y

021/93 52 62 ESMONTS

021/93 51 64 DAIHATSU

Agence officielle Toyota

Voitures

Véhicules utilitaires Tronçonneuses DOLMAR Vente et réparation de tous véhicules à moteur Service après vente Grand choix d'occasions

GARAGE G. MARCHON 1678 SIVIRIEZ - Tél. 037/56 12 23

12 ÂÏIàÔÏÏÔÊL-

(13)

L'automobile: un symbole social

Le marché suisse de l'automobile est l'un des plus libres du monde. Il n'existe aucune restriction de contingentement, de taxe dé¬

favorisant un pays plus qu'un autre: tous les importateurs se trouvent à pied d'égalité.

Toutes les grandes marques sont pratique¬

ment représentées en Suisse et le client peut obtenir à peu près n'importe quel modèle.

L'acheteur en puissance n'a que l'embarras du choix, même s'il a défini sa cylindrée et le prix qu'il entend payer sa voiture. La concurrence est extrêmement sévère.

Chaque année, il est question d'une satura¬

tion du marché et pourtant chaque année les nouvelles immatriculations enregistrent un record.

Contre vents et marées, l'automobile reste un symbole social. Nombre de ménages consacrent à la voiture une part importante de leur budget. Le désir de se procurer une voiture plus puissante se trouve encore renforcé par un certain besoin de sécurité.

Il n'y a' pratiquement aucune marque vérita¬

blement suisse. Pourtant, d'après certains historiens de l'automobile, le réalisateur de la première voiture mue par un moteur à explosion fut un Suisse, un Valaisan: Isaac de Rivaz. C'était en 1805. Jusqu'alors, les voitures «automobiles» avaient toujours été animées par des moteurs à vapeur. Par la suite, une bonne cinquantaine de marques suisses et, parmi les plus célèbres: Saurer, Martini, Rapid, Berna, Dufaux, Pic-Pic, Turicum, Sigma, Fischer, etc. pour ne citer que celles-là, devaient voir le jour avec plus ou moins de succès. Certains constructeurs s'étaient également spécialisés dans le do¬

maine de la compétition. Ce fut le cas de Saurer à Hinwil ou de Griffon à Genève.

Saurer - avec qui collabore Berna - est depuis un certain nombre d'années spécia¬

lisé dans la construction de poids lourds.

Dès le début des années 30, les deux firmes décidèrent d'unir leurs efforts et de renoncer à la production de voitures de tourisme.

Il reste que le plus célèbre constructeur suisse a été adopté par les Américains; son nom: Louis Chevrolet qui émigra en Amé¬

rique au début du siècle.

La route: un centre d'attraction

L'augmentation du bien-être dans notre pays - et dans le monde libre en général - se manifeste principalement par le degré crois¬

sant de la motorisation dans tous les milieux de la population. Le véhicule à moteur, en effet, le moyen de transport individuel par excellence, c'est-à-dire qu'il répond le mieux au besoin de liberté personnelle en permet¬

tant de satisfaire aux nécessités de déplace¬

ment (trafic professionnel) ou encore aux désirs d'évasion (tourisme), grâce à des performances techniques élevées. Nous ne pensons pas nous tromper en disant que la motorisation est devenue l'apanage du peu¬

ple suisse tout entier. Il suffit de survoler en avion la Suisse pour se faire une idée des routes innombrables qui sillonnent tout le pays jusque dans les vallées les plus recu¬

la rouie ne fait-elle pas triompher le tourisme?

lées. Cette densité n'est pas une donnée naturelle du paysage, mais une œuvre séculaire, témoignage de l'ancienneté de notre civilisation. Le chemin n'est-il pas la première trace humaine sur le sol, comme l'étymologie du mot «route» le souligne (via rupta = «voie frayée»)?

Fonction politique puisque notre réseau routier peut être l'image des structures politiques de la Suisse aux différentes époques de notre histoire. Par exemple, le réseau impérial romain demeure encore actuellement le canevas des grandes artères de notre pays. Rôle économique et commer¬

cial ensuite, conditionné par le progrès technique de l'infrastructure et des moyens de transport.

La route n'est-elle pas l'animatrice de la vie

économique nationale, ne développe-t-elle pas les industries, ne fait-elle pas triompher le tourisme et ne va-t-elle pas jusqu'à transformer les données de l'urbanisme?

Enfin, la route n'est-elle pas une fonction culturelle et religieuse en favorisant en particulier le mouvement des idées et un rôle militaire en écoulant les grandes éva¬

sions ou en devenant le point d'appui des opérations de la guerre moderne. Tradition¬

nellement, la route est donc un centre d'attraction qui suscite la vie. Eclipsée quelque peu par l'ère du chemin de fer, elle a repris toute sa valeur avec l'apparition et le développement du véhicule à moteur dont la majorité de la population suisse ne peut se passer.

G. Bd

ÏSIBSÂlâëU 13

(14)

NOUVEAU: KADETT GT/E.

1.8 E, 115 CV.

ANDRE WOLF - AUTOMOBILES C 029/2 73 28

M ^ I II I lUPig Rue de Vevey 50 - 1630 Bulle

Charles Böschung

Garage Majestic - La Tour-de-Tröme 029/2 84 84 Alphonse Mooser S.A.

Garage des Vanils - Charmoy 029/7 11 52 Gabriel Oberson

Garage de la Berra - La Roche 037/33 18 58 J 0 Gérard Rouiller - Garage - Le Crêt 029/8 54 29 § LA NOUVELLE GENERATION OPEL. LE N° I EN SUISSE

LA NOUVELLE TOYOTA CARINA II BOULEVERSE LES CRITÈRES DANS LA CLASSE MOYENNE.

Toyota Carina II 1600 GL Liftback, 5 portes, 5 places, 5 vitesses, 1587 cm3, 57 kW (78 ch) DIN, fr. 17 390.-.

Boîte automatique à 3 rapports et ver¬

rouillage de convertisseur, facturée fr 800.-.

Toit ouvrant électrique, proposé pour fr. 800.-.

TOYOTA Le succès par la technologie.

Marly: E. Berset, Garage de Marly 037/46 17 29 Givisiez: Garage FISA E. + L. Zosso 037/26 10 02 Courtepin: Garage A. Schleuniger & Cle <$ 037/34 11 20 Neirivue:

MM. B. Fracheboud + F. Bovigny <?> 029/ 8 12 12 Neyruz: Garage N. Limât 037/37 17 79 Siviriez: Garage Gabriel Marchon <? 037/56 12 23 La Tour-de-Trême: Garage A. Roman 029/ 2 71 31 Vallon: L. Têtard, Garage de Carignan 037/67 15 33 Vaulruz: Garage J.-P. Bussard S.A. <£> 029/ 2 31 05

TOYOTA Le N°1 japonais. Paré pour l'an 2000.

NISSAN IDATSUN

GARAGE FRANCIS CURRAT 1666 GRANDVILLARD - Tél. 029/8 15 50

Neuf et occasions

•• 00 ••

AGENCE OFFICIELLE

Garage

de la Sarine

1723 Marly/FR Tél. 037/46 14 31

Votre partenaire en matière de voiture

14 HMDëOBëL.

(15)

154eSALON INTERNATIONAL!

^SDE L'AUTOMOBILE DE GENÈVE!

Elerau 11 mars 1984!

Le 54e Salon International de l'Automobile de Genève sera inau¬

guré le 1er mars 1984 par le Prési¬

dent de la Confédération, Monsieur Léon Schlumpf, et durera jusqu'au 11 mars.

Les différents secteurs

Le Salon comprendra cette année 1156 marques en provenance de 31 pays et les secteurs suivants se répartiront sur une surface ouverte de 55 000 m2:

- Voitures de tourisme - Carrosseries spéciales

- Accessoires, équipements de garages - Littérature, associations et divers Ce salon se déroule pour la troisième fois dans le nouveau Palais des Expositions et des Congrès (PALEXPO) situé près de l'aéroport de Genève-Cointrin. Les expé¬

riences faites lors des deux premières édi¬

tions dans ce nouveau complexe ont permis aux organisateurs de mettre tout en œuvre afin d'améliorer encore le déroulement de ce Salon.

Nouveautés

Cette année encore un grand nombre de nouveautés, dont des premières mondiales

importantes, seront présentées par les expo¬

sants dans le cadre de ce Salon.

Attraction

La «Scuderia Mirabella Mille Miglia», cé¬

lèbre course de voitures en Italie, présentera deux bolides d'époque ayant gagné cette épreuve en 1930 et 1954. De quoi faire rêver les amateurs!

Thème et affiche

Le thème choisi cette année convient parti¬

culièrement bien au Salon 1984:

«Le Salon de l'auto: vitrine des nouveau¬

tés»

Quant à l'affiche du Salon, elle est due au graphiste lucernois Nikiaus Troxler de Wil¬

lisau. Elle représente à la fois le caractère international de la manifestation et l'attrait que représentent les nouveautés que l'on y trouve chaque année. Elle propose une image lumineuse, colorée et optimiste de ce 54e Salon.

Tombola

La tombola du Salon constitue comme chaque année une grande attraction, puisqu'il y a à nouveau une voiture à gagner chaque jour, et même deux lorsque le Salon est ouvert en soirée. La planche des prix est donc constituée de 13 voitures sans compter plusieurs milliers de lots de consolation, soit une valeur totale de plus de 220 000 francs.

Comité d'organisation:

Président:

M. F. Peyrot

Commission de presse:

M. H.U. Büschi, président

Direction Directeur général:

M. R. Huser

Directeur de la promotion et des relations extérieures:

M. E.A. Gobits Service de presse:

Mme F. Dizerens Mllc M. Tellenbach

Directeur de l'administration et des finances:

M. P. Egger

Directrice du service des expositions:

Mme A. Egger-Niklaus Directeur technique:

M. W. Staehli

Centre de congrès et Parkings:

M. H. Bischoff

MliOlÜSL- 15

(16)

CHARADE

Nouveau d« l'Etoile POSIEUX

DAIHATSU dépanoag« 24h. sur 24

TEL 037/31 10 10 raaa

Des performances exceptionnelles Essence:

1000 cm3, 52 CV/5vit.

Diesel'

1000 cm3, 36 CV/5 vit.

Essence TURBO 1000cm3

Les nouvelles Mazda 626

Mazda 626 LX, 2 U .. OCA traction avant, 5 vitesses, 4 portes. 1*1 oS)U>

Venez. Regardez-la. Installez-vous.

GARAGE DE L'AUTOROUTE MATRAN S.A.

1753 MATRAN Tél. 037/24 27 71

fNOUVEAUjI

OPEL ASCONA SDOf£.i 1.8 INJECTIONJ15CHJ

e Traction avant De 0 à 100km/h en 10,5 secondes, vitesse de pointe 187 km/h. Boîte à 5 vitesses. Spoiler arrière. Et bien d'autres raffinements Prix: Fr. 16'400- (2 portes). Fr. W950 - (4 portes). (,—

Dès maintenant chez nous !

FIABILITÉ ET PROGRÈS GARAGE

I A. SCHOENI ET FILS S.A. §

| 1782 BELFAUX Tél. 037/45 12 36 ^ LA NOUVELLE GENERATION OPEL LE N-1 EN SUISSE

=^.

CAnaossenic ou .„/A MOltBON SA

24366 Ru« Lèch«r«tta 9,

•ntrt* hm Ri«t*r

Carrosserie

du Moléson S.A.

Tôlerie, peinture au four, rest, voitures anciennes

ilif CARROSSERIE CL. SCHINDLER Peinture au four - Tôlerie - Marbre 029/2 90 01 - Rue de Vevey 103 - BULLE GARAGE CENTRAL

Laurent Liard Maîtrise fédérale

Garage Central Audi/VW

1726 Farvagny-le-Grand Tél. 037/31 15 53

Venez essayer la nouvelle GOLF II et la dernière JETTA

Attalens 02156.43.85

sera présent chaque jour au stand Ford, du 1" au 10 mars, à l'occasion du Salon de l'automobile de Genève.

16 jQBsÂfâêu

(17)

COMMENT SE RENDRE AU PA- LEXPO?

En voiture

De Lausanne: quitter l'autoroute Lausanne- Genève par l'embranchement direction

«Aéroport». A l'échangeur de Ferney, sui¬

vre le fléchage «Palais des Expositions».

En train

Transfert par le bus des Transports publics genevois (ligne E). Durée du trajet Gare Cornavin-Palexpo: env. 15 minutes.

OÜ STATIONNER?

Parking payant couvert du Palexpo 2000 places, parcomètres collectifs.

Parking en plein air en face du Palexpo 1000 places, Fr. 5.- la journée.

Facilités de transport

Les CFF et la plupart des entreprises de transport concessionnaires délivrent aux visiteurs du 54e Salon international de l'automobile des billets spéciaux à prix réduit (20% de réduction) du 1er au 11 mars 1984. Ils sont valables 2 jours pour le voyage aller et retour. Ils doivent être demandés expressément. La réduction est accordée lorsque le prix des billets spéciaux s'élève au minimum à Fr. 15.- en 2e classe et à Fr. 24.- en lre classe.

Heures d'ouverture

Journées d'inauguration ( I " mars) 10.00 - 19.00 heures

Les 3, 5, 6, 8, 9 et 10 mars 9.00 - 19.00 heures

Vendredi 2 et mercredi 7 mars 9.00 - 22.00 heures

Les dimanches 4 et 11 mars 8.00 - 19.00 heures Prix d'entrée Adultes

2 entrées par jour Carte permanente Enfants et rentiers AVS Groupes dès 20 personnes

* Billet de tombola compris

Fr. 8.-*

Fr. 10.- Fr. 50.- Fr. 5.-*

Fr. 5.-*

L'affiche du 54e Salon de l'automobile Le 54e Salon international de l'automo¬

bile aura lieu au Palexpo de Genève du 1er au 11 mars 1984.

Les organisateurs ont constaté que le Salon de Genève, seul rendez-vous de¬

meuré annuel de l'industrie des voitures de tourisme, a vu de ce fait s'accentuer encore depuis quelques années son carac¬

tère international. Ceci est vrai tant du point de vue des exposants (plus de 1000 marques en provenance de 31 pays), des journalistes (plus de 3000 venant de 30 pays) que du public ( 17 % des visiteurs sont étrangers, ce qui est un record mondial pour une telle manifestation).

Plateforme internationale par excellence, le Salon de Genève est devenu pour un nombre croissant de constructeurs le lieu idéal pour le lancement de leurs nou¬

veautés: ils sont assurés de trouver à Genève l'écho recherché et les réactions d'un public averti et exigeant. D'où le thème du Salon de l'auto 1984: «Vitrine des nouveautés».

Ces deux idées - caractère international et attrait des nouveautés - ont été représen¬

tées sur l'affiche du 54e Salon par le graphiste lucernois Niklaus Troxler.

Renault 1899 3'h HP

Cette affiche offrira une image lumi¬

neuse, colorée et optimiste du Salon de l'Auto 1984.

5 ociétéde l/anque puisse ^anque ^

35, rue de Romont <^037-81 11 81 FRIBOURG

BULLE MORAT

23BS8BSL. 17

(18)

yi0Hi/eaitj

5 vitesses

TAFT 4X4 DIESEL, mot. 2765 cc Plus puissante, plus économique, plus silencieuse, la nouvelle TAFT 4x4 vous offre encore plus d'avantages pour le travail et les loisirs.

Modèle Resin Top:

avec hard-top et toit ouvrant.

Importateur pour la Suisse:

SIDA SA, Châteauneuf, 1964 CONTHEY, tél. 027/36 41 21 à des prix imbattables!

Véhicule à disposition pour vos essais GARAGE ED. GAY S.A.

Vuisternens-devant-Romont Tél. 037/55 13 13

Chaque détail le prouve: la Ford Escort Laser est spectaculaire. Par son riche équipement jusqu'à la technique: puissant et sobre moteur CVH de 1,61, boîte à 5 vitesses, suspension à 4 roues indé¬

pendantes. - Et tout cela à un prix spectaculaire:

fr. 12 840.-!

FORD ESCORT LASER. <1^

GARAGE CENTRAL SA Rua de l'industrw 7 ■ Til. 037/24 36 20

FRIBOURG Distributeurs

GARAGE TOURING SA Tél. 029/2 90 74 LA TOUR-DE-TREME

officiels UN SACRE

NUMÉRO FAIT FUREUR.

PEUGEOT 2CS Oès Fr. 10*995.- GARAGE H. GENDRE S.A.

Agences Peugeot - Talbot 1772 GROLLEY - Tél. 037/45 28 10

CARROSSERIE

BERNARD MAILLARD 1623 SEMSALES

Dépannage Tôlerie

Peinture au four

Redressage de châssis au marbre Téléphone 029/8 55 86

^ GARAGE TOURING

René Maillard 1618 Châtel-St-Denis Tél. 021/56 71 78 Atelier de réparation - Taxi - Ambulance - Auto-Ecole

F. RODI SA FRIBOURG

Revendeur A des roulements

Stock complet de pots d'échappement Plaquettes de freins Tél. 037/22 33 20

Rue Chaillet 7 0 TOUT POUR L'AUTO

18 3âBsÂJâêL-

(19)

Equipement luxueux à un prix abordable.

Dès février 1984, la GM Suisse lance une exécution spé¬

ciale de la populaire Kadett pour le marché helvétique: la GLS. Il s'agit d'un modèle promotionnel, richement équipé et offert dans les ver¬

sions berline 3 et 5 portes et Caravan (break) 5 portes. Les prix sont attractifs: Fr.

13 900.- pour la berline 3 portes (Fr. 14 350.- pour la 5 portes) et Fr. 15 300.- pour la Caravan 5 portes, tous les modèles avec boîte à 5 vitesses.

Sur la GLS, les sièges, les appuis-tête et l'intérieur des portières sont revêtus de ve¬

lours fin. Le volant de luxe à 4 branches, les vide-poches à l'intérieur des portières avant et les rétroviseurs extérieurs

réglables de l'intérieur sont d'autres éléments de l'équipe¬

ment complet de ce modèle.

Extérieurement, la Kadett GLS se distingue par des jantes en aluminium, des vitres tein¬

tées, un mince filet peint sous les bandes de protection latéra¬

les et l'inscription «GLS» sur les flancs de la carrosserie.

La Kadett GLS est équipé en série du moteur 1,3 S (50 kW/68 ch) monté transversa¬

lement et combiné avec une boîte à 5 vitesses (la transmis¬

sion automatique est offerte sur demande avec le moteur 1,3 N). Le moteur 1,6 SH (66 kW/ 90 ch) ainsi que le groupe diesel de 1,6 litre (40 kW / 54 ch) sont également livrables sur demande.

GÉNÉRAL MOTORS SUISSE SA, 2501 BIENNE

Les champions de formule Ford qui seront couronnés en 1984 dans douze pays euro¬

péens et aussi parmi d'autres nations pratiquant cette for¬

mule seront invités par Ford à participer à une course des champions qui se déroulera en marge d'un des grands événe¬

ments internationaux du ca¬

lendrier européen de 1985.

Comme de nombreux cham¬

pions nationaux 1984 de la formule Ford auront peut-être déjà changé de catégorie et vendu leur voiture au moment de cette course des Cham¬

pions, cette invitation couvrira non seulement tous les frais, mais encore l'utilisation d'une voiture de Formule Ford. Les organisateurs de la compéti-

Le modèle Volvo 740 GLE à moteur quatre cylindres repré¬

sente la plus récente nouveauté de la gamme de produits pro¬

posée par Volvo Car Corpora¬

tion. Avec ce véhicule, Volvo répond d'une part à un besoin de berlines élevées et colmate d'autre part une brèche entre le segment traditionnel de la série 240 et la classe prestigieuse de la série 760.

Volvo s'adresse ainsi à des acheteurs exigeants. A des gens qui ne se contentent pas de l'ordinaire et exigent beau¬

coup d'une voiture familiale.

Le confort, la sécurité et les propriétés de conduite sont aussi importants pour eux qu'une économie au-dessus de la moyenne. Dans son seg¬

ment de marché, la Volvo 740 GLE constitue indubitable¬

ment une alternative intéres¬

sante.

Une voiture complète Pour une berline familiale éle-

tion fourniront à tous les parti¬

cipants des châssis identiques, et des moteurs Ford 1600 préparés par le même spécia¬

liste, afin d'assurer une par¬

faite égalité des chances. Les participants auront la possibi¬

lité de se familiariser avec la voiture une semaine avant la compétition, mais aucune mo¬

dification ne sera permise en dehors de l'accord individuel du châssis. Entraînement et préparation se dérouleront sous un contrôle très sévère.

Certains constructeurs de for¬

mule 1 se sont d'ores et déjà engagés à suivre cette finale mondiale dont le gagnant - ou la gagnante - recevra un tro¬

phée prestigieux susceptible d'avancer sa carrière future.

vée telle que la Volvo 740 GLE, l'espace, la sécurité, le confort et l'économie jouent évidemment un rôle très im¬

portant. Lors des travaux de développement, un soin parti¬

culier a pourtant été voué aussi aux performances et à la tenue de route. La 740 GLE présente la ligne exclusive et classique de la nouvelle philosophe du produit; l'intérieur est clair et agréable, équipé de sièges très confortables; cet élément, as¬

socié à d'autres caractéris¬

tiques d'équipement, répond pleinement à tout ce qu'on est en droit d'exiger de cette voi¬

ture dans n'importe quel do¬

maine. Des garnitures en ve¬

lours et un tapis de sol font partie de l'équipement de série.

Les vitres sont teintées, la grille de radiateur, les moulu¬

res latérales et les pare-chocs sont noirs alors que le spoiler avant présente la même teinte que la voiture. Les pneus sont montés sur des jantes de di¬

mension 5,5 x 14"

SsÄßliL. 19 Formule Ford

Le champion des champions en 1985 î

Un modèle spécial pour la Suisse:

Opel Kadett GLS

Volvo 740 GLE

Une nouvelle voiture destinée à de nouveaux conducteurs Volvo

(20)

C ARROSSERIE DU IVIOURET

Peinture au four

Francis Gauthier Atelier 037/33 24 37

1724 LE MOURET

Un abonnement annuel à FRIBOURG illustré ne coûte que 66 fr. 50, donc une somme à la portée de toutes les bourses.

Auto

Location Autos et utilitaires

Tunnel de lavage Garage Lehmann

Av. Beauregard 16, 1700 Fribourg -a-037/24 26 26

GARAGE-CARROSSERIE PHILIPONA + C

Route de Fruence 1618 CHÂTEL-ST-DENIS

•S? 021 / 56 83 53 Banque BEF

IE

"S- Agence officielle

GARAGE DU CENTRE MARLY

et CARROSSERIE Victor Briilhart Maîtr. féd. mécan. autos

Reparatur aller Marken Réparation toutes marques 9 037/46 15 55

GARAGE

Ferdinand METTRAUX S.A.

Automobiles + Utilitaires - Occasions - Vente et service 1751 NEYRUZ - Tél. 037/37 18 32

Dépannage officiel pour accidents

S

GARAGE SCHUWEYs

MARLY-FRIBOURG-LA TOUR-DE-TREME

RENAULT

2 SA

CBUÉ"hu»<«°

La nouvelle Peugeot 205 gn« peMe lus*« enttou- qui an lait vo*

da lout** its couleur» aui p»u# grandes 0 à '00 km/h en 11.6 • t66 knvh en pon¬

te 1360 cm> de cyWx*#e avec carburateur * double cot», boîte A onq wiesaes

•t 72 CV (GT) Pouf ce Qui loucha t réconome. «De en tat vo* t toui le monde 4.6 IflOO km A 90 kmfri (Gl et GR. i'?4 en») A parti» de Fr. 10 M t.-.

Ven«t reMayer! EN* Ito... mais effe est tconofnèquei PEUGEOT

V. NUSSBAUMER & FILS S.A.

Garage + Carrosserie du Stadtberg 1700 FRIBOURG - Tél. 037/28 22 22 CHEIRY: Garage Egger, 037/66 14 54. DOMDIDIER: Garage Clerc, 037/75 12 91. FRIBOURG: Garage Beau-Site. 037/24 28 00. FRIBOURG: Garage Edenhofer, 037/24 62 20. GROLLEY:

Garage Gendre S.A., 037/45 28 10. MARLY: Garage du Stand, 037/46 15 60. PREZ-VERS-NORÉAZ: Garage Gobet, 037/30 11 50. SALAVAUX: Relais de l'Automobile S.A., 037/77 13 42.

VILLARSEL-LE-GIBLOUX: Garage Robatel, 037/31 21 33.

LULLY: Garage Koller, 037/63 12 77.

20 JäläÖllääL.

(21)

Hou têrubyè dyêrè

Du ke la mondo l'è mondo, Lè j'omo chè fan la dyêra.

Pè le chan, réyon lou konto, Chè krèyon lè métré chu têra.

A vu le fu è lè j'àrmè, / bourlon è i férèyon Chu to chin ke vi, ke pdchè, / chénon la dèjolachyon.

f brijon, i dèmulechon Lè méjon, lè payijâdzo.

/ bregandon, inprèjenon On mache dè dzin dè tot 'àdzo.

kotse âou patl

Pè ti lè moyin, pé la foudrthe, Volon ch'inpojd, kemandd.

Po li arouvd lou fà touddre, Ti hou ke volon lou grava.

Pè lè piannè, pé lè tsarérè, Fèmalè è j'infan fuyon.

Prä ch'invan lè man badérè, Modon avu chin ke puyon.

Chon tsèhyi dè lou velàdzo E dè lou velè in rinè.

Afamà è chin korâdzo.

N'an rinmé tyè lou mijérè.

Li a port an chu la pyanète, A medyi è prou pyèthe po ti.

Le Bon Dyu le dzoua ke l'a fête, Chè tsèrdyi dè beta in vi.

Li a chur dè to proumatère, Dou byd, di bithè, dou lathi.

L e ti hou grô vo pudè krère, Ke medzon le drè di piti.

Kan lè prèkô dè chti mondo, Konprindron ke la charitd Pdchè dèvan lou grô vintro, No j'arin la pé è l'akoud.

Kan po lè pouro betèron Chin k'inpiéyon po lè j'àrmè, Li arè dou bouneu po tsakon, D'Ia dyuchti je intré lè raché.

André a Dzojé a Marc

0älB2ÄIä§L. 21

(22)

LE MONDE LITTÉRAIRE

^ >

Jean Vuilleumier L'ALLERGIE

L'Age d'Homme

L'allergie de Jean Viiilleitntier

Journaliste à Genève. Jean Vuilleumier est également l'auteur de plusieurs romans.

Sa dernière œuvre. «l'Aller¬

gie». se lit sans aucune diffi¬

culté. l'as d'exercice de style redondant: l'écriture est épu¬

rée et l'essentiel de l'attention du lecteur se porte sur la trame: l'histoire du malaise urbain. Cependant, ce fil con¬

ducteur très fort laisse au lec¬

teur le loisir d'imaginer, de projeter, parce qu'il pose des questions auxquelles il ne ré¬

pond pas forcément, l.es per¬

sonnages de «l'Allergie» sont des citadins, semblables à ceux que nous croisons ou que nous sommes. Aucune célébrité.

La Pérégrine de Mireille Kuiiel

Dans son dernier roman, paru dans la collection contempo¬

raine. Mireille Ruttel plonge dans un thème brûlant de la vie en Helvétie. l.a littérature le boude, tandis que le débat poli¬

tique l'aborde extérieurement comme les sociologues analy-

pas de personnage particuliè¬

rement privilégié des dieux, mais au contraire des êtres vrais, sensibles, aussi vulnéra¬

bles que chacun d'entre-nous peut l'être. L'art de Jean Vuil¬

leumier est de nous donner accès à leurs faiblesses, à leurs solitudes qui les rendent sym¬

pathiques. Même si elle ne s'exprime pas ouvertement, la fragilité de chacun est omni¬

présente. Mlle rassure notre propre vulnérabilité. On en souffre un peu moins, on la partage et ça fait du bien.

Narrée, la réalité parfois cruelle des rapports sociaux s'humanise sous la plume de Jean Vuilleumier. L'élément central de son groupe, l'assis¬

tant social Daniel Koba. exor¬

cise ses faiblesses en se multi¬

pliant auprès des marginaux.

Mais attention, ceux-ci ne sont jamais pitoyables, tout juste un peu décalés par rapport à l'ordre de la cité! Laurent Ni- vens. l'homme de 40 ans. tran¬

quille. «planqué», découvre la superficialité de son existence apparemment bien remplie. Il tente de rejeter cette évidence, mais l'espoir de liens plus ri¬

ches. plus sincères sera le plus fort, malgré le drame que vit le groupe. Lt perdant Daniel Koba. l'homme toujours dis¬

ponible. les autres vont s'assu¬

mer et le roman se termine sur cette promesse d'un avenir peut-être différent, l'ne his¬

toire forte et belle, écrite avec une maîtrise remarquable du langage et de sa signification...

aux éditions l'Age d'homme à Lausanne.

mpd

sant les causes et conséquences des initiatives xénophobes ou xénophiles. On s'intéresse alors à la situation matérielle des Italiens et Lspagnols im¬

migrés en grand nombre dans notre pay s.

Le roman de Mireille Ruttel vit cette situation de l'inté¬

rieur. A travers les récits croi¬

sés de deux femmes: Bella, la nonna. pauvre paysanne venue rejoindre son mari, tailleur de

pierre en Suisse, et Flora, la petite fille assimilée qui ne passe que ses vacances en Ita¬

lie. A quel prix les immigrés réussissent-ils? Comment vi¬

vent-ils quotidiennement un racisme latent'.' S'adaptent-ils réellement à un cadre de vie si différent? L'histoire du clan Berti, vécue par Bella et Flora, nous démontre que la grand- mère ne perd aucune de ses habitudes de paysanne pauvre, contrainte de quitter son pays et sa culture. File ne se lie pas parce que les contacts sont très difficiles. File raconte sa nos¬

talgie du village, tandis que sa petite-fille, qui lui voue une grande affection, ressent forte¬

ment ce décalage des valeurs.

D'ailleurs, même sa mère et sa tante, venues du Pays d'Fn- liaut. se tiennent volontaire¬

ment à distance d'une belle- mère qu'elles critiquent parce qu'elle s'habille de noir, cultive ses fleurs dans des bidons, tire sur la corde où pend son linge et se passionne pour l'opéra italien.

Les deux narratrices évoquent d'autres membres de la famille et l'on s'aperçoit que pour tous ceux de la première généra-

Ma mie

Ma mie. tu te pares de dentelles Ft ton sourire est éternel Quoiqu'il soit souvent si faux Ma mie. tu te vautres dans la danse Tu te remues, tu te balances Pour te faire remarquer

Ma mie. tu fais croire que tu es belle Mais ôte un peu tout le rimel Que tu entasses sur les yeux Ma mie. on te voit chaste ei fidèle Mais lâche ton masque de faïence Pour montrer toutes les défaillances Qui te sont si bien personnelles Pourtant, ma mie. tu pourrais être celle Qui charme et qui ensorcelle

Par un visage Nu Par un regard Vrai

Nanouche

tion. le déracinement reste une plaie vive. Il s'agit bien là d'une réalité que nous cô¬

toyons sans trop y prêter atten¬

tion sauf si Mireille Ruttel nous la raconte dans ce très beau livre qu'est la «Péré¬

grine».

mpd Aux Fditions l'Age d'Hom¬

me. Lausanne.

CONTEMPORAINS

MIREILLE KUTTEL La Pérégrine

l.'AtiE D'HOMME

22

(23)

Bernard

lyomanens

Soliste de la Fête des Vignerons 1977

Photo Gérard Bourquenoud - FRIBOURG illustré

j!Œ®!3âSU 23

(24)

La voix

de Bernard Romanens s'est tue

pour toujours

Soliste de la Fête des Vignerons 1977. Bernard Romanens était aussi un homme de la terre, un armailli, un fromager d'alpage et un passionné de

culture Photo Groupement des photographes veveysans

Mais le

«Ranz des vaches»

vibre encore dans le cœur du peuple de Fribourg

24 Màôïïââ-

II n'élevait la voix que pour chan¬

ter. Il parlait peu. Il n'avait pas d'éclats de rire, mais un sourire gentil, indulgent, une gaîté de bon aloi, un mot heureux pour cha¬

cun. Il avait peur de faire mal et il avait mal quand il entendait des paroles qui pouvaient blesser l'amitié. Il cultivait partout ces qualités comme il chantait le

«Ranz des vaches» au milieu de son troupeau, là-haut sur la mon¬

tagne, plus près du ciel, pour que Dieu entende mieux sa voix. Ses paroles étaient aussi bienfaisantes que le parfum des fleurs cachées.

Et c'est sa modestie naturelle qui régla sa vie chrétienne.

Nous voudrions parler de son dévouement à tout ce qui est noble, mais surtout à une cause qui lui tenait particulièrement à cœur: le chant. Depuis les Monts- de-Marsens, en toutes saisons et par tous les temps, à pied - car il n'eut de voiture que fort tard - il arpenta les chemins et les routes pour chanter sa Gruyère, sa terre, son pays. Bernard Romanens te¬

nait aux valeurs essentielles et se méfiait des éclats, lui qui avait tellement le sens de la mesure.

C'est lui aussi qui me disait un jour dans une fête, alors que l'on apprenait la disparition d'un jeune chanteur français: «C'est beau la gloire, mais me permettra-t-elle de vivre longtemps et heureux?».

Le chant de la terre Fils de paysan, Bernard Roma¬

nens était l'aîné d'une famille de six enfants dont les parents habi¬

tent le beau village de Marsens.

Comme tout Fribourgeois, il est né chanteur. A l'âge de quatorze ans, il chantait déjà dans une chorale de Bulle, la Maîtrise de St- Pierre-aux-Liens, dirigée à l'époque par M. André Corboz.

Depuis de nombreuses années, il était un membre fervent de la Chanson du Pays de Gruyère et du Choeur des Armaillis de la Gruyère, deux chorales dirigées par M. Michel Corpataux. De

plus en plus encouragé par ses amis, Bernard Romanens, mo¬

deste de nature, posa sa candida¬

ture comme soliste du «Ranz des vaches» de la Fête des Vignerons de 1977. Personne ne s'est trompé. Même pas Jean Balissat, compositeur de la musique de la fête qui, avec un jury, procéda à l'audition du chanteur gruérien qui fut retenu sur seize candidats.

Conscient de la responsabilité qui lui incombait, Bernard donna le meilleur de lui-même à la prépa¬

ration de son rôle d'ambassadeur du Pays de Fribourg à la plus grandiose manifestation du monde qui n'a lieu que tous les vingt-cinq ans. Pas facile de chan¬

ter devant 16 000 spectateurs qui vous écoutent et 32 000 yeux qui vous regardent! A chaque fois, Bernard a réussi à maîtriser ses nerfs et à vaincre ce sentiment d'émotion qui l'envahissait avant chaque spectacle. Il eut également l'insigne honneur d'accompagner la Landwehr de Fribourg dans ses déplacements en Chine et aux Etats-Unis où il a fait vibrer le cœur de millions de personnes.

Un homme de la terre L'alpe était toute sa vie, car Ber¬

nard Romanens était avant tout un homme de la terre, un enfant de la Gruyère que pour rien au monde il n'aurait quitter. Il se sentait heureux dans son chalet de Jaman où, l'été dernier, il avait rencontré celle qui allait devenir sa femme en automne prochain.

Depuis octobre passé, il travaillait à la fromagerie de Villarimboud, exploitée par M. Ernest Bapst, maître-fromager qui le trouva sans vie dans son lit, lundi 30 janvier 1984.

Depuis deux ans, Bernard était le dévoué compagnon et chanteur du «Ranz des vaches» au sein de la Confrérie du Gruyère qui, récemi ment, l'avait élu membre de son Conseil. Ce gruérien de pure sou¬

che était pour tous les compa¬

gnons de la Confrérie, la flamme

chaude et rayonnante d'une ami¬

tié que nous nous réjouissions de retrouver intacte, sinon plus belle, à chacune de nos rencontres. Que de moments heureux avons-nous vécus en sa compagnie, que ce soit à Motélon, au Gibloux, à la Vu- dalla ou à Jaman où il s'était mis à fabriquer l'authentique fromage de sa terre. Que de fois nous l'avons rencontré dans des mani¬

festations villageoises ou dans les cercles fribourgeois du dehors où il était accueilli les bras ouverts!

Emotion et nostalgie Ce que l'on appréciait chez Ber¬

nard Romanens, c'était la chaleur de sa poignée de main, la franchise de son regard et l'infinie gentil¬

lesse de chacun de ses gestes. Il était un gentilhomme, dans toute l'acception humaniste du terme et tous ceux qui ont eu le bonheur de l'approcher n'oublieront jamais le rayonnement réconfortant qui se dégageait de son attachante per¬

sonnalité. Bernard était cette flamme qui élève le mérite des gens de la terre, de ceux qui récoltent aujourd'hui ce qu'il avait semé avec tant de ferveur, ce

«liauba» des armaillis des Colom- bettes qui a fait couler des larmes à des milliers de spectateurs à la • Fête des Vignerons de 1977, et qui vibre encore dans le cœur de tous les Fribourgeois en et hors les murs, même si, subitement, à l'âge de 37 ans, sa voix s'est tue pour toujours.

Oui, j'avais un ami. C'était Ber¬

nard Romanens, l'armailli des grands monts, le soliste du «Ranz des vaches», l'homme de la terre, le gruérien, le vrai, timide en paroles. Pourquoi nous compre- nions-nous si bien? Qu'importe la réponse, surtout à cet instant cruel où j'apprends que mon plus grand ami n'est plus de ce monde et que, sous l'emprise du chagrin, j'au¬

rais plutôt tendance à trouver inu¬

tiles les plus émouvants mots d'adieu...

Gérard Bourquenoud

25

(25)

S m il

v «m* H

T'^f' fl ttjr*

felUsCt^ • tUf*

% n %rv ' ^ * ïjm

'%• ^sfr-vr1 T»^i fs»' :3»5s*^'3htf<'rffc;_à vi.'V- » « "*t. .i<i .

L'instant le plus émouvant de la Féte des Vignerons. A u centre de l'arène, nous reconnaissons Bernard Romanens. Derrière lui, Jean-Daniel Papaux, de Treyvaux. Photo Groupement des photographes veveysans - * rV"

FETE DES VIGNERONS 1977 Bernard Romanens, soliste du «Ranz des vaches»

i /

■f ^ i tv

«*>>£

^ - , ft A ## «*îl L »V • ; '

! - jrr

ïW

■V.

J

Souriant et heureux. Bernard Romanens s'en revient d'un spectacle de la Fête des Vignerons et regagne son alpage en Gruyère. Photo G. Bourquenoud

1 mf v#Ji

cm&;

Accompagné par le Corps de musique de Landwehr de Fribourg. dirigé par Jean Balissat, qui se trouve devant la tribune des chanteurs. Bernard Romanens debout sur le char chargé de meules de fromage, interprète le «R an: des vaches». Photo G. Bourquenoud

26 JäBÖUää-

Références

Documents relatifs

Au départ, le produit des coefficients vaut +1 et le produit final souhaité est – 1.Or chaque opération de retournement des cartes porte sur un nombre pair de cartes et laisse

Depuis, de nombreux auteurs ont rapporté que l’existence d’un grade 5 en troisième contingent (TC) dans les adénocarcinomes prostatiques de score 7 de Gleason était un facteur

TOTEM 9  Identifier la fonction des mots dans la phrase .... Ponctuation dans

C’est à cette occasion que l’enseignant explicite que le fantôme peut passer par un mur extérieur et revenir comme par magie par le mur situé de l’autre côté.. Dans ce cas,

Christelle Lison, « En pédagogie de l’enseignement, toutes sortes de questions se posent… », Revue internationale de pédagogie de l’enseignement supérieur [En ligne], 33(2) |

Les ëchciies dont j’ai indiqué la construction résolvent la question avec une telle facilité, que le dessinateur le moins ins- truit peut former aisément un de

Méthode universelle, commune à toutes les latitudes, pour tracer toutes sortes de cadrans solaires.. Annales de Mathématiques pures et appliquées, tome 8

Je compose la phrase en mots mobiles dans d'autres graphies:.. Moi je connais toutes les