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Mathématiques et calcul 1er semestre

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Academic year: 2021

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(1)

Mathématiques et calcul 1

er

semestre

Université Paris Descartes

22 septembre 2009

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 1 / 79

(2)

Cours

François Patte

francois.patte@mi.parisdescartes.fr

Horaires :

É

Lundi 12h00 — 13h30 Amphi Delmas

É

Mardi 15h15 — 16h45 Amphi Weiss

http://www.mi.parisdescartes.fr/~patte lien : Enseignement

(3)

Cours

François Patte

francois.patte@mi.parisdescartes.fr

Horaires :

É

Lundi 12h00 — 13h30 Amphi Delmas

É

Mardi 15h15 — 16h45 Amphi Weiss

http://www.mi.parisdescartes.fr/~patte lien : Enseignement

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 2 / 79

(4)

Calendrier

Vacances

1. du 25 octobre au 1er novembre 2. du 20 décembre au 3 janvier 2010

Fin des cours et TD : 9 janvier 2010

(5)

Calendrier

Contrôles

3 contrôles :

1. CC1 : mardi 20 octobre 17h — 18h30 2. CC2 : mardi 24 novembre 17h — 18h30 3. CC3 : semaine du 11 janvier. Heure et lieu à

préciser.

Note finale : E =

CC1+CC2+2CC3 4

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 4 / 79

(6)

Première partie I

Préliminaires

(7)

1 Un peu de logique Vocabulaire

Connecteurs logiques

2 Ensembles

3 Quantificateurs

4 Application

5 Dénombrements

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 6 / 79

(8)

Un peu de logique Vocabulaire

Assertion

Un énoncé dont on peut dire sans ambiguïté s’il est vrai ou faux.

Exemples d’assertions :

É Paris est la capitale de la France

Assertion vraie

É 2<7

Assertion vraie

É 3 est un nombre pair

Assertion fausse

N’est pas une assertion :

É Le chocolat, c’est bon...

(9)

Un peu de logique Vocabulaire

Assertion

Un énoncé dont on peut dire sans ambiguïté s’il est vrai ou faux.

Exemples d’assertions :

É Paris est la capitale de la France

Assertion vraie

É 2<7

Assertion vraie

É 3 est un nombre pair

Assertion fausse N’est pas une assertion :

É Le chocolat, c’est bon...

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 7 / 79

(10)

Un peu de logique Vocabulaire

Assertion

Un énoncé dont on peut dire sans ambiguïté s’il est vrai ou faux.

Exemples d’assertions :

É Paris est la capitale de la France Assertion vraie

É 2<7

Assertion vraie

É 3 est un nombre pair

Assertion fausse N’est pas une assertion :

É Le chocolat, c’est bon...

(11)

Un peu de logique Vocabulaire

Assertion

Un énoncé dont on peut dire sans ambiguïté s’il est vrai ou faux.

Exemples d’assertions :

É Paris est la capitale de la France Assertion vraie

É 2<7

Assertion vraie

É 3 est un nombre pair

Assertion fausse N’est pas une assertion :

É Le chocolat, c’est bon...

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 7 / 79

(12)

Un peu de logique Vocabulaire

Assertion

Un énoncé dont on peut dire sans ambiguïté s’il est vrai ou faux.

Exemples d’assertions :

É Paris est la capitale de la France Assertion vraie

É 2<7 Assertion vraie

É 3 est un nombre pair

Assertion fausse N’est pas une assertion :

É Le chocolat, c’est bon...

(13)

Un peu de logique Vocabulaire

Assertion

Un énoncé dont on peut dire sans ambiguïté s’il est vrai ou faux.

Exemples d’assertions :

É Paris est la capitale de la France Assertion vraie

É 2<7 Assertion vraie

É 3 est un nombre pair

Assertion fausse N’est pas une assertion :

É Le chocolat, c’est bon...

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 7 / 79

(14)

Un peu de logique Vocabulaire

Assertion

Un énoncé dont on peut dire sans ambiguïté s’il est vrai ou faux.

Exemples d’assertions :

É Paris est la capitale de la France Assertion vraie

É 2<7 Assertion vraie

É 3 est un nombre pair Assertion fausse

N’est pas une assertion :

É Le chocolat, c’est bon...

(15)

Un peu de logique Vocabulaire

Assertion

Un énoncé dont on peut dire sans ambiguïté s’il est vrai ou faux.

Exemples d’assertions :

É Paris est la capitale de la France Assertion vraie

É 2<7 Assertion vraie

É 3 est un nombre pair Assertion fausse N’est pas une assertion :

É Le chocolat, c’est bon...

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 7 / 79

(16)

Un peu de logique Vocabulaire

Proposition

Soit l’assertion :

x2>4

Cette assertion est :

É Vraie six <−2 ou si x >2

É Fausse dans tous les autres cas

Une assertion dont la vérité dépend de variable(s) s’appelle uneproposition

(17)

Un peu de logique Vocabulaire

Proposition

Soit l’assertion :

x2>4 Cette assertion est :

É Vraie six <−2 ou six >2

É Fausse dans tous les autres cas

Une assertion dont la vérité dépend de variable(s) s’appelle uneproposition

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 8 / 79

(18)

Un peu de logique Vocabulaire

Proposition

Soit l’assertion :

x2>4 Cette assertion est :

É Vraie six <−2 ou six >2

É Fausse dans tous les autres cas

Une assertion dont la vérité dépend de variable(s) s’appelle uneproposition

(19)

Un peu de logique Vocabulaire

Proposition

Soit l’assertion :

x2>4 Cette assertion est :

É Vraie six <−2 ou six >2

É Fausse dans tous les autres cas

Une assertion dont la vérité dépend de variable(s) s’appelle uneproposition

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 8 / 79

(20)

Un peu de logique Vocabulaire

Proposition

Le travail mathématique consiste (souvent) à établir dans quelles conditions une proposition est vraie ou fausse :

démonstration

(21)

Un peu de logique Vocabulaire

Démonstration

Exemple : démonstration de la proposition précédente.

Chercher lesxpour lesquelsx2>4 revient à chercher lesx pour lesquelsx24>0

É Les racines de l’équation x24=0 sont 2 et−2.

É Un trinôme du second degré,ax2+bx+c, est du signe de asixest à l’extérieur des racines. Ici,a=1

É Doncx2>4 six <−2 ou si x >2

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 10 / 79

(22)

Un peu de logique Vocabulaire

Démonstration

Exemple : démonstration de la proposition précédente.

Chercher lesxpour lesquelsx2>4 revient à chercher lesx pour lesquelsx24>0

É Les racines de l’équation x24=0 sont 2 et−2.

É Un trinôme du second degré,ax2+bx+c, est du signe de asixest à l’extérieur des racines. Ici,a=1

É Doncx2>4 six <−2 ou si x >2

(23)

Un peu de logique Vocabulaire

Démonstration

Exemple : démonstration de la proposition précédente.

Chercher lesxpour lesquelsx2>4 revient à chercher lesx pour lesquelsx24>0

É Les racines de l’équation x24=0 sont 2 et−2.

É Un trinôme du second degré,ax2+bx+c, est du signe de asixest à l’extérieur des racines. Ici,a=1

É Doncx2>4 six <−2 ou si x >2

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 10 / 79

(24)

Un peu de logique Vocabulaire

Démonstration

Exemple : démonstration de la proposition précédente.

Chercher lesxpour lesquelsx2>4 revient à chercher lesx pour lesquelsx24>0

É Les racines de l’équation x24=0 sont 2 et−2.

É Un trinôme du second degré,ax2+bx+c, est du signe de asixest à l’extérieur des racines. Ici,a=1

É Doncx2>4 six <−2 ou si x >2

(25)

Un peu de logique Vocabulaire

Démonstration

Exemple : démonstration de la proposition précédente.

Chercher lesxpour lesquelsx2>4 revient à chercher lesx pour lesquelsx24>0

É Les racines de l’équation x24=0 sont 2 et−2.

É Un trinôme du second degré,ax2+bx+c, est du signe de asixest à l’extérieur des racines. Ici,a=1

É Doncx2>4 six <−2 ou si x >2

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 10 / 79

(26)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Négation

La négationd’une propositionPest :

É vraie lorsquePest fausse

É fausse lorsquePest vraie

Notations : nonP ou : ¬P

(27)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Négation

La négationd’une propositionPest :

É vraie lorsquePest fausse

É fausse lorsquePest vraie

Notations : nonP ou : ¬P

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 11 / 79

(28)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Négation

La négationd’une propositionPest :

É vraie lorsquePest fausse

É fausse lorsquePest vraie Notations : nonP ou : ¬P

(29)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Négation

Table de vérité

On résume dans une table de vérité: P nonP

V F

F V

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 12 / 79

(30)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Conjonction

La conjonctionde deux propositions PetQest :

É vraie, si les deux propositions sontsimultanément vraies

É fausse dans tous les autres cas

Notations : PetQ ou :PQ

(31)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Conjonction

La conjonctionde deux propositions PetQest :

É vraie, si les deux propositions sontsimultanément vraies

É fausse dans tous les autres cas

Notations : PetQ ou :PQ

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 13 / 79

(32)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Conjonction

La conjonctionde deux propositions PetQest :

É vraie, si les deux propositions sontsimultanément vraies

É fausse dans tous les autres cas Notations : PetQ ou :PQ

(33)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Conjonction

Table de vérité

P Q Pet Q

V V V

V F F

F V F

F F F

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 14 / 79

(34)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Disjonction

La disjonctionde deux propositions Pet Qest :

É vraie, si au moinsune des deux propositions est vraie

É fausse dans tous les autres cas

Notations : PouQ ou :PQ

(35)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Disjonction

La disjonctionde deux propositions Pet Qest :

É vraie, si au moinsune des deux propositions est vraie

É fausse dans tous les autres cas

Notations : PouQ ou :PQ

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 15 / 79

(36)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Disjonction

La disjonctionde deux propositions Pet Qest :

É vraie, si au moinsune des deux propositions est vraie

É fausse dans tous les autres cas Notations : PouQ ou :PQ

(37)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Disjonction

Table de vérité

P Q Pou Q

V V V

V F V

F V V

F F F

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 16 / 79

(38)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Implication

La proposition : "nonPou Q" s’appelle uneimplication.

Notations : PQ

On lit :PimpliqueQ ou : PentraîneQ

SiPQest vrai, on dit que c’est un théorème dont Pest l’hypothèseet Qest laconclusion.

(39)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Implication

La proposition : "nonPou Q" s’appelle uneimplication.

Notations : PQ

On lit :PimpliqueQ ou : PentraîneQ

SiPQest vrai, on dit que c’est un théorème dont Pest l’hypothèseet Qest laconclusion.

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 17 / 79

(40)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Implication

La proposition : "nonPou Q" s’appelle uneimplication.

Notations : PQ

On lit :PimpliqueQ ou : PentraîneQ

SiPQest vrai, on dit que c’est un théorème dont Pest l’hypothèseet Qest laconclusion.

(41)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Implication

La proposition : "nonPou Q" s’appelle uneimplication.

Notations : PQ

On lit :PimpliqueQ ou : PentraîneQ

SiPQest vrai, on dit que c’est un théorème dont Pest l’hypothèseet Qest laconclusion.

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 17 / 79

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Un peu de logique Connecteurs logiques

Implication

Table de vérité

P Q nonP PQ

V V F V

V F F F

F V V V

F F V V

(43)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Équivalence

Deux propositionsPet Qsont équivalentessi chacune d’elles implique l’autre.

Pet Qsont donc toutes les deux simultanément vraies ou simultanément fausses

Notations : PQ Exemples :

É non(nonP)P

É (PQ)((nonQ)(nonP))

Dans le dernier exemple, la deuxième implication s’appelle la contraposéede la première.

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 19 / 79

(44)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Équivalence

Deux propositionsPet Qsont équivalentessi chacune d’elles implique l’autre.

Pet Qsont donc toutes les deux simultanément vraies ou simultanément fausses

Notations : PQ Exemples :

É non(nonP)P

É (PQ)((nonQ)(nonP))

Dans le dernier exemple, la deuxième implication s’appelle la contraposéede la première.

(45)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Équivalence

Deux propositionsPet Qsont équivalentessi chacune d’elles implique l’autre.

Pet Qsont donc toutes les deux simultanément vraies ou simultanément fausses

Notations : PQ

Exemples :

É non(nonP)P

É (PQ)((nonQ)(nonP))

Dans le dernier exemple, la deuxième implication s’appelle la contraposéede la première.

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 19 / 79

(46)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Équivalence

Deux propositionsPet Qsont équivalentessi chacune d’elles implique l’autre.

Pet Qsont donc toutes les deux simultanément vraies ou simultanément fausses

Notations : PQ Exemples :

É non(nonP)P

É (PQ)((nonQ)(nonP))

Dans le dernier exemple, la deuxième implication s’appelle la contraposéede la première.

(47)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Équivalence

Deux propositionsPet Qsont équivalentessi chacune d’elles implique l’autre.

Pet Qsont donc toutes les deux simultanément vraies ou simultanément fausses

Notations : PQ Exemples :

É non(nonP)P

É (PQ)((nonQ)(nonP))

Dans le dernier exemple, la deuxième implication s’appelle la contraposéede la première.

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 19 / 79

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Un peu de logique Connecteurs logiques

Équivalence

Deux propositionsPet Qsont équivalentessi chacune d’elles implique l’autre.

Pet Qsont donc toutes les deux simultanément vraies ou simultanément fausses

Notations : PQ Exemples :

É non(nonP)P

É (PQ)((nonQ)(nonP))

Dans le dernier exemple, la deuxième implication s’appelle la

(49)

Un peu de logique Connecteurs logiques

Équivalence

Table de vérité

P Q nonP nonQ PQ QP PQ

V V F F V V V

V F F V F V F

F V V F V F F

F F V V V V V

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 20 / 79

(50)

Ensembles

Ensembles

Un ensembleest une "collection" d’éléments.

Un ensemble Eest bien définisi on possède un critère permettant de dire sans ambiguïté si un objetaest un élément de Eou n’est pas élément un de E.

On écrira respectivement : aE

aappartient àE aest un élément deE

a6∈E

an’appartient pas àE an’est pas un élément deE

(51)

Ensembles

Ensembles

Un ensembleest une "collection" d’éléments.

Un ensemble Eest bien définisi on possède un critère permettant de dire sans ambiguïté si un objetaest un élément de Eou n’est pas élément un de E.

On écrira respectivement : aE

aappartient àE aest un élément deE

a6∈E

an’appartient pas àE an’est pas un élément deE

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 21 / 79

(52)

Ensembles

Ensembles

Un ensembleest une "collection" d’éléments.

Un ensemble Eest bien définisi on possède un critère permettant de dire sans ambiguïté si un objetaest un élément de Eou n’est pas élément un de E.

On écrira respectivement : aE

aappartient àE aest un élément deE

a6∈E

an’appartient pas àE an’est pas un élément deE

(53)

Ensembles

Ensembles

Important :

Un objet mathématique ne peut être à la fois un ensemble et un élément de cet ensemble.

L’écriture : aa est donc interdite.

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 22 / 79

(54)

Ensembles

Ensembles

Important :

Un objet mathématique ne peut être à la fois un ensemble et un élément de cet ensemble.

L’écriture : aa est donc interdite.

(55)

Ensembles

Ensembles

Égalité

Deux ensembles Eet F sont égaux s’ils possèdent les mêmes éléments.

On écrit :E=F

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 23 / 79

(56)

Ensembles

Ensembles

Égalité

Deux ensembles Eet F sont égaux s’ils possèdent les mêmes éléments.

On écrit :E=F

(57)

Ensembles

Ensembles

Écriture

Pour écrire un ensemble,

É on énumère ses éléments :

E={a, b, c, d, e}

Remarque : l’ordre n’a pas d’importance : E={a, b, c, d, e}={d, a, c, b, e}

É on définit ses éléments par une propriété qu’ils ont en commun : l’ensemble des nombres pairs

E={pN|p=2n, nN}

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 24 / 79

(58)

Ensembles

Ensembles

Écriture

Pour écrire un ensemble,

É on énumère ses éléments :

E={a, b, c, d, e}

Remarque : l’ordre n’a pas d’importance : E={a, b, c, d, e}={d, a, c, b, e}

É on définit ses éléments par une propriété qu’ils ont en commun : l’ensemble des nombres pairs

E={pN|p=2n, nN}

(59)

Ensembles

Ensembles

Écriture

Pour écrire un ensemble,

É on énumère ses éléments :

E={a, b, c, d, e}

Remarque : l’ordre n’a pas d’importance : E={a, b, c, d, e}={d, a, c, b, e}

É on définit ses éléments par une propriété qu’ils ont en commun : l’ensemble des nombres pairs

E={pN|p=2n, nN}

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 24 / 79

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Ensembles

Ensembles

Écriture

Pour écrire un ensemble,

É on énumère ses éléments :

E={a, b, c, d, e}

Remarque : l’ordre n’a pas d’importance : E={a, b, c, d, e}={d, a, c, b, e}

É on définit ses éléments par une propriété qu’ils ont en commun : l’ensemble des nombres pairs

E={pN|p=2n, nN}

(61)

Ensembles

Ensembles

Écriture

On note {a} l’ensemble qui n’a qu’un seul élémenta. On appelle cet ensemble unsingleton, le singletona.

On doit distinguer l’ensemble {a} de l’élémenta, sinon on devrait écrire :

a={a}{a} Ce qui est interdit !

Il existe un ensemble qui n’a aucun élément : l’ensemble vide. Noté : ∅

Quel que soit l’élémenta,

É l’assertiona∅ est toujours fausse

É l’assertiona6∈∅ est toujours vraie

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 25 / 79

(62)

Ensembles

Ensembles

Écriture

On note {a} l’ensemble qui n’a qu’un seul élémenta. On appelle cet ensemble unsingleton, le singletona. On doit distinguer l’ensemble {a} de l’élémenta, sinon on devrait écrire :

a={a}{a} Ce qui est interdit !

Il existe un ensemble qui n’a aucun élément : l’ensemble vide. Noté : ∅

Quel que soit l’élémenta,

É l’assertiona∅ est toujours fausse

É l’assertiona6∈∅ est toujours vraie

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Ensembles

Ensembles

Écriture

On note {a} l’ensemble qui n’a qu’un seul élémenta. On appelle cet ensemble unsingleton, le singletona. On doit distinguer l’ensemble {a} de l’élémenta, sinon on devrait écrire :

a={a}{a} Ce qui est interdit !

Il existe un ensemble qui n’a aucun élément : l’ensemble vide.

Noté : ∅

Quel que soit l’élémenta,

É l’assertiona∅ est toujours fausse

É l’assertiona6∈∅ est toujours vraie

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 25 / 79

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Ensembles

Ensembles

Écriture

On note {a} l’ensemble qui n’a qu’un seul élémenta. On appelle cet ensemble unsingleton, le singletona. On doit distinguer l’ensemble {a} de l’élémenta, sinon on devrait écrire :

a={a}{a} Ce qui est interdit !

Il existe un ensemble qui n’a aucun élément : l’ensemble vide.

Noté : ∅ Quel que soit l’élémenta,

(65)

Ensembles

Ensembles

Écriture

On note {a} l’ensemble qui n’a qu’un seul élémenta. On appelle cet ensemble unsingleton, le singletona. On doit distinguer l’ensemble {a} de l’élémenta, sinon on devrait écrire :

a={a}{a} Ce qui est interdit !

Il existe un ensemble qui n’a aucun élément : l’ensemble vide.

Noté : ∅ Quel que soit l’élémenta,

É l’assertiona∅ est toujours fausse

É l’assertiona6∈∅ est toujours vraie

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 25 / 79

(66)

Ensembles

Ensembles

Inclusion

On dit qu’un ensembleF estinclus dans l’ensembleE, lorsque tout élément de F est un élément deE.

On écrit :

FE On dit :

É F est inclus dansE

É F est une partie deE

É F est un sous-ensemble deE

(67)

Ensembles

Ensembles

Inclusion

On dit qu’un ensembleF estinclus dans l’ensembleE, lorsque tout élément de F est un élément deE.

On écrit :

FE

On dit :

É F est inclus dansE

É F est une partie deE

É F est un sous-ensemble deE

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 26 / 79

(68)

Ensembles

Ensembles

Inclusion

On dit qu’un ensembleF estinclus dans l’ensembleE, lorsque tout élément de F est un élément deE.

On écrit :

FE On dit :

É F est inclus dansE

É F est une partie deE

É F est un sous-ensemble deE

(69)

Ensembles

Ensembles

Inclusion

On dit qu’un ensembleF estinclus dans l’ensembleE, lorsque tout élément de F est un élément deE.

On écrit :

FE On dit :

É F est inclus dansE

É F est une partie deE

É F est un sous-ensemble deE

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 26 / 79

(70)

Ensembles

Ensembles

Inclusion

On dit qu’un ensembleF estinclus dans l’ensembleE, lorsque tout élément de F est un élément deE.

On écrit :

FE On dit :

É F est inclus dansE

É F est une partie deE

É F est un sous-ensemble deE

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Ensembles

Ensembles

Inclusion

Pour tout ensembleE et tout objet mathématiquex, la proposition :

x xE est toujours vraie.

Donc pour tout ensemble E, on a toujours l’inclusion :

E On a aussi toujours :

EE Exemple d’inclusion :

NZQRC

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 27 / 79

(72)

Ensembles

Ensembles

Inclusion

Pour tout ensembleE et tout objet mathématiquex, la proposition :

x xE est toujours vraie.

Donc pour tout ensembleE, on a toujours l’inclusion :

E

On a aussi toujours :

EE Exemple d’inclusion :

NZQRC

(73)

Ensembles

Ensembles

Inclusion

Pour tout ensembleE et tout objet mathématiquex, la proposition :

x xE est toujours vraie.

Donc pour tout ensembleE, on a toujours l’inclusion :

E On a aussi toujours :

EE

Exemple d’inclusion :

NZQRC

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 27 / 79

(74)

Ensembles

Ensembles

Inclusion

Pour tout ensembleE et tout objet mathématiquex, la proposition :

x xE est toujours vraie.

Donc pour tout ensembleE, on a toujours l’inclusion :

E On a aussi toujours :

EE Exemple d’inclusion :

(75)

Ensembles

Ensembles

Complémentaire

Soit Eun ensemble et Aune partie deE, on appelle complémentaire de Apar rapport àE, l’ensemble des éléments deE qui n’appartiennent pas àA.

Notations : ûEA, Ac, A,¯ E\A Connecteur logique :non, ¬ Exemples :

ûEE=∅, ûE∅=E, ûR{0}=R

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 28 / 79

(76)

Ensembles

Ensembles

Complémentaire

Soit Eun ensemble et Aune partie deE, on appelle complémentaire de Apar rapport àE, l’ensemble des éléments deE qui n’appartiennent pas àA.

Notations : ûEA, Ac, A,¯ E\A

Connecteur logique :non, ¬ Exemples :

ûEE=∅, ûE∅=E, ûR{0}=R

(77)

Ensembles

Ensembles

Complémentaire

Soit Eun ensemble et Aune partie deE, on appelle complémentaire de Apar rapport àE, l’ensemble des éléments deE qui n’appartiennent pas àA.

Notations : ûEA, Ac, A,¯ E\A Connecteur logique :non, ¬

Exemples :

ûEE=∅, ûE∅=E, ûR{0}=R

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 28 / 79

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Ensembles

Ensembles

Complémentaire

Soit Eun ensemble et Aune partie deE, on appelle complémentaire de Apar rapport àE, l’ensemble des éléments deE qui n’appartiennent pas àA.

Notations : ûEA, Ac, A,¯ E\A Connecteur logique :non, ¬ Exemples :

ûEE=∅, ûE∅=E, ûR{0}=R

(79)

Ensembles

Ensembles

Ensemble des parties

Toutes les parties d’un ensemble Eforment un ensemble : l’ensemble des parties de E

Notation :P(E)

AEAP(E)

aE{a}E{a}P(E) Pour tout ensembleE :

P(E) EP(E)

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 29 / 79

(80)

Ensembles

Ensembles

Ensemble des parties

Toutes les parties d’un ensemble Eforment un ensemble : l’ensemble des parties de E

Notation :P(E)

AEAP(E)

aE{a}E{a}P(E) Pour tout ensembleE :

P(E) EP(E)

(81)

Ensembles

Ensembles

Ensemble des parties

Toutes les parties d’un ensemble Eforment un ensemble : l’ensemble des parties de E

Notation :P(E)

AEAP(E)

aE{a}E{a}P(E) Pour tout ensembleE :

P(E) EP(E)

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 29 / 79

(82)

Ensembles

Ensembles

Ensemble des parties

Toutes les parties d’un ensemble Eforment un ensemble : l’ensemble des parties de E

Notation :P(E)

AEAP(E)

aE{a}E{a}P(E)

Pour tout ensembleE :

P(E) EP(E)

(83)

Ensembles

Ensembles

Ensemble des parties

Toutes les parties d’un ensemble Eforment un ensemble : l’ensemble des parties de E

Notation :P(E)

AEAP(E)

aE{a}E{a}P(E) Pour tout ensembleE :

P(E) EP(E)

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 29 / 79

(84)

Ensembles

Ensembles

Intersection

L’intersectionde deux ensemblesEet F est l’ensemble des élémentscommuns à Eet F.

Notation :EF On a donc :

xEF(xE et xF) Connecteur logique : et, ∧

L’intersection de deux ensembles peut être vide, on dit alors que les deux ensembles sontdisjoints.

(85)

Ensembles

Ensembles

Intersection

L’intersectionde deux ensemblesEet F est l’ensemble des élémentscommuns à Eet F.

Notation :EF

On a donc :

xEF(xE et xF) Connecteur logique : et, ∧

L’intersection de deux ensembles peut être vide, on dit alors que les deux ensembles sontdisjoints.

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 30 / 79

(86)

Ensembles

Ensembles

Intersection

L’intersectionde deux ensemblesEet F est l’ensemble des élémentscommuns à Eet F.

Notation :EF On a donc :

xEF(xE et xF)

Connecteur logique : et, ∧

L’intersection de deux ensembles peut être vide, on dit alors que les deux ensembles sontdisjoints.

(87)

Ensembles

Ensembles

Intersection

L’intersectionde deux ensemblesEet F est l’ensemble des élémentscommuns à Eet F.

Notation :EF On a donc :

xEF(xE et xF) Connecteur logique : et, ∧

L’intersection de deux ensembles peut être vide, on dit alors que les deux ensembles sontdisjoints.

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 30 / 79

(88)

Ensembles

Ensembles

Intersection

L’intersectionde deux ensemblesEet F est l’ensemble des élémentscommuns à Eet F.

Notation :EF On a donc :

xEF(xE et xF) Connecteur logique : et, ∧

L’intersection de deux ensembles peut être vide, on dit alors que les deux ensembles sontdisjoints.

(89)

Ensembles

Ensembles

Réunion

La réunionde deux ensemblesEet F est l’ensemble des élémentsappartenant à au moins un des deux ensemblesE ou F.

Notation :EF On a donc :

xEF(xE ou xF) Connecteur logique : ou, ∨

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 31 / 79

(90)

Ensembles

Ensembles

Réunion

La réunionde deux ensemblesEet F est l’ensemble des élémentsappartenant à au moins un des deux ensemblesE ou F.

Notation :EF

On a donc :

xEF(xE ou xF) Connecteur logique : ou, ∨

(91)

Ensembles

Ensembles

Réunion

La réunionde deux ensemblesEet F est l’ensemble des élémentsappartenant à au moins un des deux ensemblesE ou F.

Notation :EF On a donc :

xEF(xE ou xF)

Connecteur logique : ou, ∨

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 31 / 79

(92)

Ensembles

Ensembles

Réunion

La réunionde deux ensemblesEet F est l’ensemble des élémentsappartenant à au moins un des deux ensemblesE ou F.

Notation :EF On a donc :

xEF(xE ou xF) Connecteur logique : ou, ∨

(93)

Ensembles

Opérations sur des parties d’ensembles

Propriétés

Soit A,B etC trois parties d’un ensembleE. L’intersection et la réunion sont commutatives:

É AB=BA

É AB=BA

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 32 / 79

(94)

Ensembles

Opérations sur des parties d’ensembles

Propriétés

Soit A,B etC trois parties d’un ensembleE. L’intersection et la réunion sont associatives:

É A(BC) = (AB)C

=ABC

É A(BC) = (AB)C

=ABC

(95)

Ensembles

Opérations sur des parties d’ensembles

Propriétés

Soit A,B etC trois parties d’un ensembleE. L’intersection et la réunion sont associatives:

É A(BC) = (AB)C=ABC

É A(BC) = (AB)C=ABC

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 32 / 79

(96)

Ensembles

Opérations sur des parties d’ensembles

Propriétés

Soit A,B etC trois parties d’un ensembleE.

L’intersection est distributivepar rapport à la réunion : A(BC) = (AB)(AC)

(97)

Ensembles

Opérations sur des parties d’ensembles

Propriétés

Soit A,B etC trois parties d’un ensembleE.

La réunion estdistributivepar rapport à l’intersection : A(BC) = (AB)(AC)

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 32 / 79

(98)

Ensembles

Opérations sur des parties d’ensembles

Complémentaires

Soit Aet Bdeux parties d’un ensembleE.

Le complémentaire de l’intersection deA etB est la réunion des complémentaires deA etB :

(AB)C=ACBC

(99)

Ensembles

Opérations sur des parties d’ensembles

Complémentaires

Soit Aet Bdeux parties d’un ensembleE.

Le complémentaire de l’intersection deA etB est la réunion des complémentaires deA etB :

(AB)C=ACBC

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 33 / 79

(100)

Ensembles

Opérations sur des parties d’ensembles

Complémentaires

Soit Aet Bdeux parties d’un ensembleE.

Le complémentaire de la réunion deA etB est l’intersection des complémentaires deA etB :

(AB)C=ACBC

(101)

Ensembles

Opérations sur des parties d’ensembles

Complémentaires

Soit Aet Bdeux parties d’un ensembleE.

Le complémentaire de la réunion deA etB est l’intersection des complémentaires deA etB :

(AB)C=ACBC

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 33 / 79

(102)

Ensembles

Produit cartésien

Soit deux ensemblesE etF, leproduit cartésiende ces deux ensembles est l’ensemble descouples(x , y) où xEet yF.

Notation :E×F

E×F={(x , y) | xE, yF}

Important : l’ordre des éléments du couple doit être respecté : (x , y)6= (y , x)

(103)

Ensembles

Produit cartésien

Soit deux ensemblesE etF, leproduit cartésiende ces deux ensembles est l’ensemble descouples(x , y) où xEet yF. Notation :E×F

E×F={(x , y) | xE, yF}

Important : l’ordre des éléments du couple doit être respecté : (x , y)6= (y , x)

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 34 / 79

(104)

Ensembles

Produit cartésien

Soit deux ensemblesE etF, leproduit cartésiende ces deux ensembles est l’ensemble descouples(x , y) où xEet yF. Notation :E×F

E×F={(x , y) | xE, yF}

Important: l’ordre des éléments du couple doit être respecté : (x , y)6= (y , x)

(105)

Ensembles

Produit cartésien

E F

(x,y) y

x

(y,x)

y x

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 35 / 79

(106)

Ensembles

Produit cartésien

E F

(x,y) y

x

(y,x)

y x

(107)

Quantificateurs

Quantificateurs

Deux symboles à connaître :

∀ :quel que soit

ÉnN, n0 : quel que soit l’entier natureln, nest positif ou nul.

É SoitA,Bet C trois parties d’un ensembleE : CAB(∀xC, xA et xB)

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 36 / 79

(108)

Quantificateurs

Quantificateurs

Deux symboles à connaître :

∀ :quel que soit

ÉnN, n0 : quel que soit l’entier natureln, nest positif ou nul.

É SoitA,Bet C trois parties d’un ensembleE : CAB(∀xC, xA et xB)

(109)

Quantificateurs

Quantificateurs

Deux symboles à connaître :

∀ :quel que soit

ÉnN, n0 : quel que soit l’entier natureln, nest positif ou nul.

É SoitA,Bet C trois parties d’un ensembleE : CAB(∀xC, xA et xB)

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 36 / 79

(110)

Quantificateurs

Quantificateurs

Deux symboles à connaître :

∃ : il existe

ÉnN, n3 : il existe un entier naturel supérieur ou égal à 3.

É SoitA,Bdeux parties d’un ensemble E: AB6=∅(∃xE: xA et xB)

(111)

Quantificateurs

Quantificateurs

Deux symboles à connaître :

∃ : il existe

ÉnN, n3 : il existe un entier naturel supérieur ou égal à 3.

É SoitA,Bdeux parties d’un ensemble E: AB6=∅(∃xE: xA et xB)

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 36 / 79

(112)

Quantificateurs

Quantificateurs

Deux symboles à connaître :

∃ : il existe

ÉnN, n3 : il existe un entier naturel supérieur ou égal à 3.

É SoitA,Bdeux parties d’un ensemble E: AB6=∅(∃xE: xA et xB)

(113)

Quantificateurs

Quantificateurs

Ordre

Important: quand on utilise plusieurs quantificateurs, leur ordre d’écriture est important.

ÉxR,yR: y > x

Proposition vraie

ÉxR,yR: y > x

Proposition fausse

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 37 / 79

(114)

Quantificateurs

Quantificateurs

Ordre

Important: quand on utilise plusieurs quantificateurs, leur ordre d’écriture est important.

ÉxR,yR: y > x

Proposition vraie

ÉxR,yR: y > x

Proposition fausse

(115)

Quantificateurs

Quantificateurs

Ordre

Important: quand on utilise plusieurs quantificateurs, leur ordre d’écriture est important.

ÉxR,yR: y > x Proposition vraie

ÉxR,yR: y > x

Proposition fausse

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 37 / 79

(116)

Quantificateurs

Quantificateurs

Ordre

Important: quand on utilise plusieurs quantificateurs, leur ordre d’écriture est important.

ÉxR,yR: y > x Proposition vraie

ÉxR,yR: y > x

Proposition fausse

(117)

Quantificateurs

Quantificateurs

Ordre

Important: quand on utilise plusieurs quantificateurs, leur ordre d’écriture est important.

ÉxR,yR: y > x Proposition vraie

ÉxR,yR: y > x Proposition fausse

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 37 / 79

(118)

Quantificateurs

Quantificateurs

Négation

Pour nier une proposition contenant des quantificateurs, on intervertit les ∀ et les ∃ et on nie les assertions :

la proposition :

non(∀xR,yR: y > x) est :

xR,yR: yx

(119)

Quantificateurs

Quantificateurs

Négation

Pour nier une proposition contenant des quantificateurs, on intervertit les ∀ et les ∃ et on nie les assertions :

la proposition :

non(∀xR,yR: y > x) est :

xR,yR: yx

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 38 / 79

(120)

Application

Applications

Soit deux ensemblesE etF. Uneapplicationf de Edans F associe à tout élémentxde Eau plus un élément de F, noté f(x).

Notation :

f : E −→ F x f(x)

É E est l’ensemble de départ def

É F est l’ensemble d’arrivée def

É f(x) est l’image dexdans F

É xest l’antécédent def(x)

(121)

Application

Applications

Soit deux ensemblesE etF. Uneapplicationf de Edans F associe à tout élémentxde Eau plus un élément de F, noté f(x).

Notation :

f : E −→ F x f(x)

É Eest l’ensemble de départ de f

É F est l’ensemble d’arrivée def

É f(x) est l’image dexdans F

É xest l’antécédent def(x)

Paris Descartes Mathématiques et calcul 22 septembre 2009 39 / 79

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