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Diffusion des ions positifs des sels à travers le cuivre à haute température. Analyse des ions émis à l'aide d'un spectrographe de masse

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00233116

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00233116

Submitted on 1 Jan 1932

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Diffusion des ions positifs des sels à travers le cuivre à haute température. Analyse des ions émis à l’aide d’un

spectrographe de masse

Jean Cichocki

To cite this version:

Jean Cichocki. Diffusion des ions positifs des sels à travers le cuivre à haute température. Analyse des ions émis à l’aide d’un spectrographe de masse. J. Phys. Radium, 1932, 3 (10), pp.478-485.

�10.1051/jphysrad:01932003010047800�. �jpa-00233116�

(2)

DIFFUSION DES IONS POSITIFS DES SELS A TRAVERS LE CUIVRE A HAUTE TEMPÉRATURE.

ANALYSE DES IONS ÉMIS A L’AIDE D’UN SPECTROGRAPHE DE MASSE

Par JEAN CICHOCKI.

Sommaire. 2014 Dans une feuille de cuivre on enferme un sel métallique et on porte la feuille à haute température. Les ions positifs du sel diffusent à travers la feuille de cuivre et arrivent à l’autre surface, qui devient une source d’émission d’ions posi-

tifs. On a fait l’analyse avec un spectrographe de masse et on a constaté l’existence d’ions monovalents simples et complexes. Les ions complexes sont des combinaisons du métal des sels avec le cuivre ou avec le platine, qui constitue l’électrode de support. On observe que les ions positifs émis ont une vitesse plus petite que celle qui résulterait du potentiel accélérateur appliqué. On a établi une méthode expérimentale de mesure

du potentiel efficace, qui donne leur vitesse aux ions observés.

1. Ce travail est la suite des recherches de M. Peczalski (1), qui ont pour but l’expli-

cation de l’action des sels à haute température. D’après sa conception c’étaient les vapeurs des sels, qui agissaient sur les métaux, ayant pour effets : l’augmentation de volume, la

cémentation et la modification de la structure métallique.

Les recherches plus récentes (2) ont montré le rôle important que jouent les ions posi-

tifs des sels dans ces phénomènes. C’est ainsi qu’il a été décidé l’analyse des particules chargées émises par les métaux en présence des sels à haute température.

Mes études se sont bornées jusqu’à présent à l’analyse des ions émis par le cuivre en

présence des sels : LiCI, NaCl, KCl, MgCI2, SrCI2, NiCl2 et AIC13.

-

2. Le schéma de l’appareil est représenté par la figure I. C’est un spectrographe de

masse modèle Dempster modifié dans la disposition des fentes par Murawkin (3). Les

fentes di

=

d3 _ ~ mm sont centrées sur le cercle de rayon ri

û

14 mm. La fente d, _ ? mm est placée excentriquement.

Dans la construction de l’appareil en ce qui concerne le système des fentes je me suis

basé sur ses données. Le pouvoir séparateur de l’appareil est entièrement suffisant pour

mes recherches.

L’électrode E est composée d’une feuille de platine d’épaisseur 0,06 mm, de longueur

10 mm environ et de 4 mm de largeur formant un cadre comme le montre la figure ~. Elle

est soudée aux deux extrémités aplaties des fils de platine. J’ai perforé l’électrode du côté des fils du support pour diminuer le flux de chaleur. Ainsi le milieu peut être porté à

(1) M. THADÉE PECzALSKi, C. R. 181 (1925), p. 463 ; 182 (1926), p. 516 et 184 (192’7), p. ’l’l39.

(2) M. PECZAL8KI et Jean CICHOCKI, C. R, 188 (1929), p. 699.

(3) M. HERBERT MURAWKIN, Ann. der Phys. YIII (1931), p. 203, 353 et 38o.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:01932003010047800

(3)

479 la température d’expérience 11

-

900°h jusqu’à l’

-

13’ ’-)O"K avec un courant de chauffage

ne dépassant pas 10 ampères.

À .

3. Sur cette électrode de support en platine je place la feuille de cuivre d’épaisseur

Fig. Il.

-

L’électrode et la feuille.

1. L’électrode en platine.

2. La feuille de Cu.

-

3. L’ensemble.

0,05 mm, chimiqueinent pur (fig. II, ~). Près de la feuille est placé le thermocouple. La

feuille forme une petite enveloppe s’ajustant sur l’électrode en platine (fig. Il, 3).

Le sel est placé (fig. II, ~) sur la partie a de la feuille et enfermé par les parties (b)

(4)

et (c). L’enveloppe avec le sel est fixée sur l’électrode de platine par (d) et (e) courbées en

sens inverse face à la fente di. Les parties (d) et (e) (en cuivre) recouvrent entièrement le

platine.

Par cette construction d’ensemble l’électrode conserve une stabilité mécanique répon-

dant aux conditions de l’expérience. La température réelle de la feuille est de quelques

dizaines de degrés plus haute que celle indiquée par le thermo-couple, puisque celui-ci

refroidit le point où il est appliqué.

On pourrait objecter, que le sel, placé à l’intérieur de la feuille, se verse sur les par- ties (d) et (e) de la feuille, quand la température d’expérience est supérieure à la tempéra-

ture de fusion du sel. On aurait ainsi directement en face de la fente le sel émettant les ions. Mais la couche mince de sel devenue liquide, adhère à l’intérieur de la feuille exacte- ment comme un liquide entre deux plateaux très rapprochés.

°

Cette objection est donc peu probable. Quant aux vapeurs de sel elles ne peuvent pas arriver sur la surface de la feuille vis-à-vis de la fente di puisque l’espace libre entre l’é trode et la paroi entonrante est de l’ordre d’un millimètre, et le libre parcours des molé- cules dans l’état gazeux est de l’ordre de quelques cm à la pression régnant pendant l’expé-

rience. Les vapeurs se fixent sur la paroi froide.

4. L’ensemble du système des fentes et des électrodes est mis dans une boîte en

cuivre. Elle est placée entre les pôles d’un électroaimant et isolée électriquement du sol

par du quartz. Cette boite se termine par un tube de cuivre, et celui-ci est soudé à un tube

de verre fermé par un bouchon rodé. Les conducteurs passent à l’extérieur de l’appareil

par des soudures dans le verre.

Après la fermeture de l’appareil on fait un vide de l’ordre de 10-5 mm à l’aide d’une pompe à vapeur de mercure. Entre la pompe et l’appareil est placé un piège à air liquide.

On établit la différence de potentiel V, pour accélérer les ions émis, entre l’électrode E, qui

est aussiisolée par du quartz, et la fente di. L’électrode E est mise au sol.

On relève les spectrogrammes en variant le champ magnétique H tout en laissant V

constant pendant chaque spectrogrammes. L’intensité de champ magnétique varie de

~ _ - 8760 jusqu’à H = + 8760 gauss. J’ai travaillé sur la courbe d’hystérésis de la

branche ascendante et descendante des Il positifs [positif, qui dévie un ion positif vers

l’électrode reliée à l’amplificateur (fig. I)].

L’électroaimant est étalonné à l’aide d’un fluxmètre et d’une spirale de bismuth. Les deux procédés ont donné les mêmes résultats pour la çourbe approximative d’hystérésis.

La courbe définitive employée pour le calcul des spectrogrammes est tracée en se basant

sur les données des expériences. Elle est peu différente de la première. Pour travailler

toujours dans les mêmes conditions, la courbe d’hystérésis est parcourue entièrement avant de commencer l’expérience.

Les ions émis se meuvent sur des cercles limités par les fentes et arrivent après le

passage de la fente d3 dans la cage formant l’électrode de mesure. La cage est isolée par du

quartz et reliée à l’amplificateur composé d’une bigrille, qui donne une amplification 250.

Par ce moyen on peut enregistrer. facilement les courants ioniques parvenant à la cage d’intensité de l’ordre de à 10-il ampères avec un galvanomètre de sensibilité moyenne.

5. Les spectrogrammes.

--

L’équation reliant entre eux l’intensité du champ magnétique H, le rayon du demi-cercle le plus probable 1. décrit par les ions, le potentiel

accélérateur V’, la charge de l’ion monovalent e et sa masse ni, est :

en posant iii

:=--=

naH X A, JUIf est la masse de l’atome d’hydrogène et A le poids

atomique.

(5)

481 Pour les ions bivalents on a :

L’équation (1 ) peut s’écrire sous la forme :

en posant

Le rayon le plus probable est d’après M. Murawkin (1’) r

_-__

1,50 cm, confirmé par

mes expériences.

En exprimant H en gauss et V’ en volts, on obtient pour li la valeur théorique

.

Dans les équations (1) et (2) V’ est le potentiel accélérateur effectif. Mais dans les

spectrogrammes V’ est différent de la valeur de potentiel accélérateur V appliqué. Dési-

gnons par 9 la valeur de cette différence. On a :

d’oit

Dans les spectrogrammes il y a des raies appartenant aux ions connus, par exemple

l’ion Na+, qui donne une raie forte et isolée dans le spectre. On est ainsi certain, de ne pas

se tromper en ce qui concerne A. Dans l’équation (2) sont connues H, l~, A et on obtient pour V’ une valeur différente de V.

Mais on pourrait chercher une autre valseur de li différente de la valeur théorique et expliquer ce désaccord par un autre r. Pour éliminer l’influence de la constante h de

l’appareil, j’ai changé l’àllure des expériences :

Je relève des spectrogrammes de la même source pour différents potentiels. Faisant

une première série de mesures avec V, et l’autre avec TT2, pour la même source on a d’après l’équation (6) :

pour la raie d’un ion identique de poids atomique A.

De (6’) et (6") on tire

On voit un exemple sur la figure 3, extraite des expériences faites avec Cu + -Na Cl.

Sur l’axe des abscisses est portée l’intensité du champ magnétique en gauss, sur l’axe

des ordonnées, l’intensité de la raie mesurée en 10-il ampères. Les courbes (a) et ‘6) représentent la raie au début et à la fin de la première série avec V,

-

42,4 volts et H, = 2810 gauss. Quant à la courbe (c), elle donne la même raie dans une nouvelle série

avec V2

=

31,7 volts et H2

=

2330 gauss, faite après avoir parcourue la branche négative

de la courbe d’hystérésis. On élève la température l’au cours de l’expérience, parce qu’on

(1) Loc. cit.

(6)

a un abaissement de l’émission en fonction de temps. L’explication probable de cet abais- sement de l’émission sera donnée à la fin de cet article. L’intensité d’émission intégrale

doit être d’ordre de 10-’ ampères, pour qu’on puisse enregistrer sans difficultés les spec-

trogrammes.

Calculant q d’après l’équation (7) dans le cas de la figure 3, on trouve

Portant cette valeur de 9 dans l’équation (6) avec la valeur 96,3 on obtient :

C’est donc certainement la raie correspondante à l’ion Na avec A = 23,0.

1-1 l’aide de valeurs 9 et 0e4 trouvées je calcule inversement de l’équation (6) la valeur

de K. Je trouve dans le cas de la figure 3.

Les calculs analogues pour des raies bien définies et connues ont donné pour p des valeurs de 5 à 10 volts et pour K des valeurs

Cet accord de K trouvé expérimentalement avec la valeur théorique A ~ 96,3 dans 1>s limites de l’erreur des observations confirme l’exactitude des calculs de 31. Murawkin (1)

sur le rayon le plus probable r dans la disposition particulière d es fentes.

Dans les calculs définitifs des raies des diagrammes j’ai employé A # 96,3 et comme

valeur moyenne de p : p

~

+ 7,5 volts. Mais il semble, qu’il y ait une proportionnalité

entre le poids atomique A et la valeur de p.

Pour chaque raie des spectrogrammes correspond d’après l’équation (6) un certain poids atomique A. Il est en général peu différent d’un poids atomique A d’un ion simple

ou d’un ion complexe. Les ions complexes sont des alliages élémentaires du métal, du sel

avec le cuivre et le platine. De plus les spectrogrammes révèlent aussi les ions complexes platine-cuivre. On sait que le platine est soluble dans le cuivre et inversement, d’où la

courte durée moyenne des électrodes.

Les résultats ainsi obtenus sont rassemblés dans le tableau I. La première colonne

donne le poids atomique observé. La deuxième colonne donne les ions émis correspon- dant en réalité aux poids atomiques de la première colonne. A la fin figurent d’autres interprétations, en général peu probables.

Les intensités des raies correspondantes aux ions complexes sont faibles par rapport

aux intensités des raies des ions alcalins simples.

_

J’ai employé dans les expériences des sels de Rhône-Poulenc : LiCI, NuCI, KCI, lVIgC12, CuCI$, SrCl2, BaCI2, NiCP et AICII.

Dans le LiCI et IiCI il y avait des impuretés de Mg, dans le NaCl des traces de Ca.

Les expériences faites avec le CaCP, SrCI2, et BaCP ont donné un résultat négatif à

cause de la faible émission intégrale d’intensité de 10-8 à 10-9 ampères, même en s’appro-

chant de la température de fusion de cuivre. Les expériences faites avec les trois derniers sels n’ont donné ni les ions Cu, ni les ions Pt, qui sont presque toujours enregistrés en présence des sels alcalins.

Les expériences faites avec le NiCl2 et A1CP n’ont donné que des ions Na, Cu, Pt et des combinaison sous Cu + Na, Cu + Pt. Le NICII et AlC13 ont des impurités de Na.

Une expérience faite avec du cuivre ordinaire a donné des ions Na, Na + Cu, Pt, Pt + Na.

Au commencement des séries j’ai constaté quelquefois des ions H et 112.

Dans le cas de Li, Li~-’, Mg et 3Igz j’ai observé quelquefois des élargissements des raies indiquant la présence des isotopes.

(1) Loc. cii.

, ,

(7)

483

(8)

6. L’existence des ions complexes n’a pas été signalée jusqu’à présent. Si on considère

les spectrogrammes, où les raies correspondant aux ions complexes apparaissent régu- lièrement, il serait difficile de les expliquer autrement.

Il est très probable, que dans le travail de M. Murawkin (1) les raies avec _ 220,

~~18, 227, 239, 210, auxquelles l’auteur attribue une certaine probabilité de représenter

l’élément hypothétique Ecacaesium avec A

=

220 théorique, appartiennent aux ions com- plexes du platine avec les alcalins ou alcalino-terreux. De même en ce qui concerne la raie

A = 266.

C’est d’autant plus probable que dans cette région de spectre il manque les ions étalons

sur lesquels l’auteur se base dans l’explication des spectrogrammes.

Dans son travail on voit d’après un exemple donné, qu’il trouve pour les ions étalons : A == 17,6 pour le Na (13)

A

=

34 pour le K (39,0)

Pour le calcul des raies il déplace toute la partie entre les étalons proportionnellement

aux différences de ~1 observés et A réels. Il emploie un potentiel accélérateur fixe V = 4i volts environ. Si on introduit le potentiel V’ effectif, on obtient pour le :

on tire pour le

On peut donc conclure, que le potentiel effectif est aussi dans les expériences de

M. Murawkin plus petit que le potentiel accélérateur appliqué. Cependant l’auteur

n’attire pas l’attention sur cette correction considérable.

7. Pour expliquer ces faits expérimentaux, on pourrait faire l’hypothèse suivante :

Le sel émet à haute température des ions positifs, fait connu depuis des années (2).

Ces ions pénètrent dans le réseau du cuivre. Une fois entrés dans le réseau du cuivre,

r

les ions provoquent par leur présence de,s tensions et des déformations du réseau. Les effets apparurent par la cémentation du cuivre, quelquefois observée en cours de ce

travail et en accord avec les expériences de Peczalski (3). Le cuivre devient dur et

fragile comme du verre.

Dans le réseau métallique les ions diffusent, formant des alliages élémentaires et arrivent à la surface émettante, où ils sont émis sous la forme d’ions simples ou

d’ions complexes par alliage avec les métaux du support, Cu et Pt. De plus, comme le

prouvent les spectrogrammes, il y a une forte émission de 0~, qui provient certainement des oxydes de cuivre, contenus toujours en petite quantité par ce métal.

Sur la surface émettante l’oxygène joue certainement un rôle important. La source

réelle des ions sera donc probablement une couche mince active se composant des alliages

instables et des oxydes. On pourrait donc expliquer, pourquoi les oxydes des métaux avec une petite quantité (0,5 à 1 p. 100) d’alcalins ou alcalino-terreux sont à haute température

des bonnes sources d’émission pour les ions positifs, par exemple le mélange de

Kunsinann ("1-). Cette surface active est alimentée continuellement par les ions, qui diffu-

sent par le réseau de cuivre. Mais après un certain temps, lorsque le sel émettant le s

(1) Loc. cit.

(’) G. C, SCIIIIIDT, der Phys., 82 (1927), 664.

(3) / uc. ci~.

(4) C. H. Phys. Rev., 25 (1925), ~92.

(9)

485 ions s’est évaporé, il ne reste que les ions contenus dans le réseau de cuivre. L’émission s’abaisse avec le temps et il faut élever de plus en plus la température, pour permettre aux

ions d’arriver en nombre suffisant à la surface émettante (fig. III).

Fig. III.

-

Déplacement de la raie Na+ en fonction de V.

C’est dans la constitution de la couche émettrice que l’on doit sans doute chercher

l’explication de 9. En ce qui concerne cp, on doit remarquer, qu’avec les bas potentiels

accélérateurs V, on se trouve dans une région, où le courant de saturation n’est pas encore atteint et d’ici résulterait aussi une partie de ~.

Pour approfondir ces questions, il faudra étudier d’autres métaux et d’autres sels, en

tachant d’augmenter la précision des mesures. Ces améliorations sont en cours de réalisa- tion.

Je tiens à exprimer ma reconnaissance à M. Perrin, qui m’a accueilli si aimablement dans son laboratoire et à M. Pierre Auger pour l’intérêt qu’il a apporté à ce travail.

Je remercie M. Peczalski, à qui est dû l’initiative de ces expériences, pour ses conseils.

Ce travail a pu être effectué grâce à une subvention de l’Etat Polonais.

ltianuscrit reçu le 1? juillet 1932.

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