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Documents officiels français. Statistique agricole internationale (suite). Troisième partie - Animaux domestiques (suite)

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(1)

J OURNAL DE LA SOCIÉTÉ STATISTIQUE DE P ARIS

Documents officiels français. Statistique agricole internationale (suite). Troisième partie - Animaux domestiques (suite)

Journal de la société statistique de Paris, tome 18 (1877), p. 159-166

< http://www.numdam.org/item?id=JSFS_1877__18__159_0 >

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(2)

m- w,

DOCUMBNTS OFFICIELS FRANÇAIS.

S t a t i s t i q u e agricole i n t e r n a t i o n a l e (mite),

TROISIÈME PARTIE. -—ANIMAUX D0MBST1QUBS.

g 1". — E X I S T E N C E S .

. wmm r T iCTMJC.

D'après les Évaluations officielles, le nombre total des animaux

•xistant en Frëmce au 31 décembre 1873 serait de 48,663,817.

En voici la répartition complète :

NOMBRE ET RÉPARTITION BER ANIMAUX DOMESTIQUES.

es

uricBfl. ANIMAUX.

XOMRRK0 ABSOLUS.

RAPPORTS POUR 1,003

par e»pèc«. | ta total.

Chevaline.

Ponlaiim et pouliches Étalons roproducteur Chevaux entiers . . .

— boofres . . Jument*

Aulne . . . MulassUre.

Bovine.

Porcine.

Caprine.

Veaux r . .

Bouvlllons, taurillojiH Génisses

Taureaux . . . Bœufs

Vaches laitières . . . Antres vaches . . . . Agneaux. . . . > . . Béliers

Moutons. . . . Brebis.

Cochons de lait . . . Verrats

Cochons Truies Chevreaux B o u c s . . . Chèvres

132 ,\î%

11,853 348,673 761,641 1,1*8,44*

Total.

1,252,477 947,824 1,476,689 |

313,081 i,792,5to1 4,8*8,961 1,049,857 6,233,796 516,719 7,147,311 12,037,255 1,681,539 54,551 3,097,588 921,978 43*,897 50,641 1,808,299

2,742,738

410,268 303,775

11,721,459

25,936,U4

5,755,656

1,794,837 1571

M

48,663,817

127, > 1,000 278 434

. . . 1,000 . . 1,000 107

81 126

26 } 1,000 153

ar

• KM 240

20 "I 276*1 464 292

5 3 9 ' ^ ° ° ° 160

243

28 } 1,000 729

1,000

57

/

8 7

24*

52Û

120

«7

1,000

Leâ rapports qui précèdent, en même temps qu'ils permettent de se remte

compte de l'importance relative des diverses sortes d'animaux, fournissent un Cer-

tain nombre d'autres indications utiles; c'est ainsi qu'on peut voir que la proportion

des jeunes est de 16 p. 100 dans l'espèce chevaline, de 31 p. 100 dans l'espèce

bovine, et, respectivement, de 24, de 29 et de 24 p. 100 dans les espèces ovine,

(3)

— «0 —

porcine et caprine. La moyenne générale est de 26 à 27 p. 100, chiffre analogue au rapport que présente l'espèce humaVue, en ce qui concerne les enfants de moins de 15 ans. On peut également, à l'aide de ces données, comparer les ani- maux reproducteurs aux fecntelles adulte», éonrtôitrè la proportion des vaches lai- tières, etc., etc. ; mais nous n'insistons pas sur ces points (1).

Après avoir indiqué, en détail, la distribution actuelle des espèces domestiques»

il importe de rechercher dans quelle mesure chaque espèce s'est accrue ou a diminué.

Voici, à cet égard, le résultât des quatre enquêtes successives :

NOMBRE D E S ANIMAUX DOMESTIQUEE PAR ESPÈCE.

M S P ± C B B .

Chevaline.

Aaine . . . MttUatièrc BWrTW fTf'.

Ovine (3) . Porcine . .

Caprine. .

1840.

2,818,496 413,519 373,841 24,812,841 4,910,721 964.300

1832.

2,866,054 380,180 315,831 twfQVOfTDT 24,562,036 5,216,403 1,337,940

1862.

2,914,412 396,237 330,987

24,453,550 6,037,543 1,726,:198

1873.

2,742,738 410,268 303,775

19,701,318 5,755,656 1,794,837

MOuvKMnxT on 1810 a 1873 Augmentation

pour 14)0.

17,20 86,13

Dimîeàiio*

pOMT. i l l u .

2,<*é

0,79 18,74 20,70

Mais comme, dans l'intervalle) il y a eu, en France, quelques changements terri- toriaux, on aura une idée plus précise des changements survenus dans l'effectif dea diverses espèces, en en rapportant le nombre à la superficie totale du pbys.

(I) En ne s'attachant qu'aux rapports de la dernière colonne, on constate, pour ce qui concerne M lombre de têtes, que l'espèce ovine fournil plus de la moitié de l'effectif total ; l'espèce bovine en formé a peu près le quart ; l'autre quart se répartit, par ordre décroissant, entre les espèces porcine, chevaline^

Caprine, aslne et mulassiére.

On obtiendrait un tout autre classement si l'on tenait compte de l'importance réelle de ces sortes d

N

ani- maux : or, cette importance peut facilement se mesurer par leur poids respectif. C'est ce qui nous t porte]

à établir le tableau suivant :

RÉPARTITION DIS ESPECES D'APRÈ8 LE POIDS DE L'ANIMAL VIVANT.

E S P È C E S .

*

Chevaline Asine

Mulassiére . . . BoYine. . . . Ovine * , Porcine

Capriae

NOMBRE DE T Ê T E S

en milliers.

2,743 410

soi 11,721 25,935 5,766 1,7B5 43,661

POIDS MOYEU

approximatif de l'animal vivant.

450 160 400 800 25 70 85 124

P O I D S T O T A L

en tonnes de 1,000 kilogrammes.

1,234,350 61,500 121,600 3,516,300 648,375 402,920 62,825 6,047,870

REPARTITION

pour 1,000.

904 10 20 682 107 67 10 1,000

A ce point de vue, ce n'est plus l'espèce ovine, mais l'espèce bovine qui prédomine; l'espèce chevaline la suit, mais à une grande distance; puis viennent, par ordre décroissant, les espèces ovine, porcine, mulassiére, asine et caprine.

(?) Non compris les veaux.

(8) Non compris les agneaux.

(4)

- t t * - r

NOMBttfl Dk8 ANIMAUX DOMESTIQUE» PAR KILOMÈTRE CÀBÉA,

E S P È C E S .

Chevaline.

M nluilére Bovine) . . Ovine. . , Porcine. . Caprine. .

1840.

6,3 0,9

M

18,8

•7,1

M

1,8

1852.

5,4 0;T

?A

19,1 46,5

M

1 2,5

5,4 0,7 0,6 20,1 45,0 U , l 3,2

1873.

5,2

M

0,6 19,8 37,2 10,9 3,4

Ces rapports indiquent que les espèces chevaline, ovine et mulassiére sont restées i peu près stationnaires. Les espèces bovine, porcine et caprine se sont accrues dans (ne certaine proportion; mais il y a eu, surtout à partir de 1862, une diminution

1

aonsidérable dans l'effectif de l'espèce ovine.

Dans les tableaux qui précèdent, on n'a pas tenu compte des veaux et des agneaux, cjont les chiffres ne sont pas comparables, par Suite de certaines diversités danà f interprétation de leur nombre. Mais il est possible de comparer, sans défalcation 4es jeunes, les résultats des années 1862,1866,1872 et 1873.

ESPÈCE BOVINE ET OVINE (VEAUX ET AGNEAUX COMPRIS).

(Chiffres absolu».)

_ . . • ( Veaux . . „ Espèce bovine. ï

J Aittltee. . L

i

Espèce ovine. 1 A*n e* (Adultes

1862.

1,866,816 10,955,273 12,811,589 5,076,128 24,453,550 29,529,678

1866 (1).

1,410,810 11,322,878 12,733,188 7,607,880 22,778,353 30,386,233

1872 (1).

1,260,688 10,023,776 11,284,414 6,969,680 17,619,967 24,589,647

1873. I

1,222,47? 1 10,463,681 H 11,721,46» If 6,233,796 B 19,701 ,$18* H 25,935,114' I

Nous nous contenterons de faire observer, à cet égard, que le déficit amené par les événements de 1870 et 1871 s'est atténué en 1873; cela résulte d'ailleurs dea rapports ci-après ;

NOMBRE DE TÊTES PAR KILOMÈTRE CARRÉ.

ANNÉES.

1862 1866 1872 1873

E S P È C E bovine.

23,5 23,4 21,3 22,2

E S P È C E orine*

54,3 55,9 46,4 49,0

(1) Les chiffres de ces deux années sont les résultats de dénombrements officiel»!

(5)

- î e a -

En résumé, notre espèce bovine paraît devoir atteindre bientôt son ancien effectif Il y a, dans l'espèce ovine, une décroissance évidente qui date ée lèin ^«'explique surtout par la diminution des vaines pâtura et la suppression^iiidufiik dis jarMim

H. — Comparaisons internationales.

Les tableaux de détail contiennent tous les résultats que nous avons pu recueillir*

i des dates récentes, sur le dénombrement des animaux domestiques des Étafe de ÏEurope.

Nous en donnons le résumé par espèces :

EFFECTIF GÉNÉRAL DES ANIMAUX DOMESTIQUES.

Grande-Bretagne. . . . Irlande1.

Daaemart . . , , . . .

?**+».<

Suède Russie Finlande

Autriche. . . « . . . . , Hongrie

Suisse

f Prune: . . . S I Bavière

g 1 Saxe-Royale. . . . S~f Wurtemberg. . . . ( Duchés allemands . Hollande. . . . Belgique

France; -. * - , Portugal

Espagne .

Itaîie. . . . . 4 .. . Grèce et Iles Ioniennes Roumanie

ESPECE chetaline.

EUKOFK.

2,101,100 532,100 316,990 149,167 438,090 16,160,IK>6 254,820 1,367,023 2,158,819 105,792 1,178,714 351,660 115,792 t6,970 133,122 253,893

«83,163 2,742,708 79,716 680,373 477,906 69,787 426,839

E8Pi(KS aiine etenilautère.

42,076 33,746

B,708 22«

112 199 674 3,466 11,849 706,918 188,640 2,319,846 718,222 93,688 6,734

E S P È C E bo«iue.

6,002,100 4,142,400 1,238,898 J63»036

£,026,330 22,770,000"

ï 97,1-60 7,425,212 5,279,193 992,895 t,612,T50 3,066,263 617,972 946,228 1,114,178 1,469,937 1,242,445 11,721,459 520,474 2,967,303 3,489,125 109,904 1,841,186.

E S P E C E ovine.

29,495,900 4,48*, 000 1,842,481 1,705,394 1,636,201 4«,432,000 921,745 5,026,398 15,076,997 445,400

1*7524,75*

1,342,190 206,833 577,290 644,611 898,715 5*6,097 25,035,114 2,706,777 22,468,969 6,984,049 1,200,000 4*786,817

E S P E C E pareille.

31,573,663 4,136,031 89,678,243 ,194,026,236 42,686,493, 16,981,0*4 2,519,800

1,042,244 442,421 96,166 382,811 9,800,000 190,326 2,561,473 4,443,279 304,191 1,2787531 872,098 301,369 267,350 621,067 611,004 632,301 5,755,656 , 776,868

4,351,736 1,553,582 55,776 836,944

E S P E C E tapette, i

290,461 124*673 1,700,000 30,689 979,104 572,951 374,481 1,477,395 198,881 106,847 88,806 212,388, 146,169 197,138 1,794,887 986,869 4,581,12e 1,690,478 1,339,688

8 b , 081,705

]

Ainsi, le nombre des bètes domestiques s'élèverait, pour l'Europe entière, à 379 millions, nombre supérieur d'un peu moins d'un tiers à celui de la population de ércoiîtfnént (302 millions).

Le tableau proportionnel ci-dessous indique, par État, la répartition des espèces,

TABLEAU.

(6)

- Met -

BÉPARTITION POUR 1,UD0 DES DIVERSES ESPÈCES.

ESPECE chevaline.

Grande-Bretagne. . . .

Irlande » , Danemark

Norvège

flnèdt/i « . ^ . , . i . Russie. . . . , , , . . Finlande

AutrieWe

Hongrie Suisse

I

Prusse Bavière Saxe-Rojale . . . Wurtemberg . . . Duchés allemands.

Belgique . . . France

fortugal.

Espagne. . . . Italie . . . Grèee et Iles Ioniennes . Roumanie

62 62 82 47

*

167 106 70 78 47 68 60 88 60 51 76 96 57 15 18 82 14 51

ESPECES

et mulassiére.

*r *

83

i 6 16 86 61 49 38

E S P A C E bovine.

150 408 823 199 44fc 235 417 417 192 447 188 627 469 491 414

m.

4M 146 100 80 284 88 127

E S P E C E ovine.

137

735 440 480 633 355 479 886 18*

546 200 540 230 X49 300 208 .264 199 515 610 602 468 418 591

uspàcs porcine.

511

63 102 116 31 68 101 79 147 161 137 118 150 224 189 187

m

214 120 149 117 104 20 104

E S P R O a

113

90

•1 19

13 56 11 169 41 88 76 10 80

ii,

66 37 180 121 118 487 14

1,000

On voit par ce tableau que le nombre de tètes de l'espèce ovine l'emporte'MM oelui de toutes les autres espèces réunies ; par ordre d'importance viennent ensuite

Î espèce bovine, les porcs, les chevaux, les chèvres, et tout à fait au dernier raot|

ÎS espèces asine et mulassiére.

Les États qui dépassent la moyenne sont, pour l'espèce chevaline : la Russie,4a Tinlande, la Belgique et la Suède ; pour les espèces asine et mulassiére réunies, liEspagne, l'Italie, le Portugal, la Grèce et la France.

Pour l'espèce bovine, les divers Étals se classent comme il suit :

Bavière 527 Belgique. . . 420 Russie. . . . 235 Wurtemberg . . . 491 Finlande 417 Italie. . . . 284 Saxe.. . . . 469 Irlande. 406 Roumanie. . . . . 227

Snfese. 437 Turquie et Serbie. 540 Hongrie TOT Suède 440 Danemark 323 Grande-Bretagne. . 150

H o l l a n d e . . . 434 Norvège 299 Portugal. . . . 100 Autriche 427 France 246 Espagne. . . . « 0 Duchés allemands. 424 Prusse. . . . 238 Grèce. 38

On est surpris de voir la Grande-Bretagn,e figurer au nombre des États, qui

comptent relativement le moins d'animaux, de l'espèce bovine, mais ces animaux

y rachètent la faiblesse du nombre-par le poids et la qualité.

(7)

- IW —

Si nous passons à l'esnèce ovine, les États où leur nronortion déoasse la moyenne sont: la Grande-Bretagne, l'Espagne, la Roumanie, la Norvège, la France et le Pijrtujal ; parmi tes Étaw qur comptent proportionnellement teTnomsTfaninraw tta fcetle esoèce, il faut citer la Saxe-Royale, la Belgique et la Suisse.

Le&J&tats où domine l'espèce porcine sont les duchés allemands, la Saxe-Royaltj et la Belgique.

Quant aux chèvres, oit les rencontre surtout en Grèce, en Espagne, en Potttt|$l et en Suisse.

Nous venons d'examiner quelles sont, en nombres absolus, les ressource* en lélail des divers Étals, mais pour se rendre compte de leur importance retttfVtj tous .-croyons utile de rapporter les effectifs des diverses espèces à la population £•!

(tu territoire de chacun d'eux :

NOMtfHE D E T Ê T E S POUR 1 0 0 H A B I T A N T 8 .

Grande-Bretagne Irlande

Danemark. • . . Norvège. . . . . S u e * . . . . Rnetle. . . r .. , Finlande . . . . Hongrie

fjuteee; . . .

j, [ *™f*

A I Bavière g Jt 8atttJ*oy*lo 5 I Wurtemberg . . . .

1 Duchè> allemande.

Hollande Belglqu*

France Portugal Espagne Italie

Grèce et Iles Ioniennes Roumanie

ESPECE chevaline.

Burope .

7,8 10,0 17,8 8,5 10,1 11,6 18,*

• M 13,9 4,0 9,1

0,3 4,9 6,8 6,4 7,6

M,

M

1,8 4,8 9,6

ESPàcKS ssine

0,1

0,1 o,t h*

14,3 1,7 6,4 0,2

ESPECE bovine.

11,2 l.o

21,4 77,6 69,4 64,1 47,1

•1,7 54,5

* M

34,0

•1,1

»8,1 63,1 16,8 61,0 40,6 89,5 23,6 82,5 1?,0 18,2 18,0

M

40,9

EsrECE ovine.

111,8 84,0 109,1 96,7 36,1 64,7 66,3

31,8

97,1 16,1 79,6 27,7 6,1 31,7 19,9 24,2 11,1 69,4 67,6 13*,4 26,1 81,8 106,4

Eipfccn porcine.

66),7,

9,4 19,5 14,8 5,4 8,9 13.7 0,4

4 M

18,6 11.*

17,3 18,0 11,6 14,1 22,7 16,,4 HT,0 1618 19,4 26,8 5,8 8,8 18,6

Esrtaa

15,1

1.»

1,4 1.7

M

14*61

H

4,0 1>

h

1

7.7

•••:

23,3 W,«

6,8 91,8

6,a

Ottîvoit que, relativement à la population, c'est la Russie qui compte le plus dtf chevaux,. l'Espagne le plus d'ônes et de mulets, l'Irlande le plus d'animaux de l'eàpèce bovine, l'Espagne le plus de moutons, la Hongrie le plus de porcs et W Grèce le plus de chèvres.

Quant à la France* elle dépasse la moyenne pour les espèces asine et m u t a s s e ,

ovine et porcine; elle est au contraire au-dessous de la moyenne en ce qui concerne

les chevaux et les chèvres.

(8)

ffÛMM9 m TÊTES PAR KILOlfàTBK CABWÉ.

Iflande i

Danemark. . . . Norvège ^ . . . • • • •

i * * * . .

Rneele. . « . , . . . Finlande. . . . Aulfiche - • S°»JF*«

8utsee. • » . Prusse , Bavière

Saxe-Royale. . . ,

•Wurtemberg. . . Duché* aUemenc^

H o l l a n d e . . . Belgique

France..

Portugal. . . . Bspagno

ESPECE chevaline.

Qrèec et Iles Ioniennes.

Roumanie. , Sairopet.

• i l 6,8 8,8 0,5 1,0

»,1 0,7 4,6 6,6 2,6 6,5 3,4 7,7 4,9 4,6 7,7 9,6 5,1 0,9

M M

1,4 3.5

ESPÈCES aitne et mulassiére.

ESPÈCE bonne.

0,1 0,1

0,4

0,1 0,4

2,0 4,5 JML

2,0 0,2 0,4

49.2 32,4

* , 0 4,5 ,4,4 1,6 14,7

¥*,3 21,0 24,5 39,1 43,1 ,48,7 38,9 41,7 42,2 3*2,1 5,7 6,8

ESPÈCE

ovrhe.

E S P È C E porcine.

2,3 15,2

9,6

126*6 53,2 47,1

M

3,6 9,0 8.4 4«.i7:

46,6 10,7 66,5 17,1 13,8 29,7 19,0 27,3 19,9 47,3 20,7 4 4 ^ U4L

25,2 39,5

«0,5

10,8 11.7 0,3 0,8 1,9 0,6 8,4 13,7 7,3 12,3 11,1 20,1 13,7 21,7 18,6 21,4 10.9 8,4 6S6 1.2 7,0

ESPÈQP caprine.

4,?

M

M A<«

M 1.1

M

*«*

9TV7I

M M M

10,8

• f l 28,1

M M

Uta certain nombre d'États disposant d'un territoire très-étendu pour une popu- lation relativement peu nombreuse, on comprend que les rapports qui précèdent doivent donner jieu à un, classement différent de celui qu'a fourni le prémièV

tableau.

C'est ce qui arrive en effet : ici c'est la Grande-Bretagne et non plus la Russie qui produit le plus de chevaux ; l'Espagne reste le producteur des espèces asine et mulassiére; pour l'espèce bovine, la supériorité appartient encore h l'Irlande; la Grande-Bretagne arrive au premier rang ptour l'espèce ovine, et les États allemands suivis de la Belgique, pour l'espèce porcine. Enfin, la Grèce conserve son rang pour les chèvres.

Nous allons rechercher le rapport des animaux de ferme au territoire arable, qui se compose des terres labourables et des prairies naturelles (pacages compris). Ce ifpprochement est d'une grande utilité, car il fait.connaître les ressources herira- gères dont chaque pays dispose, et le nombre de têtes qu'il peut nourrir sur une surface donnée. On s'explique ainsi les différences signalées pljis haut dans l'effectif des bestiaux. Dix-sept États seulement nous ont fourni les chiffres nécessaires, pour établir ces rapports. Ce sont ceux qui figurent dans le tableau suivant ;

TAJfLEAL'..

(9)

- . « & -

NOMBRE DE TÊ**è PAR RILOMÈTR» CARRÉ DE TERWWÎRE ARABLE.

TEERESAEAELUS par kilomèlre

Grande-Bretagne Irlande Danemark . . . Norvège . . . . Finlande Autriche HongVio Bavière Base Wurtemberg . Duchés allemands.

Hollande . . . Belgique France Portugal

Roumanie . . . . Totaux et moyenne a.

127,110 68,550 14,830 12,360 46,180 16,610 171,670 193,120 46,560 9,660 11,180 17,040 10,920 19,650 836,580 36,180 60,470

ESPÈCE ehe-

1,222,130

17.3 8.4 18.0 12.1 9.8 9.7 8.0 11.2

8.3

12.1 14.5

U

1.2 7.1

Esrfcçns esine et mu-

9.7 0.2 0.2

0 . 1 0.6 2.1 5.2 0.1

ESPÈCE

bovine.

0.8 4 7 2 65.2 50.9 77.1 44.8 37.5 43.3 27.3

68.3

70.3 63.6 84.8 14.4 80.5

ESPÈCE

ovine.

4 1 4 232.0

70.5 75.7 188.0 36.2 34.6 19.3 78.0

31.6

43.0 80.0 74.4 74.8 79.1

ESPÈCE

porcine.

71». 3 19.8 1 6 4 18.1 7.8 8.5 7.1 14.9 18.0

14.4

29.2 82.3 17.1 21.5 13.8

ESPÈCE

caprine.

18.3 18.5

2.8 1.1 5.7 3.0

6.6

7.0 10.1 5.3 25.9 8.2

OEOS

bétail.

4.7 61.5 78.6 63.9 89.2 54.5 47.1 51.5 38.7

76.6

81.6 76.6 44.8 21.8 37.7

»4

251.8 86.6

wi*

47.6

w.v W:i

m*

6*5

51.9

En considérant les trois premières espèces comme formant le gros bétail, éï fe«

<rois dernières comme formant le petit bétail, on conclut des rapports qui précèdent!

qifaprts te N&rvége, c'est la HottanrJte qui entretient te plus de gros détail sur ta terrain propre à le nourrir ; quant au petit bétail, le Portugal et la Hongrie, après là Grande-Bretagne cl la Norvège, occupent le premier rang; ces doux premiers.

pays sont &u contraire au bas de l'échelle pour l'entretien du gros bétail (1).

(La suite au prochain numéro^

(1) Les rapports élevés que présente la Norvège s'expliquent en partie par les ressources qu'elle trouve

pour le pâturage dans ses nombreuses forêts.

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