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« Prendre des mesures efficaces et urgentes pour mettre un terme à l’appauvrissement de la diversité biologique, afin de s’assurer que d’ici à 2020, les écosystèmes soient résilients […]».
Tels sont les termes du plan stratégique adopté par les 193 gouvernements présents au sommet de Nagoya, en octobre 2010. Mais enrayer la perte de biodiversité implique de bien connaître cette dernière, dont l’évaluation semble impossible sans recours à la systématique. Malmenée dans les années 1960, rénovée et modernisée depuis, cette science fondamentale qui classe le vivant peine toujours à s’imposer dans les décisions politiques.
Redonnons lui, l’espace de quelques pages, la place qu’elle mérite.
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