Figure 1.1.
– Ébauche (rouge), observation (bleu) et analyse (vert), ainsi que leurs incerti- incerti-tudes p.26Figure 1.2.
– Ébauche (rouge), observation (bleu) et analyse (vert), ainsi que les membres de l’ensemble (cercles) et leurs incertitudes p.33Figure 2.1.
– Domaine et relief du modèle AROME au printemps 2014. Les zones C, I et E sont indiquées par les cadres noirs. p.36Figure 2.2.
– Niveaux verticaux hybrides du modèle AROME le long de la latitude 45,5°N (1 niveau sur 5 représenté). p.36Figure 2.5.
– Évolution des cumuls mensuels de nombre d’observations utilisées, par type d’observation. p.38Figure 2.7.
– Prévision à 3 h du champ d’humidité spécifique (unité : g.kg − 1 ) au niveau 50 d’AROME (à gauche) et au niveau 62 d’ARPEGE (à droite), soit aux environs de 945 hPa, issus des analyses perturbées (premiers membres des ensembles AEARO et AEARP p.42Figure 2.8.
– Image composite de réflectivité radar du réseau ARAMIS, le 3 novembre 2011 à 21 h UTC (unité : dBZ). p.43Figure 2.12.
– Racine carrée de la moyenne horizontale des variances d’erreur d’ébauche, pour l’AEARO-84 (trait plein noir), l’AEARO-06 (tireté noir), l’AEARP-84 (trait plein gris) et l’AEARP-06 (tireté gris) p.48Figure 2.13.
– Corrélation spatiale des variances d’erreur d’ébauche par rapport à l’AEARO- l’AEARO-84, pour l’AEARO-06 (tireté noir), l’AEARP-84 (trait plein gris) et l’AEARP-06 (tireté gris). p.49Figure 2.15.
– Corrélation d’erreur d’ébauche pour l’humidité spécifique au niveau 50 (∼ p.52Figure 2.16.
– Tenseurs LCH d’erreur d’ébauche pour l’humidité spécifique au niveau 50 d’AROME (en haut) et au niveau 62 d’ARPEGE (en bas), soit aux environs de 945 hPa, pour des ensembles de 84 membres (à gauche) ou de 6 membres (à droite) p.53Figure 2.17.
– Profils verticaux de longueur de portée d’erreur d’ébauche moyenne, pour l’AEARO-84 (trait plein) et l’AEARO-06 (tireté) p.54Figure 2.18.
– Distributions de longueur de portée d’erreur d’ébauche pour l’humidité spécifique au niveau 50 ( ∼ 945 hPa) de l’AEARO-84 (trait plein) et de l’AEARO-06 (tireté). p.55Figure 4.2.
– Longueur de filtrage des variances L f obtenues en annulant l’équation 4.39, en fonction de l’écart-type s et de l’échelle caractéristique L v /L b des variances asymptotiques, pour des ensembles de 10 (a) et de 30 membres (b). p.84Figure 4.4.
– Erreur quadratique moyenne e ( x ) déduite de l’équation 4.41 pour des variances filtrées avec un noyau gaussien, en fonction de la longueur de filtrage L f /L b , pour des ensembles de 10 (a) et de 30 membres (b) p.85Figure 4.5.
– Fonctions de corrélations gaussienne (a) et lorentzienne (b) (tireté), et fonctions de localisation correspondantes pour des ensembles de 20, 40, 80 et 160 membres (trait plein, gris clair à gris foncé), obtenu par la formule optimale 4.43. p.86Figure 4.6.
– Fonctions de corrélations gaussienne (a) et lorentzienne (b) (tireté), et fonctions de localisation correspondantes pour un ensemble de 80 membres, obtenues par la formule optimale 4.43 (trait plein) et par une fonction de Gaspari et Cohn (19 p.87Figure 4.7.
– Fonctions de corrélations gaussienne (a) et lorentzienne (b) (tireté), et fonctions de localisation correspondantes pour un ensemble de 80 membres, obtenues par la formule optimale 4.43 (trait plein noir) et par les équations 4.21a, 4.21b et p.88Figure 5.1.
– RMSE des variances d’erreur d’ébauche de vorticité (a et b), de température non balancée (c et d), et d’humidité spécifique non balancée (e et f), pour des ensembles de 6 (a, c et e) ou 12 membres (b, d et f) p.97Figure 5.2.
– Comme la figure 5.1 pour l’erreur relative en valeur absolue (RAE). p.98Figure 5.3.
– Comme la figure 5.1, mais pour d’autres configurations testées : filtrage spectral adapté de Raynaud et al p.99Figure 5.5.
– Ecarts-types d’erreur d’ébauche d’humidité spécifique non balancée au niveau 50 ( ∼ 945 hPa), bruts (en haut) et filtrés (critère général 4.7, en bas), pour des ensembles de taille croissante : 6, 12 et 78 membres, de gauche à droite (unité : g p.102Figure 5.8.
– Ecarts-types d’erreur d’ébauche filtrés pour la divergence non balancée (en haut, 10 − 3 s − 1 ) et longueurs de filtrage correspondantes (en bas, km), au niveau 50 (∼ 945 hPa), avec un nombre de tuiles croissant de gauche à droite (1, 64 et 40 p.106Figure 5.11.
– RMSE des composantes diagonales des tenseurs LCH estimés par l’équation 2.14b pour la vorticité (a et b), la température non balancée (c et d), et l’humidité spécifique non balancée (e et f), pour des ensembles de 6 (a, c et e) ou 12 membres p.110Figure 5.12.
– Norme de Frobenius des tenseurs LCH estimés par l’équation 2.14b pour la vorticité (a et b), la température non balancée (c et d), et l’humidité spécifique non balancée (e et f), pour des ensembles de 6 (a, c et e) ou 12 membres (b, d et f), p.113Figure 5.14.
– Tenseur LCH d’erreur d’ébauche pour l’humidité spécifique non balancée au niveau 50 (∼ 945 hPa), brut (en haut) et filtré (critère général 4.7 adapté par la première méthode, en bas), pour des ensembles de taille croissante de gauche à droite p.115Figure 5.13.
– Moyenne spatiale de la longueur de portée totale pour la vorticité (a), la température non balancée (b) et l’humidité spécifique non balancée (c), pour des ensembles de 6 (noir), 12 (gris moyen) ou 78 membres (gris clair) p.115Figure 5.15.
– Fonction de corrélation horizontale diagnostiquée (tiretés) et fonctions de localisation horizontale diagnostiquées (trait plein fin) et ajustée (trait plein épais), pour le vent zonal au niveau 50 (∼ 945 hPa), calculées par les équations 4.2 p.117Figure 5.17.
– Corrélations brutes (à gauche) et localisées (avec l’équation 4.21c, à droite), pour l’humidité spécifique au niveau 50 (∼ 945 hPa), avec des ensembles de 30 (en haut) et 90 membres (en bas) p.120Figure 5.18.
– Fonction de corrélation verticale diagnostiquée (tiretés) et fonction de locali- locali-sation verticale diagnostiquée (trait plein) pour le vent zonal à différents niveaux (une couleur par niveau), pour des ensembles de 30 (a) et 90 membres p.121