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Sur la transparence actinique de quelques milieux et en particulier sur la transparence actinique des miroirs de Foucault et leur application en photographie

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237951

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237951

Submitted on 1 Jan 1882

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Sur la transparence actinique de quelques milieux et en particulier sur la transparence actinique des miroirs de

Foucault et leur application en photographie

M. de Chardonnet

To cite this version:

M. de Chardonnet. Sur la transparence actinique de quelques milieux et en particulier sur la trans-

parence actinique des miroirs de Foucault et leur application en photographie. J. Phys. Theor. Appl.,

1882, 1 (1), pp.305-312. �10.1051/jphystap:018820010030501�. �jpa-00237951�

(2)

305

d’où on déduit

Par

suite,

en remarquant que cette

équation

doit

s’appliquer

à

une lumière dont la

longueur

d’onde est voisine de

on

posera

Mais la

quantité

entre

parenthèses

peut s’évaluer si l’on calcule les constantes des formules de

dispersion

de l’eau à l’aide des ré- sultats des

expériences

de M. Van der

Willigen ( ’ ).

On trouve,

dès

lors,

et par suite

d’où

nombre suffisamment,

approché

pour que la vérification du théo- rème

puisse

être considérée comme satisfaisante.

SUR LA TRANSPARENCE ACTINIQUE DE QUELQUES MILIEUX ET EN PARTI- CULIER SUR LA TRANSPARENCE ACTINIQUE DES MIROIRS DE FOUCAULT ET LEUR APPLICATION EN PHOTOGRAPHIE;

PAR M. DE CHARDONNET.

1. Les

expériences

ont été conduites

parallèlement

par deux voies différentes :

Première niéthode. - Le

liquide

à l’étude était

placé

dans une

cuve fermée par des

glaces parallèles,

ou,

mieux,

par des lames de quartz taillées

perpendiculairement

à

l’axe ; l’épaisseur

de la

couche

liquide étai t,

suivant la

transparence,

de 3" à 2ümm.

Après

avoir traversé le

liquide,

les rayons lumineux étaient reçus sur du

(4) Annales de Claimie et de Physique, 4e série, t. III, p. qg3.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018820010030501

(3)

306

papier photochromique

de

Poitevin,

dont le

changement

de teinte

indiquait

la

présence

ou l’absence des l’a) ons

chimiques (on

sait

que ce

papier

noircit ou

pâlit,

selon que la lumière

possède

ou

non ses ravons

actiniques).

Ce

procédé n’indique

pas la

réfrangi-

bilité des rayons

absorbés,

mais donne

rapidement

une idée de la

somme totale des rayons

chimiques qui

111anquent.

Quant

aux

solides,

il suffit d’en poser des

plaques plus

ou moins

irrégulière-

ment taillées sur le

papier

Poitevin et

d’exposer

le tout au Soleil :

l’homogénéité

du milieu n’est pas

indispensable

comme dans la

méthode suivante.

Seconde méthode. - Un rayon

solaire,

réfléchi sur le miroir

métallique

d’un

héliostat,

traverse une fente étroite et un

objectif

en quartz et

spath

d’Islande

(construit

par 31.

Duboscq d’après

les indications de 31. A.

Cornu); puis

il est

décomposé

par un

prisme

en

spath

d’Islande et son spectre est

projeté

sur une

plaque photographique

ou sur un écran fluorescent. On

obtient,

de ce t te

façon,

un

spectre

de

Olll, l 25

à 0m,20 de

longueur,

dont les raies

principales

son t toutes assez ne ttes . Cette combinaison une fois

réglée,

on

interpose,

au devant de la

fente,

une cuve à faces

parallèles

en cluartz,

qu’on remplit

à moitié avec le

liduicie

à essayer ; de cette manière, on

projette

sur l’écran deux

spectres juxtaposés,

dont l’un est le

spectre

solaire

naturel,

et dont l’autre est le

spectre

d’absorption

de la substance donnée. Cette

disposition

est essen-

tielle : la

coniparaison

simultanée avec le

spectre

naturel

s’impose

à

chaque détermination,

car le spectre solaire ultra-violet se

inodilîe à

chaque instant,

suivant la hauteur du Soleil et l’état de

L’atmosphère.

Pour étudier la

fluorescence,

on

place

la même cuve à faces de .

quartz dans un créneau de l’écran de

projection correspondant

au

spectre ultra-violet,

et on observe la lueur

produite,

en se garan- tissant de toute lumière

étrangère.

Les

liquides qui

circulent dans les

végétaux

ou

qui imprègnent

les racines et les fruits

paraissent

tous avides des rayons

chinliques

utiles ou nécessaire à leurs transformations. Un certain nonlbre de

racines,

de

tiges,

de

fcuilles,

de fleurs et de fruits ont été

épuisés,

au

lialii-marle, par l’eau,

l’alcool et

l’éther;

ces décoctions

ont toutes

intercepté plus

Ou moins vivement les rayons

chimiques:

quelques infusions,

même peu

concentrées,

ont éteint une

partie

(4)

307 des rayons à la fois

actiniques

et

visibles, jusqu’en

G. Les

expé-

riences ont

porté

sur les décoctions suivantes les racines de

pêcher,

de

pommier,

de

chou,

de

sapin;

les

haricots,

les carottes, les raves, les

oignons,

les pommes de

terre; les jeunes tiges

de

coudrier;

les

pomme, les

épinards, l’oseille;

les

pétates

de

violette,

de reine-

marguerite,

la dissolution de gomnle

arabique,

les branches et les feuilles d’arbres résineux. La sève

printanière

de la

vigne (pleurs),

surtout

lorsqu’elle

est concentrée par

l’évaporation,

se montre

très

active,

ainsi que la teinture

d’arnica,

le vin blanc et le vin

rouge, même très dilués.

La fluorescence ne

paraît

pas en

rapport

direct avec l’intensité de

F absorption actinique.

La décoction de raves, par

exemple,

est

un absorbant moins

énergique

que la décoction de pommes de terre; et pourtant la

première

est

fluorescence,

tandis que l’autre

ne l’est pas. Parmi les substances faiblement

fluorescentes, je

citerai le vin blanc

(Meursault),

tandis que le vin rouge

(Bourgogne)

n’a pas manifesté cette

propriété.

Dans

plusieurs

des

liquides

ci-

dessus,

la lluorescence a été

impossible

à constater ; dans d’autres elle

apparaît franchement,

mais elle est très

faible, comparée à

ce

qu’on

voit avec la

quinine

ou le verre d’urane.

Un très

petit

nombre de

liquides

de la série animale ont pu être

étudiés

jusqu’ici.

Les résultats

paraissent beaucoup plus

variés :

tandis due le sang, même très

dilué,

est un absorbant t

énergique,

l’humeur aqueuse de l’0153il récemment recueillie

(0153il

de

veau),

F albumine de l’0153uf de

poule,

n’ont, aucune action sur les rayons

chimiques,

au moins sous les

épaisseurs

de 1 ;)llllll à 20mm.

L’eau

distillée, l’alcool,

l’éther

sulfurique,

le collodion

normal,

la dissolution de sucre de canne sont

également

sans action.

La

gélatine (grénétine

du

commerce)

a été

spécialement

exami-

née, en raison de son

importance

industrielle et

physiologique.

Elle

s’approprie énergiquement

tous les rayons

actiniques,

à ce

point

que 3lm d’une

gelée

à 5 pour 100 de

gélatine interceptent

tous les rayons

chimiques

et que

l’absorption

commence à la raie

G. Cette même

gelée

est sensiblement

fluorescente,

dans toutes

les

parties

du

spectre actinique.

On voit que le sulfate de

quinine,

considéré

longtemps

comme

présentant

le

type

de

l’opacité actinique, partage

ses

propriétés

absorbantes avec un

grand

nombre de corps

organiques.

(5)

308

J’ai

comparé

les

spectres projetés

à travers un

prisme

en

spath

d’Islande par deux

objectifs photographiques simples, d’égal foyer,

l’un construit par M.

Darlot,

de

Paris,

l’autre par 31.

Dallmeyer.

de Londres.

L’objectif anglais

s’est montré constamment

plus

transparent que

l’objectif français.

Il a paru difficile de mesurer

rigoureusement

la

différence,

la méthode des

spectres jumeaux indiquée

ci-dessus n’étant pas

applicable,

mais la

longueur

du

spectre

invisible

projeté

sur l’écran s’est trouvée de 25 à £o

pour 10o

plus grande

avec

l’objectif Dallmeyer qu’avec l’objectif

Darlot. Un ancien

objectif,

construit par feu Charles

Chevalier,

s’est montré

plus perméable

que

l’objectif Darlot,

sans

approcher

de l a

transparence

du verre

anglais.

II. Il était intéressant de

photographier,

à l’aide des

dispositions

ci-dessus

indiquées,

les

spectres

des rayons

solaires, après

leur pas- sage à travers différents verres

d’optique.

Les

renseignements

fournis par ces

expériences

ne

peuvent

être traduits en lois

rigoureuses :

ils varient un peu avec le temps de pose, et le lieu exact, sur un

cliché,

cesse

l’action,

de

plus

en

plus faible,

des radiations sur le bromure

d’argent,

est

impossible

à évaluer avec

précision.

Néanmoins,

de la discussion d’un

grand

nombre de

clichés,

on

a pu

dégager

les trois

règles pratiques suivantes, qui

seront

utiles aux

expérimen tateurs :

1. Un genre de verre n’admet au passage, même en

plaques minces,

et avec une pose

prolongée,

que des

longueurs

d’onde dé-

passant

un certain

minimum, lequel peut

être considéré comme

une

caractéristique

de la matière

donnée.

Une autre caractéris-

tique représente l’épaisseur

e de la lame au-dessous de

laquelle l’absorption

élective ne diminue

plus. (Ces

limites sont, pour le

crown-glass anglais,

d’une fabrication très

régulière,

2. A

partir

de ces

limites

le raccourcissement du

spectre, compté

sur l’échelle des

longueurs d’onde, paraît

sensiblement

proportionnel

à

l’épaisseur

du milieu.

(6)

309

Pour faire des

expériences compar ables, j’ai

demandé à M. Du-

boscq

de me

travailler,

d’une

façon identique,

des lames de verre

à faces

parallèles ayant

toute 6-"’

d’épaisseur.

Pour

chaque

spectre,

la pose a été

prolongée jusqu’au

terme au delà

duquel le

temps

n’influe

plus

sensiblement sur la

qualité

des ondes trans-

mises ;

on solarise ainsi le

spectre

au

voisinage

de

H,

mais on ne

perd

pas les raies extrêmes. Les

longueurs

d’onde ont été

repé-

rées

grâce

aux travaux de M. Cornu.

La

première

colonne de chiffres du tableau suivant

indique

ap-

proximativement

le lieu du

spectre

commence une chute

rapide

d’intensité. C’est pour avoir cette bande

qu’il

faut

prolonger

la

pose, et l’on fera bien de tenir peu de

compte,

dans la

pratique,

de ces radiations affaiblies.

(7)

310

On voit que les verres

français

sont un peu moins transparents que les verres

anglais

de même

espèce.

Il serait à désirer -que les fabricants déterminassent les constantes

actiniques

de leurs verres,

conmne les constantes

optiques.

3. Si l’on définit

l’absorption actinique

par le raccourcissement du spectre sur l’échelle des

longueurs d’ondes ,

cette

absorption

pour un

système optique

donné est

comprise

entre

l’absorption

du verre le moins

transparent, pris isolément,

d’une

part,

et la

somme des raccourcissements

proportionnels

dus à tous les verres

de

l’appareil.

Le tableau suivant donnera une idée des résultats à

prévoir :

Aujourd’hui

que les radiations ultra-violettes prennent une im-

portance

de

plus

en

plus grande

dans la

Physique

et

l’Astronomie,

il serait

bon,

sous

peine

de se

priver

de

renseignements précieux,

de

n’elnployer

que des flints

légers

et

blancs

tout en réduisant le

plus possible l’épaisseur

des lentilles et des

prismes.

III. M. Stokes a découvert que les miroirs en argent

poli, employés

comme

réflecteurs,

ne

peuvent

être utilisés pour l’étude du

spectre ultra-violet,

parce

qu’ils éteignent

les ravons les

plus réfrangihles.

Les travaux de M. Cornu ont montré que

l’argenture déposée" chimiquement

ne vaut pas

mieux,

tandis que le

platine

en couche d’une

transparence complète,

forme un excellent miroir pour les rayons ultra-violets. Ces travaux ont

prouvé

que, confor- mément aux vues de :1B1.

Stokes,

la diminution du

pouvoir

réflec-

teur de

l’argent correspond

à une

augmentation

de transparence, si bien

qu’une

lame de quartz, recouverte d’une couche

d’argent,

laisse passer facilelnent les

radiations,

si

réfrangibles,

de l’étincelle d induction.

(8)

311

J’ai

recherché,

à l’aide de la

Photographie,

la

qualité

des ondes

transmises par une

plaque

de cristal de

roche, y argentée

assez for-

tement pour être

complètement

opaque à la vue, en comparant

ce spectre avec le spectre

normal,

suivant le mode

expérimental

ci-dessus

indiqué.

J’ai

employé

exclusivement des

appareils

construits en

quartz

et

en

spath

d’Islande et des

plaques

sensibles du Dr Monckhoven.

Comme la pose dure

plusieurs

minu tes pour les rayons tr aversant

la couche

d’argent,

il

faut,

au bout de

quelques secondes,

couvrir

la moitié de la fente

correspondant

au spectre

normal,

sinon ce spectre serait solarisé.

Sous une incidence rasante de i5° à 20°, comme à

45°

et à

go", j’ai

obtenu un spectre limité à la

région comprise

entre les raies 0

et T. La

largeur

de cette bande varie

beaucoup

avec

l’argenture,

le temps de pose. Ce

qui paraît acquis,

c’est que la

pénétration

a

toujours

lieu pour la dernière moitié du spectre ultra-violet et

n’en atteint

jamais

la

limite, en U, quand

même le

spectre

normal

téliiollî, pris

sur la même

plaque,

accuse les

plus

courtes ondes.

Foucault

plaçait,

au devant de ses

lunettes,

une

glace plane

recouverte d’une

demi-argenture

assez mince pour être

transpa-

rente, lnais

qui,

réfléchissant la chaleur

obscure, préservait

ses

appareils.

La couche

d’argent,

à mesure

qu’elle s’épaissit,

n’admet

donc au passage,

jusqu’à

une certaine

limite,

que des ondes de

plus

en

plus

courtes.

Voilà un

filtre, perméable

exclusivement aux rayons

obscurs,

dont on peut se servir pour

photographier,

sans l’intervention d’aucun rayon de lumière visible. Il serait difficile de se procurer de

grandes plaques

de cristal de

roche; heur eusement,

on peut se servir de

croBBn-glass

très

blanc,

ou même de

glaces

minces de

Saint-Gobain ;

on

perd quelques-uns

des rayons les

plus

réfran-

gibles,

mais cet inconvénient est

largement compensé

par l’éten- due des surfaces d’adn1ission. De

plus,

comme il est malaisé

d’obtenir des miroirs sans

piqûres (ces

défauts

apparaissent

par

transparence), j’ai

accolé deux

glaces pareilles

pour construire

mon

obturateur;

la pose doit être

doublée,

mais la

qualité

des

rayons transmis reste la

mêlne,

et l’on s’assure une

complète

obscurité .

J’ai varié mes essais : tantôt le

modèle,

fortement

éclairé,

était

(9)

312

placé

à l’extérieur du cabinet

noir,

et son

image

venait

s’impri-

mer sur la

plaque sensible,

dans une obscurité

absolue,

à travers

la double

glace

de

l’obturateur;

tantôt le modèle

(une

statuette en

marbre de

Carrare), placé

dans l’intérieur du

laboratoire,

recevait

son

éclairage

invisible du miroir

métallique

de l’héliostat. La pose était

longue (15 minutes)

pour obtenir un cliché

modèle ;

afin cl’aller

plus vite,

il eût

fallu,

dans le dernier cas, argenter entièrement les vitres de l’atelier. Il est

nécessaire,

bien

entendu,

que le modèle soit

capable,

par

lui-nlên1e,

de réfléchir et de diffu-

ser les ondes les

plus réfrangibles qu’il possède,

ce que

j’appellerai

la couleur

actinique

des rayons

qui l’atteignent.

Une curieuse

expérience d’amphithéâtre

consiste à

photogra- phier

l’arc de la lumière

électrique.

On ferme la lanterne

Duboscq

avec un double miroir

Foucault,

et l’on

projette,

avec la lentille

en

spath

et en

quartz, l’image

des charbons sur une

plaque

à la

gélatine. L’impression

est

complète

en

quelques secondes,

et elle

est même instantanée avec une lentille à court

foyer.

Quand

on

possède

la lentille

achromatique

dont

je

viens de

parler,

on ¡net au

point simplement

en éclairant son

modèle,

avant

de

placer l’obturateur,

avec la lumière naturelle. Mais on peut se servir

parfaitement

d’une lentille

simple

en quartz.

L’image

est

nette, sans lentille

achromatique,

parce que le spectre actif est

court, mais la mise au

point

devient délicate. On obtient un bon résultat par l’artifice suivant : on met au

point,

en éclairant

successivement le modèle à travers un verre rouge pur

d’abord,

ensuite à travers une solution bleue de sulfate de c uivre ammo-

niacal ;

on note le

déplacement

de la

glace dépolie,

et on l’avanee

encore â.’une

longueur

un peu

plus grande

vers le modèle. La

glace dépolie

se trouve alors au

foyer

des rayons les

plus réfrangibles.

Dans ce

qui précède, j’ai supposé qu’on disposait

des rayons directs du

Soleil,

mais cette condition n’est pas

indispensable.

Les

expériences

réussissent bien aussi avec la lumière diffuse des

nuées,

même par un

temps

sombre

(en

tenant

compte

de l’inten- sité de

l’éclairage).

Nous trouvons ici la preuve que les

plantes reçoivent

les radiations les

plus réfrangibles

par un temps couvert,

commue par un brillant soleil. C’est une

première application

de

la

Photographie

sans lumière

apparente.

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