• Aucun résultat trouvé

Énergies, fonctions propres et moment dipolaire d une molécule diatomique polaire dans un champ électrique uniforme

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Énergies, fonctions propres et moment dipolaire d une molécule diatomique polaire dans un champ électrique uniforme"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00205965

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205965

Submitted on 1 Jan 1965

HAL

is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire

HAL, est

destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Énergies, fonctions propres et moment dipolaire d’une molécule diatomique polaire dans un champ électrique

uniforme

S. Rolland, J.F. Le Men, L. Galatry

To cite this version:

S. Rolland, J.F. Le Men, L. Galatry. Énergies, fonctions propres et moment dipolaire d’une molécule diatomique polaire dans un champ électrique uniforme. Journal de Physique, 1965, 26 (6), pp.297-302.

�10.1051/jphys:01965002606029700�. �jpa-00205965�

(2)

ÉNERGIES,

FONCTIONS PROPRES ET MOMENT DIPOLAIRE

D’UNE

MOLÉCULE DIATOMIQUE

POLAIRE DANS UN CHAMP

ÉLECTRIQUE

UNIFORME

Par S.

ROLLAND,

J. F. LE MEN et L.

GALATRY,

Faculté des Sciences, Rennes.

Résumé. - On étudie la déformation des fonctions d’onde d’une molécule diatomique plongée

dans un champ électrique uniforme, à l’aide d’un développement dans la base des harmoniques sphériques normalisées. Le calcul des coefficients du développement, ainsi que celui des valeurs propres, a été fait en tenant compte des 24 premiers états dégénérés du rotateur non perturbé.

Une

représentation

graphique permet de suivre l’évolution des fonctions d’onde avec le champ

extérieur. Une

application

est faite au calcul des éléments de matrice de l’opérateur moment dipo-

laire.

Abstract. - The déformation of the wave functions of a diatomic molecule in an electric field is studied using an expansion of normalized

spherical

harmonies. The expansion coefficients as

well as the eigenvalues, have been computed introducing the first twenty four degenerated states

for the unperturbed rotator. The wave function evolution vs. the external field strength is des-

cribed in a graphical representation. Matrix elements for the dipole moment operator have

also been calculated.

PHYSIQUE 26, 1965,

Introduction. - ’L’6tude des

propri6t6s

spec- trales des milieux condenses

polaires

demande la

connaissance du

comportement

des molécuJes

polaires

dans des

champs 6lectriques

tres 6lev6s.

A cet

effet,

on a calcule ici le

comportement

d’une

molecule

diatomique polaire (moment dipolaire 03BC)

dans un

champ 6lectrique

uniforme d’intensit6 allant

jusqu’h

des valeurs de l’ordre 109

volts/m (pour f1.

= 1

Debye), champ

de l’ordre de

grandeur

des

champs

intermoléculaires en milieu

liquide.

Les etudes

pr6c6dentes

de

Hughes

et Kusch

[1],

Peter et

Strandberg [2], Shirley [3]

et Mizushima

[4]

concernaient,

avant

tout,

le

déplacement

des ni-

veaux

d’6nergie jusqu’h

J = 4 ainsi que

(r6f. [1])

le moment

dipolaire

induit. On a, par

contre,

6tudi6

plus sp6cialement

ici la deformation des fonctions d’onde. Mais le calcul

presente

ici a

permis

d’atteindre les

energies

propres et les fonc- tions propres du rotateur

perturb6 correspondant

aux 24

premiers

niveaux rotationnels du rotateur libre. Une

application

au calcul des elements de matrice de

l’op6rateur

moment

dipolaire

a ensuite

ete faite.

I. Effet Stark sur une mol6cule

diatomique polaire.

- Soit une molecule

diatomique polaire (moment permanent 03BC)

non

polarisable,

de moment

d’inertie

I,

soumise a un

champ 6lectrique

uni-

forme E.

L’equation

aux valeurs propres W de

l’op6rateur

hamiltonien de cette molecule s’ecrit :

avec

Pour r6soudre cette

equation,

dans le domaine

des valeurs de h ou les m6thodes

d’approximation

tombent en

def aut,

on utilisera la m6thode des grosses

perturbations [5].

Les fonctions

d’onde §

seront

d6velopp6es

sous la forme :

ou les q>J lit! sont les

harmoniques sph6riques

nor-

malis6es,

telles que les elements de matrice de la

perturbation a

cos 0 s’écrivent :

Les

equations (1)

et

(3)

donnent lieu a un sys- t6me

d’equations

lin6aires pour les

CJM, systeme

dont le determinant A

peut

s’écrire

apres

r6arran-

gement [6] :

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01965002606029700

(3)

298

La

perturbation À

cos 0 6tant

ind6pendante

de

1’angle

p, le nombre

quantique

M conserve,

quelque

soit x, la

signification qu’il poss6de

pour À =

0,

ce

qui correspond

a la mise en facteur

(5).

Ceci conduit a 6tudier

s6par6ment

les ensembles de fonctions d’onde caract6ris6es par la meme pro-

jection

du moment

ein6tique

orbital sur la direc-

tion du

champ

E.

Les racines de

1’6quation

Am = 0 fournissent donc toutes les valeurs propres attach6es a la meme valeur de M. Le

systeme d’équations

li-

n6aires,

attach6es a

AM,

fournira

un jeu

de cons-

tantes

CJM

a normaliser

correspondant

au

d6velop- pement (3).

En vertu de la remarque ci-dessus relative au nombre

M,

tout

d6veloppement

du

type (3)

ne

peut

contenir que le meme indice M et s’écrira

donc,

en tenant

compte

de la

d6g6n6-

rescence r6siduelle

portant

sur le

signe

de M :

§vimi = JIMI

E C IMI

9J)M!-

(6)

II. Calcul des éléments propres. - Tous les de- terminants Au 6tant d’ordre

infini,

on est conduit

a introduire des racines

approch6es,

obtenues en

consid6rant les determinants

OM

fournis par les

(a

X

a) premiers

elements des determinants

AM,

ou a est l’ordre maximum

compatible

avec, les

possibilités

de calcul

disponibles.

Avec l’ordinateur IBM 1620

qui

a ete utilise

ici,

il a ete

possible

de

faire a =

24,

de sorte que, pour

chaque

valeur

de x, on a resolu 24

systemes d’équations

s6cu-

FIG. la, 1b, lc. -

Energies

propres r6duites e du rotateur

spherique, dans un champ uniforme, en fonction de l’in- tensite reduite À. Le second des nombres attaches 4

chaque courbe indique la valeur du nombre quantique M correspondant. Les courbes en pointiUé ont ete emprun- t6es a la reference [1].

(4)

laires d’ordre d6croissant de 24 a

1,

chacune des matrices de ces

systemes correspondant

a une

valeur donn6e de M entre M = 0 et M = 23. La

diagonalisation

de ces

matrices,

par la m6thode de

Jacobi,

a

permis

de

calculer,

pour les valeurs de À allant de 0 a 100

(c’est-à-dire

par

exemple

avec la molecule

HCI,

pour E allant de 0 a

6,2

x 109

volts/m)

les

energies

propres des

a(a + 1 /2

= 300

premiers

niveaux doublement

d6g6n6r6s (± M)

du rotateur

perturb6,

ainsi que les coefficients du

d6veloppement (6) correspondant

a ces niveaux. Le programme de calcul utilise a

permis

d’obtenir les valeurs propres solutions de

Ai

= 0 avec une

precision

de l’ordre de 10-8 et les coefficients

C§j mj

avec une

pr6cision

de l’ordre

de 10-7. Les

vecteurs §

obtenus sont normalises à l’unit6.

L’approximation

d6crite ci-dessus revient 6 sup- poser que la

grandeur

de la

perturbation À

cos 0

est

parfaitement n6gligeable

pour les niveaux non

perturb6s

caractérisés par J >

23,

c’est-h-dire que

ces niveaux ne sont pas atteints par la

pertur-

bation considérée. Cette

approximation

n’est cer-

tainement pas valable pour le niveau J =

23,

du

moins pour les valeurs X

proches

de

100,

car alors a

n’est

plus n6gligeable

devant

1’energie

reduite du

niveau J = 23 soit c =

J(J

+

1)

= 552. N6an-

moins,

il est certain que cette

approximation

est

tout a fait

acceptable

pour le calcul de la

pertur-

bation des niveaux les

plus peuples

des rotateurs

diatomiques

tels que les

hydracides

dans les condi- tions normales de

temperature (J -

3 ou

4).

III. Rdsultats. -

a) ENERGIES.

- Les resultats

du calcul des valeurs propres e

correspondent

exac-

tement a ceux

publi6s

par Kusch et

Hugues [1]

et Peter et

Strandberg [2]

pour J = 0 a J =

4,

et X

compris

entre 0 et 100. On a, de

plus,

obtenu

des valeurs de e pour J = 5 a J = 23

(M J).

Les resultats

correspondant

a J =

5, 6,

7 ont 6t6

reportés

sur les

figures

1a a 1c.

b)

FONCTIONS D’ONDE. - Les fonctions d’onde relatives aux

premiers

niveaux dans l’ordre des

energies

non

perturb6es

croissantes ont ete cal- cul6es a l’aide de la relation

(3).

On a

reproduit,

à

titre

d’exemple,

dans les

figures

2a a

2h,

la defor-

mation des niveaux

J = 0 ; J = 1, M = 0, =Í= 1 ;

J =

4,

.M = 0

lorsque

l’on fait croitre le

champ

E

de la valeur 0 a la valeur

1 001i2f21 [1..

c)

MOMENT DIPOLAIRE. - La connaissance des coefficients Cim de la relation

(3)

a

permis

de cal-

culer les elements de matrice de

l’op6rateur

moment

dipolaire

reduit [1.e

Jy

= cos 0.

Soit :

Les résultats

correspondant

aux

quinze premiers

elements

diagonaux

de cet

op6rateur (J j 4)

sont

port6s

sur le tableau I.

TABLEAU I

VALEURS DE L’ELEMENT DE MATRICE DIAGONAL DE COS 0

(5)

300

TABLEAU I (suite)

Ces resultats sont en bon accord avec les courbes

pub]iées

par Kusch et

Hughes [1]

et construites par ces auteurs directement a

partir

des valeurs de

1’6nergie

par la relation :

Les elements non

diagonaux correspondant

pour

À = 0 a la transition

permise

AJ = + 1 ont 6t6

traces en fonction de X pour la transition 00 ---> 10

( fig. 3).

Enfin on a

port6

sur la

figure

4 la

variation,

en

fonction de

a,,

de 1’616ment non

diagonal

corres-

pondant

a la

perturbation

de la transition inter- dite 00 -* 20.

IV. Diseussion.-

a) ÉNERGIES. -

Les

figures

1a

a 1c montrent que, pour les niveaux

provenant

de

J===5aJ==7,e

varie avec ?, de

faqon

coh6rente

avec les resultats

publi6s

par Kusch et

Hughes

pour les niveaux

provenant

de J = 0 a J = 4.

Les resultats de Kusch et

Hughes

pour J = 4 ont ete

reproduits

en

pointi]16

sur la

figure

1a.

L’appro-

ximation utilis6e ici

(a

=

24)

rend les resultats de

plus

en

plus approchés

au fur et a mesure que J

augmente.

Pour

éprouver

la validité des resultats obtenus pour J voisin de

24,

on a

calcul6,

pour À =

100,

la valeur

6nerg6tique

des 703 niveaux

provenant

des 36

premiers

niveaux

d6g6n6r6s

de

la molecule non

perturbee.

On a trouve que tous les resultats ainsi obtenus

sont,

en valeur

absolue, identiques

a

1124e pres

au

plus

a ceux relatifs au

calcul utilisant des matrices 24 X 24.

De

plus,

on a

éprouvé

la validite de

1’approxi-

mation

initiale, qui

consiste a supposer non per- turb6 le niveau J =

23,

M = 23. A cet

effet,

on a réduit la matrice 24 X 24

correspondant

a la per-

turbation du niveau J =

23,

M = 23 par les 23 niveaux suivants.

On obtient ainsi la valeur E23,23 =

547,777

au

lieu de e23 = 23 x 24 = 552. En

consequence

de

ces

resultats,

on

peut

considerer que les valeurs trouv6es pour

1’energie

des niveaux voisins de J = 23 constituent de bonnes

approximations

pour des

applications

ou une

precision

inf6rieure au

dixieme est suffisante.

L’approximation

est a

for-

tiori encore meilleure pour les niveaux

provenant

de J voisin de

4,

par

exemple, qui

seront utilises

dans 1’etude des

hydracides (HF, HCI) perturb6s

par un

champ

intermoléculaire a la

temperature

normale.

b)

FONCTIONS D’ONDE. - Les

figures

2a a 2h

rendent

compte

de l’id6e intuitive que 1’on

peut

se faire de 1’action d’un

champ 6lectrique

uniforme

sur un rotateur

sph6rique polaire.

En

effet,

on

constate,

sur toutes ces

figures,

que les valeurs

importantes

de la densite de

probabilite

de

pr6-

sence du rotateur au

voisinage

de la direction

(6, cp)

ont tendance a

s’aligner

sur la direction 6 = 0

lorsque X

devient

grand.

De

plus,

la variation

de 03C8

avec X rend

compte

intuitivement du caractere

«

dia-électrique

» d’un 6tat tel que J

= 1,

M =

0,

caractere

qui

se manifeste par

l’apparition

d’un

moment

6lectrique n6gatif lorsqu’on

soumet un

6tat pur tel que J =

1,

M = 0 a un

champ

E > 0

(figure

no

36,

p. 46 de la reference

[1]).

En effet

on voit sur la

figure

2c que la localisation relative a cet 6tat a

tendance, lorsque X

passe de 0 a

1,

a se

d6velopper plus rapidement

sur le lobe 0

> vu/2

que sur le lobe 6

n j2.

Cette tendance se ren- verse pour des valeurs

plus

6lev6es de

À,

ce

qui

correspond

au passage du caract6re

dia-électrique

(6)

301

au caractere

paraélectrique, qui

caractérise 1’etat J =

1,

M =

0, lorsque

À est suffisamment

grand.

En

regle g6n6rale,

le caractere

dia-électrique

des

6tats purs ne se manifeste pour J

donne,

que pour les faibles valeurs de M.

Classiquement

ceci a lieu

lorsque

les

plans

de rotation du

dipole

contiennent la direction du

champ

E. Le

couplage

-

y. E

entraine alors une deceleration

lorsque

la direction

du

dipole s’éloigne

de la direction du

champ

et une

acceleration dans le cas contraire. La molecule

possede

donc une vitesse

angulaire maximum,

lorsque

le sens du

dipole

est

parall6le

a celui du

champ

et une vitesse

angulaire

minimum dans la

configuration antiparallele,

ce

qui correspond

bien

a une densite de

probabiIité

de localisation

plus grande

dans ce dernier cas, donc a un moment

FIG. 2a a 2h.- Lignes d’6gale densite de

probabilité 03C8JM(0, cp) 12

normalis6e a 1’unite en

coordonnées polaires.

Les nombres attaches a chaque courbe se rapportent a l’intensit6 r6duite X du

champ

uniforme applique E.

(7)

302

FIG. 3. - Element de matrice du moment dipolaire reduit

cos 0 pour la transition 00 ----> 10 permise pour À = 0.

induit en sens inverse du

champ.

Ce raisonnement intuitif

perd

sa

signification

pour E suffisamment

grand,

car

alors, classiquement,

la

position

0 = 7t

n’est

plus jamais occup6e

et le caractere

para6lee- trique 1’emporte

sur le caractere

diaélectrique.

Par

ailleurs,

pour M - J le

plan

de l’orbite

classique

est

perpendiculaire a

E et l’action du

champ

ne

peut

que creer un moment

6lectrique

moyen

dirig6

dans sa propre direction.

c)

MOMENT DIPOLAIRE. - On

constate,

sur Ie tableau

I,

que le moment

dipolaire

moyen, nul pour X =

0,

croit

lorsque X augmente (sauf

au

voisinage

de X = 0 ou

peuvent

se

presenter

des

ph6nom6nes

de diaé]ectricité decrits

ci-dessus).

FIG. 4. - Element de matrice de cos 0 pour la transition 00 ---> 20 interdite pour X = 0.

Cette levee de

l’interdiction

J - J est

importante

pour 1’6tude

optique

des milieux condenses con-

tenant des molecules

diatomiques polaires

car elle

suggere

une

explication

des effets

spectraux

induits

observes dans les

spectres

des solutions

liquides [7].

On

constate,

de

plus ( fig.

3 et

4),

que les elements de matrice du

type

J = 0 ---> J = 1

d6croissent, lorsque

À

augmente

et que les elements de matrice du

type

J -

J ± 2,

nuls

pour À

=

0, passent

par

un maximum pour certaines valeurs de X inter- m6diaires entre 0 et 100.

Nous remercions M.

Corre,

assistant a la Faculte

des

Sciences, pour 1’aide qu’il

nous a

apport6e

dans

la conduite des calculs

num6riques.

Manuscrit regu le 5 mars 1965.

BIBLIOGRAPHIE [1] KUSCH (P.) et HUGHES (V. W.), Encyclopedia of phy-

sics, Flügge Editor, 1959, vol. XXXVII/1.

[2] PETER (M.) et STRANDBERG (M. W. P.), J. Chem.

Phys., 1957, 26, 1657.

[3] SHIRLEY (J. H.), J. Chem. Phys., 1963, 38, 2896.

[4] MIZUSHIMA (M.) et WEST (P. G.), J. Chem. Phys., 1963, 38, 251.

[5] BRILLOUIN (L.), Les méthodes

d’approximation.

Actua-

lités scientifiques et industrielles, Herman, édit., Paris, 1932, 39.

[6] LAMB (W. E.), Cité dans la référence [1].

[7] LE MEN (J. F.), PIERRE (D.) et GALATRY (L.), A paraître.

GALATRY

(L.),

C. R. Acad. Sc., 1965, 260. 2159.

Références

Documents relatifs

On voit dans (1.6) que pour des systèmes quantiques, l’EDM représente l’amplitude du couplage entre le spin et un champ électrique externe, de la même façon que le moment

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des

Le graphe suivant représente, dans un plan méridien, les lignes de champ —en rouge—, orthogonales aux surfaces équipotentielles —en bleu— et orientées de la charge

sa comparaison avec l’oscillateur harmonique. Mais il a le même spectre qu’un certain opérateur autoadjoint sur un espace de Hilbert fixe. Cet opérateur apparaît en

Stockage de l’électricité : élément clé pour le déploiement des énergies renouvelables et du véhicule él.. diminuer ce poste, d’une part pour limiter les émissions de gaz

2014 On développe deux méthodes pour calculer les énergies propres et les projecteurs correspondants d’un système quantique fermé à partir de l’opérateur-densité

Le programme en faveur du trafic d’agglomération (Office.. fédéral du développement territorial, ARE) finance principalement des mesures portant sur l’infrastruc- ture et ne

Pour plus de détails sur l’équation de Lamé, voir Whittaker-Watson [39] et