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Une autre insuline glargine pour traiter le diabète

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Academic year: 2022

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17 ayant eu des contacts rapprochés avec quelqu’un susceptible d’avoir

été infecté par le virus de la grippe. Le zanamivir pourrait être préfé- rable pour la prévention en raison de son absorption systémique li- mitée, mais l’oseltamivir est une alternative raisonnable.

Résistance – La plupart des souches virales circulantes récemment testées par les CDC se sont montrées sensibles aux inhibiteurs de la neuraminidase.14 Une résistance de certaines souches virales (en particulier influenza A H1N1) à l’oseltamivir ou au péramivir peut émerger pendant ou après le traitement, en particulier chez les pa- tients immunodéficients avec une excrétion prolongée du virus.15,16 Les isolats résistants restent généralement sensibles au zanamivir, mais une sensibilité réduite à ce médicament a été rapportée.17 Effets indésirables – Les nausées, les vomissements et les cépha- lées sont les effets indésirables les plus fréquents de l’oseltamivir ; la prise de ce médicament avec les repas peut atténuer les effets indé- sirables gastro-intestinaux. Des diarrhées, des nausées, des sinu- sites, de la fièvre et des arthralgies ont été rapportées avec le zanamivir. L’inhalation du zanamivir peut provoquer des bronchos- pasmes ; ce médicament ne doit pas être utilisé chez les patients pré- sentant une maladie sous-jacente des voies respiratoires. Des diarrhées et des neutropénies se sont produites avec le péramivir.

Des événements neuropsychiatriques, y compris des automutila- tions et des délires, ont été rapportés chez des patients prenant des inhibiteurs de la neuraminidase, mais une relation de cause à effet n’a pas été établie, et les troubles neuropsychiatriques sont des com- plications connues de la grippe.18

Les inhibiteurs de la neuraminidase administrés dans les 48 heures avant ou moins de 2 semaines après l’administration du vaccin anti- grippal vivant atténué par voie intranasale (FluMist Quadriva- lent – USA ; non commercialisé – F, CH, B) peuvent interférer avec son efficacité. Le vaccin vivant atténué n’est pas recommandé pendant la saison de la grippe 2016-2017 parce qu’il s’est montré moins efficace que le vaccin inactivé lors des saisons précédentes.19 Les vaccins inactivés contre la grippe peuvent être administrés à n’importe quel moment lors de l’utilisation d’un inhibiteur de la neuraminidase.

Références

1. CDC. Influenza antiviral medications: summary for clinicians. Accessible à:

www.cdc.gov/flu/professionals/antivirals/summary-clinicians.htm.

Consulté le 20 décembre 2016.

2. Péramivir – un inhibiteur de la neuraminidase IV pour traiter la grippe. Med Lett Drugs Ther, édition française 2015;37:30.

3. Fiore AE, et al. Antiviral agents for the treatment and chemoprophylaxis of influenza – recommendations of the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). MMWR Recomm Rep 2011;60:1.

4. Dobson J, et al. Oseltamivir treatment for influenza in adults: a meta-analy- sis of randomised controlled trials. Lancet 2015;385:1729.

5. IDSA. Statement by the Infectious Disease Society of America (IDSA) on the recent publication on «Neuraminidase inhibitors for preventing and treating influenza in healthy adults and children.» April 2014. Accessible à: www.

idsociety.org/influenza_statement.aspx. Consulté le 20 décembre 2016.

6. En bref – Inquiétudes à propos de l’oseltamivir. Med Lett Drugs Ther, édi- tion française 2015;37:21.

7. Louie JK, et al. Neuraminidase inhibitors for critically ill children with influenza. Pediatrics 2013;132:e1539.

8. Muthuri SG, et al. Effectiveness of neuraminidase inhibitors in reducing mortality in patients admitted to hospital with influenza A H1N1pdm09 virus infection: a meta-analysis of individual participant data. Lancet Respir Med 2014;2:395.

9. Louie JK, et al. Treatment with neuraminidase inhibitors for critically ill patients with influenza A (H1N1)pdm09. Clin Infect Dis 2012;55:1198.

10. Yudin MH. Risk management of seasonal influenza during pregnancy: cur- rent perspectives. Int J Womens Health 2014;6:681.

11. Oboho IK, et al. Benefit of early initiation of influenza antiviral treatment to pregnant women hospitalized with laboratory-confirmed influenza. J Infect Dis 2016;214:507.

12. Ghulmiyyah LM, et al. Influenza and its treatment during pregnancy: a review. J Neonatal Perinatal Med 2015;8:297.

13. CDC. Recommendations for obstetric health care providers related to use of antiviral medications in the treatment and prevention of influenza. Acces- sible à: www.cdc.gov/flu/ professionals/antivirals/avrec_ob.htm. Consulté le 20 décembre 2016.

14. Hurt AC, et al. Global update on the susceptibility of human influenza viruses to neuraminidase inhibitors, 2014-2015. Antiviral Res 2016;132:178.

15. Le QM, et al. A community cluster of oseltamivir-resistant cases of 2009 H1N1 influenza. N Engl J Med 2010;362:86.

16. Renaud C, et al. H275Y mutant pandemic (H1N1) 2009 virus in immuno- compromised patients. Emerg Infect Dis 2011;17:653.

17. Takashita E, et al. Influenza A(H1N1)pdm09 virus exhibiting enhanced cross-resistance to oseltamivir and peramivir due to a dual H275Y/G147R substitution, Japan, March 2016. Euro Surveill 2016;21(24):Article 2.

18. Toovey S, et al. Post-marketing assessment of neuropsychiatric adverse events in influenza patients treated with oseltamivir: an updated review.

Adv Ther 2012;29:826.

19. Vaccins contre la grippe 2016-2017. Med Lett Drugs Ther, édition française 2016;38:414.

Une autre insuline glargine pour traiter le diabète

La FDA des Etats-Unis a approuvé la Basaglar (USA ; Abasaglar – F, CH, B), une insuline glargine « apparentée » à 100 unités/ml similaire à la Lantus (Lantus – F, CH, B) dont le brevet a récemment expiré.

Une formulation d’insuline glargine à 300 unités/ml (Toujeo – F, CH, B) a été homologuée en 2015.1

INSULINE GLARGINE – L’insuline glargine, un analogue de l’insu- line humaine issu d’ADN recombinant, forme des microprécipités dans le tissu sous-cutané, ce qui prolonge sa durée d’action jusqu’à en moyenne 24 heures.2 Elle est associée à des variations moins im- portantes entre les concentrations maximales et minimales (peak‑to‑trough) et provoque moins d’hypoglycémies nocturnes que l’insuline NPH.

ESSAIS CLINIQUES – L’homologation de la Basaglar était basée sur des données démontrant l’efficacité clinique et la sécurité d’em- ploi de la Lantus.3 Les études comparatives n’ont pas montré de dif- férences significatives pour la pharmacocinétique, la toxicité ou l’immunogénicité entre la Lantus et la Basaglar.4,5

La Basaglar a été comparée à la Lantus dans deux études de non-in- fériorité chez des adultes présentant un diabète de type 1 ou 2. Dans une étude ouverte, 535 patients avec un diabète de type 1 ont été randomisés pour recevoir la Basaglar ou la Lantus, toutes deux en combinaison avec l’insuline lispro au moment des repas.6 Dans une étude contrôlée en double aveugle, 756 patients avec un diabète de type 2 qui prenaient ≥ 2 médicaments antihyperglycémiants oraux ont été randomisés pour recevoir la Basaglar ou la Lantus en plus de leur traitement oral.7 Dans les deux études, les réductions moyennes de l’HbA1c à la semaine 24 par rapport aux valeurs initiales ont été similaires avec les deux insulines glargines.

EFFETS INDÉSIRABLES – Dans les études cliniques, l’incidence des effets indésirables, y compris les hypoglycémies nocturnes et la prise pondérale, a été similaire avec la Basaglar et la Lantus. Les deux médicaments peuvent provoquer des réactions au point d’injection.

STATUT RÉGLEMENTAIRE – Bien que la composition, la concen- tration, la présentation, ainsi que les propriétés physicochimiques, structurelles et biologiques de la Basaglar soient très similaires à celles de la Lantus, et que la Basaglar semble produire les mêmes ré- sultats cliniques, elle n’a pas été désignée comme un médicament biosimilaire ou un produit interchangeable par la FDA en raison d’un détail technique : l’insuline est considérée comme une entité chimique et non pas biologique ; il n’y a ainsi aucun produit biolo- gique de référence pour l’insuline glargine. Les pharmaciens ne peuvent généralement pas substituer la Basaglar à la Lantus sans la permission du prescripteur.

GROSSESSE ET LACTATION  –  Il n’existe pas d’étude bien contrôlée concernant l’utilisation de l’insuline glargine chez les femmes enceintes. Chez des rates et des lapines ayant reçu jusqu’à 7 fois la dose initiale recommandée chez l’homme d’une insuline glargine avant et après l’accouplement ainsi que pendant toute la gestation, aucun effet indésirable sur le fœtus n’a été détecté. L’insu- line endogène est présente dans le lait maternel, mais on ne sait pas si l’insuline glargine est excrétée dans le lait humain.

POSOLOGIE ET ADMINISTRATION – La Basaglar est disponible en emballages de 5 seringues multidoses KwikPen (USA : non com- mercialisé dans cette forme – F, CH, B), chacune préremplie avec 3 ml d’insuline glargine à 100 unités/ml. Une seringue peut délivrer de 1 à 80 unités par injection. Elle doit être amorcée avec 2 unités d’insuline glargine avant chaque injection.

La Basaglar doit être injectée en sous-cutané une fois par jour au même moment de la journée. Les patients atteints d’un diabète de type  1 n’ayant jamais reçu d’insuline doivent commencer le

(2)

18

traitement de Basaglar avec environ un tiers de la dose d’insuline totale estimée nécessaire à leurs besoins quotidiens, le reste étant administré sous forme d’insuline rapide ou à courte durée d’action avant les repas. Chez les patients avec un diabète de type 2, le dosage initial recommandé de Basaglar est de 0,2 unité/kg ou jusqu’à 10 unités une fois par jour. Les patients sous Lantus peuvent changer pour la Basaglar en utilisant la même dose quotidienne. Chez les pa- tients changeant depuis la Toujeo ou une insuline NPH biquotidienne, le dosage de la Basaglar doit être de 80 % de la dose quotidienne totale antérieure. Les patients passant à la Toujeo depuis la Lantus ou la Basaglar peuvent nécessiter une dose quotidienne d’insuline basale environ 10-15 % plus élevée.

Les patients précédemment contrôlés avec une insuline à durée d’action intermédiaire ou longue (autre que l’insuline glargine) qui passent à la Basaglar peuvent nécessiter un ajustement de la poso- logie de leur insuline basale, de leur insuline à courte durée d’action ou des autres médicaments antihyperglycémiants.

CONCLUSION – L’efficacité et la sécurité d’emploi de la Basaglar sont similaires à celles de la Lantus. Les patients peuvent utiliser l’une ou l’autre.

Références

1. Insuline glargine concentrée pour traiter le diabète. Med Lett Drugs Ther, éditions française 2015;37:83.

2. Drugs for diabetes. Med Lett Drugs Ther 2017;59:9 (sous presse).

3. Center for Drug Evaluation and Research. Basaglar Summary Review.

Accessible à: www.accessdata.fda.gov/drugsatfda_docs/nda/2015/205692 Orig1s000SumR.pdf. Consulté le 20 décembre 2016.

4. Linnebjerg H, et al. Comparison of the pharmacokinetics and pharmacody- namics of LY2963016 insulin glargine and EU- and US-approved versions of Lantus insulin glargine in healthy subjects: three randomized euglyce- mic clamp studies. Diabetes Care 2015;38:2226.

5. Ilag LL, et al. Evaluation of immunogenicity of LY2963016 insulin glargine compared with Lantus insulin glargine in patients with type 1 or type 2 diabetes mellitus. Diabetes Obes Metab 2016;18:159.

6. Blevins TC, et al. Efficacy and safety of LY2963016 insulin glargine compa- red with insulin glargine (Lantus) in patients with type 1 diabetes in a ran- domized controlled trial: the ELEMENT 1 study. Diabetes Obes Metab 2015;17:726.

7. Rosenstock J, et al. Similar efficacy and safety of LY2963016 insulin glar- gine and insulin glargine (Lantus) in patients with type 2 diabetes who were insulin-naïve or previously treated with insulin glargine: a rando- mized, double-blind controlled trial (the ELEMENT 2 study). Diabetes Obes Metab 2015;17:734.

Produits contenant de l’insuline glargine

Médicaments Formes galéniques et dosages Fréquence

des injections

Délai

d’action Durée

d’action France

Coût 1 Suisse

CHF (€) Belgique

Abasaglar – F, CH, B Solution injectable SC à :

F, CH : 100 U/ml en cartouches de 3 ml (boîtes de 5) F, CH, B : 100 U/ml en cartouches de 3 ml scellées dans un stylo injecteur prérempli jetable KwikPen (boîtes de 5)

1 ×/jour2 1-4 h ~24 h3

8.91 8.91

13.40 (12.17)

13.70 (12.44) 9.92

Lantus – F, B ; Lantus sol inj Clikstar/

OptiPen/JuniorSt – CH

Lantus SoloStar – F, B ; Lantus SoloStar Pen – CH

Solution injectable SC à 100 U/ml F : en flacons de 10 ml (1000 U) F, CH, B : en cartouches de 3 ml (300 U)

F, CH, B : en cartouches de 3 ml scellées dans un stylo prérempli SoloStar (300 U)

1 ×/jour2 1-4 h 22-24 h

36.71 10.67

10.67 16.75 (15.24) 17.15 (15.59)

11.44

11.44

Toujeo 300 U/ml – F ;

Toujeo SoloStar – CH, B Solution injectable SC à 300 U/ml en cartouches de 1,5 ml scellées dans un stylo prérempli SoloStar (450 U)

1 ×/jour2 1-6 h 24-36 h 15.07 26.50

(24.09) 15.35

Ce tableau reflète l’édition américaine du Medical Letter et ne constitue pas nécessairement une revue exhaustive de toutes les préparations disponibles en Europe francophone.

1. Coût pour un flacon/cartouche/stylo. Taux de change : 1 € = 1.10 CHF.

2. L’insuline peut être administrée à tout moment de la journée, mais elle doit être injectée au même moment chaque jour.

3. Linnebjerg H, et al. Diabetes Obes Metab 2016 Aug 3 (epub).

Ustékinumab pour traiter la maladie de Crohn

La FDA des Etats-Unis a approuvé l’utilisation de l’ustékinumab (Stelara – F, CH, B), un antagoniste des interleukines (IL) 12 et 23 hu- maines, pour le traitement de la maladie de Crohn modérément à gravement évolutive chez les adultes n’ayant pas répondu à un trai- tement avec un immunomodulateur, un corticostéroïde ou un inhibi- teur du facteur de nécrose tumorale (TNF), ou qui ne les tolèrent pas.

L’ustékinumab a été homologué antérieurement pour le traitement du psoriasis et du rhumatisme psoriasique.1,2

TRAITEMENT STANDARD – Les corticostéroïdes sont utilisés pour induire une rémission de la maladie de Crohn. L’azathioprine (Imurel et autres – F ; Imurek et autres – CH ; Imuran et autres – B) ou la 6-mercaptopurine (6-MP ; Purinethol et autre – F ; Puri-Nethol et autre – CH ; Puri-Nethol – B) peuvent être utilisées pour le maintien de la rémission. Un inhibiteur du TNF seul ou en combinaison avec l’azathioprine ou la 6-MP peut être utilisé à la fois pour l’induction et le maintien d’une rémission chez les patients avec une maladie mo- dérée à sévère.3 Le védolizumab (Entyvio – F, CH, B), un antagoniste des récepteurs de l’intégrine, peut être utilisé chez les patients qui ne répondent pas aux traitements standards, y compris les inhibi- teurs du TNF, ou qui ne les supportent pas.4 L’utilisation du natali- zumab (Tysabri – F, CH, B), un autre antagoniste des récepteurs de

l’intégrine, a été limitée par la survenue de rares cas de leucoencé- phalopathies multifocales progressives (LEMP).

MÉCANISME D’ACTION – L’ustékinumab est un anticorps IgG1Κ complètement humain qui se lie à la sous-unité protéique p40 com- mune aux cytokines IL-12 et IL-23, empêchant ainsi l’activation des réponses inflammatoire et immunitaires qui seraient impliquées dans la pathogenèse de la maladie de Crohn.5

ESSAIS CLINIQUES – L’homologation de l’ustékinumab pour le traitement de la maladie de Crohn était basée sur les résultats de deux études d’induction de 8 semaines (UNITI-1 et UNITI-2) et d’une étude de maintien de 44 semaines (IM-UNITI) ; les résultats de ces études sont résumés dans le tableau à la page suivante.6 Les pa- tients de ces 3 études étaient autorisés à rester sous des doses stables d’immunosuppresseurs, de mésalazine (5-ASA = mésala- mine : Fivasa et autres – F ; Asacol et autres – CH ; Pentasa et autres – B), d’antibiotiques et/ou de corticostéroïdes oraux.

Les deux études d’induction ont inclus un total de 1369 patients avec une maladie de Crohn active modérée à sévère, qui ne supportaient pas ou qui n’avaient pas répondu de manière adéquate à un traite- ment avec ≥ 1 inhibiteur du TNF (UNITI-1) ou des immunomodulateurs ou des corticostéroïdes (UNITI-2). Dans les deux études, en compa- raison du placebo, significativement plus de patients traités avec l’us- tékinumab ont obtenu une réponse clinique à la semaine 6 (critère de jugement primaire) et étaient en rémission clinique à la semaine 8.6

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