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MQ1 – Approche ondulatoire de la mécanique quantique A – Travaux dirigés MQ11 – Energie minimale d’un oscillateur harmonique

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Academic year: 2022

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(1)

MQ1 – Approche ondulatoire de la mécanique quantique

A – Travaux dirigés

MQ11 – Energie minimale d’un oscillateur harmonique

1°) Si � < 𝑝𝑝 𝑥𝑥 > = 0

< 𝑥𝑥 > = 0 alors < 𝑝𝑝 𝑥𝑥 2 > = Δ𝑝𝑝 𝑥𝑥 2 et < 𝑥𝑥 2 > = (Δ𝑥𝑥) 2 Or :

Δ𝑝𝑝 𝑥𝑥 Δ𝑥𝑥 ≥ ℏ 2

< 𝑝𝑝 𝑥𝑥 2 > ≥ 2 4(Δ𝑥𝑥) 2 D’où :

< 𝐸𝐸 𝑐𝑐 > ≥ ℏ 2

8𝑚𝑚(Δ𝑥𝑥) 2 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 𝐸𝐸 𝑐𝑐 = 𝑝𝑝 𝑥𝑥 2 Or 𝐸𝐸 = 𝐸𝐸 𝑐𝑐 + 𝑉𝑉 𝑐𝑐𝑎𝑎𝑎𝑎𝑐𝑐 𝑉𝑉(𝑥𝑥) = 1 2 𝑚𝑚𝜔𝜔 0 2 𝑥𝑥 2 2𝑚𝑚

< 𝐸𝐸 > =< 𝐸𝐸 𝑐𝑐 > + 1

2 𝑚𝑚𝜔𝜔 0 2 < 𝑥𝑥 2 >

< 𝐸𝐸 > =< 𝐸𝐸 𝑐𝑐 > + 1

2 𝑚𝑚𝜔𝜔 0 2 (Δ𝑥𝑥) 2

< 𝐸𝐸 > ≥ 2

8𝑚𝑚(Δ𝑥𝑥) 2 + 1

2 𝑚𝑚𝜔𝜔 0 2 (Δ𝑥𝑥) 2

2°) Calculons la dérivée de l’expression de droite pour trouver la valeur de Δ𝑥𝑥 qui la minimise :

𝑑𝑑 < 𝐸𝐸 𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚 >

𝑑𝑑(Δ𝑥𝑥) = −2 × ℏ 2 8𝑚𝑚(Δ𝑥𝑥) 3 + 2

2 𝑚𝑚𝜔𝜔 0 2 (Δ𝑥𝑥)

(2)

La première valeur correspond à un maximum et la seconde valeur donne : 𝐸𝐸 𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚 = ℏ 2

8𝑚𝑚 � ℏ 2𝑚𝑚𝜔𝜔 0 � + 1

2 𝑚𝑚𝜔𝜔 0 2 � ℏ 2𝑚𝑚𝜔𝜔 0

𝐸𝐸 𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚 =

4 𝜔𝜔 0 + ℏ 4 𝜔𝜔 0

𝐸𝐸 𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚 = 2 𝜔𝜔 0 Pour obtenir 𝐸𝐸 𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚 il faut : Δ𝑥𝑥 = � 2𝑚𝑚𝜔𝜔

0

3°) a)

Cherchons 𝑇𝑇 𝑐𝑐 telle que :

Δ𝑥𝑥 = � ℏ

2𝑚𝑚𝜔𝜔 0 = Δ𝑥𝑥 𝑇𝑇 = � 𝑘𝑘 𝐵𝐵 𝑇𝑇 𝑚𝑚𝜔𝜔 0 2

2 = 𝑘𝑘 𝐵𝐵 𝑇𝑇 𝑐𝑐 𝜔𝜔 0

𝑇𝑇 𝑐𝑐 = ℏ𝜔𝜔 0 2𝑘𝑘 𝐵𝐵 3°) b)

Posons 𝑓𝑓 0 = 10𝐻𝐻𝐻𝐻 ⇒ 𝜔𝜔 0 = 20𝜋𝜋 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑑𝑑 · 𝑠𝑠 −1

𝑇𝑇 𝑐𝑐 = 2.10 −10 𝐾𝐾

Donc les fluctuations quantiques sont négligeables pour un oscillateur harmonique classique car on ne peut pas réaliser de telles températures en laboratoire.

Posons 𝑓𝑓 0 = 6,0 𝐺𝐺𝐻𝐻𝐻𝐻 ⇒ 𝑇𝑇 𝑐𝑐 = 0,14 𝐾𝐾 , ainsi ils ont pu observer des

fluctuations quantiques car 𝑇𝑇 < 𝑇𝑇 𝑐𝑐 .

(3)

MQ12 - Superposition de fonctions d’ondes

1°) On pose : Ψ(𝑥𝑥, 0) = 1

√2 �𝜙𝜙 1 (𝑥𝑥) + 𝜙𝜙 2 (𝑥𝑥)� ⇒ Ψ(𝑥𝑥, 𝑡𝑡) = 1

√2 �Ψ 1 (𝑥𝑥, 𝑡𝑡) + Ψ 2 (𝑥𝑥, 𝑡𝑡)�

Ψ(𝑥𝑥, 𝑡𝑡) = 1

√2 �𝜙𝜙 1 (𝑥𝑥)𝑎𝑎 −𝑚𝑚𝜔𝜔

1

𝑡𝑡 + 𝜙𝜙 2 (𝑥𝑥)𝑎𝑎 −𝑚𝑚𝜔𝜔

2

𝑡𝑡

Ψ(𝑥𝑥, 𝑡𝑡) = 1

√2 𝑎𝑎 −𝑚𝑚𝜔𝜔

1

𝑡𝑡 �𝜙𝜙 1 (𝑥𝑥) + 𝜙𝜙 2 (𝑥𝑥)𝑎𝑎 −𝑚𝑚(𝜔𝜔

2

−𝜔𝜔

1

)𝑡𝑡

Ψ(𝑥𝑥, 𝑡𝑡) = 1

√2 𝑎𝑎 −𝑚𝑚𝜔𝜔

1

𝑡𝑡 �𝜙𝜙 1 (𝑥𝑥) + 𝜙𝜙 2 (𝑥𝑥)𝑎𝑎 −𝑚𝑚𝜔𝜔𝑡𝑡 � 𝑜𝑜ù 𝜔𝜔 = 𝜔𝜔 2 − 𝜔𝜔 1 2°)

Calculons : |Ψ(𝑥𝑥, 𝑡𝑡)| 2

|Ψ(𝑥𝑥, 𝑡𝑡)| 2 = Ψ(𝑥𝑥, 𝑡𝑡)Ψ (𝑥𝑥, 𝑡𝑡)

|Ψ(𝑥𝑥, 𝑡𝑡)| 2 = Ψ(𝑥𝑥, 𝑡𝑡)Ψ (𝑥𝑥, 𝑡𝑡)

|Ψ(𝑥𝑥, 𝑡𝑡)| 2 = 1

2 �𝜙𝜙 1 (𝑥𝑥) + 𝜙𝜙 2 (𝑥𝑥)𝑎𝑎 −𝑚𝑚𝜔𝜔𝑡𝑡 ��𝜙𝜙 1 (𝑥𝑥) + 𝜙𝜙 2 (𝑥𝑥)𝑎𝑎 +𝑚𝑚𝜔𝜔𝑡𝑡

|Ψ(𝑥𝑥, 𝑡𝑡)| 2 = 1

2 �𝜙𝜙 1 2 (𝑥𝑥) + 𝜙𝜙 2 2 (𝑥𝑥) + 𝜙𝜙 1 (𝑥𝑥)𝜙𝜙 2 (𝑥𝑥)�𝑎𝑎 −𝑚𝑚𝜔𝜔𝑡𝑡 + 𝑎𝑎 +𝑚𝑚𝜔𝜔𝑡𝑡 ��

|Ψ(𝑥𝑥, 𝑡𝑡)| 2 = 1

2 �𝜙𝜙 1 2 (𝑥𝑥) + 𝜙𝜙 2 2 (𝑥𝑥) + 2cos (𝜔𝜔𝑡𝑡)𝜙𝜙 1 (𝑥𝑥)𝜙𝜙 2 (𝑥𝑥)�

La particule part de la gauche à t=0 et se déplace vers la droite, elle rebondit en x=a pour 𝑡𝑡 = 𝑡𝑡 2 . On remarque que pour 𝑡𝑡 = 𝑡𝑡 1 le maximum de probabilité n’est pas en 𝑎𝑎 2 mais plutôt en 𝑎𝑎 4 𝑎𝑎𝑡𝑡 3𝑎𝑎 4 .

3°) On calcule la valeur moyenne de x.

< 𝑥𝑥 > = � 𝑥𝑥|𝜓𝜓| 𝑎𝑎 2

𝑥𝑥=0 𝑑𝑑𝑥𝑥 = 𝑐𝑐

2 − 16𝑐𝑐

9𝜋𝜋 2 cos(𝜔𝜔𝑡𝑡)

(4)

On retrouve le principe du résultat précédent : - Pour t=0 la particule est proche de x=0.

- Pour 𝑡𝑡 = 𝑡𝑡 2 , la particule est proche de x=a.

- Pour 𝑡𝑡 = 2𝑡𝑡 2 , la particule revient à proximité de x=0.

On cherche une estimation de l’intervalle de temps Δ𝑡𝑡 au bout duquel le système a évolué de façon appréciable.

Initialement cos(𝜔𝜔𝑡𝑡) = 1 , on peut alors définir Δ𝑡𝑡 par : cos(𝜔𝜔Δ𝑡𝑡) = −1

Δ𝑡𝑡 = 𝑡𝑡 2 = 𝜋𝜋

𝜔𝜔

(5)

MQ13 – Particule libre et paquet d’ondes

Dans le cas général, l’équation de Schrödinger s’écrit : 𝑖𝑖ℏ 𝜕𝜕𝜓𝜓

𝜕𝜕𝑡𝑡 = 𝐸𝐸𝜓𝜓

𝑖𝑖ℏ 𝜕𝜕(𝜙𝜙(𝑥𝑥)𝑓𝑓(𝑡𝑡))

𝜕𝜕𝑡𝑡 = 𝐸𝐸𝜙𝜙(𝑥𝑥)𝑓𝑓(𝑡𝑡)

𝑖𝑖ℏ𝜙𝜙(𝑥𝑥) 𝜕𝜕(𝑓𝑓(𝑡𝑡))

𝜕𝜕𝑡𝑡 = 𝐸𝐸𝜙𝜙(𝑥𝑥)𝑓𝑓(𝑡𝑡)

𝑖𝑖ℏ 𝜕𝜕(𝑓𝑓(𝑡𝑡))

𝜕𝜕𝑡𝑡 = 𝐸𝐸𝑓𝑓(𝑡𝑡) 𝑜𝑜𝑜𝑜 𝜙𝜙(𝑥𝑥) = 0 On garde la première solution car sinon 𝜓𝜓 = 0 :

𝜕𝜕�𝑓𝑓(𝑡𝑡)�

𝜕𝜕𝑡𝑡 − 𝐸𝐸

𝑖𝑖ℏ 𝑓𝑓(𝑡𝑡) = 0 qui se résout en :

𝑓𝑓(𝑡𝑡) = 𝐴𝐴𝑎𝑎 +𝐸𝐸 𝑚𝑚ℏ𝑡𝑡

𝑓𝑓(𝑡𝑡) = 𝐴𝐴𝑎𝑎 −𝑚𝑚𝐸𝐸ℏ𝑡𝑡

En général on pose 𝐴𝐴 = 1 afin de normaliser 𝜙𝜙(𝑥𝑥) d’où :

𝑓𝑓(𝑡𝑡) = 𝑎𝑎 −𝑚𝑚𝐸𝐸ℏ𝑡𝑡 = 𝑎𝑎 −𝑚𝑚𝜔𝜔𝑡𝑡 Or :

− ℏ 2 2𝑚𝑚

𝜕𝜕 2 𝜙𝜙

𝜕𝜕𝑥𝑥 2 + 𝑉𝑉𝜙𝜙 = 𝐸𝐸𝜙𝜙 𝑐𝑐𝑎𝑎𝑎𝑎𝑐𝑐 𝑉𝑉 = 0

𝜕𝜕 2 𝜙𝜙

𝜕𝜕𝑥𝑥 2 + 2𝑚𝑚𝐸𝐸

2 𝜙𝜙 = 0 Qui se résout, avec E>0, en :

𝜙𝜙 = 𝐴𝐴𝑎𝑎 𝑚𝑚𝑖𝑖𝑥𝑥 + 𝐵𝐵𝑎𝑎 −𝑚𝑚𝑖𝑖𝑥𝑥 𝑜𝑜ù 𝑘𝑘 = � 2𝑚𝑚𝐸𝐸 ℏ 2

Ψ = 𝐴𝐴𝑎𝑎 𝑚𝑚(𝑖𝑖𝑥𝑥−𝜔𝜔𝑡𝑡) + 𝐵𝐵𝑎𝑎 −𝑚𝑚(𝑖𝑖𝑥𝑥+𝜔𝜔𝑡𝑡)

2°) Vu que V(x)=0, on a alors 𝐸𝐸 = 𝐸𝐸 > 0

(6)

Ce qui n’est physiquement pas acceptable. Le modèle de l’OPPH ne correspond pas à la description quantique d’une particule, il faut faire appel au paquet d’ondes.

3°) D’après l’énoncé :

𝜓𝜓(𝑥𝑥, 𝑡𝑡) = 𝐵𝐵 �𝑎𝑎

𝑚𝑚(𝑖𝑖0𝑥𝑥−𝜔𝜔𝑡𝑡)

+ 1

2 𝑎𝑎

𝑚𝑚��𝑖𝑖0+Δ𝑖𝑖2 �𝑥𝑥−�𝜔𝜔0+Δ𝜔𝜔2 �𝑡𝑡�

+ 1

2 𝑎𝑎

𝑚𝑚��𝑖𝑖0−Δ𝑖𝑖2 �𝑥𝑥−�𝜔𝜔0−Δ𝜔𝜔2 �𝑡𝑡�

𝜓𝜓(𝑥𝑥, 𝑡𝑡) = 𝐵𝐵𝑎𝑎

𝑚𝑚(𝑖𝑖0𝑥𝑥−𝜔𝜔𝑡𝑡)

�1 + 1

2 𝑎𝑎

𝑚𝑚�Δ𝑖𝑖2 𝑥𝑥−Δ𝜔𝜔2 𝑡𝑡�

+ 1

2 𝑎𝑎

𝑚𝑚�−Δ𝑖𝑖2 𝑥𝑥+Δ𝜔𝜔2 𝑡𝑡�

𝜓𝜓(𝑥𝑥, 𝑡𝑡) = 𝐵𝐵𝑎𝑎

𝑚𝑚(𝑖𝑖0𝑥𝑥−𝜔𝜔𝑡𝑡)

�1 + cos 𝛥𝛥𝑘𝑘

2 𝑥𝑥 − 𝛥𝛥𝜔𝜔 2 𝑡𝑡��

Pour un instant 𝑡𝑡 0 on calcule les valeurs de x qui annulent 𝜓𝜓 : cos � 𝛥𝛥𝑘𝑘

2 𝑥𝑥 − 𝛥𝛥𝜔𝜔

2 𝑡𝑡 0 � = −1

𝛥𝛥𝑘𝑘

2 𝑥𝑥 − 𝛥𝛥𝜔𝜔

2 𝑡𝑡 0 = 𝜋𝜋 + 2𝑝𝑝𝜋𝜋

𝑥𝑥 𝑝𝑝 = 𝛥𝛥𝜔𝜔

𝛥𝛥𝑘𝑘 𝑡𝑡 0 + 2

Δ𝑘𝑘 (𝜋𝜋 + 2𝑝𝑝𝜋𝜋)

Si on choisit deux valeurs de p successives alors : Δ𝑥𝑥 = 𝑥𝑥 𝑝𝑝+1 − 𝑥𝑥 𝑝𝑝 = 4𝜋𝜋

Δ𝑘𝑘

Δ𝑥𝑥Δ𝑘𝑘 = 4𝜋𝜋 On vérifie bien que : Δ𝑥𝑥Δ𝑘𝑘 ≥ 2𝜋𝜋

La particule se déplace à la vitesse de groupe : 𝑎𝑎 𝑔𝑔 = Δ𝜔𝜔 Δ𝑖𝑖

(7)

4°) Le paquet d’ondes étant d’expansion finie, il est normalisable.

� |Ψ|𝑑𝑑𝑥𝑥 = 1

+𝑥𝑥

0

−𝑥𝑥

0

Cela fonctionne même pour une OPPH tronquée dans l’espace. Or :

𝐸𝐸 = 𝑝𝑝 2

2𝑚𝑚 = ℏ 2 𝑘𝑘 2 2𝑚𝑚

ℏ𝜔𝜔 = 2 𝑘𝑘 2 2𝑚𝑚

𝑎𝑎 𝜙𝜙 = 𝜔𝜔

𝑘𝑘 = ℏ𝑘𝑘

Pour calculer la vitesse de groupe on différentie la relation précédente : 2𝑚𝑚 𝑑𝑑𝜔𝜔 = ℏ 2 2𝑘𝑘𝑑𝑑𝑘𝑘

2𝑚𝑚

𝑎𝑎 𝑔𝑔 = 𝑑𝑑𝜔𝜔

𝑑𝑑𝑘𝑘 = ℏ 2 𝑘𝑘

𝑚𝑚 = 2𝑎𝑎 𝜙𝜙

La vitesse de groupe représente la vitesse de la particule classique telle que : 𝑝𝑝 = 𝑚𝑚 𝑎𝑎 𝑔𝑔

5°) Le milieu est bien dispersif car 𝑎𝑎 𝜙𝜙 ≠ 𝑎𝑎 𝑔𝑔 . On remarque que :

𝑎𝑎 𝜙𝜙 = ℏ𝑘𝑘

2𝑚𝑚 = ℎ

2𝑚𝑚𝑚𝑚 ⇒ 𝑎𝑎 𝑝𝑝ℎ𝑚𝑚 (𝑚𝑚 2 ) < 𝑎𝑎 𝑝𝑝ℎ𝑚𝑚 (𝑚𝑚 1 ) 𝑠𝑠𝑖𝑖 𝑚𝑚 2 > 𝑚𝑚 1

Par conséquent le paquet d’ondes va se rétrécir puis se dilater, par

exemple :

(8)

B – Exercices supplémentaires

MQ14 – Longueurs d’onde de De Broglie

(9)

MQ15 - L’atome d’hydrogène

(10)

MQ16 - Fonction d’onde d’une particule dans un puits infini

Références

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