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La différence de potentiel entre électrode et électrolyte

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00241337

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241337

Submitted on 1 Jan 1908

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La différence de potentiel entre électrode et électrolyte

N.-A. Hesehlts

To cite this version:

N.-A. Hesehlts. La différence de potentiel entre électrode et électrolyte. J. Phys. Theor. Appl., 1908,

7 (1), pp.530-531. �10.1051/jphystap:019080070053001�. �jpa-00241337�

(2)

530

Un décalage due 1/4 de période se produit naturellement entre les oscillations des deux pendules, le pendule auxiliaire étant entraîné par la réaction sur l’aimant des courants induits qui prennent naissance dans la masse conductrice C. Le pendule principal n’est ainsi soumis qu’aux seuls frottements de l’air et de cet amortissement magnétique,

tous deux constants.

C’e.st ce pendule auxiliaire est chargé de commander les deux contacts R et R’, dont le premier ferme sur la bobine d’entretien B le courant d’une pile constante P (1), et l’autre actionne ou synchro-

nise par la pile P’ les récepteurs H, qui totalisent les oscillations du balancier A.

Ce pendule convenablement réglé jouit de la propriété intéressante de se mettre en marche dès qu’on ferme ses bornes sur une pile, ce qui permet de le disposer sous une cloche à pression constante

même dans un endroit peu accessible (une cave à température cons- tante, par exemple). La fig. 5 est une vue d’ensemble de l’appareil.

LA DIFFÉRENCE DE POTENTIEL ENTRE ÉLECTRODE ET ÉLECTROLYTE ;

Par M. N.-A. HESEHLTS.

Le but de cet article est d’expliquer les résultats des expériences

récentes de M. H. Pellat (2) :

(Le signe + indique que le métal est à un potentiel plus élevé que celui de l’électrolyte. )

Ces résultats, étant en contradiction complète avec la théorie de M. Nernst, peuvent être expliqués au moyen des deux principes sui-

vants (3) :

(1) La dépense annuelle, voisine de 1 watt-heure, permet d’employer pour cet entretien une pile-étalon quelconque convenablement disposée.

(2) J. de Phys.., mars 1908, p. 195.

(3) de la Soc. ph.-ch. russe, 1901; - .I. de Ph!Js., 1902, p. 52.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019080070053001

(3)

531 i 0 S’électrise + celui des deux corps chimique1nent identiques en

contact, lJour lequel la densité superficielle (nombrede molécules éta- lées sur t’ uni té de surface) est la plus grande;

2° Quand les densités superficielles des corps en contact sont les celui qui s’électrise + ezst celui dont la capacité de ,dissociation des mol.écules est la plus grande

-

Ces deux principes sont réunis dans la formule :

_

~U ~ i - U2 est la différence de potentiel ; e, la charge d’un électron ;

c, la capacité électrique du condensateur formé par les deux sur- faces (1 centimètre carré) en contact; 61dt

-

°2d2, le nombre d’élec-

trons transportés de l’une des surfaces (1 centimètre carré) sur l’autre.] ]

Ainsi le signe

-

des résultats de M. Pellat correspond à la con-

dition 31d1 de la formule. Comme la densité superficielle de l’électrolyte est moindre que celle de l’électrode (d2 ~ dit

avoir ~2 > °1’ ce qui est tout à fait naturel ; la dilatation augmente

la dissociation. Pour les dissolutions très étendues, d2 devient très petit et la dissociation cesse d’augmenter. On voit qu’on aura enfin

- °2d2 et puis °1d1 > ô2d,, ou U, > U,, c’est-à-dire que le

potentiel de l’électrode deviendra enfin +.

(Il faut ajouter que dans le dissolvant il ne restait plus aucun ion;

on ne pourrait pas déceler la différence de potentiel par la méthode de la chute des gouttelettes, car le dissolvant deviendrait alors un

isolateur.)

Avril 1908.

PHYSIKALISCHE ZEITSCHRIFT ;

T. VII ; 1906.

Ë. LÉCHER. - Ueber den Wendepunkt des Peltiereffektes bei Eisen Kupfeil (Sur le point d’inversion de l’effet Peltier au contact fer-cuivre).

-

P. 34-35.

A l’aide des diagrammes représentant la force thermoélectro-

motrice, on voit qu’on est conduit à des conséquences contradictoires,

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