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HAL Id: jpa-00242101

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Submitted on 1 Jan 1904

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Les Rayons N

Marcel Moulin

To cite this version:

Marcel Moulin. Les Rayons N. Radium (Paris), 1904, 1 (10), pp.103-105. �10.1051/ra-

dium:01904001010010300�. �jpa-00242101�

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Les Rayons N

II. 2013 Sources de rayons N.

ë 1. - SOURCES INORGANISEES

Dans un précédent article1 nous avons vit comment les rayons N, découverts dans 1(’ rayonnement d’un tube forus ont été retrouvés par M. Blondiot dans celui du bée Auer et d’autres sources.

Tlans tout cet examen nous avons eu pour principal objectif d’exposer d’une façon impartialc les différents travaux exécutés pour l’étude des rayons N. Cependant

nous nous réservions de tirer de l’ensemble de ces

expériences des conclusions personnelles. Beaucoup

d’observateurs ont en effet tenté de déceler les rayons N, peu en ont vu les manifestations. Le phéno-

mène se présente donc à l’heure actuelle comme un

fait encore douteux et dont l’existence n’est nullement dlmontrée.

Ceci posé, continuons notre examen.

Parlni les sources d’émission de rayons N, la plus importante est de beaucoup le soleil. On peut obser-

ver les rayons N du soleil à travers une pièce de

chêne de 13 centimètres d’épaisseur2. C’est dire qu’ils passeront facilement à travers les volets du labora- toire. La lampe Ncrnst est également une source in- tense de ces rayons et c’est aussi la plus pratique.

Enfermée dans une lanterne en tôle munie d’une fenêtre d’aluminium, elle a servi u M. Blondlot pour

un grand nombre de ses recherches. Les rayons N se

retrouvent également dans le rayonnement de certains In6taux chauffés ou simplement d’un bec de gaz. Les rayons émis par une lame d’argent polie et inclinée

sont polarisés comme la lumière qu’elle émet en même temps 5.

Corps déformés ou à l’état contraint.

-

A la suite des premières recherches de M. Charpentier que nous retrouverions plus loin, M. Blondlot remarqua que certains corps comprimés- sont capables d’agir sur les

écrans ou sulfure (par exemple du bois serré dans

une presse ou fléchi). Il pensa alors aux corps com-

primés d’une façon constante, c’est-à-dire en état mo-

léculaire contraint et trouv a qu’ils émettaient aussi des radiations du même genre. Par exempe t’aeier trempé (limes, billes de roulement, burins, couteaux. etc.), les larmes hataiiqiies, etc., constituent d’excellentes

sources: bien (me moins intenses que la lampe Nernst,

1. loir le Radium, 15 septembre 190i.

2. R. BLOXDLOT. CB. t. CXXXVI. juin 1903, p. 1421. Pour ob- les rayons M du soleil, il faut un ciel til solument pur.

Les moindres nuages les arrètent.

n. R. BIONDIOT. CR. 1. CXXXVI, mai 1903, p. 1227.

4. R. BIONDIOT. Lit. i. CXXXVII, décembre 1903. p. 962.

elles permettent de voir les effets avec 11n appareil- lage aussi simple que possible: une lime et nu ecran.

Le fer et l’aluminium pliés émettent llt’s rayons N pendant un certain temps: rétat contraint n’est tpH’

passager.

M. -)lacé de Lépinay1 a trouvé que l’air en vibra- ticlll émet des rayons N. (cependant M. Le Roux2

pense, peut-être avec raison, qu’ils y a lal nll effet

psychique. En tout cas, en sifflant on en parlant même

doucement devant un écran,on voit une augmentation

d’éclat qui peut être utile aux débutants.

Les fils de platinée de cuivre, d’argent étiras,

émettent an contraire des rayons .B l’ M. Julien Meyer4 a trouvé des sources puissantes de ces rayons N1, dans

les ampoules u Bide (lampes d incandescence, tubes de Geissler ou de Crookes non en fonctionnement).

M. Jean Becquerel5 a remarque que certains (orps sont capalllcs d’émettre, quand on les comprime, a la

fois des rayons Ni et des rayons N, suivant la direction dans latpielle on les regarde. Cela tiendrait al ce que,

lorsqu’on coulpriule un corps, il subit un étirement transversal. Les larn1es lotaviklucs par exempte

émettent des rayons N1, par la pointe. Il indique rga-

lement que les corps chauffés modérément (Bers 90 à 100°) émettent des rayons N1, par suite de leur dila- tation. Ses expériences ont porté sur le cuivre. Remar- quons cependant que réchauffement de l’eau produit

des rayons N1 CM. Blondlot) et son refroidissement des rayons N1. (M. Colson)7.

M. Bicliat a remarqué également que les cristaux8,

(lui se comportent dans bien des cas de la même façon que les corps comprimés émettent aussi des radiations de nature différente suivant la direction dans laquelle

ils sont observés (direction de l’axe on direction perpendiculaire).

Autres cas d’émission. D’autres cas d’émission ont été constatée également par M. Bichat9: les gaz

liquéfiés (tubes de Natterer) émettent des rayons N.

Des tubes à gaz, un grand nombre de corps, sauf

l’amiante, la potasse et la baryle sèches placés sur un

support isolant (support en bois sec manifestent leur

présence à distance par des changements d’éclat périodiques de l’écran, provoqués par des radiations

1. MACH DE LEPINAY. CR. t. CXXXVIII, janvier 1904. p. 77.

2. I.-P. LA ROUX. CR. t. CXXXVIII, juin, p. 1413.

3. R. BIONDIOT. CR. t. CXXXVIII, fevrier 1904. p. 343.

4. J. MEYER. CR. t. CXXXVIII, avril 1904. p. 896.

5. J. BECQUERET. CR. t. CXXXVIII, mai 1904 p. 1332.

6. J. BECQUERET. CR. t. CXXXVIII, juin 1904. p. 1486.

7. A. COISON. CR. t. CXXXVIII, mai 1904. p. 1486.

8. BICHAT. cn, t. CXXXVIII, juin 1904, p. 1396.

9. BUCHAT. CR. t. CXXXVIII, fév. 1904. p. 330; mai p. 1234;

juin. p. 1393.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/radium:01904001010010300

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genre Ni. Ces oscillations s’arrêtent si on relie ce corps

au sol ou au pôle d’une pile dont l’autre pôle est au

sol. Dans le premier cas, on a des rayons N qui paraissent venir du sol, par suite du phénomène de

transmission que nous verrons plus loin. Dans

le deuxième cas, au contraire, le corps émet des ray ons N1.

Nous touchons là a Hile sorte de radioacliBité de la matière, mais qui paraitrait différente de la radioacti- vité proprement dite; elle semble intéresser non pas

l’atome, mais la molécule ou mieux l’arrangement

moléculaire des corps. Par exemple, un burin est le siège d’une émission de rayons N : détrempons-le, il

n’influence aucunement les écrans. I,a trempe lui communique de nom eau cette propriété. M. Blondlot

attribue cette émission 1 (pollr les corps il l’état con-

traint) à un retour très lent vers l’équilibre; mais l’énergie mise en jeu parait extrêmement faible, car

des couteaux datant du l’époque gallo-romaine 61uet-

tent autant de rayons N, que de l’acier réce1ment

trempé.

Réactions chiiîtiqiies.

-

Citons encore les réactions

chin1i(!ues qui, dans certains cas, peuvent provoquer

une émission de rayons N ou N1. Il. Colson2, qui a

étudié ces phénomènes, a montré que l’émission n’a

aucun rapport avec l’intensité de la réaction, mais

dépend plutùt de la nature, des précipités forlllés.

M. Lambert3 explique par des phénomènes chimiques

l’activité des piles Leclanché constatée par M. Jégou 4.

Fig. 15.

-

Dispositif de )1. Bichat pour l’observation des fluctuations.

Si le tube o essais T, on laisse tomber une parcelle de sel, l’écran

E subit des variations d’éclats périodiques. Ces oscillations cessent si

on relie le tube à la terre ou au pôle l’lie.

P. planche peinte à la ceruse (opaque aux rayons N), f, lame de plomb

dans laquelle est pratiquée une fente de ;2 millimètres de large et

2 centimetres de hauteur.

La combinaison des vapeurs d’acide chlorhydrique

et d’ammoniaque donne lieu il des fluctuations rapides

de l’écran. Il en est de même de la dissolution d’une

parcelle de sel lllarin dans l’eau 5 (fig. 15).

1. R. i - CR, 1. CXXXVII. uçc. 1903, p. 962.

2. COLSON. CR. t. CXXXVIII, avril 1904. p. 902; mai.

p. 1098; juin, p. 1423 et t. jiiillet 1904. p. 199.

3. LAMBERT. CR. t. CXXXVIII, mars 1904. p. 626.

4. P. JÉGOU. cn. t. CXXXVIII, février 1904. p. 491.

5. BICHAT. CIL t. CXXXVIII, mai 1904. p. 12J4.

§ 2.

-

RADIATIONS PHYSIOLOGIQUES.

En étudiant les phénomènes découverts par M. Blondlot, )1. Charpentier 1 s’aperçut qu’en appro- chant du corps un écran phosphorescent, il devient plus brillait. Cette augmentation d’éclat est d ailleurs plus importante au voisinage des muscles et surtout des centres nerveux et l’intensité de la radiation qui agit sur le sulfure croit a B cc lc degré de ira, ail de ces

organes.

A l’aide d’un écran phosphorescent, M. Charpentier

a pu suivre les nerfs au voisinage de la peau, déter- nlincr l’aire du c0153ur, etc. Il retrouve lc’ centre de Broca quand le sujet parle al, hautc voix et seul le

centre gauche est actif. Un écran placé sur le front du

sujet augmente d’éclat quand ce sujet pense ou fait par exemple un calcul mental et il brille d’autant plus

que l’effort intellectuel est plus grande C’est un phé-

nomène qui se voit en général très bien.

1VI. Rroca de son côte a pu retromer les scissures

cérébrales, devant lesquelles l’écran s’assombrit, les

centres actifs étant, à cet endroit, plus éloignés de la

boite crânienne. En collaboration avec M. Zimmern4, il

a pu localiser divers centres de la mocllc épinière sur

la position desquels on était encorc mal fixé.

Les tendons comprimés n’ont aucune influence sur l’écran 5; seules les extrémités sont actives, ce qui peut être aux terminaisons nerveuses qui s’y

trouvent. On peut alors se demander si l’émission musculaire n’est pas duc, elle aussi, aux terminaisons nerveuses ; mais M. Charpentier a trouvé entre les

radiations musculaire et nerveuse des différences assez

grandes au point de vue de la pénétration6, diffé-

rences que nous étudierons plus loin. De plus, il a

constaté que l’énlission musculaire d’un animal curarisé ne diminue pas et n’est pas influencée par une excitation artificielle des nerfs (électrique ou méca- nique), alors que, pour un nerf sain, cette excitation provoque une émission de rayons N par le niuscle.

Cette dernière expérience amena 1VIM. Charpentier

et Ed. Meyer à faire des recherches sur les phéno-

mènes d’inhibitioni. Ils ont trouvé dans ce cas une

émission de rayons Ni. Si, par exemple, on excite le pneumogastrique, inhibiteur pour le c0153ur, cet organe émet des rayons Ni; si le coeur n’est pas arrêté, ces

rayons N1, se superposent aux rayons N provenant de

son fonctionnel11ent. Le nerf est cependant le siège

d’une émission plus grande de rayons N, et l’émission

de l’esto1ac, pour lequel ce nerf est moteur, aug- 1. A. CHARPENTIER. CR. t. CXXXYII, décembre 1905. p. 1049 et 1277.

2. A. CHARPENTIER. Arch. d’Electr. médicale, 25 janvier 1904.

5. A. BROCA. CR. t. CXXXYIL mai 1904, p. 1161.

4. A. BROCA et ZIMMERN. CR, t. CXXXVIII, mai 1904. p. 1239.

5. A. CHARPENTIER. CR, t. CXXXVII, décembre 1903, p. 1277.

6..i CHARPENTIER. CII, t. CXXXVIIL jamier 190!. p. fij.

7. A. CHARPENTIER et En. MEYIR. CIL t. CXXXVIII, fé-

varier 1904, p. 520 et mars. p. 852.

(4)

105

mente. Si par l’atropine on paralyse l’action du

pneumogastrique, l’émission cardiaque augmente.

Ils ont égalcl11ent pu observer une émissiun plus grande des rayons N par les nerfs glandulaires excités

par Noie réflexe.

Actions électives.

-

Les radiations physiologiques qui. au point due vue de la péllétration paraissent plus complexes que les radiations Blondlot proprement dite, paraissent également utrc différentes suivant

l’organe qui les élet. Ql. Charpentier a pu mettre ce fait en évidence par l’emploi d’écrans spéciaux i.

Il avait remarqué que le camphre et certains alcaloïdes émettcnt des rayons N et que si l’on fait agir simul-

tanément sur un écran ceS corps est une source de rayons N, l’augmentation d’éclat est plus grande quand ce corps est la source sont rapprochés que

lorsqu’ils sont éloignés, tout en restant à la même

distance de l’ écran2. Il avait alors établi des écrans a base de ces différents corps en étendant d’abord

une couche d’un alcaloïde délayé dans du collodion, puis une couche de sulfure, ou encore, en faisant par le procédé ordinaire une tache de sulfure sur le couvercle d’une petite boite ou le bouchon d’un flacon très plat renfermant l’alcaloïde.

Il constata alors que ces écrans brillent plus que partout ailleurs, devant l’organe qui présente la plus grande affinité pour l’alcaloïde employé. Cet alcaloïde

est en général toxique pour cet organe. Ainsi, le cour agit d’une façon élective sur des écrans à la digita-

line ou a l’atropine, la nl0elle sur un écran à la strychnine, les centres visuels sur un écran à base de

santonine, etc. Il en est de même pour certains extraits

d’organes 5. Récemment4, il remarqua que les centres visuels agissent sur du sulfure déposé sur du papier

noir enveloppant une petite lampe a incandescence sous-voltée ; les centres olfactifs sur un écran fait sur tablette de calnphrc, les centres auditifs 5 sur un

écran disposé près d’un diapason ou d’un tuyau

sonore.

Émission pal’ les végétaux. - A la suite des pre- micrs travaux de M. Charpentier, M. Ed. MoNer fit

1. A. CHARPENTIER. CR, t. CXXXMH, mars 1904. p. 772.

2. Le même renforcement se produit d’uillcurs si on approche

nn 1uhp contenant du sulfure de calcium d’une source de

rayons N linw, hillc de roulement). Il est au rayonnement secondaire du sulfure qui a emmagasine les rayons N provenant

de cette source.

u. A. CHARPENTIER. CR, t. CXXXSIlI, avril 1904. p. 919.

L CH. 1. CXXVVIII, mai 1904, p. 1282.

J. CH. t. CXXXYIII, juin 1904. p. io40.

des recherches 1 sur les végetaux. Il remarqua que

les parties latine t’t les racines sont le siège

d’une émission d(1 rayons N. Cette émission a lieu en

dehors de toute action chlorophyllienne, car elle se

retrouve même après séjour de la plante a l’obscurité.

Les flclu’s ne produisent aucune action sur les écrans.

Il se produit également des rayons N au cours de

1 action des ferments solubles2 (digestion de fibrine

par du suc gastrique). JI. Lambert, qui a signalé ce

fait indique aussi que les phénomènes osmotiques sont capables d’influencer les écrans3.

Nous voici donc t’ll présence de nombreuses sources ou plutôt, de nombreux cas d’émission de radiations

qui agissent sur le sulfure de calcium. Certaines

causes peuvent influencer cette émission t’t en pari i-

culier les anesthésiques. C’est M. Ed. lltv ur qui, le premier, a remarqué que le chloroforme diminue l’émission des végétaux. PIns tard, M. Becquerel4

retrouva ce fait pour des sources inorganisées (acier trempe, sable insolo), puis en collaboration avec

M. Brocaü, il vit l’é1ission des centres nerveux

s’annuler sous l’action des anesthésiques ct même

faire place al des rayons N1, pour 1(’ cerveau, )1 . Julien

Meyer6 conclut de même pour les sources de rayons N1,

ainsi que M. Bichat pour ses sources (( périodiques )).

Après les premiers travaux de M. Charpentier, on

avait cru que l’émission des rayons N par les animaux

était liée â l’activité vitale, lllals il a constaté que des

grenouilles mortes à la suite d’intoxication par le

curare et desséchées pour éviter la putréfaction, en

émettaient encore au bout de 6 mois7. De leur côté,

MM. Becquerel et Broca ont trouvé encore des

rayons N une demi-heure après la mort d’animaux

tués par le chloroforme an cours de leurs recherches

sur les anesthésiques.

Mais ce sont là deux cas bien particulicrs.

Voici rapidement résumés les principales sources

de rayons N et les principaux moyens pour déceler ces radiations spéciales. Dans un dernier article nous verrons ce que paraissent être ces rayons et quelles

en sont les propriétés.

(A suivre.) Marcel MOULIN.

1. ED.MEYER. CR, t. CXXXVIII. janvier 1904, p. 101 et

février. p. 272.

2. LAMBERT, CR, t. CXXXVIII. janvier 1904, p. 196.

3. CR, t. CXXXVIII. mars 1904. p. 626.

4. J. BECQUEREL. CR, t. CXXXVIII. mai 1904. p. 1139.

5. J. BECQUERET et A. BROCA. CR. t. CXXXVIII, mai 1904. p. 1280.

6. J. MEYER. CR, t. CXXXVIII. mai 1904. p. 1333. Voir Radium, n° 1, p. 22.

7. A. CHARPENTIER. CR, t. CXXXVIII. mai 1904, p. 1331.

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