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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Les boutiques de science : une démarche de co-construction des savoirs ouverte à la société civile

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Academic year: 2021

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LES BOUTIQUES DE SCIENCES : UNE DÉMARCHE DE

CO-CONSTRUCTION DES SAVOIRS OUVERTE

À LA SOCIÉTÉ CIVILE

Isabelle MAUGIS

Association ADReCA1, Grenoble

MOTS CLÉS : BOUTIQUE DE SCIENCES – SCIENCE SHOP – RECHERCHE CITOYENNE – DEMANDE SOCIALE EN RECHERCHE

RÉSUMÉ : Les rapports qu’entretient le monde scientifique avec la société civile sont encore trop limités à un type de relation héritée des décennies passées et reposant sur l’unique paradigme du « mieux informer » ou du « faire comprendre ». Pourtant les pays d’Europe du nord ont su développer d’autres formes d’interaction avec le citoyen basées sur un concept de co-construction des savoirs. Les Boutiques de sciences constituent des interfaces entre des groupes de citoyens (des associations, des collectivités, des syndicats…) et des institutions scientifiques (universités, instituts de recherches) dont la fonction est de fournir un support de recherche indépendant et participatif répondant aux préoccupations de la société civile.

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1. MUTATIONS DE LA DEMANDE SOCIALE

La place que la science occupe dans notre société n’est pas la même que lors des siècles passés. Et pourtant, le rapport qu’entretiennent aujourd’hui les scientifiques avec la société est encore celui hérité du 19e siècle : une supériorité du savoir scientifique et un mythe de l’autorité scientifique reposant sur une quête de la vérité et du progrès. Les scientifiques étant encore vus comme les détenteurs de la clef de la domination de l’homme sur la nature, synonyme de progrès.

Face à la montée du scepticisme du public envers la science, né et entretenu par les évènements survenus depuis presque deux siècles (Hiroshima, Bophal, Tchernobyl, DDT, ESB), les décideurs français ont déployé une politique, parfois acharnée et coûteuse, visant à expliquer la science au public, attribuant la distanciation par rapport au « progrès » à un déficit de connaissance scientifique plutôt qu’à un manque de désir de participation. Depuis 30 ans, ce scepticisme envers la science et la technologie ne repose que sur l’unique paradigme d’un manque d’information : un public bien informé accepterait mieux le « progrès » et les nouvelles technologies.

Alors que depuis les années quatre-vingt, l’Europe du Nord et l’Amérique du nord inventent certains outils de mise en débat et de coproduction de la recherche (boutiques des sciences, conférences de citoyens), la France s’en tient à un cadrage pédagogique de la relation science et société (création de la Cité des sciences et des CCSTI2, Fête de la science) abandonnant le sens « société recherche » au profit du sens « recherche société ».

Cette vision est, depuis les années quatre-vingt-dix, invalidée par bien des travaux de sciences sociales portant sur les perceptions publiques de la science ou sur les luttes contre l’anti-science, et montrant notamment que les réticences à certaines technologies sont souvent plus fréquentes dans les couches sociologiques les plus éduquées.

Plus encore, cette vision disqualifie par là même les pratiques d’acteurs de la société civile de mieux en mieux organisés et informés, tels que par exemple les paysans, les malades, les consommateurs et l’opinion publique en général. Or, il existe dans la société civile de plus en plus de groupes sociaux capables de s’exprimer, de manière précise et crédible sur des questions de recherche, de technologie et d’innovation, voire même capables d’exprimer aussi une offre de connaissances ou de conseils encore peu reconnue par les institutions scientifiques.

• il existe une demande sociale latente vis-à-vis de la science et de la technologie qui ne demande qu’à s’exprimer si elle trouve des lieux adéquats.

• Il existe une capacité de recherche thématique susceptible d’être mise au service de groupes sociaux

2 CCSTI : Centres de culture scientifique et technique ; structures associatives réparties sur le territoire national

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• Il existe des scientifiques et jeunes chercheurs qui sont prêts à sortir de leur tour d’ivoire pour y répondre, pour peu qu’on leur offre des modalités simplifiées pour le faire.

2. PROBLÉMATIQUES DE RECHERCHE QUI INTÉRESSENT CERTAINS GROUPES SOCIAUX

L’implication des utilisateurs dans le processus de recherche et d’innovation est une préoccupation déjà bien reconnue dans les sciences humaines où le concept de recherche-action est déjà ancien. Il le devient également de plus en plus pour les recherches à visée technologique notamment à travers les études concernant les usages. Il est vrai que la complexité et l’incertitude (perçue parfois comme un risque) liées aux changements scientifiques et techniques entraînent un besoin croissant d’étudier l’acceptabilité sociale de ces changements. Ces études sont utiles mais ne doivent pas masquer la demande sociale et les attentes de la société vis-à-vis de la science (usages des connaissances, orientations de recherche, destination des avancées) qu’il y a derrière et qui peuvent aussi devenir des moteurs de recherche et d’innovation.

Les groupes sociaux (associations, ONG, groupes de citoyens, collectivités) expriment des demandes aux scientifiques sous forme d’« expertises ». Ces demandes ne concernent non pas la diffusion de connaissances (vulgarisation) mais l’application d’un savoir et d’une compétence à une situation particulière, quel que soit le domaine.

Un autre type de communication, d’autres espaces de dialogue et d’autres outils techniques sont alors requis pour analyser un problème concret, formuler des diagnostics ou des conseils.

Le tableau 1 page suivante montre quelques exemples de demandes exprimées par des groupes sociaux dans plusieurs pays européens [INTERACT]3.

L’identification de ces thématiques de recherche doit cependant répondre à plusieurs critères qui déterminent si elles peuvent faire l’objet ou non de bons projets de recherche interdisciplinaires ou de recherches action :

• le caractère pointu du problème : question bien ciblée sur le plan scientifique, ancré dans une situation sociale sensible (ex. : troubles liés à l’environnement d’un site polluant).

• le caractère original du problème : la demande sera formulée dans des termes forcement différents de ceux des scientifiques (ex. : utilisation rationnelle de l’énergie).

3 [INTERACT] Étude du Consortium INTERACTS-Improving interaction between NGO’s, universities ans

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• Le caractère récurrent du problème : mise en évidence de lacunes ou défauts de recherche existante, zones d’ombre dans l’état des connaissances (ex. : impact médical de nouveaux produits, potentiel d’utilisation de l’énergie solaire).

En même temps, chaque problème identifié doit pouvoir être abordé et analysé dans le cadre de processus précis et adapté à son niveau de complexité (simple, complexe, incertain, ambigu) et à son niveau d’impact (de consensuel à conflictuel) (Schéma 1).

Types de demandes exprimées par des groupes

sociaux

Titre et domaine des cas étudiés (dans les pays participants au programme)

Analyse scientifique d’un problème concernant le besoin d’établir un dialogue entre autorités locales et entreprises

- “Biomanipulation in shallow eutrohic lakes. A Study of food web interactions and lake equilibria” – Problème environnemental - Danemark

- “Evaluation of the quality of driking water supplied in the city of Iasi” ; “The impact of wasterwaters resulted from the industrial production of yeast on the river of Siret” – Problème environnemental – Roumanie Développement de

connaissances concernant un domaine d’activité d’une ONG

“What is bicycle ? A social constructivist analysis of the possibilities of promoting the use of bicycles” - Modes de transport doux – Danemark Recherche d’impacts de projets

gouvernementaux

“Tiergarten – Tunnel” - Impact de projets d’infrastructure – Allemagne Accès aux connaissances pour

des organisations ou institutions

“Evaluation of a series of lectures on precaution against heart disease for Turkish migrant women in Tirol” - Services sociaux – Autriche

Développement de solutions à un problème

- « Organic food in the day care centre Vognporten, with special focus on storage and local supply of fruits and vegetables” - Danemark

- “Urban Ecology Strategy Design, Seville” – Plan vert d’une ville – Espagne

- Architectural Study for Romany Community” – Logement de minorités – Espagne

Evaluation de projets et services d’ONG/associations,

collectivités

“Volunteers as Buddies for mentally Disordered Persons » ; « Children Poverty in Austria” - Services sociaux

ONG voulant développer leurs propres services

“Children and young people in the Lungau : between participation and apathy » - Conditions sociales des jeunes – Royaume Uni

Tableau 1 : Quelques exemples de demandes exprimées par des groupes sociaux dans plusieurs pays européens [INTERACT].

3. DEVELOPPER DES INTERFACES D’INTERACTION BILATERALE

- Comment faire communiquer les institutions de recherche et les groupes de la société ? - Comment faire en sorte que cette communication ne soit pas à sens unique ?

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Notre projet nécessite d’étudier les meilleurs outils techniques favorisant la participation du citoyen L’appropriation, la co-construction des savoirs scientifiques et technologiques qui conditionnent son avenir et d’impulser de nouveaux rapports entre Science et Société.

Il repose sur l’observation et l’analyse des outils ou pratiques existants dans d’autres pays européens (Belgique, Danemark, Hollande, Espagne, Autriche, Allemagne, Roumanie) et se construit sur l’existence et le fonctionnement des Boutiques de sciences (Science Shop) dans ces mêmes pays.

Ce type d’interface Science/Société, qui fournit un support de recherche indépendant et participatif répondant aux préoccupations de la société civile, fonctionne effectivement couramment dans ces autres pays européens et possède son propre réseau à l’échelle européenne soutenu par la Commission Européenne [LK]4.

Schéma 1 : The Science Communication Escalator, d’après Ann

Van der Auweraert, University of Antwerp, Belgium. in Living Knowledge, International Journal of Community Based Research, n° 6, july 2005]

3.1 Le concept des Boutiques de sciences

Une boutique de sciences fournit un support de recherche indépendant et participatif qui répond aux préoccupations de la société civile. Les Boutiques sont un outil démocratique de production des connaissances scientifiques à partir des demandes sociétales. Les Boutiques de sciences sont des

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interfaces entre des groupes de citoyens (des associations, des collectifs, des syndicats…) et des institutions scientifiques (universités, instituts de recherches).

Les universités passent habituellement des contrats de recherche avec des firmes privées et disposent de bureaux de valorisation. À l’opposé, les Boutiques sont là pour offrir l'accès à la recherche à des groupes moins puissants.

Dans la pratique, une organisation ou un groupe de citoyens s'adresse à la boutique avec un certain problème pour lequel il sent la nécessité d'avoir un soutien scientifique pour le résoudre. Les coordinateurs de Boutiques cherchent des scientifiques et/ou des étudiants pour répondre à la question. Cette activité s'inscrit naturellement dans la fonction de recherche et de formation par la recherche des universités. C'est pour cela qu'il est possible d'offrir le service des Boutiques sans barrière financière. Les étudiants qui mènent leur recherche dans ce cadre valident des Unités de valeur et acquièrent une expérience unique et pratique.

D'une façon générale, les boutiques ont en gros trois critères pour accepter des clients/demandeurs : 1. Les clients/demandeurs ne doivent pas avoir des objectifs commerciaux et les résultats de la

recherche doivent être publiés (pour le bien commun) ;

2. Les clients/demandeurs doivent être capables d'utiliser les résultats pour accomplir leur mission ;

3. Les clients/demandeurs ne doivent pas posséder les moyens financiers qui leur permettraient d'acquérir la recherche par des partenaires classiques.

Le mot « client » doit être compris en terme de « demandeur », car le savoir et les idées de ce demandeur sont utilisés pour enrichir les projets de recherche aussi (c'est un dialogue dans les deux sens).

Les types de demandes exprimées par les clients/demandeurs peuvent être de trois types :

1. Étude documentaire pour appuyer un plaidoyer, éventuellement assortie d'un travail de (contre) expertise.

2. Étude prospective pour pouvoir activement participer à des débats ou prises de décisions scientifiques et technologiques.

3. Projet de recherche pour trouver des solutions à leur(s) problème(s) 3.2 Les boutiques de sciences/Science Shops aujourd’hui

En France, dans les années quatre-vingt, 16 boutiques de sciences ont été créées, organisées dans la Fédération Nationale des Boutiques de Sciences et Assimilés (FNBSA). Aucune n'a survécu aux problèmes financiers, à la faible implication de la société civile organisée ou des scientifiques, à la quasi absence des étudiants pour répondre aux demandes et à l'hostilité des universités françaises. Depuis cette aventure peu glorieuse, la situation a très nettement changé. Les questions des rapports

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Science et Société sont venues sur le devant de la scène (accidents industriels, méfiances, craintes) provoquant une montée des aspirations citoyennes à intervenir dans le champ fermé de la recherche. Par ailleurs les boutiques étrangères se sont développées (tableau 2) : environ 70 Science Shops sont actuellement en activités dans 24 pays (dont 17 pays européens). La Boutique de sciences de Cachan (créée en 2004) est le représentant français de ce réseau. Toutes n’ont pas la même organisation (adossées à une université, associations, centres de recherche…) et la plupart sont spécialisées dans un domaine scientifique particulier (biologie, environnement, chimie, etc.).

Depuis 2000 la commission européenne soutien les boutiques de sciences et aide à leur développement à travers plusieurs programmes dont le dernier en date, TRAMS (Training and mentoring of Science Shops), à pour objectif de construire l’analyse et les méthodologies destinées à impulser la création de nouvelles Boutiques en Europe.

PAYS Nombre de boutiques PAYS Nombre de boutiques Afrique du Sud Allemagne Australie Autriche Belgique Canada Corée du Sud Danemark Espagne Estonie États-Unis France 1 1 1 4 5 (réseau national) 1 1 9 1 1 1 1 (ENSCachan) Grèce Hongrie Islande Italie Lettonie Norvège Pays-Bas Suède Turquie Roumanie Royaume Uni Chine 1 1 1 1 1 1 28 (réseau national) 1 1 8 (réseau national) 1 1 (création fin 2006) Tableau 2 : Développement des boutiques de sciences dans le monde

3.3 Qu’en est-il en France ?

Nous savons que des besoins de ce type, répondant à une demande sociale de plus en plus forte, existent en France mais également sur le terrain local rhônalpin ; il nous paraît opportun de valider au préalable l’adéquation d’une réponse de type Boutique de sciences avec le caractère propre de la demande locale afin de ne pas transposer des outils sous le seul prétexte qu’ils fonctionnent bien ailleurs.

Plusieurs critères sont déterminants dans la décision de création de ce type d’interface :  la demande sociale : quantité et qualité

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 la capacité de réponse du monde scientifique : volonté, possibilité

 la reconnaissance institutionnelle de cette démarche : soutiens (y compris financiers)  la capacité matérielle à la faire fonctionner

Le groupe d’acteurs qui s’est créé à Grenoble autour de ce projet s’est constitué en association loi 1901 [ADReCA] et se propose de travailler sur la validation de ces critères. Ce travail repose sur une réflexion avec les acteurs locaux et régionaux (chercheurs, doctorants, étudiants, établissements, associations, syndicats, ONG, collectivités locales et territoriales) mais également avec l’appui d’acteurs nationaux (Fondation Sciences citoyennes5, Boutique de sciences de Cachan6) et internationaux (réseau Living Knowledge).

4. CONCLUSION

Une interface telle qu’une boutique de sciences, constitue en soi un outil de démocratisation des sciences et des connaissances. Parce qu’elle s’adresse aux citoyens et intègre une dimension participative dans le déroulement des projets qu’elle accueille (le demandeur est actif dans la résolution de son problème), cette interface peut être considérée comme un outil de régulation social spontané (non encore inscrit dans un processus législatif formel). Il apparaît alors intéressant de créer et d’entretenir des liens étroits avec des équipes scientifiques (locales, nationales) travaillant et menant des études sur les questions de régulation science/société. La boutique des sciences peut constituer à ce titre un terrain d’analyse intéressant dans ce domaine.

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Références

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