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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Entre sciences et esthétique en contexte muséal, les manières de faire des enfants dans le cadre d'un dispositif de rôle de guide

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Academic year: 2021

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ENTRE SCIENCES ET ESTHÉTIQUE EN CONTEXTE MUSÉAL,

LES MANIÈRES DE FAIRE DES ENFANTS DANS LE CADRE

D’UN DISPOSITIF DE RÔLE DE GUIDE

Thérèse MARTIN

Groupe d’Études et de Recherche Interdisciplinaire en Information et Communication, Université de Lille 3

MOTS CLÉS : EXPÉRIENCE MUSÉALE – EXPOSITION TEMPORAIRE – ENFANTS – ÉMOTION – ESTHÉTIQUE – INTERPRÉTATION – COMMUNICATION – ESPACE PARTAGÉ

RÉSUMÉ : Dans le cadre des expériences muséales d’enfants en situation de visite guidée dans une exposition à caractère scientifique associant la dimension artistique, il est possible de mettre au jour les entrelacements entre cognition, émotion et imagination dans les processus d'interprétation pouvant donner lieu à une articulation. Cela participe à la construction d’une expérience sensible, favorisée par la situation de partage.

ABSTRACT : In the context of experience museum, where children visit exhibition as guide in science museum combined with art, it is possible to see network of interactions between cognition, emotion and imagination in their interpretation’s process, articulation will be possible. So is constructed a sensitive experience, must better when it’s shared.

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1. UNE APPROCHE EXPLORATOIRE, EMPIRIQUE

Si les recherches qui visent à étudier l’expérience muséale des enfants sont encore peu explorées dans une perspective globale de la visite et en tentant d’approcher leur point de vue, nous souhaitons relever ce défi en centrant notre expérimentation sur leurs manières de faire et leur appropriation de cet environnement symbolique. Ceci contribuera à mieux cerner le phénomène de la visite d’exposition de sciences en contexte muséal dans un cadre de loisirs (en famille).

Pour cela nous considérons la visite dans sa totalité (non uniquement axée sur quelques éléments de l’exposition) et l’expérience de visite dans sa globalité, sur l’ensemble des dimensions qui peuvent la traverser.

Si dans un contexte habituel d’expositions de sciences pour lesquelles le guidage à l’interprétation est particulièrement développé, où la médiation est prévue par le dispositif et permet une autonomie du visiteur (cartels, panneaux) qu’en est-il dans le cas des situations de visite dans des expositions qui associent la dimension artistique dans une exposition à caractère scientifique ?

1.1 Cas d’une exposition temporaire associant science et art

Dans cette perspective nous avons retenu comme terrain propice où s’entremêlent arts et sciences l’exposition temporaire « Ombres et Lumières » à la Cité des enfants de la Cité des Sciences et de l’Industrie afin de mettre au jour les manières de faire des enfants dans ce contexte particulier. Le propos de l’exposition porte sur l’ombre. La dimension « scientifique » est mentionnée par l’inscription sur le tableau noir (situé dans la salle « le laboratoire » avec les manipulations) de la « théorie » d’Archibald qui se résume ainsi : « Pour faire apparaître une ombre, il faut : une source de

lumière, un objet dans la lumière, et une surface sur laquelle on peut voir l’ombre ». Les paramètres qui

interviennent dans la fabrication des ombres peuvent être expérimentés par les manipulations sur table, en particulier la distance entre la source de lumière et l’objet, la position de la lumière par rapport à l’objet.

Une salle (la serre) est destinée à la partie documentaire du propos. On y explique les phénomènes scientifiques rencontrés dans la nature par une affiche sur le déplacement de l’ombre d’un objet selon la position du soleil au cours de la journée, un film documentaire sur le phénomène de l’éclipse, un praxinoscope montrant les différentes phases de la lune, et un globe terrestre.

Les ombres sont aussi déclinées de manière artistique d’une part par la présentation d’objets disposés dans des vitrines du cabinet de curiosités, d’autre part sous forme expressive avec un système enregistrant l’ombre du corps des enfants sur des écrans dans le grand salon à l’entrée de l’exposition.

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A. Delarge, muséologue, définit l’exposition temporaire telle que « L'interprète (ici concepteur) se place moins dans une démarche de transmission d'informations sur les objets, que dans une démarche de médiation entre des visiteurs et des objets ». Le conservateur renonce à maîtriser les parcours interprétatifs du visiteur en utilisant massivement la scénographie sensible pour compter sur la richesse de chaque expérience individuelle. « Ceci a pour conséquence que les jeux interprétatifs chez le visiteur sont laissés les plus ouverts possibles » (Delarge, 2001, p 66).

L’exposition temporaire retenue crée un espace perceptif dont l'impact attendu est principalement sensible. Les concepteurs de l’exposition « Ombres et lumières » ont choisi des sollicitations auprès des enfants qui privilégient la motricité, la cognition et l’émotion.

1.2 Questionnement

Dans ce contexte d’exposition temporaire, riche en interprétations possibles, où parmi les formes de médiation s’entremêlent les activités ludiques avec les explications sur la thématique scientifique traitée, la réalité (par la présence d’objets) et la fiction (par la reconstitution de la maison d’un personnage imaginaire), nous nous interrogeons sur ce que « fabriquent » et inventent les enfants. Plus précisément, du fait de la spécificité de chaque salle pouvant viser la sensibilité par l’expression du corps (grand salon), l’émerveillement à la vue des objets (cabinet de curiosités), de la créativité artistique (cuisine) ou par les documentaires (la serre) quelle sera la construction de la visite ? Se limitera-t-elle à réaliser un parcours orienté sur la découverte des sciences selon l’approche didactique, à partir du guidage à l’interprétation (les cartels) ou s’ouvrira-t-elle à l’imaginaire, à la symbolique (du fait de la mise en exposition) relevant de l’expérience esthétique ? Est-ce que la dimension sensible interfère dans la sensibilisation aux connaissances « scientifiques », et comment ? Les enfants parviennent-ils à une cohérence d’ensemble ?

1.3 Méthodologie mise en œuvre

La mise au jour des interprétations des enfants lors de leur expérience de visite va contribuer à apporter des éléments de réponse. L’approche choisie est une approche empirique compréhensive, à un niveau « microscopique ». Elle propose aux enfants, en fin de visite en famille, une mise en situation de rôle de guide auprès du chercheur.

S’intéresser à l’expérience de visite sur l’ensemble des dimensions qui peuvent la traverser, nécessite de prendre en considération les manières de faire des enfants lors de la prise en mains de la visite guidée. Il s’agit d’identifier les réactions des enfants en observant leurs déplacements et les gestes effectués, les sens mis en œuvre pour faire le guide. D’autre part nous prenons appui sur les médiations par le récit et via la communication interactionnelle entre les enfants et le chercheur (en

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s’inspirant des travaux de M. Gellereau, 2005 sur l’analyse de la visite guidée). C’est à partir de quelques études de cas que nous envisageons d’illustrer les pistes de réponses.

2. LES MANIERES DE FAIRE DES ENFANTS MISES AU JOUR 2.1 L’approche scientifique dans l’expérience de visite

En général, les enfants prennent bien en mains la visite guidée quand ils ont bénéficié d’un accompagnement pédagogique des parents. Certains d’entre eux n’hésitent pas à « manœuvrer » pour expliquer alors que d’autres apporteront tout le soin nécessaire dans le discours pour permettre la compréhension du visiteur.

Les enfants se sont approprié le propos de l’exposition et le fonctionnement du dispositif de guidage. « Toutes les façons de faire des ombres » dira l’un d’eux ou « un collectionneur d’ombres » concernant le propriétaire de la maison. Si la visite familiale leur a permis de découvrir l’usage des cartels et le type d’informations qu’ils apportent, cela est mémorisé et réinvesti lors de la visite guidée : la consigne est indiquée par les enfants, les effets obtenus sont décrits, montrés et expliqués. Si parmi les plus jeunes, certains sont plus réticents à la lecture des cartels, ils peuvent trouver une tactique pour inviter leur visiteur à lire lui-même le cartel pour trouver la réponse. L’attention portée au fonctionnement du dispositif peut aller plus loin que les simples indications mentionnées, par exemple jusqu’à un repérage sonore d’un cycle de rotation de la courroie entraînée par le volant, dans la manipulation avec l’avion « ombres à relief ».

En montrant certaines expérimentations, les enfants manifestent un étonnement - dans cet univers en noir et blanc - devant les effets produits tout en décrivant l’ombre en couleur, obtenue par les différents éclairages. Cette réaction de surprise suscite une curiosité et des interrogations chez les enfants. Ce qu’on peut considérer comme les prémisses d’une démarche scientifique. Derrière la volonté d’explorer les manipulations se manifeste une quête insatiable de découverte, une envie de comprendre et d’apprendre.

2.2 La prise en compte de la dimension artistique de l’exposition dans l’expérience de visite La première activité évoquée par un des enfants est l’écoute d’un poème portant sur l’amitié qu’il évoque en ces termes : « des nuages, du soleil, un moment il dit "ami" ». Ce qui a touché sa sensibilité au point de l’évoquer à deux reprises. Ayant aperçu la couverture du livre « Princes et princesses », il conduit son visiteur dans le cabinet de curiosités et se laisse captiver à nouveau par ce dessin animé. La visite d’exposition est l’occasion de revivre des émotions ou d’en éprouver de nouvelles et participe ainsi à son expérience.

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Si la mise en scène n'est pas évoquée de manière explicite dans un bon nombre de cas lors du récit de la visite guidée, elle peut l'être lors de la médiation par le dialogue. L'imagination tient là une place importante qui est suscitée par les représentations des enfants sur le personnage Archibald, (propriétaire des lieux selon la métaphore de la maison). Il est qualifié avec un ton humoristique de « fantaisiste » par une enfant apercevant un détail (le journal glissé sous le matelas du lit suspendu) ou d’un « pro » de par les manipulations représentées.

Laisser une trace personnalisée (les ombres du corps du visiteur en mouvement devant le grand écran ou la photographie de l’ombre de son profil) procure du plaisir, des émotions, mettant le corps en jeu. Ces formes expressives du corps contribuent à construire une expérience esthétique qui laissera aux enfants des souvenirs gravés dans la mémoire. Les jeunes guides engagent leur corps, par les gestes notamment, pour ouvrir au dialogue avec leur visiteur. Les récits des enfants et la forme ou le geste qui l’esthétise sont porteurs de médiations (en référence à M. Gellereau, 2001 concernant le récit incarné de la visite guidée).

2.3 Entrelacements : la dimension artistique de l’exposition au service de la compréhension des activités « scientifiques »

Dans la salle plus spécifiquement dédiée aux manipulations scientifiques, l’imagination, l’émotion, et l’affection des enfants peuvent aussi se manifester.

L’imagination intervient pour décrire une manipulation et l’effet produit, « On pourrait croire que l’avion a un petit problème technique ! ». Elle est aussi présente pour mettre en œuvre une démarche pédagogique, en inventant un exemple pour permettre une meilleure compréhension du visiteur par comparaison.

Des enfants adoptent une posture, non pas à la recherche d’une visite authentique (Silverstone, 1998), mais d’une visite exploratoire, en quête de tous les ressorts de ce qui est présenté ou sur quoi agir. Leur envie de sonder toutes les potentialités offertes par l’exposition, autour de ce sujet décliné, conduit à l’étonnement face aux effets produits, à l’enthousiasme pour s’approprier par l’action les manipulations et par la réflexion et la compréhension à partir de l’observation d’objets ou de films documentaires. Cela a pour effet de procurer une satisfaction, du plaisir voire une affection pour l’exposition. Leur discours en effet témoigne de l’adhésion au propos et à sa mise en exposition. « J’aime bien les ombres », « J’aime bien toute l’exposition », « J'aime bien tout faire… j'aime pas laisser quelque chose ». Ainsi cheminer sur ces voies de la compréhension peut contribuer à la construction d’une expérience esthétique (Caune, 2006).

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2.4 Une approche scientifique s’appuyant sur la dimension artistique de l’exposition

Lors de la visite guidée, des enfants ne font pas systématiquement référence aux tableaux accrochés aux murs. Le discours peut rester très descriptif, de manière détaillée et par comparaison, sans laisser transparaître un ressenti, une émotion. Seulement le terme « bizarre » est alors utilisé. Ces photographies sont considérées - au même titre qu’une affiche documentaire - pour illustrer le phénomène de l’ombre. Néanmoins parmi ces œuvres, l’un d’entre eux remarquera l’originalité de l’ombre produite à partir de coton-tiges.

Le sens de l'observation qui relève des compétences d'un petit scientifique permet d'interpréter les caractéristiques de ce personnage Archibald à travers des indices repérés dans la façon d'agencer les objets du cabinet de curiosités (« un fantaisiste ») et par le choix des activités « scientifiques » proposées (« un pro »). La réflexion sur la mise en scène peut être l’objet de la construction d’une cohérence d’ensemble de l’exposition.

Un des jeunes visiteurs ne se contente pas de réaliser le profil de son ombre mais il cherche à comprendre le fonctionnement du dispositif « ombromaton », en élaborant des liens entre les différents éléments qui le composent (bouton de mise en route, consigne indiquée par la voix, fente où se glisse la photo avec le code d’accès sur internet, les écrans sur le mur à côté…).

L’activité artistique ne développe pas seulement le sentiment de plaisir ludique mais peut susciter aussi un plaisir d’ordre cognitif émanant de la volonté de compréhension du fonctionnement d’un mini-système.

2.5 Le partage dans la situation de visite

Lors de la visite guidée, les enfants ont envie de partager ce qu’ils savent faire mais aussi leurs impressions ou les difficultés rencontrées pour réaliser un exercice « il faut se tordre dans tous les sens ». Le partage avec les parents est remémoré : ceux-ci ont apporté leur contribution pour apprendre comment procéder ou comment expliquer le pourquoi des effets obtenus. Selon les cas, des enfants partagent des confidences avec le chercheur, celle de ne pas avoir trop envie de lire les cartels malgré l’insistance du parent accompagnateur.

Dans leurs manières de faire et leurs attentes exprimées on peut percevoir chez certains enfants une aspiration à découvrir, à apprendre et un plaisir à partager.

2.6 La contribution du dispositif méthodologique de la visite guidée

Dans cette situation inhabituelle, les enfants revêtent le rôle de guide selon la représentation qu’ils s’en font et sont amenés à communiquer avec un visiteur inconnu.

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Ce dispositif méthodologique permet de mettre au jour les interprétations des enfants : le chercheur recueille les paroles des enfants en étant auprès d'eux, en l'absence des parents. Cela permet de comprendre ce qui se passe en étant au plus près de l’émergence des processus

Dans cette situation de communication les enfants sont amenés à montrer, à expliquer par un discours compréhensible tout en prenant en compte les réactions de leur visiteur. C’est un espace partagé qui s’élabore, enrichi des moments de plaisir, d’émotion et de confidence.

Le plaisir se manifeste dans la situation même de guide, tant dans leurs manières de raconter que dans leurs manières de communiquer. Cette situation valorisante de guide leur permet de prendre en mains la situation, de faire preuve d’invention pour réinvestir leurs découvertes réalisées lors de la visite en famille ou pour poursuivre l’exploration de l’exposition.

Par l’intermédiaire de leur rôle de guide, les enfants éprouvent un certain ravissement à expliquer à leur visiteur (le chercheur). Tout le soin apporté par ces jeunes médiateurs à exprimer leur compréhension, voire à reformuler et à donner une cohérence quand ils perçoivent quelques traces d’incompréhension chez leur interlocuteur sont des marques de compétences communicationnelles des enfants, contribuant à leur acculturation.

La forme de la visite guidée nous permet de mieux voir le rapport des enfants vis-à-vis des dimensions artistique et scientifique de l’exposition. Elle peut être structurée et s’approcher de celle d’un « conférencier », de celui qui sait vers celui qui découvre. Dans ce cas, l’enfant explique en montrant si nécessaire, mais il s’implique peu avec les gestes. Une distance est en quelque sorte établie avec les objets pris en compte, au point de rester impassible face aux œuvres artistiques plutôt surprenantes. La dimension artistique n’interfère pas dans ce type de visite guidée. Dans d’autres cas, le parcours du jeune guide s’effectue selon les « coups de cœur » se déplaçant selon les souvenirs affectifs de sa première visite, selon l’attrait pour tel objet ou telle activité mais sans accorder d’intérêt à la décoration (tableaux, photographies accrochées sur les murs). La mise en scène (maison) peut être occultée ou apparaître en référence à une pièce identifiable (la cuisine). 2.7 Des entrelacements à l’articulation ?

Les manières de faire de ces enfants n’apparaissent pas comme uniquement centrées sur les activités d’ordre « scientifique » ou d’ordre artistique de l’exposition. Les choix effectués au cours de la visite guidée peuvent tout aussi bien concerner, voire associer, une manipulation se rapportant aux sciences, une forme expressive ou/et un tableau du décor. Certains objets ou activités relevant de la dimension artistique peuvent être sélectionnés selon un coup de cœur pour le plaisir et l’émotion qu’ils génèrent ou bien être observés de manière descriptive, selon une approche cognitive et non émotive.

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L’articulation ne va pas de soi. Si la mise en scène est souvent occultée lors de la visite guidée, il est possible de constater chez les enfants de 7 à 9 ans environ, une articulation à petite échelle, au niveau de petites unités par exemple. Les actes de parole des enfants en s’inscrivant dans l’espace de médiation où interfèrent art et sciences, contribuent à la construction de leur rapport à l’exposition. Par l’intermédiaire de cette situation de communication, se met en œuvre une socialisation de leurs perceptions, de leur ressenti.

BIBLIOGRAPHIE

Delarge, A. (2001). Pratiques interprétatives en muséologie. In "L'interprétation : entre élucidation et création". Études de communication : langages, information, médiations, 24, 57-69, Université Charles de Gaulle Lille 3.

Gellereau, M. (2001). Le récit incarné de la visite guidée. in J. Caune et B. Dufrêne (Dirs.) Médiation du corps. Grenoble : Université P. Mendès France.

Gellereau, M. (2005). Les mises en scène de la visite guidée. Communication et médiation. Paris, L’Harmattan, coll. Communication et Civilisation, 279 p.

Silverstone, R. (1998). Les espaces de la performance : musées, science et rhétorique de l’objet ». La mimésis, 22, 175-188), Hermès.

Caune, J. (2006). Culture et communication : convergences théoriques et lieux de médiation. Grenoble : PUG (2e édition).

Références

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