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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Rencontres entre art et science dans le cadre du loisir

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Academic year: 2021

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RENCONTRES ENTRE ART ET SCIENCE

DANS LE CADRE DU LOISIR

Ludovic CHEVALIER1, Karine GODOT2, Anne GORRY3

(1) Association Les Petits Débrouillards Rhône-Alpes ; (2) Association Sciences et malice, erté Maths à modeler (UJF/CNRS) ; (3) Université de Montréal

MOTS-CLÉS : ANIMATION – CULTURE SCIENTIFIQUE – ART – CRÉATIVITÉ – LOISIR

RÉSUMÉ : Dans le cadre de cet atelier, nous avons présenté différentes rencontres entre art et

sciences organisées sur le temps du loisir, tant françaises que québécoises, notamment celles mettant en avant l’aspect créatif en sciences. Les participants ont ensuite été invités à créer scientifiquement.

ABSTRACT : During this workshop, we have speaken about meetings between art and sciences

that take place on leisure time, in France and in Quebec, in particulary the actions that proposing the creative aspect in sciences. Then, the participants were invited to create scientifically.

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1. INTRODUCTION

De par leurs spécificités, les structures socioculturelles (maisons des jeunes et de la culture, centres communautaires et autres associations) qui interviennent sur le temps du loisir n’hésitent pas à proposer des activités transversales à différentes disciplines. Fortes de leur désir de diffuser des connaissances culturelles auprès de leur public, et en particulier des habitants de zones sensibles, elles voient là l’occasion de décloisonner les approches, d’élargir les points de vue et ainsi d’éveiller l’intérêt du plus grand nombre.

Dans le cadre de cet atelier, nous avons présenté différentes actions françaises et québécoises, à destination des enfants, mises en place sur le temps du loisir autour de la rencontre entre l’art et la science, notamment le projet « Maths à modeler ».

Nous avons également abordé l’aspect formation à travers la présentation, d’une part, d’une situation élaborée par l’association Les petits Débrouillards en vue de former des animateurs à la mise en place d’« animations scientifiques créatives », d’autre part, d’outils d’aide à l’évaluation de telles actions, développés dans le cadre de démarche qualitative de recherche en sciences humaines. Enfin, les participants ont été invités à « créer scientifiquement ».

2- QUELLES RENCONTRES SUR LE TEMPS DU LOISIR ? 2.1 De l’art vers la science

De nombreuses structures d’accueil de loisirs proposent des ateliers de découverte et de pratique autour des arts plastiques, encadrés le plus souvent par un artiste plasticien. Selon les intervenants, les enfants peuvent être sensibilisés à l’histoire de l’art via la présentation d’œuvres d’artistes, la visite de musées… Ils peuvent être laissés libres de créer, ou bien orientés vers l’exploration de différentes techniques, d’une réflexion autour d’un thème… Ainsi l’atelier d’arts plastiques peut-il être mené autour d’une thématique issue de l’actualité scientifique, tel que l’environnement (créations land art), la génétique, l’infini… Des créations peuvent faire suite à la visite d’un musée scientifique ou d’un atelier. Par exemple, dans le cadre du projet « Samedis des sciences et des arts » mis en place à Montréal, au sein d'un projet de recherche dirigé par Jrène Rahm et Fasal Kanouté, les enfants créent à l’aide d’une artiste à partir des découvertes scientifiques qu'ils ont pu faire dans le cadre d'ateliers scientifiques. L'artiste invite les enfants à la création de toiles de manière individuelle et collective. Chaque tableau révèle de manière abstraite et/ou concrète des imaginaires artistiques faisant apparaître les découvertes scientifiques des enfants. Baleines,

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oiseaux et astronautes viennent alors se fondre au travers des différentes techniques présentées par l'artiste.

2.2 Croisement des regards

Par ailleurs, certaines structures invitent à croiser les pratiques du plasticien et du scientifique à travers la mise en place de projets conjoints entre un animateur « arts plastiques » et un animateur « sciences », chacun proposant des séances d’ateliers sur une thématique commune. Un atelier autour de l’œuvre du sculpteur Calder par exemple, peut être proposé en parallèle avec des séances d’ateliers autour de la découverte des notions d’équilibre, de gravité, de force… des ateliers « terre et modelage » en corrélation avec des ateliers autour de la géologie…

2.3 De la science vers l’art

Les rencontres entre art et sciences peuvent aussi avoir lieu dans le cadre de l’atelier « sciences » proprement dit.

Sciences, esthétique et visites d’exposition

Elles peuvent alors se concrétiser par la fabrication d’objets mettant en avant les phénomènes scientifiques étudiés tout en portant attention aux qualités esthétiques de l’objet fini. Un stage sur la lumière peut déboucher sur la réalisation de sténopés, un atelier sur les énergies sur l’invention de chars à voile ou d’autres engins…

« Tablo-machines » réalisés dans le cadre d’un atelier Sciences et malice : mise en application des découvertes autour des engrenages et de la

transmission du mouvement.

Par exemple, dans le cadre de l'atelier « astronomie » mis en place au sein du projet les « Samedis des sciences et des arts », l'intervenant invite les enfants à créer une station lunaire, des vaisseaux

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spatiaux en fouillant dans le bac de recyclage. Par la réalisation plastique des maquettes, les enfants sont alors amenés à poursuivre leur questionnement sur la manière dont il est possible d'évoluer sur la lune, d'accueillir les premiers « immigrants ».

Les sciences et l’art peuvent aussi se rencontrer par le biais de la visite d’une exposition d’art proposant des œuvres amenant à une réflexion sur la science ou utilisant des techniques issues d’applications scientifiques.

Créativité en sciences

Enfin, une autre forme de rencontre cherche avant tout à interroger sur la démarche de recherche, à faire vivre l’aspect créatif des sciences. En effet, l’artiste et le chercheur en sciences mènent une recherche mêlant intellect, instinct, sensibilité et technique, même si leurs objectifs, leurs champs d’observation, leur « boîte à outils » et leurs contraintes extérieures diffèrent.

De façon très schématique, pour le chercheur en sciences et le chercheur en art, nous considérons que tout commence par une phase d’observation, de réflexion, suivie d’une phase d’expérimentation, visant à la création de concepts ou d’objets matériels.

Chercheur Artiste

Formuler une question, suite à une observation par exemple

Regarder, penser, se questionner

Imaginer une hypothèse de recherche Avoir une idée, une envie Inventer un protocole expérimental : déterminer une

procédure, mettre au point des outils, essayer

Expérimenter, manipuler la matière, créer

Élaborer des concepts

Élaborer un objet technique relevant des contraintes.

Créer des concepts Créer une œuvre d’art Mise en parallèle de la démarche de recherche du chercheur en sciences et de celle de l’artiste

La démarche mise en place tant en science qu'en art génère donc intrinsèquement l'activité de création. Cette caractérisation peut être complétée par trois autres paramètres : le hasard, l'ingéniosité du chercheur et de l'artiste ainsi que l'esprit de l'époque (Simonton, 2004).

Ainsi, l’atelier « sciences » peut être l’occasion de faire vivre la science aux enfants, de leur montrer qu’elle est une aventure humaine, ponctuée d'échecs, de hasards, de tâtonnements et de coups de génie, comme le proposent Les Petits Débrouillards et l’association Sciences et malice. Il s’agit avant tout de transmettre une démarche, de montrer en quoi les sciences sont un outil de

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compréhension du monde, de mettre en avant ce qu’elles sont pour le chercheur, comment elles se construisent, et ainsi d’éveiller la curiosité et l’esprit critique.

L’objectif n’est pas l’acquisition de connaissances scientifiques, il s’agit de mettre les enfants dans la peau d’un chercheur, de leur montrer que chercher en sciences est avant tout une activité de création, nécessitant d’avoir recours à l’imagination. L’atelier devient un laboratoire de recherche. Les investigations sont menées suite aux interrogations des enfants, l’animateur n’est là que pour les accompagner dans la découverte. Chaque enfant, par ses idées, ses critiques, ses essais, peut contribuer à ce que la petite communauté scientifique avance dans ses investigations.

Les résultats des recherches peuvent donner lieu à une communication auprès des parents ou d’autres enfants sous la forme d’une exposition, d’un séminaire, de la tenue de stand ou de la rédaction d’un journal comme dans le cadre du programme communautaire « Les Scientifines », à Montréal, qui invite depuis une vingtaine d'années des petites filles à la réalisation d'un journal scientifique. La thématique et le choix des articles se font à partir des questions des enfants. L'équipe de rédaction du journal devient alors une petite communauté scientifique qui crée pour comprendre le monde qui les entoure.

3. INVITATION À CRÉER SCIENTIFIQUEMENT

Au cours de l’atelier, les participants ont été invités à créer scientifiquement à travers trois ateliers différents.

3.1 Maths à modeler ou comment créer en mathématiques

Né de la collaboration entre chercheurs en mathématiques et didacticiens, le projet « Maths à modeler » vise à développer des situations particulières, les situations recherche, amenant les participants à rentrer dans une démarche de recherche en mathématiques (Godot, 2005). La recherche peut avoir lieu dans le cadre scolaire mais aussi sur le temps du loisir, notamment par le biais des actions Maths et malice, menées par l’erté Maths à modeler en partenariat avec l’association Sciences et malice (Godot, 2008). Que ce soit sur le temps de cantine, après l’école ou pendant les vacances, les enfants deviennent des

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apprentis chercheurs en mathématiques, émettent des hypothèses, raisonnent, recherchent des stratégies, des éléments de preuve, fabriquent des objets mathématiques, des jeux… Dans la majorité des cas, la recherche est finalisée par un séminaire au cours duquel les enfants exposent leurs découvertes à d’autres enfants et à des chercheurs en mathématiques.

Les participants des JIES ont été invités à créer en mathématiques à partir de la situation « parcours eulériens » qui a récemment été étudiée dans le cadre d’une thèse (Cartier, 2008) : sur la base d’une configuration donnée, est-il possible de relier tous les points à l’aide d’une ficelle en passant une seule fois sur chaque trait ?

Ils ont tout d’abord fait des essais, remarqué que selon les cas, on y parvient facilement, quel que soit le point de départ, que pour d’autres, il faut déterminer par où commencer, pour d’autres enfin, on a beau essayer, le chemin semble beaucoup plus difficile à trouver. Ils ont échangé sur leurs découvertes, débattu, recherché des critères afin de caractériser les configurations faciles et les difficiles, énoncé des conjectures et cherché à déterminer les conditions nécessaires à l’existence d’un parcours eulérien. Un théorème a été créé : « pour chaque point, il faut pouvoir entrer et sortir donc il faut au moins deux traits ou un nombre de traits pairs. Si un point a un nombre impair de traits et qu’un chemin existe alors il ne peut être que le point de départ ou d’arrivée. »

Au regard des discussions, la recherche d’une telle situation a amené les participants à s’interroger sur leur image des mathématiques, à prendre conscience qu’elles étaient pour eux souvent réduite au calcul, à l’utilisation d’outils et donc bien loin de leur aspect créatif et de l’image que peut en avoir le chercheur en mathématiques.

3.2 Photovoice – Des images en mots.

Ce volet de l’atelier visait à mettre en avant la méthode Photovoice. Cette approche a été utilisée notamment dans le travail avec des groupes minoritaires, des personnes ayant une déficience intellectuelle et des jeunes publics. Cette méthodologie permet de donner la parole et de susciter l'engagement des personnes interrogées à travers la prise de photographie. Chaque participant est muni d'un appareil photographique afin de rendre compte de son environnement. Cet outil de recherche-action a trois principaux objectifs :

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• permettre aux personnes interrogées de prendre conscience et mettre en lumière les forces et les limites de leur communauté ;

• promouvoir le dialogue critique et prendre connaissance des questions importantes à travers des discussions autour de groupe de photographies ;

• atteindre les décideurs.

Les différentes actions présentées dans le cadre du présent atelier s'inscrivent toutes dans le temps du loisir. Ce temps d'apprentissage, naviguant plus dans le domaine du non formel ou de l'informel, n'est pas toujours propice à la mise en place d'entrevues classiques. De plus, les enfants qui participent à ce type d'atelier ne sont pas toujours à l'aise avec le français1 ce qui peut parfois entacher la richesse des informations collectées. Pour recueillir des données concernant le rapport entre les jeunes et les sciences, la méthode Photovoice peut constituer un outil intéressant.

Dans le cadre de cet atelier, il n'était pas possible de permettre aux participants de prendre eux-mêmes des photographies, faute de temps, il leur a donc été proposé de parler des ateliers de loisir scientifique et de leur rapport à la créativité, à travers le choix de photographies. Ces photographies correspondaient aux activités réalisées par les enfants dans le cadre de deux ateliers de sciences proposées dans deux quartiers « défavorisés et pluriethniques » de Montréal, dans le cadre des projets « les Scientifines » et des « Samedis des sciences et des arts ».

À travers le choix des photographies, les participants devaient identifier la créativité développée dans les ateliers mis en place, d’une part, l'apport et les limites de ce type d'atelier dans les apprentissages des enfants et pour la diffusion de la culture scientifique, d’autre part.

Répartis en deux sous-groupes, ils choisissaient individuellement une photographie parmi toutes celles disposées sur la table puis, la présentaient au reste du groupe. Suite à ce temps d'échange en sous-groupes, les participants étaient réunis en grand groupe pour présenter leur discussion.

Chacun a alors présenté le pourquoi de son choix, ce fut l'occasion de reprendre les échanges qui avaient été développés en petit groupe. Le manque de temps et de synthèse a engendré certaines redondances, néanmoins, ce fut l'occasion, à la fin du tour de présentation de

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chacun, d'ouvrir la discussion sur deux points : l'un abordait la méthode que nous venions de vivre et l'autre identifiait l'intérêt et les limites des ateliers scientifiques en temps de loisir.

Par rapport à la méthode Photovoice « vécue », le recueil d'une grande diversité d'informations a été mis en avant. Dans un temps très court, il a été possible de faire émerger différentes préoccupations. Chacun a partagé ces préoccupations au reste du groupe. Le fait de partir des photographies a permis à chacun des participants de s'exprimer sur le sujet. Néanmoins, le fait que celles-ci étaient davantage d'ordre personnel n'a pas suscité un véritable temps d'échange. Il a donc été mention de l'importance de poser des contraintes aux participants pour ne pas tourner en rond dans la discussion.

3.3 Ma chandelle fait grimper l'eau – investigation autour d'une expérience qui prête à controverse

L'expérience très connue consistant à poser une bougie allumée sur un récipient de type assiette, contenant de l'eau, puis à recouvrir la bougie d'un bocal. Cette expérience relativement connue est souvent expliquée de façon incomplète, voire fausse, et se trouve donc propice à des controverses spontanées.

Permettant une expérimentation immédiate, elle est un support intéressant pour des situations de formation d'animateurs scientifiques ou d'enseignants, car elle permet de traiter en un temps raisonnable certaines facettes de la recherche comme la créativité, la nécessité de douter, la remise en question des évidences et de ses sources. Dans le cadre de cet atelier, il a été demandé aux participants d'imaginer pourquoi l'eau monte. Plutôt que de vérifier les hypothèses émises spontanément, nous leur avons proposé dans une seconde phase d'imaginer quels paramètres ils pourraient faire varier afin de faire monter l'eau plus ou moins haut dans le bocal.

Selon les participants, le fait que l’eau monte serait lié :

à un déséquilibre entre la composition de l'air intérieur et à l'extérieur du bocal ;

au fait que le dioxyde de carbone produit par la combustion se dissout mieux dans l'eau que l'oxygène qu'elle a consommée ;

aux écarts de température entre les moments où la bougie est allumée ou non ;

à un déséquilibre entre la pression à l'intérieur du bocal et à l'extérieur du bocal.

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Ils ont donc décidé d’étudier l’influence de la nature du récipient dans lequel l’eau doit monter (capacité à se déformer, conductivité thermique, taille de l’ouverture, volume…), de la chaleur (nombre de bougies, taille, type…) et ont ainsi inventé des protocoles expérimentaux adéquats. L’expérimentation leur a permis de rejeter certaines de leurs hypothèses, comme celle relative à la production de CO2, par exemple en réalisant l’expérience avec de l’huile, de confirmer l’influence

de la température, en augmentant le nombre de bougies ou les remplaçant par un sèche-cheveux, ainsi que celle de la différence de pression, en utilisant une bouteille en plastique trouée notamment.

Cependant, après expérimentation et discussion, aucune conclusion définitive n’a pu être établie. Le fait que le groupe ayant suivi l'activité arrive ou non à des connaissances formalisées est possible, mais secondaire. La structure proposée et la posture adoptée par l’animateur ont permis de responsabiliser les participants quant à leur recherche d'explications, de confrontations d'arguments, de connaissances et d'expériences, de création de protocoles et d'hypothèses. Comme dans tout chercheur en science, ils ont donc été amenés à créer scientifiquement.

4. CONCLUSION

Au sein des structures de loisirs, les rencontres art et sciences peuvent prendre de multiples facettes. Ces approches transdisciplinaires conduisent notamment à porter un regard différent sur la science, en mettant en avant son aspect créatif, très peu présent dans le cadre de l’enseignement et donc méconnu, comme l’ont montré les échanges avec les participants des différents ateliers. Permettant à tout un chacun d’être acteur dans la découverte, d’imaginer, de prendre conscience qu’il peut créer scientifiquement, de telles pratiques invitent le public à comprendre ce que sont les sciences en amenant à les vivre comme un chercheur et contribuent donc à la diffusion de la culture scientifique auprès de tous.

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Références

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