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L06 [V2-VàC] – Variables aléatoires réelles à densité

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(1)

9

Variables aléatoires réelles à densité

6

Leçon

n

o

Niveau Terminale S et BTS

Prérequis probabilités, intégrales, primitives, croissance comparée, équations

différen-tielles, désintégration radioactive

Références [16]

6.1

Introduction

Nous avons vu dans la leçon « Variables aléatoires discrètes » que des variables aléatoires peuvent prendre leur valeur dans un sous-ensemble des nombres entiers. On va essayer de généraliser en élargissant l’ensemble des valeurs de départ d’une variable aléatoire à un intervalle de R.

 Exemple 6.1 On tire au hasard un point a sur le segment [0 , 1] et on note X = a. On a alors

X(Ω) = [0 , 1].

1. Calculer P({X = 0,5}).

2. Calculer la probabilité que X appartienne au segment[0 ,1 2].



6.2

Densité et loi de probabilité

Définition 6.2 — Densité de probabilité. Soit I un intervalle de R. On appelle densité de probabilité

sur I, toute fonction f continue et positive sur I telle que :

Z

If(t) dt = 1.

R 6.3 La notationRIdésigne l’intégrale sur l’intervalle I. 1. Si I = [a , b] alors Z I f(t) dt = Z b a f(t) dt. 2. Si I est non borné d’un coté (par exemple I = [a , +∞[ alors

Z I f(t) dt = lim x→+∞ Z x a f(t) dt. 3. Si I = R alors : Z I f(t) dt = lim x→−∞ Z 0 x f(x) dt + lim x→+∞ Z x 0 f(t) dt.

 Exemple 6.4 Soit f une fonction constante sur l’intervalle [0 , 1]. On cherche la valeur de cette

constante pour que f soit une densité. On note γ cette constante :

Z 1

0 γdt = 1 ⇔ γ = 1.

Plus généralement, si f est une fonction continue sur l’intervalle[a , b], on montre que f(t) = γ = 1

(2)

Définition 6.5 — Loi de probabilité. Soit I un intervalle et f une densité de probabilité sur I. L’appli-cation P qui, à tout sous-intervalle[a , b] de I associe la quantité :

P([a , b]) = Z b

a

f(t) dt

est appelé loi de probabilité sur I. Dv

• Preuve — Justification de la définition6.5. Soit(In)n∈Nune famille de sous-intervalles disjoints de I, alors par linéarité de l’intégrale :

P [ n∈N In ! =X n∈N Z In f(t) dt =X n∈N P(In) et de plus P(I) = 1. R 6.6

1. On a bien0 ≤ P([a , b]) ≤ 1 car [a , b] est inclus dans I. 2. On a :

P({x0}) = Z x0

x0

f(t) dt.

On dit alors que {x0} est un événement « presque-sûrement impossible ».

Exemples 6.7 1. Si f est constante sur[a , b], on dit que P est la loi uniforme.

2. Si f est de la forme f(t) = λe−λtsur R avec λ > 0, on dit que P est la loi exponentielle de paramètre λ. On a tout de même besoin d’une justification. Soit λ >0 un réel. On montre que

f(t) = λe−λtdéfinie sur R est une densité de probabilité sur R+. On calcule : Z x 0 f(t) dt = Z x 0 λe −λtdt = λ " −e−λtλ t #x 0 = 1 − e −λx. Or, on a : lim x→+∞(1 − e −λx) = 1. La limite en+∞ deRx 0 f(t) dt existe bien et on a : Z R+ f(t) dt = 1. 

6.3

Variables aléatoires continues. Loi uniforme, loi exponentielle

Définition 6.8 Soit P une loi de probabilité sur un intervalle I de f. On dit qu’une variable aléatoire

X, à valeurs dans I, suit une loi de probabilité P lorsque pour tout sous-intervalle[a , b] de I, on a : P(a ≤ X ≤ b) =

Z b a

(3)

6.3 Variables aléatoires continues. Loi uniforme, loi exponentielle 11

Exemples 6.9 1. On peut maintenant répondre aux questions de l’exemple introductif. X suit

une loi uniforme sur l’intervalle[0 , 1]. Donc : (a) P(X = 0,5) = Z 0,5 0,5 1 dt = 0. (b) P(X ∈ [0 , 0,5]) = P(0 ≤ X ≤ 0,5) = Z 0,5 0 1 dt = 0,5. Dans le cas général, supposons que X suivent la loi uniforme sur[a , b]. Alors :

P(α ≤ X ≤ β) = Z β α 1 b− adt = β− α b− a.

On note L([a , b]) la longueur de l’intervalle de [a , b]. Si X suit une loi uniforme sur un intervalle I, alors la probabilité d’un sous-intervalle J est donné par la formule :

P(X ∈ J) = L(J) L(I).

2. Si X suit la loi exponentielle de paramètre λ >0, alors

P(0 ≤ X ≤ x) = Z x 0 λe −λtdt = 1 − e−λt et par complémentarité : P(X ≥ x) = 1 − P(0 ≤ X ≤ x) = e−λx.  Définition 6.10 — Fonction de répartition. Soit X une variable aléatoire, à valeurs dans un intervalle

I de la forme[a , b] (ou de la forme [a , +∞[) qui suit une loi de probabilité P. On appelle fonction

de répartition de X, la fonction F définie pour tout réel x de I par :

F(x) = P (X ≤ x). Propriété 6.11 Si F est une fonction de répartition de X alors :

1. F est croissante sur[a , x], 2. F(a) = 0, 3. F(b) = 1 (si I = [a , b]) ou lim x→+∞F(x) = 1 si I = [a , +∞[. 4. P(X > x) = 1 − F(x) 5. P(α < X ≤ β) = F(β) − F(α).

Exemple 6.12 Si X suit la loi exponentielle de paramètre λ, on a :

F(x) = 1 − e−λt.

(4)

6.4

Espérance d’une variable aléatoire continue

Définition 6.13 — Espérance d’une variable aléatoire continue. Soit X une variable aléatoire conti-nue prenant ses valeurs dans un intervalle I. On appelle espérance de X la quantité :

E(X) =Z

I

tf(t) dt

Exemples 6.14 1. Si X suit une loi uniforme sur I = [a , b] alors :

E(X) =Z b a t b− adt = 1 b− a " t2 2 #b a = b+ a2 .

2. Soit X suit une loi exponentielle de paramètre λ >0 sur R+. On calcule l’intégrale suivante :

Z x 0 e −λtdt = λZ x 0 te −λtdt. On pose : u(t) = t et v0(t) = e−λt, ainsi u0(t) = 1 et v(t) = −e−λt λ .

Une intégration par parties donne :

λ Z x 0 te −λtdt =h−te−λtix 0+ Z x 0 e −λtdt = −xe−λx1 λ h e−λtix 0 = − λxe−λx− e−λx+ 1 λ .

Puis, on étudie la limite lorsque x tend vers+∞. On sait que : lim

x→+∞−xe

−λx = 0 grâce à la règle des croissances comparées et

lim x→+∞e −λx = 0 doncE(X) = 1 λ. 

6.5

Exemples de variables aléatoires à densité

6.5.1 Lois normales

Définition

Définition 6.15 — Loi normale. Soit m ∈ R et σ ∈ R∗+. On dit que la variable aléatoire réelle X suit la loi normale N(m, σ) si elle a pour densité de probabilité la fonction f définie par :

∀x ∈ R, f(x) = 1

σ√2πe

(5)

6.5 Exemples de variables aléatoires à densité 13 Conséquence 6.16 P(a ≤ X ≤ b) = 1 σ√2π Z b a e −1/2[(x−m)/σ]2dx. Cas particulier de N(0, 1)

La densité de probabilité est alors f(x) = 1

√2πe−x2/2et on appelle, dans ce cas,Π la fonction de répartition. On a donc : P(a ≤ X ≤ b) = Z b a 1 √2πe−x22 dx = Π(b) − Π(a).

Les valeurs de la fonction de répartition pour la loi normale centrée réduite étant tabulées, il est désormais possible de calculer P(a ≤ X ≤ b).

Propriété 6.17 La fonction f est paire sur R.

1 O Conséquence 6.18 Si x >0 alors Π(−x) = 1 − Π(x). Dv • Preuve En effet : Π(−x) = P(X ≤ −x) =Z −x −∞ f(t) dt = Z −x − inf f(−t) dt car f une fonction paire

=Z +∞

x

f(t) dt après le changement de variable u= −t

=Z +∞ −∞ f(t) dt − Z x −∞ f(t) dt = 1 − Π(x).

(6)

Exemples 6.19 1. Π(1) = P (X ≤ 1) correspond donc à l’aire sous la courbe délimité à droite

par la droite d’équation x= 1.

2. Π(−1) = P(X ≤ −1) = 1 − Π(−1) correspond à l’aire sous la courbe délimité à gauche par la droite d’équation x= 1.



1

O

Se ramener à une N(0, 1)

Propriété 6.20 Soit X ∼ N(m, σ). Alors Y = X−m

σ ∼ N(0, 1). On dit qu’on centre et qu’on réduit

la variable aléatoire X. Dv • Preuve P(a ≤ Y ≤ b) = P  aX− mσ ≤ b  = P (Aσ + m ≤ X ≤ bσ + m) =Z bσ+m aσ+m 1 σ√2πe−1/2[(x−m)/σ]2dx On effectue alors le changement de variable y =x−m

σ et on obtient : P(a ≤ Y ≤ b) = Z b a 1 σ√2πe−y2/2σdy =Z b a 1 √2πe−y2/2dy

donc Y a pour densité f(x) = 1

√2πe−x22. La variable aléatoire Y suit bien une loi normale centrée réduite. Exemple 6.21 La variable aléatoire X suit une loi normale de paramètres m= 2, 09 et σ = 0, 13,

autrement dit X ∼ N(2.09, 0.13).

On va se ramener à une loi normale centrée réduit en posant : T = X−m

σ et donc T ∼ N(0, 1). On demande de calculer P(X ≤ 2, 35) et P(1, 895 ≤ X ≤ 2, 285).P(X ≤ 2, 35) = P X − 2, 09 0, 13 ≤ 2  = P (T ≤ 2) = 0, 9772.

(7)

6.5 Exemples de variables aléatoires à densité 15 — P(1, 895 ≤ X ≤ 2, 285) = P(−1, 5 ≤ T ≤ 1, 5) = P(T ≤ 1, 5) − P(T ≤ −1, 5) = P (T ≤ 1, 5) − (1 − P(T ≤ 1, 5)) = 2 × P(T ≤ 1, 5) − 1 = 2 × 0, 9332 − 1 = 0, 8664.  Espérance et variance

Propriété 6.22 Si X ∼ N(m, σ) alors E(X) = m et Var(X) = σ2. Dv

• Preuve —

E(X) =Z +∞ −∞

xσ√2πe1 −1/2[(x−m)/σ]2dx. On considère la variable aléatoire Y =X−m

σ alors Y ∼ N(0, 1). On a : X = σY + m donc :

( E(X) = σE(Y ) + m Var(X) = σ2Var(Y ) donc si ( E(Y ) = 0 Var(Y ) = 1 alors ( E(X) = m Var(X) = σ2 . — E(Y ) =Z +∞ −∞ y

√2πe−y2/2dy = 0 car f est une fonction paire.

Var(Y ) = E(Y2) − (E(Y ))2= E(Y2). Il faut donc calculer :

E(Y2) =Z +∞ −∞

y2

σ√2πe−y22 dy. Pour cela, on va faire une IPP en considérant l’intégrale suivante :

soit a >0, I(a) =Z a −a

1

√2πe−y2/2dy

avec : (

u(y) = e−y22, u0(x) = −ye−y2/2

v0(y) = 1

√2π, v(y) = √2πy . I(a) =√2πey −y2/2

a −a +√2π1 Z a −a y2e−y22 dy = √2πe2a −a2/2+Z a −a y2

(8)

Puis on fait tendre a vers+∞ et on obtient : Z +∞ −∞ 1 √2πe−y2/2dy = 1 =Z +∞ −∞ y2

√2πe−y2/2dy.

Au final, on a :

Var(Y ) = E(Y2) = 1.

6.5.2 Loi uniforme

La loi uniforme sur[a, b], notée Unif([a, b]) a pour densité de probabilité :

(

f(x) = 0 si x /∈ [a , b]

f(x) = b−a1 si x ∈ [a , b].

Propriété 6.23 Si X ∼ Unif([a, b]) alors :

E(X) = a+ b2 et Var(X) = (b − a)12 2.

FIGURE6.1 – Densité de la loi uniforme[a, b]

6.5.3 Loi exponentielle

La loi exponentielleExp(λ) a pour densité de probabilité :

(

f(x) = 0 si x <0 f(x) = λe−λx si x ≥ 0

(9)

6.6 Applications 17

FIGURE6.2 – Fonction de répartition de la loi uniforme[a, b]

dont les densités f et g sont nulles pour x ≤ 0, est définie par :

h(x) = Z x

0 f(x − t)g(t) dt.

Propriété 6.25 Si X ∼ Exp(λ) alors :

E(X) = 1

λ et Var(X) =

1

λ2.

FIGURE6.3 – Densité de la loi exponentielleExp(λ) pour λ = 0, 5, λ = 1, λ = 1, 5

6.6

Applications

(10)

FIGURE6.4 – Fonction de répartition de la loi exponentielleExp(λ) pour λ = 0, 5, λ = 1, λ = 1, 5 Définition 6.26 Soit T une variable aléatoire correspondant à la durée de vie d’un individu ou d’un objet. On dit que T suit la loi de durée de vie sans vieillissement lorsque la probabilité que l’individu (ou l’objet) soit vivant (ou fonctionne) à l’instant t+ h sachant qu’il est vivant (ou qu’il fonctionne) à l’instant t ne dépend pas de son âge :

P(T ≥t)(T ≥ t + h) = P(T ≥ h).

Proposition 6.27 Une variable aléatoire T suit la loi de durée sans vieillissement si et seulement si elle suit une loi exponentielle.

Dv

• Preuve — Démonstration de la proposition6.27. (⇐) On suppose que T suive une loi ex-ponentielle de paramètre λ ∈ R+. Par définition d’une probabilité conditionnelle, on a :

P(T ≥t)(T ≥ t + h) = P((T ≥ t + h) ∩ (T ≥ t))

P(T ≥ t) .

Or l’événement « T ≥ t + h » est inclus dans l’événement « T ≥ t » donc : P((T ≥ t + h) ∩ (T ≥ t)) = P(T ≥ t + h) = e−λ(t+h). Par ailleurs : P(T ≥ t) = e−λt, d’où : P(T ≥t)(T ≥ t + h) = e −λ(t+h) e−λt = e−λh= P (T ≥ h).

(⇒) Réciproquement, soit T une variable aléatoire suivant une loi de durée de vie sans vieillissement. Alors, pour tout réel t de R+et tout réel h de R+:

(11)

6.6 Applications 19 Soit F la fonction de répartition de la variable aléatoire T . On note ϕ la fonction définie sur R+ par :

ϕ(t) = 1 − F(t) = 1 − P(T ≤ t) = P(T > t) = P(T ≥ t). Comme F est dérivable sur R+, ϕ l’est aussi et on a :

ϕ(0) = 1 − F(0) = 1 et ϕ(t + h) = ϕ(t)ϕ(t),

autrement dit, ϕ vaut1 en 0 et transforme les sommes en produits. Il existe donc un réel a (voir la leçon « Équations différentielles ») tel que

ϕ(t) = eat.

Mais comme ϕ est en fait une probabilité, on a pour tout t ∈ R+: ϕ(t) ≤ 1 ⇔ eat≤ 1 ⇔ at ≤ 0 ⇔ a ≤ 0. On pose λ= −a ∈ R+. Si a était nul, on aurait, pour tout t ∈ R+:

ϕ(t) = 1 ⇔ P(T ≥ t) = 1

Ce qui signifierait que notre individu est éternel, hypothèse que l’on peut rejeter. Donc, on a bien λ∈ R∗+. D’où, pour tout t ∈ R+:

ϕ(t) = e−λt⇔ 1 − F (t) = e−λt et en dérivant, on obtient :

−f(t) = −λe−λt⇔ f(t) = λe−λt. La variable aléatoire T suit donc une loi exponentielle de paramètre λ.

6.6.2 Loi de désintégration radioactive

Selon les physiciens, la durée de vie T d’un noyau radioactif suit une loi de durée de vie sans vieillissement, autrement dit, une loi exponentielle. Considérons l’expérience E : « on examine un noyau à l’instant1t». On note S l’événement « Ce noyau n’est pas désintégré ». D’après la loi

expo-nentielle, il existe un réel λ strictement positif tel que :

P(S) = P (T ≥ t) = e−λt.

Supposons que l’on ait au départ (t = 0), dans notre corps radioactif, N0 noyaux. On note Xt la

variable aléatoire égale au nombre de noyaux non désintégrés à l’instant t. Comme chaque noyau se désintègre indépendamment aux autres, on peut affirmer que Xtsuit une loi binomiale de paramètres

n= N0et p= P (S) = e−λt. Le nombre moyen N(t) de noyaux présents à l’instant t est donc donné par l’espérance de Xt:

N(t) = E(Xt) = np = N0e−λt.

(12)
(13)

Bibliographie

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[2] C. LE BOT, Théorie des graphes, 2006, http://blog.christophelebot.fr/

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[25] Marches sur Z, culturemath.ens.fr, URL : http://culturemath.ens.fr/maths/ pdf/proba/marchesZ.pdf

[26] Contributeurs à Wikipedia, Marche aléatoire, Wikipédia, l’encyclopédie libre, 2014.

[27] Marche au hasard dans les rues de Toulouse, URL : http://mappemonde.mgm.fr/ actualites/M_toulouse2.html

Références

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