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: VISION STRATÉGIQUE

La vision stratégique de la municipalité servira à doter le plan d’urbanisme d’un but commun à tous les objectifs qui seront poursuivis par la réglementation d’urbanisme. C’est cette vision qui accompagnera les différents élus municipaux au travers les âges dans leur quête pour faire de Namur un lieu de vie sain et agréable où il fait bon vivre tout en ayant une l’économie locale diversifiée.

CONSTAT DES TENDANCES DU DÉVELOPPEMENT

Afin de bien pouvoir évaluer les besoins de développement du territoire pour les années à venir, un travail introspectif sur les tendances sociodémographiques de la municipalité nous permettra de mieux connaître la réalité des différents secteurs.

PROFIL DE LA POPULATION

En 2011, la population de la municipalité de Namur était de 596 habitants et en 2016 cette population se dénombrait à 572 habitants. Dans une période de cinq ans, il y a eu une baisse de population de 4 %. La variation de la province était de +3,3 % et celle nationale était de +5 %. La densité de la population était de 10.1 personnes au kilomètre carré sur un territoire de 56,76 kilomètres carrés. Dans les municipalités voisines, il n’y a que la municipalité de Notre-Dame-de-Bonsecours qui a connu une augmentation de population de 15,3 %. Les municipalités de Notre-Dame-de-la-Paix, de Chénéville, de Boileau et de Saint-Émile-de-Suffolk, ont toutes connu une baisse de population.

Figure 2. POPULATION TOTALE

400 425 450 475 500 525 550 575 600 625

2001 2006 2011 2016

Population totale entre 2001 et 2016

RÉPARTITION DE LA POPULATION SELON L’ÂGE

En 2016, les enfants représentaient 10,4 % de la population, les travailleurs étaient à 62,6 % et les personnes âgées étaient à un pourcentage de 26,1 %. Entre 2011 et 2016, le groupe d’âge 0 à 14 ans a connu une baisse de 29,4 % et celui de 15 à 64 ans une baisse de 7,7 %. Par contre, il y a eu une augmentation de 20 % pour le groupe d’âge de 65 ans et plus. La principale tranche d’âge en nombre comprend les personnes âgées de 50 à 55 ans. L’âge moyen pour la municipalité est de 49,1 ans, alors que pour la MRC de Papineau il s’agit de 47, pour le Québec de 41,9 et au Canada 41. On peut donc constater un certain vieillissement de la population de Namur.

L’ÉTAT MATRIMONIAL

En 2016, les personnes mariées représentaient 59,3 % des personnes en couple et 42,4 % des couples étaient en union libre. Dans la même année, 75,0 % des familles ayant un ou des enfant(s) vivaient dans une famille biparentale intacte. Le pourcentage de familles recomposées était de 8,3 % et celui des familles monoparentales était de 16,7 %. Les principaux types de ménage sont ceux comptant qu’une seule famille de recensement sans personnes additionnelles (57,7 %), les familles de recensement comptant un couple sans enfants (33,3 %), les familles de recensement comptant un couple avec enfants (19,6 %) et les ménages d’une seule personne (31,4 %).

Figure 4. ÉTAT MATRIMONIAL

25,5%

24,5%

5,9%

35,3%

2,0%

6,9%

État matrimonial 2016

Célibataire Union libre Divorcé Marié Séparé Veuf

LANGUE PARLÉE ET ORIGINES ETHNIQUES

La municipalité de Namur est principalement bilingue à 50,4 % selon les chiffres de 2016. Les personnes qui parlaient uniquement français représentaient 46,9 % et celles qui parlaient seulement anglais représentaient 1,8 % de la population. À Namur, la langue maternelle principale était le français à 90,2 %, l’anglais à 12,5 % et une langue immigrante à 0,9 %. Au travail, le français demeurait la langue principale utilisée, suivi de l’anglais.

En 2016, les trois origines les plus couramment déclarées sont les Canadiens à 56,8 %, les Français à 43,2 % et les Irlandais à 17,9 %. La population d’origine autochtone ne représentait que 2,1 % de la population totale de la municipalité de Namur.

Figure 5. LANGUE PARLÉE

50,4%

49,4%

1,8%

Bilingue Uniquement français Uniquement anglais

0,0% 10,0% 20,0% 30,0% 40,0% 50,0% 60,0%

Langue parlée en 2016

LES TYPOLOGIES RÉSIDENTIELLES

En 2016, il y a eu une augmentation de 4,3 % de logements privés par rapport à 2011. En 2016, les maisons individuelles non attenantes représentaient 90,6 % de tous les logements privés occupés dans la municipalité.

Pour la MRC de Papineau, ce sujet représente 81,9 %. Pour la province, ce pourcentage est de 45,5 % et pour le Canada les maisons individuelles non attenantes représentent 53,6 %. Le deuxième principal type de logement dans la municipalité de Namur est le logement de moins de cinq étages avec un pourcentage de 5,7 %.

Pour la MRC, ce type de logement représente 7,4 %, pour le Québec ce pourcentage est de 32,7 % et pour le Canada il est de 18 %. Les logements les moins fréquents dans la municipalité de Namur sont les maisons jumelées, qui représentent 1,9 % des logements. Pour la municipalité régionale de comté de Papineau, ce pourcentage est de 4,7 %. Pour la province, c’est un pourcentage de 5,3 % et à l’échelle nationale, 5,0 %. Sur le territoire de Namur, il y a eu 180 constructions jusqu’en 2006. Cette tendance démontre qu’il y a eu une moyenne de deux bâtiments construits par année.

Figure 6. TYPOLOGIES RÉSIDENTIELLES

90,6%

5,7% 1,9%

Typologies résidentielles en 2016

Maison individuelle non attenante Logement de moins de cinq étages Maison jumelée

LE REVENU MÉDIAN DES MÉNAGES ET TRAVAIL

Le revenu total moyen des ménages au Canada, en 2015, était de 70 336 $. Pour la municipalité de Namur, le revenu total médian des ménages s’établit à 40 235 $. C’est le deuxième revenu le plus bas des municipalités voisines. En 2015, 29,1 % de la population vivait avec un faible revenu. Dans la même année, 42,6 % des ménages avaient contribué à un régime d’épargne.

En 2016, le taux d’activité dans la municipalité était de 36,7 % et à 32,2 % pour le taux d’emploi et le taux de chômage le taux était de 9,1 %. Les travailleurs autonomes (possédant leur propre entreprise constituée ou non constituée en société) représentaient un taux de 17,2 % de la population active et 82,8 % sont salariés. Parmi les principales catégories professionnelles présentes à Namur, on dénombre les emplois du domaine des transports, de la machinerie et d’autres domaines apparentés tel que la vente et les services, le secteur de la santé, les affaires, la finance et l’administration.

SCOLARITÉ

En 2016, 50,9 % de la population âgée de 25 ans à 64 ans détenait un diplôme d’études secondaires ou une attestation d’équivalence. Ce pourcentage est de 86,3 % au niveau canadien. 42,1 % de cette population détenait un certificat, un diplôme ou un grade, 22,8 % détenaient un diplôme d’études secondaires ou une attestation d’équivalence, 15,8 % détenaient un certificat ou un diplôme d’apprenti ou d’une école de métiers, 12,3 % détenaient un certificat ou un diplôme d’un collège, d’un cégep ou d’un autre établissement non universitaire et 3,5 % détenaient un baccalauréat ou un niveau supérieur.

Les cinq principaux domaines d’étude sont les suivants : 1. Les services personnels et culinaires;

2. Les professions dans le domaine de la santé et des programmes connexes;

3. Les ressources naturelles et la conservation;

4. Les sciences de la famille et de la consommation / sciences humaines;

5. Les métiers de la construction.

Le seul établissement scolaire présent à Namur est la « Namur Intermediate School ». Les élèves de cette école peuvent y apprendre de la prématernelle jusqu’au premier cycle du secondaire. La bibliothèque municipale partage d’ailleurs les lieux avec cet établissement.

DÉPLACEMENT ENTRE LE TRAVAIL ET LE DOMICILE

Les Namurois se déplacent principalement en automobile, et souvent seuls dans leur véhicule. Plus spécifiquement, 92,9 % se déplacent en camion ou en fourgonnette pour se rendre à leur lieu de travail. Le moment de la journée où l’on constate un plus grand nombre de départs vers le lieu de travail se situe entre 6 h et 9 h. La majorité de la population active a un lieu habituel de travail, suivi des lieux sans adresse de travail fixe, puis une petite partie de cette population travaille à domicile. La durée moyenne de déplacement domicile-lieu de travail est de 29,4 minutes. À l’échelle provinciale, c’est une moyenne de 25,8 minutes et pour le pays c’est une moyenne de 26,2 minutes.

LES FORCES ET POTENTIELS

Afin de tracer un portrait global du territoire, une analyse socioéconomique et morphologique est de mise. Ainsi la prochaine section vise à identifier les forces et les potentiels du territoire. L’analyse et la prise en compte de ces éléments permettent de mettre à l’avant des pistes de solutions aux problématiques décelées et de cibler les enjeux de la municipalité.

FORCES

1. Présence marquée de lacs et de forêts

Le territoire de Namur possède un important couvert forestier. En effet, environ 90 % du territoire est constitué de lacs et de forêts, ce qui constitue un levier économique pour la communauté de Namur. La zone verte au cœur du territoire ou encore la présence du lac Roquette à l’intérieur même du périmètre d’urbanisation en sont des exemples concrets. L’important couvert forestier encourage notamment le développement d’activités récréotouristiques.

2. Présence de connexions avec les municipalités environnantes

La municipalité de Namur est traversée par deux grandes routes provinciales, la 315 et la 323, la connectant aux municipalités avoisinantes. Elle est alors connectée du nord au sud par la 323 et d’est en ouest avec la 315 et le chemin de Boileau. La municipalité de Namur se situe entre Mont-Tremblant et Gatineau-Ottawa ce qui permet de transiger facilement vers des centres urbains où sont offerts différents services.

3. Noyau villageois et diversité des commerces et services

Le développement commercial de Namur s’est effectué autour des grands axes de circulation. En effet, on peut y apercevoir une importante concentration de bâtiments commerciaux à l’intersection de la route 315 et de la route 323. On repère notamment des commerces et services d’alimentation et de restauration, ainsi qu’une station-service, des services d’hôtellerie et plusieurs autres.

4. La MRC de Papineau s’est dotée d’un programme de soutien financier pour les travailleurs autonomes La MRC de Papineau offre ce programme afin de venir en aide à titre de soutien du revenu ou de soutien technique. Le programme vise à encadrer les travailleurs autonomes dans leurs démarches et à présenter des ateliers d’apprentissage pour parfaire les connaissances requises à la gestion et l’administration de l’entreprise.

5. La MRC de Papineau offre un service de transport adapté et collectif qui peut aller dans toute la région de la MRC, à Gatineau, Ottawa, Montréal, etc.

6. La municipalité donne aussi accès à des services d’aide tels qu’un travailleur en milieu, un service à domicile, qui aide les personnes à remplir des documents administratifs et à recommander les bonnes personnes-ressources. Il y a aussi l’organisme CR3A qui s’occupe des personnes âgées.

7. Héritage patrimonial d’intérêt

Namur est la municipalité la plus riche en patrimoine du nord-est de la MRC par son histoire d’immigration belge et par la présence de l’Église Unie Saint-Paul et de la « Namur Intermediate School ».

8. Les secteurs forestier et récréotouristique sont des éléments importants pour l’économie locale

Les domaines forestier et récréotouristique sont des éléments qui se retrouvent à la base du développement économique. Ce sont les principaux domaines sur lesquels la municipalité se penche pour assurer un bon développement économique.

9. Esprit de communauté et de collectivité

Il y a un sentiment de communauté et de collectivité entre les citoyens grâce aux nombreux services d’aide offerts par la municipalité et la MRC au travers desquels s’engagent des volontaires et des bénévoles.

10. Présence d’un axe de transit

La route 323 est un axe de transit d’importance qui traverse la municipalité de Namur et relie Mont-Tremblant à Montebello et la grande région d’Ottawa-Gatineau par extension. Le potentiel de développement que représente cet axe routier à forte connotation touristique mérite d’être considéré comme une force du territoire namurois.

POTENTIELS

1. Baisse de population

En effet, entre 2011 et 2016, il y a eu une baisse de population de 4 % dans le secteur, tandis que dans la MRC, il y a eu une augmentation de 1,3 % de sa population. Cette baisse de population pourrait avoir un impact économique négatif sur la possibilité de soutenir une mixité des usages, des commerces et services.

2. Population vieillissante

Namur connaît un vieillissement marqué de la population avec une moyenne d’âge de 49,1 ans comparativement à celle de la MRC qui est de 47 ans. De plus, il y a eu une augmentation de 20 % pour la tranche d’âge de 65 ans et plus. Le vieillissement de population peut engendrer des répercussions sur la vitalité des activités commerciales et peut mener à une certaine stagnation du développement.

3. Faible présence de jeunes sur le territoire

On retrouve peu de jeunes sur le territoire. De plus, il y a eu une diminution de 29,4 % des jeunes de 0 an à 14 ans entre les années 2011 et 2016. La présence de jeunes dans une municipalité est un aspect important puisqu’il assure une relève pour les entreprises de la région.

4. Pôle commercial faible

Namur n’a pas un pôle commercial suffisant pour subvenir à tous les besoins de ses citoyens. Les Namurois et Namuroises se déplacent notamment dans la municipalité de Chénéville pour avoir accès à une épicerie de grande surface, une pharmacie, un centre de rénovation ou pour leurs services bancaires. Chénéville est le troisième pôle commercial le plus important dans la MRC, après la municipalité de Saint-André-Avellin et Papineauville.

5. Pôle industriel non défini

Le secteur de Namur n’a pas de pôle industriel spécifique sur son territoire. Les industries existantes sont parsemées dans la municipalité. Cet éparpillement des industries ne permet pas d’avoir une image industrielle forte et de consolider les emplois et créer une synergie.

6. Population de transit

Il y a une forte population de transit sur la route 323 pour se rendre vers Mont-Tremblant. Cette population ne reste pas dans la municipalité pour profiter des attraits touristiques et faire rouler l’économie locale. Namur mériterait de déployer des efforts de revitalisation pour capter une partie de ce transit et développer ses commerces et services à vocation touristique.

7. Zones d’inondation potentielle

La municipalité est couverte de cours d’eau pouvant causer des contraintes naturelles. Deux cours d’eau principaux traversent la municipalité sujette à des normes d’inondation : la rivière Rouge et la Petite Nation. Cette contrainte pourrait restreindre le territoire pour des développements futurs.

8. Potentiel de développement du secteur agrotouristique et récréotouristique

La rue du Centenaire présente un potentiel d’aménagement où pourrait s’effectuer la promotion des produits et activités locaux.

PERSPECTIVES ET ENJEUX DE DÉVELOPPEMENT

1. Prendre en compte les tendances démographiques

Il y a eu une diminution de la population dans la municipalité de Namur et elle souffre d’un vieillissement depuis 2006. En effet, en 2016, plus de la moitié des citoyens ont 50 ans et plus. Des services pour les personnes aînées sont déjà établis et en fonction. Par contre, des mesures encourageant l’arrivée de nouveaux résidents de toutes les tranches d’âges assureraient un équilibre dans les services offerts par la municipalité et un milieu de vie de qualité pour ces citoyens.

2. Mettre en valeur et tirer profit des attraits touristiques

Plusieurs activités récréotouristiques sont présentes sur le territoire de Namur, pouvant représenter une croissance économique pour la municipalité. La municipalité de Namur est entourée de paysages fascinants avec des forêts et des cours d’eau permettant ainsi de développer son attrait touristique en planifiant des aménagements qui viseront à protéger cette réalité. De plus, plusieurs sites d’hébergement sont offerts à la population pour profiter des nombreuses activités sur place.

3. Augmenter et diversifier l’offre commerciale

Présentement, l’offre commerciale proposée à Namur est tout de même diversifiée. Par contre, l’offre n’est pas assez forte pour subvenir aux besoins des Namurois. En identifiant un pôle commercial principal, ceci pourrait contribuer à la hausse des offres de services et des commerces de qualité sur le territoire tout en dynamisant le noyau villageois. Ceci aurait pour effet de limiter les déplacements des citoyens vers la municipalité voisine de Chénéville, le troisième pôle commercial de la MRC, et d’encourager le développement économique de la municipalité elle-même.

4. Contribuer au sentiment d’appartenance

Plusieurs communautés s’identifient dans la municipalité de Namur. Souligner l’identité propre des diverses communautés du territoire tout en promouvant l’unité de la municipalité démontrerait une identité forte et unie tout en étant diversifiée. Cette identité forte pourrait avoir pour conséquence de démarquer les Namurois et Namuroises dans la MRC et faire ressortir une municipalité d’influence.

5. Mise en valeur des lacs et cours d’eau

La municipalité de Namur possède un réseau hydrographique muni de nombreux lacs et cours d’eau pouvant attirer une population saisonnière et touristique. L’insertion et la mise en valeur des infrastructures et équipements destinés aux activités récréotouristiques permettraient d’assurer un essor économique pour Namur. Par contre, la mise en place de règlements de gestion et de protection des environnements naturels assurerait un certain contrôle.

CONCEPT D’ORGANISATION SPATIALE

Tout d’abord, sur le territoire l’on peut observer une catégorisation de deux types de population. Il y a les résidents permanents, résidant sur le territoire de la municipalité à longueur d’année et la population saisonnière, présente majoritairement pendant la période estivale.

L’offre commerciale retrouvée à Namur est relativement très faible bien qu’elle soit diversifiée. On y retrouve que des commerces de biens essentiels. Cela a un rapport direct avec la population en place et avec les habitudes de consommation en plus d’avoir une compétition commerciale des municipalités environnantes.

La plupart des commerces situés dans la municipalité de Namur sont généralement des commerces de services, dont un dépanneur, des restaurants, plusieurs garages et d’autres services à la personne. Il y a aussi la présence d’une compagnie de construction qui agit à titre de fournisseur de matériaux de construction. Ces deux catégories de commerces sont les éléments principaux qui forment l’activité économique locale.

Dans le noyau villageois sont concentrés la majeure partie des équipements communautaires et municipaux.

En effet, il y a l’hôtel de ville, la salle communautaire de la municipalité de Namur et l’école « Namur Intermediate School ». De plus, le territoire bénéficie d’une ferme offrant plusieurs activités. Cet ensemble de bâtiments et d’usages forme l’ossature principale des services offerts à la population par la municipalité de Namur. Ce secteur doit donc maximiser la majorité des investissements, que ce soit pour des aménagements ponctuels que pour des améliorations à la voirie.

Points d’intérêt

20 AOÛT 2019

ZONE AGRICOLE

CHAPITRE 2 : LES GRANDES ORIENTATIONS D’AMÉNAGEMENT

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