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La Tripartition chère à Georges Dumézil dans le sabéisme, et cette même Tripartition dans la vie

réelle

La Bible et le Rig Veda étant des livres à deux niveaux de lecture, dès lors qu’on était au deuxième niveau, dans le cadre d’une religion qui était le sabéisme, il se trouve que la conquête de Canaan par Josué et ses troupes, et celle de l’Indus par les Aryens, cette conquête-là était une vraie conquête, car fondée sur la guerre qu’avaient gagnée, contre des adversaires qui étaient les Cananéens dans le cas de Josué et ses troupes, et qui étaient les Dasas/Dasyous dans le cas des Aryens, au moment où les partisans de Josué d’un côté, et les Aryens de l’autre, avaient envahi des cités-forteresses qui, qu’elles appartinssent au pays de Canaan dans un cas, ou à la vallée de l’Indus dans l’autre cas, étaient représentées, sur le planisphère céleste, par les importantes masses nuageuses appartenant alors à la Voie Lactée située côté Taureau Gémeaux.

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Maintenant, imaginons que les Aryens de l’Histoire n’étaient point des sabéïstes, lorsqu’ils nomadisaient encore dans un territoire d’origine que nous pouvions situer, pour faire large, dans une région qui englobait le Turkménistan, l’Afghanistan et le Pakistan actuels, dans sa sphère (histoire de partager, ici, les thèses des savants qui soutiennent que les Aryens étaient arrivés en Inde depuis là).

Ces mêmes Aryens deviendront alors des sabéïstes au contact des Dravidiens, ou, si les habitants du bassin de l’Indus n’étaient pas des Dravidiens, au contact de ceux qui s’étaient établis de longue date dans la vallée de l’Indus.

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Ce que ces mêmes Aryens vont faire, à partir de là, une fois installés dans le bassin de l’Indus, c’est nous expliquer, dans un Livre qui était le Rig Veda, leur longue chevauchée, en mettant celle-ci sur le planisphère céleste.

Et comme eux-mêmes, avant de se sédentariser dans l’Indus et dans le reste de l’Inde (où ils créeront une société de type féodal - autrement dit une société à trois niveaux hiérarchiques - on

ignore, ici, les esclaves à vie - tels qu’ils apparaissent dans la Tripartition établie par Georges Dumézil) ; bref, étant donné que ces gens-là, avant de s’installer dans les régions précitées, nomadisaient, avec famille et troupeau, sur leur territoire d’origine, on peut également déduire (ici avec Asko Parpola [a]

que l’épopée racontée dans le Rig Veda avait, pour lieu de l’action, la Bactriane plutôt que l’Indus ou l’Inde.

--- Note a : Nous lisons sur la Toile, sous le site forum

http://www.religiousforums.com/threads/the-aryan-invasion-revisited.103529/

le discours suivant :

However, new data is starting to challenge this theory. In particular, archaeologists are starting to challenge previous ideas about the identity of the Dasas. On page 367 of “The Indo-Aryans of Ancient South Asia”, Asko Parpola writes:

Important clues to an archaeological understanding of the Rgvedic invasion are provided by the references to the enemies of the Rgvedic Aryans. Indra and his protégés, namely the earliest Rgvedic kings, are said to have destroyed the strongholds of these enemies. When Sir Mortimer Wheeler unearthed the huge defensive walls of Harappa in 1946, he identified the Dasa forts as the fortified of the Indus Civilization (Wheeler 1947: 78-82). This hypothesis was widely accepted until 1976, when Rau published his study of relevant Vedic passages which showed that, unlike the rectangular layout of the Indus cities, the Dasa forts had circular, and often multiple concentric, walls. Moreover, the Dasa forts were not regularly inhabited cities but functioned as temporary shelters, particularly for the protection of cattle. I have argued that the Dasas, Dasyus, and Panis were actually Indo-Iranian speaking BMAC tribes, and that the battles against them described in the Rgveda took place in and around northern Bactria, before entrance to Gandhara on the eastern side of the Hindukush (Parpola 1988: 208-218).

In other words, the Dasas of the Rgveda were NOT the inhabitants of the Indus Valley Civilization. Instead, they were the inhabitants of a previously-unknown civilization called the Bactria and Margiana Archaeological Complex, which flourished in Northern Afghanistan and Southern Turkmenistan from 1900-1500 BCE.

--- On peut d’ailleurs élargir le débat, en disant qu’après l’effondrement de la civilisation d’Harappa, des nomades étaient arrivés dans le bassin de l’Indus et dans le reste de l’Inde, aussi bien depuis les contreforts de l’Himalaya, que depuis une région située plus à l’ouest (laquelle était, ou bien, la Bactriane, ou bien le Turkménistan).

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Tout ceci étant dit, il ne faut pas pousser le bouchon de la conquête aryenne trop loin.

Imaginons, en effet, que cette conquête n’ait jamais existé.

Cela signifie alors que les Aryens étaient des pasteurs qui, avec le temps, s’étaient mêlés, et ce sans conquête, aux premiers habitants du bassin de l’Indus (qu’il s’agisse des Dravidiens ou d’autres peuplades)

Mais même en admettant cela, on bien obligé d’admettre, aussi, que la société indienne deviendra féodale sous la gouverne des Aryens.

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La question est alors de savoir si cette société-là exista, dans l’Indus, comme, d’ailleurs, dans le reste de l’Inde, immédiatement après la disparition de la civilisation d’Harappa - soit vers les années 1600-1500 avant JC -, ou si elle exista seulement plus tard.

Mais quelle qu’ait été la date exacte de la naissance, dans le sous-continent indien (Indus et reste de l’Inde comprise), des trois strates sociales (ou classes sociales - appelées varnas en Inde), le fait est que celles-ci marqueront, tout en la fossilisant durant des siècles, la structure de la société indienne (elle qui, selon ce Dumézil que nous connaissons déjà, ne fit que porter, à son point ultime, cette Tripartition qui caractérisa, selon lui, toutes les sociétés d’origine indo-européenne, et ce aussi bien sur le plan cosmique - au niveau des dieux - que sur le plan social).

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Mais cela n’empêche pas de reconnaître, sachant cela, le versant naturaliste du sabéisme contenu dans le Rig Veda.

Supposons, en effet, que ce même Rig Veda nous mettait en présence d’une société vivant à l’âge du fer, plutôt qu’à l’âge du bronze.

Il se trouve qu’à l’âge du fer, la conquête aryenne, si effectivement elle avait eu lieu, était terminée depuis longtemps.

Qu’à partir de là il existât, dans le bassin de l’Indus et dans le reste de l’Inde, une société à trois niveaux hiérarchiques (avec des souverains au premier niveau, avec des guerriers au deuxième échelon, pour appuyer les souverains, et avec des producteurs au

troisième échelon, pour produire les richesses voulues par les souverains - on laisse tomber, ici, la quatrième classe représentée par les Intouchables), il se trouve que quand, par exemple, le dieu Indra faisait tomber la pluie, cette pluie-là, au lieu de profiter, ou de ne profiter, qu’aux souverains ou aux guerriers, profitait à toutes les créatures vivant dans l’Indus et dans le reste de l’Inde - hommes, plantes et animaux réunis.

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Nous sommes donc revenus, avec un pareil constat, dans un récit, qui, derrière son sabéisme, était de type naturaliste (avec le soleil, les vents, la pluie, la foudre, et tout le reste), pour l’animer.

Toujours est-il qu’un pareil récit, en étant naturaliste à 100%, n’avait pas eu besoin de la conquête aryenne pour exister.

La preuve : on le rencontrait chez tous les peuples, sans exception, de la planète Terre, à l’époque de l’Antiquité (étant précisé que le naturalisme cher à ces peuples était de type sabéen).

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Mais si cela était, on ne peut plus affirmer - comme nous l’avons fait ci-dessus - que le récit contenu dans le Rig Veda était du même type que, par exemple, la conquête du pays de Canaan par Josué et ses partisans.

Car il est bien clair que ce dernier récit, bien qu’étant sabéen lui aussi, comme tous les autres, relatait la conquête de la Terre Promise par des Hébreux qui, avant cela, avaient passé quarante ans au milieu du désert.

Ce récit-là correspondant à la naissance d’une nation qui était gouvernée, depuis le ciel, par un dieu qui s’appelait Yahvé, durant l’installation de celle-ci au pays de Canaan, il n’avait rien à voir avec le constat selon lequel la nature renaît au printemps et s’endort la veille de l’hiver.

Car c’est bien cela qu’à sa manière le Rig Veda nous racontait.

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Quand donc, sachant cela, les fidèles de l’Inde védique priaient les divinités védiques en leur offrant des sacrifices, leur but était, par leurs prières, de mettre la Nature de leur côté (elle-même étant représentée, ici, par des divinités qui étaient des personnages sabéens).

Mais quant à savoir, à partir de là, si le Rig Veda racontait également (sous-entendu : en plus de l’aspect susmentionné) la conquête de la vallée de l’Indus et du reste de l’Inde, par les Aryens, cette dimension-là, du récit, si elle existait elle aussi, ne peut être prouvée que par des témoignages archéologiques.

A défaut de ces témoignages, on ne peut pas inférer, de la seule lecture du Rig Veda, que les Aryens avaient colonisé le sous-continent indien à tel ou tel moment de l’Antiquité.

En revanche, on peut savoir, par les mots même employés par le ou les auteurs du Rig Veda, si la société aryenne était une société de pasteurs plutôt qu’une société d’agriculteurs.

Mais cela signifie aussi, si les Aryens étaient uniquement des pasteurs, que le narrateur s’était référé aux ancêtres de ceux des Aryens qui vivaient déjà en Inde, et dont lui-même faisait partie.

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Quant à la tripartition sociale, si elle n’a jamais fait un pli, s’agissant de l’Inde appartenant à l’Histoire, elle n’est pas aussi clairement établie, au niveau cosmique, que ce que Georges Dumézil donnait à entendre, à ce sujet, dans ses études.

En effet, si, comme nous le supposons dans cet ouvrage, la religion des Aryens était sabéenne, attendu, à partir de là, que les souverains, les guerriers et les producteurs étaient tous les trois représentés par les planètes du système solaire, on était là dans un sabéisme de type naturaliste qui ne préjugeait en rien de la structure de la société indienne à l’époque des Aryens (ou Indo-Aryens).

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Pour connaître cette structure-là, il s’agit de savoir à quelle époque exacte le ou les auteurs du Rig Veda s’étaient référés, au moment de rédiger leur texte, et de se référer, pour le faire, à la société indienne qu’ils avaient sous les yeux.

Et si, à partir de là, on décide d’associer la création de la société féodale (on était là sous l’Antiquité, et non au Moyen Age européen), à l’avènement de l’âge du fer, on peut également conclure que les hymnes du Rig Véda avaient été mis en forme, au plus tôt, au début de l’âge du fer, autrement dit durant une période qui débutait à la fin du second millénaire ou au début du premier millénaire avant JC.

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Mais si, comme nous le pressentons ici, le récit du Rig Veda était d’abord, et avant tout, un récit sabéen, il pouvait parfaitement dater du second millénaire avant JC, voire même de millénaires antérieurs durant lesquels les hommes, au lieu de se faire mutuellement la guerre depuis des cités-Etats qui étaient gouvernées par des prêtres d’un côté, et par des rois de l’autre, ces hommes-là avaient imaginé, pour faire tomber la pluie, de s’adresser aux dieux qui étaient dans les cieux.

Et comme la religion, à ces hommes-là, était sabéenne, ils s’adressaient à un dieu de l’orage qui était la planète Mars (représentée alors par Indra), au moment de lui demander de libérer les eaux (qui étaient alors de vraies eaux), prouvant par là que les pluies associées à la prochaine mousson tombaient à une période de l’année durant laquelle la planète Mars, en traversant la Voie Lactée située côté Taureau Gémeaux, agressait, jusqu’à le tuer, le démon dragon qui était l’expression de cette Voie.

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Mais tout cela, encore une fois, n’est pas suffisant pour conclure que la société indienne de l’époque était une société féodale.

La première nommée était fondée sur des prêtres qui étaient des chamanes qui s’étaient spécialisés dans l’observation, durant chaque nuit, du mouvement des planètes et des étoiles dans le ciel, et ce afin de tirer le meilleur parti des dieux qui étaient cachés derrière chacun des astres bénéfiques.

Ces dieux-là étaient donc censés prodiguer leurs bienfaits à des terriens qui, s’agissant du bassin de l’Indus, étaient essentiellement des éleveurs cultivateurs.

Et comme des commerçants existaient déjà, à l’époque de la civilisation d’Harappa, qui se déplaçaient sur les fleuves et le long des rivages de la mer, avec leurs bateaux, au moment de faire du commerce à longue distance avec des pays étrangers, les auteurs du Rig Veda en avaient tenu compte dans leur récit.

Mais là encore, si les mots mêmes, utilisés par eux, transportaient le lecteur vers la mer, ou l’océan, et ses rivages, cette mer-là étant, en réalité, céleste plutôt que terrestre, on était à nouveau, avec de telles considérations, en présence d’une religion qui était sabéenne.

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Si donc, pour nous résumer sur ce thème, la Guerre de Troie d’Homère, ou, autre variante, l’Exode des Hébreux vers la Terre Promise, étaient eux aussi des récits sabéens, ils avaient, comme

doublure terrestre, des récits historiques qui reposaient, l’un sur la Guerre de Troie, et l’autre sur l’Epopée vécue par les Hébreux durant leur exode vers la Terre Promise.

Or l’épopée contenue dans le Rig Veda, n’avait rien à voir, elle, avec cela.

En lieu et place, il s’agissait, pour les prêtres Aryens qui étaient des sabéïstes, et qui utilisaient des chants pour cela, d’obtenir, de la part des dieux qui étaient dans les cieux (en l’occurrence, sous la forme des planètes du système solaire durant leur déplacement le long de la ligne de l'Écliptique), qu’ils favorisent les bienfaits que la Nature était censée accorder aux hommes, durant les quatre saisons de l’année, de telle sorte que les hommes qui vivaient dans le bassin de l’Indus en profitassent au maximum.

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Et si, sachant cela, des Indianistes tels que Paul Regnaud ont eu raison, croyons-nous, d’insister sur le rituel associé à l’offrande accordée aux dieux (sous la forme, ici, d’un soma qui parvenait à ces mêmes dieux grâce à ce feu qui, en faisant fondre l’oblation, la faisait couler jusque vers eux), il ne s’agit pas de sous-estimer la Nature dans cette affaire, chose qu’a faite cet Indianiste lorsqu’il accordait trop d’importance au rituel lui-même, et pas assez au but que celui-ci était censé servir.

Et comme ce même Paul Regnaud reprochait à Abel Bergaigne de s’être égaré, au moment de parler, après avoir lu le Rig Veda, des mondes céleste d’un côté, et terrestre de l’autre, en faisant allusion au fait que les pluies, après avoir quitté les nuages, coulaient, sur terre, sous la forme de rivières ; bref, dans la mesure où le second nommé aurait dû, aux dires du premier nommé, limiter son discours au seul plan terrestre (puisque le feu qui était censé faire fondre l’oblation de Soma, en la rendant liquide (sous-entendu : avant de la transmettre, sous cette forme, aux dieux), ce feu-là était un feu terrestre, ce feu que les prêtres védiques, hommes en chair et en os, préparaient sur terre, dans le cadre du rituel précité.

On peut répondre à un pareil argument, de la part de M. Regnaud, en disant que tout cela, au lieu d’avoir eu lieu - contrairement à ce qu’il croyait - sur terre, avait eu lieu - et ce dans le cadre d’une religion qui était sabéenne - sur le planisphère céleste.

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Pour en revenir à notre sujet - i.e. la conquête de l’Indus et du reste de l’Inde, par les Aryens -, si celle-ci exista effectivement

sous la forme d’une guerre menée par les Aryens contre toutes sortes de tribus - dont les Dasas -, il se trouve que celle-ci, en participant d’une religion qui était le sabéisme, se référait à tout autre chose qu’à une véritable conquête par les Aryens.

En effet, si l’on postule que le Rig Veda se référait à une religion qui était à la fois naturaliste et sabéenne, la guerre, à ce niveau, opposait les diverses composantes de la Nature (elle-même s’élargissant - puisque nous étions dans le sabéisme - aux planètes et aux étoiles ; prouvant par là que les Indiens de l’époque associaient les diverses manifestations de la nature - à l’exemple de la chute des pluies durant la mousson -, au positionnement des planètes et des étoiles - y compris, ici, les nuages de la Voie Lactée - sur le planisphère céleste, au moment considéré).

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Or tout cela, on le conçoit volontiers, n’avait rien à voir avec la conquête de l’Indus et du reste de l’Inde par des soi-disant Aryens qui seraient arrivés dans le sous-continent indien depuis les steppes euro-asiatiques.

Il n’empêche : le fait de savoir que la société indienne de l’époque reposait sur trois castes, ou trois classes, complètement hermétiques les unes par rapport aux autres, nous mettait devant le fait accompli suivant : cette société-là, au lieu de reposer sur des chefferies composées de nomades au tempérament guerrier et en train de transhumer dans les grands espaces, ou au lieu de reposer sur des chefferies qui étaient composées de semi-nomades en train de transhumer dans des espaces restreints, à partir d’un centre qui était des villages ou des cités, cette société-là était divisée en provinces et en sous-provinces ayant chacune, pour la diriger, des gens qui étaient des princes au niveau local ou territorial, et des rois à l’échelon supérieur.

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Reste à préciser que ces rois-là demeuraient dans des cités, plus précisément dans les palais à elles associés, et qu’eux-mêmes avaient une armée pour les protéger, eux, leur famille, et la cour formée par eux.

Or pareille élite étant entretenue par des producteurs - tous métiers confondus : paysans, artisans, etc. - qui payaient des impôts en nature ou en argent, ainsi que par des cultivateurs qui travaillaient la terre des seigneurs, ou bien en tant qu’esclaves, ou bien en tant qu’exploitants libres se rémunérant sur un partie (bien faible d’ailleurs) du produit de la terre appartenant au seigneur.

Idem quand des tribus nomades (puisqu’il en existait encore) faisaient paître leur troupeau sur les terres du seigneur, puisqu’en ce cas ils devaient lui payer l’impôt correspondant.

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Mais là encore, il s’agit de savoir si cette société-là, avec des princes, pour les diriger, qui s’adonnaient eux-mêmes au métier de la guerre, datait du premier millénaire avant JC, ou si, au contraire, elle datait du second millénaire avant ce même JC ? Si l’on considère, en réponse, que le modèle de société féodal était associé à l’âge du fer, la société indienne dominée par les Aryens datait alors du premier millénaire.

Mais si, en revanche, ce type de société était le même que celui que les Cassites avaient introduit en Babylonie, dès le XVIe

Mais si, en revanche, ce type de société était le même que celui que les Cassites avaient introduit en Babylonie, dès le XVIe