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de mouvement inattendu. «PPOrt i celi

Cet espace intermédiaire peut-être ou matérialisé

l

non matérialisé

«ftérialias pour préve- nir d une ouverture

Dans le deuxième cas, on peut distinguer plusieurs ty­ pes d'espaces intermédiaires :

a ~ E.I. qui ne sert qu'à la circulation (ou presque) b - E.I. qui ne sert pas qu'à la circulation autres

fonctions

d vuu presque ex. : couloir c'est sa fonction principale SAS

b - il est nécessaire de passer par là pour aller de X à Y, mais cet espace à une autre fonction. La circu lation n'est pas la fonction principale, ni l'autre

c - on peut cependant l'utiliser comme tel mais il y a un autre chemin pas tellement plus long

Ces espaces sont ou non matérialisés : a - le couloir et SAS le sont

b - on peut guider dans une pièce le passage pour le détourner de la direction inévitable qui est celle du moindre effort : la ligne droite.

Si cela n'est pas réalisé, il est sur que le passage choisi entre l'ouverture sera à 99% la ligne droite entre les 2 ouvertures.

On peut aussi matérialiser cette ligne droite, meubles, colonnes, etc.

c - il n'est jamais matérialisé, puisqu'il n'est pas prévu.

En tous cas c'est 1 'USAGE qui détermine si tel espace est un passage on non ; un espace matérialisé en passage

(b) peut ne pas être utilisé, parce que mal pratique, trop long donc pas rapide.

Il n'y a vraiment que les passages générés par une seule ouverture dont la seule fonction soit la circulation. Un couloir peut être utilisé pour autre chose que la circulation : . l'attente, . la détente - repos - jeux . l'information d'ailleurs

LE CHANGEMENT D'ECHELLE

Le changement d'éch elle est une p r a ti­ que courante et constante dans le déve­ loppement du projet. Il consiste à pas­ ser d'un ensemble à un élément, ou d'un élément à un tout. On peut t r a it e r aussi bien un élément de d is trib u tio n - un es­ c a lie r par exemple - qu'un plan courant d'ensemble, ou qu'un principe de fo n ctio n ­ nement, tout en jouant constamment sur un changement d 'é ch e lle .

Ce changement d 'éch elle qui d 'a ille u r s revien à dessiner à des échelles graphi­ ques d ifféren tes également, nécessite une u t ilis a t io n de beaucoup d'inform a­ tions d iv e rs ifié e s et sélectionnées par le concepteur et selon diverses méthodes. Par exemple, le flo u in tro d u it dans une trame permet de reprendre en d é ta il cer­ tains éléments qui y sont esquissés et donc est susceptible d 'ê tre t r a it é dans un changement d 'é c h e lle , en respectant la cohérence du projet.

Les règles du jeu de l'in d u s t r ia lis a t io n ouverte - par exemple 1 'emploi des tra ­ mes ( Norme P01.101 ) - permettent d 'a s­ surer les divers changements d 'é ch e lle dans le passage de l'APS à l'APD, mais cette fo is en tenant compte du rô le de chaque intervenant. Sans ce la , on se p r i­ v e ra it d'un certain langage commun qui est une nécessité première en in d u s tria ­ lis a t io n ouverte.

Il est intéressant à ce t it r e , de con­ sidérer dans le système SOLFEGE, le f a it que, n'étant pas exactement un système

in d u s tria lis é au sens habituel, i l y a déjà une ouverture vers l'établissem ent de règles du jeu et de conventions, et donc vers une in d u s tria lis a tio n ouverte. On y trouvera la p o s s ib ilit é de jouer constamment sur des changements d'éch el­ le . De même dans le système du S.A.R., on verra facilement que le changement d 'é ch e lle étant compatible avec sa dé­ f in it io n , on peut gérer les rapports entre élément et sous-ensemble grâce au flo u que maintiennent les p r in c i­ pes employés.

Le changement d 'é ch e lle nous semble un argument important lo r s q u 'il s'a g ira de poser la question d'un aide technologi­ que portant aussi bien sur le graphique, sur l'in fo rm a tio n ou sur les s p é c ific a ­ tions techniques, en cours de pro jet. S ' i l est vrai que le changement d 'é ch e l­ le in te rv ie n t dans le processus de concep­ tio n , au niveau du.passage APS-APD, i l se manifeste également en permanence dans la forme, le positionnement, le choix d 'é lé ­ ments techniques, c o n s tru c tifs , ou d'amé­ nagement.

DEFINI/ MAL DEFINI

L'important de 1 'APS est de maintenir un bon rapport avec l'APD et non pas de tout d é fin ir . 71 HOpKOHff ’J3 (HUCK'J J L :]V - TXfrtT

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Ce partage entre les deux formes d'ex­ pression relève du tra v a il de l'a r c h i­ tecte.

Il d o it permettre de d é fin ir et de met­ tre en oeuvre les règles du jeu. C'est donc une u t ilis a t io n déjà engagée des conventions générales et p a r tic u liè r e s . Comme on peut revenir sur ce qui est proposé dans 1'APS après examen de l'APD, i l faut pouvoir respecter ces conventions a fin de f a c i l i t e r la tâche du concepteur. Ce rapport entre problème bien d é fin i et problème mal d é fin i va se retrouver au niveau de la composition, du jeu de trames, des décisions à prendre pas à pas, des informations tra ité e s , a in si que de l'exécutio n du dessin.

Le dessin est i c i entendu comme l'e n ­ semble des graphiques produits ou u t i­ lis é s par le concepteur.

Par exemple, on peut u t ilis e r un dessin global d'un sous-ensemble ou d'un en­ semble pour préciser simplement un pro­ blème p a r tic u lie r . On v o it alors q u 'il y a deux niveaux : d'une part, tout

n 'est pas nécessaire à t r a it e r , et d'au­ tre part, tout ce qui est nécessaire n 'est pas obligatoirement complètement s p é c ifié . A in s i, on peut avoir besoin de t r a it e r le cas d'un revêtement par­ t ic u lie r , ce qui ne perturbera pas le calcul global et approximatif au m2. On sort des considérations d'ensemble

et on d é f in it certains éléments qui ;

obligent à reconsidérer ultérieurement I

le processus d'évaluation.

Problème bien d é fin i et problème mal d é f i n i .

Etudes du S .A .R . (HABRAKEN) d é fin itio n dee zones e t dee marges.

*

Tout n 'e s t pas nécessaire et tout ce qui e s t n écessaire n 'e s t pas obligatoirem ent co u p lé-

testent s p é c ifié .

L e s revues d 'a rch ite ctu re sont une i l l u s t r a - de ce p r in c ip e » I c i un schéma d'ensemble et jTueUjues dessin s de d é ta ils donnent une in ­

formation s u ffis a n te à la compréhension de la so lu tio n présentée.

LA COMPLEXIFICATION/SIMPLIFICATION DES FORMES

La com plexification ou la s im p lifi­ cation des formes ( dessins, commen­ ta ire s , indications ) est une opéra­ tion ou un système d'opérations qui résultent des changement d'éch elle et des rapports entre flo u et déter­ mination. Par exemple, lorsque l'o n résoud un d é ta il p a r tic u lie r à p a rtir d une représentation comportant des flo u s, et que ce fa isa n t on peut éven­ tuellement changer dréchelle, i l peut se fa ir e que le concepteur s o it amené à fa ire les opérations suivantes sur 1'APS.

com plexification du dessin en rajou­ tant des éléments, en modifiant des dé­ t a ils ou en r e c t ifia n t des parties du dessin ( courbure, p r o f il, jo in t , e t c . . . ) . Cette com plexification du dessin veut dire que l'o n rajoute des opérations sur ^e dessin, mais cela ne veut pas dire que ^e ré su lta t paraisse nécessairement plus im p liq u é . La com plexification est une ^ n ière de ca racté riser le f a i t que l ' é ­ m o tio n du dessin correspond â des trans­ a c t i o n s peut -etre simples en e lle - ^ e s , mais qui se rajoutent à tout un edsemble d'autres transformations anté-

1eures. Cela vaut également pour les ^formations u t ilis é e s , éventuellement

es traitements progressifs effectués.

Corrpl e x i .f i oation du

de.

sin en rajoutan t dee o

;

r a tio n s. Mise en correspondance entre d é ta il e t sou s- ensemble et superposit de trame. Procédure mise au p o ù par le S . A . R .

- S im p lifica tio n des éléments de l'APS. On peut procéder à l'in v e rs e du schéma précédent. Le concepteur peut supprimer, ou remplacer des fragments de dessin, des parties mal déterminées, des inform ati­ ons ou des traitements, et perturber dans le sens d'une s im p lific a tio n les données en cour d'élaboration.

Ces arguments sont une autre formulation de la manière dont concrètement les modi­ fic a tio n s ou les s p é c ifica tio n s de l'APS et le va-et-vient entre APS et APD en vue de l'é la b o ra tio n de ce dernier, in te rv ie n ­ nent sur le dessin, les traitements et les commentaires.

En r é a lit é , i l s 'a g it de bien se représenter ce à quoi se rapporte les transformations opérées par le concepteur, et de désigner sans te n ir compte du contenu proprement d it , des formes dans lesqu elles ces transforma­ tions se manifestent au niveau des éléments susceptibles de supporter éventuellement un traitement systématique, q u 'il s o it ou'non informatique.

Citons par exemple les e ffe ts de superposi­ tio n de trames, les m odifications de tracés correspondant à des transformations du con­ tenu ou des in dica tio n s fournies par le des­ s in , la mise en correspondance.

S in p lif io a t io n / c o n p le x if ic a t io n de formes.

Supprimer ou remplacer des fragments de dessin t perturber dans le sens d'une sim p lific a tio n les données en coure d 'é la b o ra tio n .

L'EVALUATION

Dans l'é v a lu a tio n , on trouvera une gamme assez large d'opérations. Il y a évaluation chaque fo is q u 'il y a c r itè re , et le concepteur peut f a i ­ re appel aussi bien à des considéra­ tions techniques, fon ctio n n e lle s, f i ­ nancières ou opérationnelles.

L'évaluation f a it l'o b je t d'un certain traitement ou d'une consultation d 'in ­ formations ou de décisions fix a n t des éléments du processus. Bref, les états successifs de l'APS impliquent des é- valuations successives du concepteur, et dans certains cas, on peut large- gement revenir en a rriè re dans l'APS, En considérant l'é v a lu a tio n comme la mise en jeu d'une in teraction entre projet et concepteur, et comme l'e x ­ p lo ita tio n de certaines procédures plus ou moins form alisées, portant sur des données numériques, q u a lita tiv e s ou in d ica tiv e s , i l est c l a i r que l'o u ­ t i l informatique est susceptible d'y remplir un certain rôle instrumental. Nous devons considérer qu'en p r in c i­ pe, même si un programme informatique assure des tâches d'évaluation p a r t ie l­ les comme l'énumération de composants de formes, les ca lculs de volumes, sur­ faces, longueurs d'éléments, ou des tâ ­ ches de consultation d'inform ation sur les matériaux et les contraintes d iv e r­ ses qui s'y attachent, i l reste une sor te de délégation pour le concepteur.

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Evaluation corme mise en je u d'une in te ra ctio n entre p r o je t et concep­

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I l y a évaluation chaque f o i e qu i t y a c r it è r e :

Ce dernier concerve la m aîtrise de 1 évaluation dans son ensemble.

Enfin, nous distinguons l'é v a lu a tio n des opérations de sé lectio n , car, du point de vue d'une approche exploratoire en matière de traitement partiellem ent automatisé, ce sont des traitements qui peuvent in terven ir séparément ou con­ jointement.

A ir-propagatad-aound inaulation indaa / luftachaM -laolatlonaindaa / Indica d iso la tio n phonique la

Frequancy / Fraquam / Fréquence f

Raqunad curvM (<■ acoualica Tha requwad ciwva « dramm haavily. lha m aatuied v a lu »» dottad

I , Intulanon mdea al 500 H t l , • Oagiaa o l acouttic maulanon

Souk ur va daa S ehalltchutte » (lu h se h e d ) Oie SoMkurv* m autgetoqen. dia qem eitenen W ene gastnchalt

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Courbe* atandaid da piotaction confie •* bm a La c o u rt» «en d arrt » « plwn* la* valaui* meiurde* «o n t an potniilM

la indir* rfitola tm n à SOO H t la m n u n d* protection confia la hiud

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