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III. Pendant la formation

2.   Thomas : analyse de l’entretien

Thomas est âgé de 22 ans au moment de l’entretien, il a suivi un apprentissage d’employé de commerce en CFC maturité professionnelle (profil M), qu’il a terminé en juin 2016. Il a effectué tout son apprentissage dans le secteur de la vente, au sein d’une grande enseigne suisse.

2.1. Trajectoire biographique et parcours scolaire

Thomas a deux sœurs et ses parents sont médecins. Personne dans sa famille ne travaille dans le domaine du commerce ou n’a fait d’études dans ce secteur d’activité. Ainsi, nous pouvons supposer qu’il n’y a aucun lien entre une identité héritée et un soi visé, que, a priori, personne n’a influencé le choix d’orientation du sujet. Il s’agit donc d’une décision personnelle que nous pouvons qualifier de « projet de soi pour soi » (Kaddouri, 2006, p. 124).

Avant de s’engager dans cette voie, Thomas a fait toute sa scolarité à Genève sans jamais rencontrer de difficultés. Après l’école obligatoire, ses parents l’inscrivent dans une institution privée, le collège Florimont. En quatrième et dernière année du collège, il échoue aux examens finaux. A cet instant, deux choix s’offrent à lui ; soit il refait sa quatrième année afin d’obtenir la maturité fédérale, soit il quitte le collège et abandonne l’idée d’avoir une maturité fédérale pour s’orienter vers une toute autre voie.

Souhaitant depuis plusieurs années intégrer la Haute Ecole de Gestion (HEG) avec l’intention de travailler dans le domaine du marketing ou de la comptabilité, il décide de se désengager de la formation en cours (Kaddouri, 2011) malgré qu’il soit proche d’obtenir son diplôme. Il s’agit

plus précisément de ce que Kaddouri (2011) nomme un rapport de désengagement volontairement décidé, motivé par un projet de formation (p. 79).

Ainsi, avec le soutien de ses parents et de son entourage il arrête ses études au collège Florimont, il a la possibilité de prendre cette décision car sa famille approuve ses choix. A l’inverse, si ses parents avaient été contre et l’avaient obligé à terminer son parcours gymnasial, il n’aurait peut-être pas pris la même décision. « J’ai eu quand même pas mal de soutien de la part de mes parents et puis des autres personnes qui ont compris que finalement le collège c’était pas vraiment ma voie » (Entretien, 23-25). Le fait d’être compris par sa famille et par son entourage est très important pour Thomas au moment de faire des choix décisifs pour son projet professionnel. Effectivement, à l’instant où il décide de se désengager du collège, Thomas semble avoir une idée précise concernant son avenir professionnel. C’est en quelque sorte un tournant dans son parcours et le fait d’être soutenu et de ne pas être seul est certainement une source de motivation pour Thomas.

2.2. Expériences socioprofessionnelles

À l’âge de 17 ans Thomas est engagé tous les samedis au service clientèle d’une grande enseigne suisse basée notamment à Genève. Cette première expérience est très significative dans le parcours de Thomas car c’est ce premier emploi qui lui donne envie de travailler dans le domaine du commerce. Plus précisément, c’est grâce à ce travail qu’il décide de s’engager dans la formation d’employé de commerce. Effectivement, ayant la chance d’avoir un bon réseau, son premier emploi se transforme au bout de deux ans en place apprentissage. Ainsi, durant trois ans, il effectue son apprentissage d’employé de commerce au service clientèle de ce grand magasin.

Il prend la décision de s’engager dans cette voie parce que, selon lui il s’agit de la formation la plus pertinente et la plus logique afin de pouvoir par la suite s’inscrire à la HEG. La formation représente une stratégie lui permettant de concrétiser son projet.

2.3. Avant la formation 2.3.1. Pourquoi cette formation ?

Les raisons qui ont motivé l’engagement de Thomas dans cette voie sont certes nombreuses, mais ont un point commun : la HEG.

En effet, comme il nous le dit en début d’entretien, il ne sait pas réellement pourquoi, mais il souhaite intégrer la HEG et il aimerait travailler dans le domaine du marketing ou de la comptabilité.

Je savais que je voulais aller en HEG, mais je savais pas ce que je voulais faire en HEG non plus. C’est l’école qui me correspondait le plus après un diplôme. Parce que je me voyais plus travailler dans des bureaux justement, soit en étant comptable soit dans le marketing, des choses comme ça. (Entretien, 359-362)

Bien qu’il n’ait jamais eu d’expérience professionnelle dans ces deux domaines d’activités, il est attiré vers ces deux professions, sans arriver à nous expliquer pourquoi. Ce n’est pas lié à son entourage, car personne dans sa famille n’exerce ces professions ou n’a fait d’études de commerce. Il n’y a donc aucun parallèle à faire entre son identité héritée et l’identité visée à laquelle il aspire. Une chose est certaine, Thomas sait ce qu’il veut faire, il sait où il veut aller son projet professionnel semble, de prime abord, être bien défini.

Néanmoins, dès que l’on creuse un peu plus et que nous lui demandons des précisions sur ce qu’il souhaite faire, nous nous rendons vite compte que le soi idéal qu’il vise n’est pas si clair et finalement il est un peu confus. Certes, Thomas veut arrêter le collège pour faire un CFC d’employé de commerce afin de s’inscrire à la HEG, mais des questions subsistent. Quelle filière veut-il suivre ? A quelle profession aspire-t-il réellement ? Aime-t-il vraiment le métier de comptable ? Arrive-t-il à se projeter dans ce domaine à long terme ? Tant d’interrogations auxquelles Thomas n’a pas de réponses au début de son apprentissage.

Nous pouvons supposer qu’à cet instant Thomas se situe dans ce que Kaddouri (2011) appelle un « rapport à construire » (p.82). Dans le sens où, c’est entre autres pour mieux définir les contours de son soi idéal et pour trouver des réponses à toutes ses questions, que Thomas décide de faire un CFC d’employé de commerce. Selon lui, en faisant un apprentissage d’employé de commerce, il verra ce qui lui plaît le plus dans ce domaine et si, in fine il désire toujours intégrer la HEG.

Et pour faire ça faut faire la HEG. Et je me suis dit pour accéder à la HEG avec une maturité on peut, mais faut faire deux ou trois passerelles. Alors qu’avec un CFC d’employé de commerce on y va directement. Autant faire directement un CFC d’employé de commerce parce que c’est le chemin le plus court, le plus rapide, le plus logique (Entretien, 362 - 367).

En somme, s’engager dans cette formation est une évidence pour Thomas. Selon lui, il s’agit du meilleur moyen pour se rapprocher de la HEG. Il s’agit même, comme il le dit à de nombreuses reprises, du « chemin le plus court, le plus logique » pour atteindre son objectif

final. En plus de s’engager dans cette voie, car c’est le « plus logique », Thomas le fait comme il le dit « [p]our vraiment [s]’axer plutôt sur ce qu’[il voulait] faire. Sans vraiment savoir vaguement ce [qu’il voulait] faire non plus » (Entretien, 352 à 353).

En résumé, Thomas s’inscrit au CFC d’employé de commerce, parce que, d’après lui, c’est le chemin le plus court et le plus logique pour ensuite intégrer la HEG.

Il s’agit en quelque sorte d’un motif d’engagement vocationnel, tel que Ph. Carré (2001) le définit.

Au travers de son modèle, Carré (2001) a relevé dix motifs d’engagement qu’il classe dans deux catégories : les motifs intrinsèques et les motifs extrinsèques. La première comprend les trois motifs suivants : épistémique, socio-affectif, hédonique. La seconde catégorie regroupe les motifs : économique, prescrit, dérivatif, opératoire professionnel, opératoire personnel, identitaire et vocationnel. Tel que Carré (2001) le définit, le motif vocationnel représente le fait que la formation permet d’acquérir des compétences dans une vision d’orientation professionnelle, de gestion de carrière, par exemple. Dans le cas de Thomas, la formation va lui permettre d’acquérir des compétences et des diplômes dans le but d’un projet en formation (intégrer la HEG).

De plus, nous pouvons faire l’hypothèse que cette orientation est liée à sa trajectoire scolaire.

Dans le sens où, s’il n’avait pas échoué aux examens finaux de la maturité, il ne se serait certainement pas intéressé au CFC d’employé de commerce. Il aurait ainsi intégré la HEG en effectuant les passerelles dont il nous a parlé.

2.4. L’apprentissage

2.4.1. Descriptif du lieu d’apprentissage

Thomas effectue son apprentissage auprès d’une grande enseigne suisse, basée à Genève. Au cours de son apprentissage il passe dans différents services (comptabilité, marketing, ressources humaines) mais il réalise la plus grande partie de sa formation (deux ans et demi) au service clientèle. Durant cette période, il a pour mission de s’occuper de tout ce qui concerne la gestion des finances du magasin, la gestion et le contrôle des caisses ainsi que la facturation et la gestion des comptes clients. Il réalise majoritairement des tâches administratives liées à la vente.

Pendant deux ans et demi, soit plus de la moitié de la durée totale de son apprentissage, il reste dans ce même service. Les derniers mois, il partage son temps de formation entre la comptabilité (environ sept mois), les ressources humaines (RH) aux salaires (pendant deux semaines) et le département marketing où il reste également deux petites semaines.

Et là j’ai justement pu faire une semaine aux salaires RH et du coup ça m’a vraiment plu. Ça m’a permis de voir qu’il y avait d’autres possibilités que les études de types HEG ou université avec des formations professionnelles. Et c’est vraiment euh pendant l’apprentissage qu’on cerne vraiment ce qu’on a envie de faire après.

[…]. Mais en passant par différents services justement…ça permet de se dire… Parce que j’étais au marketing aussi. Et je me suis rendu compte que c’était quelque chose qui me plaisait pas du tout. (Entretien, 108-115).

Thomas a donc eu l’opportunité de passer par différents services, ce qui lui permet de voir quelles activités il apprécie le plus. Ainsi, le fait de ne pas rester les trois ans au sein du même département a été un atout pour la définition de son identité visée. Nous pouvons même émettre l’hypothèse que c’est en partie grâce à cette rotation que Thomas a pu déterminer qu’il voulait travailler dans les RH et que finalement le marketing ne lui plaisait pas et qu’il n’arrivait donc pas à se projeter dans cette voie.

2.4.2. Sources et types de tensions identitaires

Bien que, dans l’ensemble, son apprentissage se soit bien passé, Thomas s’est vu confronter à différentes situations au cours de ce dernier, qui ont été source de tensions identitaires pour lui.

Nous en avons retenu trois, que nous allons étudier en détails dans la suite de ce travail.

2.4.2.1 Transformation identitaire endogène au sein d’une même activité : employé versus apprenti

Thomas effectue son apprentissage sur son ancien lieu de travail. Par conséquent il connaît déjà toute l’équipe, il est bien intégré et fait donc partie de la communauté de pratique de ce service.

De plus, il n’a pas réellement besoin d’être formé car il connaît déjà toutes les procédures et tâches qui lui sont assignées. Ainsi, le fait de réaliser son apprentissage dans un lieu avec lequel il est déjà acculturé est bénéfique pour lui. En effet, il ne doit pas se familiariser avec un nouvel environnement de travail et donc il n’encourt pas le risque d’être mal accueilli ou de ne pas réussir à s’intégrer.

En revanche, tous ces points positifs aux yeux de Thomas, ont également un versant plus négatif. Effectivement, comme nous venons de le voir, Thomas passe du statut d’employé à celui d’apprenti. Pendant deux ans et demi, il est considéré et reconnu comme un employé de l’entreprise et après il passe au statut d’apprenti, avec les avantages que nous évoquions ci-dessus. Le problème, comme l’explique Thomas lors de l’entretien, est que : « [l]es gens ils

attendent plus de toi. Parfois ils savent même pas que tu es apprenti ou même ils oublient et tu te dis qu’ils devraient quand même le savoir » (Entretien, 50-52).

Thomas ne sait pas comment gérer cette situation. Ses collègues lui donnent plus de travail par rapport à son cahier des charges. Il a plus de responsabilité qu’un jeune apprenti qui vient d’intégrer l’équipe. Ce qui peut sembler positif, ce comportement étant une marque de confiance, se révèle également négatif, car en agissant ainsi, ses collègues mettent une pression supplémentaire sur les épaules de Thomas. Il se retrouve dans une situation délicate, car il ne veut pas leur dire qu’il n’est plus l’employé, mais l’apprenti, allant deux jours par semaine à l’école. Au regard des propos de Thomas, il semble que son employeur et son formateur aient occultés le fait qu’il est pleinement engagé dans un dispositif « école-entreprise ». Cependant, il ne désire pas leur faire remarquer qu’ils lui donnent trop de responsabilités et que la charge de travail est trop conséquente sachant qu’il doit aussi travailler pour l’école et qu’il ne peut donc pas se consacrer à 200% pour l’apprentissage.

Et pis euh quand je travaillais les samedis là-bas… bah j’avais un contrat d’employé…

pas un contrat d’apprenti. Et pis des fois ils oubliaient que j’étais plus l’employé mais que j’étais l’apprenti. Donc ils me donnaient plus de travail… ils me faisaient plus confiance peut-être que si j’étais le petit nouveau. Donc bah euh d’un côté c’était positif et agréable de se sentir un peu reconnu et de voir que j’étais parfaitement intégré à l’équipe. Mais d’un autre côté, c’était difficile par moment de leur faire comprendre que j’avais l’école à côté. Que j’avais par moment beaucoup de travail, que je devais réviser pour les examens par exemple. Donc à ce niveau c’était un peu pesant parce que je pouvais pas trop leur dire j’ai pas le temps de faire ça ou non ça ne fait pas parti de mon cahier des charges… Je préférais ne rien dire et puis faire ce qu’ils me demandaient. (Entretien, 68-78).

Même pour Thomas cette transformation identitaire au sein de l’entreprise est problématique, il ne sait pas comment se comporter vis-à-vis de ses collègues. Il ne sait pas s’il doit adopter les mêmes attitudes que lorsqu’il était employé ou si au contraire il doit agir différemment.

Nous pouvons supposer qu’à cet instant Thomas vit un écart entre son soi idéal vu par soi et son soi idéal ou normatif vu par autrui (Bourgeois, 2006). Ainsi, au regard des propos de Thomas, nous pouvons supposer que les tensions qu’il vit à ce moment-là entre son soi idéal vu par soi et son soi normatif vu par autrui, proviennent de cette participation trop rapide.

Effectivement, comme Thomas avait auparavant travaillé dans ce service et qu’il est déjà

acculturé il n’a sans doute pas bénéficié d’une participation périphérique légitime. Bien au contraire, son formateur et ses collègues lui ont très rapidement confié des tâches à responsabilités comme s’il faisait partie intégrante de cette communauté.

2.4.2.2. Tensions liées au contexte de l’alternance

« Je pense que c’est une très bonne formation » (Entretien, 59-60).

Thomas apprécie la formation d’employé de commerce. Il semble épanoui et très satisfait d’avoir pu acquérir de l’expérience professionnelle en situation de travail. Il ne semble pas regretter sa décision d’arrêter le collège et de s’engager dans cette voie, même si par moment l’apprentissage est « fatiguant » ou même s’il vit des périodes intenses qui sont « pesantes » et qui le font douter de ses capacités à réussir et aller au bout de son apprentissage. Comme il nous l’explique, ses trois ans d’apprentissage furent très positifs, il en ressort grandi, mais par moment il reconnaît avoir éprouvé des tensions liées au contexte de l’alternance, dont notamment des difficultés qui découlent de l’organisation temporelle et de la gestion des délais et des activités qui se chevauchent.

[E]uh en milieu de deuxième année ils ont lancé dans l’entreprise où je travaille un…

un projet informatique de grande envergure et ils m’ont mis… ils m’ont intégré au projet. Du coup j’avais des ateliers sur le projet informatique à faire, à réaliser […].

Mais du coup j’avais beaucoup de travail à faire pour ça. En plus du reste. Après ça n’a rien à voir, j’aurais très bien pu dire non ça, ça m’intéresse pas, je veux pas. Mais au final ça avait encore, ça rajoute encore quelque chose. (Entretien, 500-507) C’était plus des périodes de… ras-le-bol. Avec du travail encore du travail du travail et ça aussi je me dis parfois les profs ils se rendent pas compte que euh qu’on a

beaucoup de travail aussi en dehors de l’école. (Entretien, 498-500).

C’était difficile de gérer l’emploi du temps parce que c’est... c’est quand même lourd.

Surtout que parfois comme je travaille dans un magasin y a des journées où je termine à 19h30 et le lendemain tu es à 8h à l’école, c’est pesant. (Entretien,514-518)

Au moment de débuter son apprentissage, Thomas sort tout juste du collège et il n’a auparavant jamais été confronté à la réalité de l’alternance ou d’une formation post obligatoire. Il s’engage donc dans la formation d’employé de commerce avec beaucoup d’innocence en pensant que cela va être aisé, mais il se rend rapidement compte que c’est une formation très intense et que

comme beaucoup de gens il a sous-estimé l’apprentissage. Effectivement, contrairement à ce qu’il pensait, il s’agit d’une formation qui demande beaucoup de rigueur et d’organisation.

L’organisation temporelle, la gestion des activités et des délais sont des exigences indispensables pour réussir son alternance.

2.4.2.3. Besoin de reconnaissance, envie de prouver ses compétences

Dans le dispositif de formation d’employé de commerce il n’existe pas de réel lien entre l’école et le lieu d’apprentissage. Ces deux institutions ne communiquent pas beaucoup, si ce n’est par la voie administrative. Par exemple, l’école envoie régulièrement le relevé de notes et les heures d’absence de l’apprenti à son employeur. Ainsi, si l’apprenti manque un jour de cours sans raison valable, l’employeur en est informé et il a la possibilité de sanctionner son apprenti s’il estime que cela est nécessaire. De même que si l’apprenti obtient trop de notes en dessous de la moyenne, cela peut avoir des conséquences négatives sur son apprentissage.

Au cours de l’entretien, Thomas évoque cette modalité propre à sa formation. Il nous dit avoir trouvé cette manière de faire pesante puisqu’il n’avait pas envie de décevoir son employeur en ayant de mauvaises notes à l’école. Il se met donc une certaine pression sur les épaules comme il l’explique : « je me dis c’est quand même plus joli, ils vont avoir une meilleure estime de moi si je leur ramène de bonnes notes si je suis pas beaucoup absent ou quoi. » (Entretien, 200 -201). L’image de soi de Thomas est engagée à cet instant, car il désire donner une bonne image de lui-même afin d’obtenir la reconnaissance qu’il espère.

De plus, Thomas semble fortement s’identifier à l’entreprise qui l’accueille. Cela ajoute une sorte de responsabilité et de pression supplémentaire, qui ne sont pas toujours facile à gérer car, comme il nous l’explique, ce n’est pas possible d’exceller partout, dans toutes les branches. Il

De plus, Thomas semble fortement s’identifier à l’entreprise qui l’accueille. Cela ajoute une sorte de responsabilité et de pression supplémentaire, qui ne sont pas toujours facile à gérer car, comme il nous l’explique, ce n’est pas possible d’exceller partout, dans toutes les branches. Il

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