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SPEziALFALL KERzERS

Dans le document Session ordinaire (Page 96-99)

Antrag der Finanz- und Geschäftsprüfungskommission Dekretsentwurf über die kompensierten

3. SPEziALFALL KERzERS

Die Umfahrungsstrasse von Kerzers unterscheidet sich in-sofern von den anderen Fällen, als dieses Projekt teilwei-se vom Entschluss des Bundes, das Nationalstrasteilwei-sennetz neu zu definieren und die Verbindung zwischen Bern und Neuenburg über Löwenberg–Ins (Moosstrasse) statt wie anlässlich des Baus der Autobahn geplant über Kerzers–

Müntschemier–Ins (H10) sicherzustellen, abhängt.

Der Staatsrat nahm am 30. September 2008 wie folgt Stellung zum Vorschlag des Bundes:

Der Kanton Freiburg ist mit diesem Vorschlag nicht einverstanden, weil er die Änderung des schon lange geplanten und mit dem Viadukt von Kerzers umge-setzten Trassees der H10 für nicht zweckmässig hält.

Er könnte seinen Standpunkt aber überdenken, wenn folgenden berechtigten Anliegen Rechnung getragen würde:

Der Viadukt von Kerzers muss vollständig in den

Besitz des Bundes übergehen.

Die Knoten und seitlichen Zugänge entlang der

Strasse «Murten–Ins», die in das Nationalstra-ssennetz aufgenommen werden soll (N10), müssen beibehalten werden. Entsprechend der Siedlungs-entwicklung auf beiden Seiten dieser Strassen müs-sen weitere Knoten und seitliche Zugänge errichtet werden können.

Damit die Anrainer die heutige Situation nicht noch

länger ertragen müssen, wird der Kanton Freiburg bei Le Péage entlang der Moosstrasse die sofort umsetzbare Sanierung nach Lärmschutz-Verord-nung des Bundes (LSV) durchführen. Der Bund ver-pflichtet sich, diese Sanierungskosten auf Vorlage der entsprechenden Nachweise zu erstatten, sobald er Eigentümer dieser Strasse ist.

Der Anschluss der N10 an die N1 in Löwenberg

muss verbessert werden.

Auf der Grundlage der Kriterien K3 (Verbinden

der gross- und mittelstädtischen Agglomerationen untereinander, d.h. hier Verbindung von Freiburg mit Neuenburg und Yverdon) und K6 (Sicherstellen der Netzsicherheit auf Hauptachsen, d.h. hier Ver-bindung zwischen der N1 und N12) des «Sachplans Verkehr, Teil Programm» ersucht der Kanton Frei-burg darum, dass die Strassen «Payerne–FreiFrei-burg»

und «Murten–Düdingen» nicht in das Hauptstras-sennetz, sondern in das Nationalstrassennetz auf-genommen werden.

Die Erfüllung dieser Anliegen ist eine Vorausset-zung, damit der Kanton Freiburg auf den Vorschlag, den Abschnitt «Murten–Ins» anstelle des Abschnitts

«Kerzers–Müntschemier» (teilweise auf Berner

Bo-den) ins Nationalstrassennetz aufzunehmen, eingehen kann.

Der Entscheid des Bundes, den der Bundesrat und das eidgenössische Parlament zu treffen haben, wird frühes-tens für 2010 erwartet.

Der Staatsrat nahm mit der Berner Regierung Kontakt auf, um sich ihrer Unterstützung zu vergewissern.

Dem ist anzumerken, dass die Grundstücke, die für den Bau der Umfahrungsstrasse Kerzers benötigt werden, bereits im Besitz des Staats Freiburg sind. Die etwaige Ansiedlung eines Kiesabbauunternehmens im Osten des Dorfes könnte der Idee der baldigen Verwirklichung

ei-ner Umfahrungsstrasse neuen Schwung verleihen, da diese Umfahrungsstrasse, die teilweise zu Lasten des Un-ternehmens ginge, angesichts des zu erwarteten Schwer-verkehrsaufkommens eine Voraussetzung für die Abbau-bewilligung ist.

4. SChLUSSFOLGERUNG

Mit Blick auf eine kohärente Definition des Kantonsstras-sennetzes bittet Sie der Staatsrat, den vorliegenden Be-richt zur Kenntnis zu nehmen.

RAPPORT No 174 9 décembre 2009 du Conseil d’Etat au Grand Conseil

concernant l’expertise actuarielle au 31 décembre 2008 de la Caisse de prévoyance du personnel de l’Etat de Fribourg

Nous avons l’honneur de vous soumettre en annexe une synthèse de septembre 2009 du rapport concernant l’ex-pertise actuarielle au 31 décembre 2008 de la Caisse de prévoyance du personnel de l’Etat de Fribourg (ci-après:

la CPPEF), accompagnée de ses annexes A1 et A2 (bilans techniques en capitalisation et selon le système financier statutaire à fin 2008) et de son annexe B (résumé du rap-port d’expertise). Nous nous limitons à reprendre ici les remarques finales de la synthèse du rapport, soit que:

a) les dispositions de la loi sur la Caisse de prévoyance du personnel de l’Etat (LCP) relatives aux prestations et au financement sont conformes aux dispositions lé-gales, malgré le fait que la CPPEF doive encore for-mellement adapter la LCP à la 1re révision de la loi fédérale sur la prévoyance professionnelle (LPP). Un projet de refonte complète de cette loi est sur le point d’être présenté au Conseil d’Etat par l’organe suprême de la CPPEF;

b) les provisions techniques constituées à la date de l’ex-pertise sont conformes au règlement pour les passifs de nature actuarielle. L’autorité de surveillance doit encore formellement approuver ce règlement;

c) l’équilibre financier de la CPPEF est assuré au 31 dé-cembre 2008 compte tenu de son financement, de son plan de prévoyance, des systèmes financiers appliqués (mixte pour le régime de pensions et capitalisation pour le régime LPP) et de la garantie accordée par l’Etat. La CPPEF est ainsi en mesure de garantir ses engagements;

d) la présente attestation ne concerne pas les futures mo-difications qui vont être apportées à la LCP et qui vont être transmises prochainement au Conseil d’Etat pour approbation. Celles-ci vont faire l’objet d’une évalua-tion actuarielle séparée qui est en cours d’élaboraévalua-tion.

Selon l’article 10 LCP, les conclusions du rapport actua-riel sont soumises au Grand Conseil. Le Conseil d’Etat propose donc au Grand Conseil d’en prendre acte. En outre, l’article 16 al. 3 LCP indique que, suivant le ré-sultat de l’expertise actuarielle, le Conseil d’Etat propose au Grand Conseil la modification des conditions de la prévoyance, après consultation du Comité. Le résultat de l’expertise étant globalement positif, le Conseil d’Etat ne propose en l’état aucune modification des conditions de la prévoyance. Le degré d’équilibre s’élève à 157,9% à fin 2008, alors que le degré de couverture légal en capita-lisation se situe à 78,4%. Avec un taux d’intérêt technique de 4,5%, la CPPEF fait partie des institutions, principale-ment romandes, qui appliquent des taux d’intérêt techni-ques élevés. Si les développements de l’expert montrent que le taux d’intérêt technique actuel peut encore se dé-fendre conceptuellement, il est recommandé au Comité de la CPPEF de suivre de près l’évolution future de la performance de la CPPEF, afin de vérifier si elle demeure en adéquation avec le taux d’intérêt technique appliqué.

Enfin, le Conseil d’Etat va mettre en consultation au dé-but 2010 le projet de révision de la LCP et des règlements principaux. Une entrée en vigueur de la loi pourrait être prévue au 1er janvier 2012. Il faut toutefois encore no-ter que des dispositions sur les Caisses de prévoyance de droit public sont actuellement en discussion au niveau de la Commission de la sécurité sociale et de la santé publi-que du Conseil des Etats, lespubli-quelles exigeront une capi-talisation plus importante des dites caisses. Si une partie de ces dispositions a été prise en compte dans le projet de loi, il n’est pas exclu que d’autres dispositions doivent par la suite être adaptées en conséquence.

En conclusion, le Conseil d’Etat vous propose de prendre acte de l’expertise actuarielle à fin 2008 de la CPPEF, sans modification dans l’immédiat des conditions de pré-voyance.

Annexes: mentionnées

104 Février 2010

CPPEF

Dans le document Session ordinaire (Page 96-99)