8 8
23
18
1 0
5 10 15 20 25
Employé(e ) et Salarié(e )
En recherche d'emploi
Personne au Foyer
Etudiant(e ) et Scolaire
Retraité(e ) Autre
Situation socioprofessionnelle
44%
56%
Fréquentation d'autres lieux de livres
Oui Non
Gauthier Mélanie | Mise en œuvre d‟une enquête des publics dans le cadre d‟un projet de service.
97 Annexe 51 : Connaissance de la médiathèque Elsa Triolet, Enquête menée à Lanester
Annexe 52 : Connaissance des services de la médiathèque Elsa Triolet, Enquête menée à Lanester
Annexe 53 : Fréquentation d‟une bibliothèque municipale au cours de sa vie, Enquête de 2018 97%
3%
Connaissance de la médiathèque Elsa Triolet
Oui Non
64%
36%
Connaissance des services de la médiathèque Elsa Triolet
Oui Non
Gauthier Mélanie | Mise en œuvre d‟une enquête des publics dans le cadre d‟un projet de service.
98 Annexe 54 : Raisons de la non fréquentation de la médiathèque Elsa Triolet, Enquête menée à Lanester
7
28
7
28
16
9
5
13
7 0
5 10 15 20 25 30
Raisons de la non fréquentation de la médiathèque Elsa Triolet
Gauthier Mélanie | Mise en œuvre d‟une enquête des publics dans le cadre d‟un projet de service.
99 Annexe 55 : Raisons expliquant la faiblesse ou l‟absence de fréquentation des bibliothèques municipales, Enquête
de 2016
Gauthier Mélanie | Mise en œuvre d‟une enquête des publics dans le cadre d‟un projet de service.
100 Annexe 56 : Raisons de la non fréquentation de la médiathèque Elsa Triolet par les jeunes, Enquête menée à
Lanester
Annexe 57 : Raisons de la non fréquentation de la médiathèque Elsa Triolet par les personnes âgées, enquête menée à Lanester
1 2 1
5 5
2 3
6
0 1 2 3 4 5 6 7
Raisons de la non fréquentation de la médiathèque ELsa Triolet par les personnes
agées
1
11
3
7 8
2
9
0 2 4 6 8 10 12
Raisons de la non fréquentation de la médiathèque Elsa Triolet par les jeunes
Gauthier Mélanie | Mise en œuvre d‟une enquête des publics dans le cadre d‟un projet de service.
101 Annexe 58 : Représentation des bibliothèques municipales, Enquête de 2016
Gauthier Mélanie | Mise en œuvre d‟une enquête des publics dans le cadre d‟un projet de service.
102 Annexe 59 : Les attentes des non-usagers, Enquête menée à Lanester
1 3
2
1 1 1
3 3
7
1 1 1 1
0 1 2 3 4 5 6 7 8
Les attentes des non-usagers
Gauthier Mélanie | Mise en œuvre d‟une enquête des publics dans le cadre d‟un projet de service.
103 Annexe 60 : Retranscription de l‟entretien avec Elodie LOIRAND (Service citoyenneté - Responsable de la politique de la ville), Nathalie (Référente du dispositif réussite éducative), Maud LE MENTEC, Melinda Iglesias et
Sébastien GOURMIL (les agents de développement local) Date : 26.03.2019
Durée : 17 : 41 minutes
Moi : Pouvez-vous présenter ce qu‟est le service citoyenneté et quelles structures ça implique ? 1
Elodie LOIRAND : Là, ce n‟est qu‟une partie du service citoyenneté, car c‟est une grosse 2
direction-là, ce n‟est que le service politique de la ville de la direction de la citoyenneté et dans 3
le service politique de la ville il y a le dispositif qui s‟appelle contrat de ville donc c‟est un 4
contrat que l‟on a avec l‟Etat et d‟autres partenaires financier comme la CAF et le département, 5
sont réparties, on a quatre secteurs à Lanester (est, ouest, sud et nord). Et sur chacun de ces 9
secteurs, on a une maison de quartier de positionner et donc les agents de développement local 10
interviennent sur ces structures de proximité et proposent des actions en directions des 11
habitants de Lanester. Et autrement donc la réussite éducative, c‟est un dispositif spécifique qui 12
s‟adresse à des enfants qui ont des fragilités pour les accompagner au mieux. Je vais faire 13
simple je ne vais pas tout décrire, pour les accompagner au mieux et les aider à surmonter des 14
fragilités et des difficultés pour avoir une scolarité après un peu plus fluide, voilà être plus à 15
l‟aise à différents niveau, être plus épanouis. Dans ce cadre-là, il y a pas mal d‟actions qui sont 16
développées en soirée aussi bien dans les écoles que dans les maisons de quartier. C‟est vrai 17
que c‟est surtout dans ce cadre-là qu‟il y a un partenariat étroit avec la médiathèque. Peut-être 18
que Nathalie, tu peux préciser ce partenariat ? 19
Nathalie DAMATO : Bah, en fait, on a dans le cadre du volet éducatif du contrat de ville, on a 20
des dispositifs comme le Coup de pouce clef lecture écriture ou en fait, on a un partenariat riche 21
parce que l‟on est en partenariat sur le contrat territoire lecture avec la médiathèque. Dans le 22
cadre des Coups de pouce clef chaque club visite la médiathèque toutes les trois semaines. Les 23
enfants qui sont sur les clubs ont systématiquement une carte de médiathèque qui leur est faite 24
et une carte de médiathèque est également offerte aux parents avec une visite aussi pour les 25
d‟accompagnement à la scolarité dans chaque maison de quartier, plus un local au cœur de la 31
ville qui est situé à Pasteur. Il réalise en fait une visite de la médiathèque, physiquement les 32
personnes se présentent, ils font un petit peu la lecture, on appelle ça la lecture dans tous ses 33
états et dans un second temps nous allons à la médiathèque et la pareil proposition de faire une 34
carte de médiathèque et toutes les démarche administrative qu‟il y a. Donc voilà on essaie de 35
créer un partenariat assez riche. Tout ce qui est exposition aussi, j‟ai trois semaines 36
d‟exposition, nous avons avec le service trois semaines d‟exposition en septembre où l‟on va 37
exposer tous nos projets que l‟on a pu faire dans le cadre du partenariat. Donc des projets sur 38
le coup de pouce, le prix des premières lectures. Là, on a un travail avec ombre blanche qui est 39
en train de réaliser un recueil de contes avec les écoles, les parents et les professionnels ... On 40
va exposer aussi à la médiathèque avec des lectures publiques dans les jardins… On essaie 41
aussi d‟utiliser les jardins de la médiathèque dans ce type d‟action. Voilà un peu le partenariat 42
qui est très riche ma fois et très agréable et un accueil toujours très agréable aussi.
43
Moi : Donc vous êtes plutôt satisfaites du partenariat ? 44
Gauthier Mélanie | Mise en œuvre d‟une enquête des publics dans le cadre d‟un projet de service.
104 Nathalie DAMATO : Oui, la médiathèque est très accessible.
45
Moi : Mise à part ce partenariat-là est ce qu‟il y en a d‟autres qui concernerait donc le service 46
citoyenneté ? 47
Elodie LOIRAND : Bah en fait pas actuellement, il y avait des dépôts de livres dans les quartiers.
48
Je sais qu‟il y a toujours des quartiers Penher par exemple, où il y a beaucoup de livres, mais 49
après, c‟est un fonds qui ne vit pas quoi. Les livres sont à disposition, enfin, ils sont à 50
disposition, je ne sais pas est ce qu‟ils sont accessibles ? 51
Melinda IGLESIAS : Oui.
52
Elodie LOIRAND : Vous les utilisez ? 53
Melinda IGLESIAS : oui, ils prennent, ils viennent changer régulièrement.
54
Elodie LOIRAND : Et le fonds tourne quand même, donc voilà on a un fonds d‟ouvrage dans le 55
quartier, mais au-delà de ça. Il y a eu une période où il y a eu des animations ponctuelles du 56
personnel de la médiathèque qui venait sur des temps spécifiques faire des lectures… Donc, ça 57
ca a fonctionné. Il n‟y en a plus actuellement, mais pourquoi pas. Enfin, c‟est quelque chose que 58
l‟on peut imaginer, notamment, on a des quartiers qui sont assez éloigné de la médiathèque et 59
dans les quartiers, on sait qu‟il y a parfois des difficultés de mobilité des habitants et ducou 60
amener le livre, le faire sortir des murs, et l‟emmener dans les maisons de quartier. Il y a aussi 61
des animations spécifiques, je pense que ça peut être intéressant, ça peut être des perspectives 62
de développement d‟actions. Ça peut être à imaginer, la maison de quartier de Bellevue ou celle 63
du Penher elles sont assez excentrées. Ça peut être aussi faire connaître la médiathèque pour 64
inciter les habitants les plus éloignés à venir fréquenter la médiathèque.
65
Moi : Vous avez des idées de partenariats précises ou pas ? 66
Elodie LOIRAND : Je ne sais pas après in a deux nouveaux collègues qui viennent d‟arriver donc 67
ils n‟ont peut-être pas eut encore visualisé ce qui pouvait être fait et développé sur les 68
quartiers, mais voilà peut-être, je ne sais pas. Vous avez déjà des idées ? 69
Sébastien GOURMIL : A part emprunter des documents pour des ateliers ou des activités 70
particulières pour l‟instant par pour le moment.
71
ombre blanche, mais la finalité ça serait quand même à la médiathèque, on met quand même la 76
médiathèque au cœur de nos actions culturelle. Dès qu‟il y a une thématique sur le livre et la 77
lecture, on va quand même vers la médiathèque pour justement faire découvrir un maximum.
78
Dans le cadre de cette action-là, d‟ombre blanche il y a les écoles, les animateurs qui sont 79
référents sur les écoles et les non-référents, qui ont participé à cet atelier-là. Il y a les parents 80
d‟élèves, donc en fait on va toucher un maximum de personne et à ce moment-là-là on va 81
ramener vers la médiathèque avec une action particulière plus conviviale autour d‟une lecture 82
déplace sur les pass car après quand les enfants y vont bah ils reconnaissent Anne, Hélène, … 86
Ça leur parle quoi.
87
Maud LE MENTEC : Puis il voit que ce n‟est pas que pour emprunter des livres, ils savent qu‟il y 88
a toute une animation autour. Ce n‟est pas juste une bibliothèque ou l‟on prend et on emprunte 89
des livres, c‟est vraiment toute une animation qui se met en place.
90
Gauthier Mélanie | Mise en œuvre d‟une enquête des publics dans le cadre d‟un projet de service.
105 Nathalie DAMATO : Il y a l‟Animatek aussi, des expositions auxquelles on peut participer et aller 91
voir si à un moment donné il y a un thème qui nous intéresse ou quelque chose. Il y avait eu 92
des activités aussi, mais là ça se fait plus trop en ce moment sur la calligraphie où l‟on venait 93
avec des jeunes justement pour qu‟ils s‟essaient à faire de la calligraphie par rapport à certains 94
livres, des personne qui travaillaient là-dessus.
95
Moi : Donc, sur des ateliers ponctuels, parfois, vous venez à la médiathèque ? 96
Nathalie Damato : Oui si la thématique correspond à nos objectifs on peut y aller.
97
Moi : Sinon vous avez évoqué les ateliers pour lesquelles vous empruntez des livres ? 98
Sébastien GOURMIL : Ou là, par exemple, on va faire la décoration sur le galet et ducou on a 99
été emprunté des manuels, des livres, qui expliquaient justement comment procéder avec des 100
Nathalie DAMATO : A savoir que tous les animateurs peuvent faire une carte professionnelle et 105
ils peuvent aller emprunter des documents, c‟est gratuit. Et ça, c‟est une carte professionnelle, 106
n‟est pas négligeable.
107
Melinda IGLESIAS : Et beaucoup d‟entre nous en ont une.
108
Nathalie DAMATO : Elle est nominative mais elle est professionnelle.
109
Moi : Ducou ça vous permet d‟emprunter un peu plus de documents, c‟est ça ? 110
Nathalie DAMATO : Oui et puis c‟est gratuit parce que sinon ça a un coup d‟avoir du personnel.
111
Sébastien GOURMIL : La durée est plus longue.
112
Nathalie DAMATO : Moi, j‟ai des projets que j‟aimerais bien développer. Le bibliobus et il y a le 117
bibliovélo maintenant alors ça, c‟est un projet d‟un collègue en bas et ça, ça serait génial. C‟est 118
en fait un vélo avec une carriole et on peut installer partout.
119
Elodie LOIRANT : c‟est une sorte de structure qui se déploie.
120
Nathalie DAMATO : avec des hamacs.
121
Elodie LOIRAND : où l‟on peut suspendre des hamacs.
122
Nathalie DAMATO : on peut s‟installer tout une après-midi, on peut prendre des livres. Ça se fait 123
à Brest. Ca sur les maisons de quartier ça serait chouette. L‟après-midi en période estival ça 124
serait génial.
125
Elodie LOIRAND : On pourrait le faire venir sur des temps forts sur les maisons de quartier au 126
moment où il y a les fêtes de quartier.
127
Nathalie DAMATO : même les quartiers plage installés ça, ça serait top.
128
Moi : Vous avez plutôt des envies sur des actions « hors les murs » ? 129
Gauthier Mélanie | Mise en œuvre d‟une enquête des publics dans le cadre d‟un projet de service.
106 Elodie LOIRAND : Bah, oui, je dirai que ce sont les deux après les actions « hors les murs » ça 130
permet de faire connaître et amener vers la médiathèque.
131
Nathalie DAMATO : Ça redonne de l‟appétence au livre, car rien que le fait de rentrer dans un 132
hamac de t‟installer avec un livre avec les différents supports de livres qui a maintenant ça peut 133
aussi donner de l‟attraction au livre. Ce qui manque un petit peu maintenant, ils sont beaucoup 134
sur de la lecture numérique. Et en fait le livre, c‟est quand même bien, je trouve que le papier.
135
Il faut que l‟on garde cet attachement-là et cette appétence-là à ouvrir un livre au-delà de ça.
136
Pour les enfants, je trouve ça génial.
137
Elodie LOIRAND : Oui même pour les jeunes.
138
Nathalie DAMATO : Oui jeune, enfants même les personnes âgées. Pourquoi pour les personnes 139
lectrices avoir parfois au cœur du quartier un vélo qui arrive.
140
Moi : Donc en terme de partenariats actuels vous êtes satisfait il n‟y a pas de point négatif à 141
soulever ? 142
Elodie LOIRAND : Ça serait plus aller vers ça pourrait, c‟est vrai que le projet que l‟on évoquait 143
ça serait bien, décomplexer un peu le monde du livre. Et puis à l‟heure où les enfants et les 144
jeunes sont beaucoup sur les écrans, je pense que c‟est important ce que disait Nathalie, les 145
ramener à la lecture enfin au livre. Après oui par des petites actions ponctuelles comme ça.
146
Natalie DAMATO : Après, il n‟y a qu‟une problématique, c‟est que les personnes qui travaillent à 147
la médiathèque ne peuvent pas se démultiplier non plus. Donc il y a une contrainte de temps 148
élargir, ça, c‟est sans doute à moyen constant donc comme ouvrir avoir des horaires plus larges 152
au niveau de la médiathèque peut être que ça restreindra aussi la possibilité de faire des 153
actions en dehors. Après, c‟est un équilibre à trouver. Après nous, on serait preneur d‟action 154
« hors les murs » comme ça, que le livre vienne plus vers les habitants aussi sous des formes 155
un peu originales.
156
Gauthier Mélanie | Mise en œuvre d‟une enquête des publics dans le cadre d‟un projet de service.
107 Annexe 61 : Retranscription d‟une puéricultrice à la PMI de Lanester
Date : 18.04.2019 Durée : 1.23 minutes
Moi : Est-ce que vous pouvez présenter votre travail au sein de la PMI ? 1
Anonyme : En tant que puéricultrice ont travail auprès des enfants de zéro à six ans que l‟on 2
rencontre dans différents moments de leur vie entre ces différents âges. Donc à partir de la 3
naissance après en grandissant au niveau des consultations au niveau des écoles pour les bilans 4
de prévention dans les écoles. Au niveau de leur mode de garde, quand ils ont chez les 5
assistantes maternelles et puis aussi dans le cadre de difficulté un petit peu plus dans le cadre 6
Anonyme : C‟est un partenariat que l‟on a créé avec ma collègue Claudie et puis le reste de 12
l‟équipe il y a de ça une bonne année, je pense. Et l‟idée était de pouvoir faire découvrir la 13
médiathèque et donc de pouvoir amener les familles à accéder un petit peu plus facilement à la 14
médiathèque, car on sait que le livre est un vecteur important dans le développement de 15
l‟enfant que ce soit au niveau du langage ou de son développement général.
16
Moi : Qu‟est-ce que vous en pensez de ce partenariat ? 17
Anonyme : Nous, on est pour pour pour. C‟est hyper riche que ce soit par la présence d‟Hélène 18
qui s‟investit énormément sur ce temps d‟action et puis au niveau des supports qui sont 19
amenées et des réflexions permanentes que l‟on a aussi entre nous pour pouvoir améliorer et 20
répondre aux besoins des familles.
21
Moi : Avez-vous eu des retours positifs ou négatifs de la part des parents ? 22
Anonyme : Je ne fais pas suffisamment de consultations pour pouvoir avoir les retours des 23
familles, mais quand on se regroupe en réunion et que l‟on a les retours de tous les collègues 24
effectivement, on a des retours positifs.
25
Moi : Est-ce que vous avez envisagé d‟autres partenariats avec la médiathèque ? 26
Anonyme : A l‟heure actuelle non.
27
Moi : Vous avez quelques idées ou pas du tout ? 28
Anonyme : Là je n‟ai pas réfléchi à la question donc non.
29
Moi : pour terminer, est ce que vous avez des attentes particulières en termes de services ? 30
Anonyme : Bon comme ça je ne vois pas non plus.
31
Gauthier Mélanie | Mise en œuvre d‟une enquête des publics dans le cadre d‟un projet de service.
108 Annexe 62 : Retranscription de l‟entretien avec Madame LE MARCHAND (médecin à la PMI de Lanester) Date : 18.04.2019
Durée : 1.46 minutes
Moi : Est-ce que vous pouvez vous présenter ainsi que votre travail à la PMI ? 1
Madame LE MARCHAND : Je suis médecin à la PMI de Lanester en tant que pédiatre. Mon 2
travail, c‟est de faire du travail de prévention et d‟accompagnement des parents. Faire les 3
examens médicaux obligatoire, les vaccins, d‟apporter des conseils, … 4
Moi : Est-ce que vous pouvez me parler du partenariat que vous avez avec la médiathèque ? 5
partenariat facilement, car il y avait aussi un souhait de l‟autre côté de pouvoir venir prendre 9
contact avec les jeunes enfants et de leurs parents ici.
10
Moi : Qu‟est-ce que vous en pensez de ce partenariat ? 11
Madame LE MARCHAND : Que du bien.
12
Moi : Vous avez eu des retours positifs ou négatifs ? 13
Madame LE MARCHAND : Déjà on voit que sur ce qui se passe, le comportement des enfants et 14
des parents est différents, en particulier lorsqu‟il y a des moments de chant. C‟est des moments 15
agréables même des collègues secrétaires qui sont de l‟autre côté ça apaise.
16
Moi : Est-ce que vous envisagez d‟autres partenariats avec la médiathèque ? 17
Madame LE MARCHAND : Je ne voie pas trop lesquelles mais pourquoi pas.
18
Moi : Pour finir est ce que vous avez des attentes particulières en termes de services ? 19
Madame LE MARCHAND : Au niveau du partenariat non mais au niveau du service aux familles 20
Madame LE MARCHAND : À si il y a des parents qui connaissent Hélène, on a aussi les petits 24
flyers de la médiathèque donc ils y vont. Alors oui ça serait peut-être bien qu‟il y ait plus qu‟une 25
fois par mois l‟atelier pour les tout petits (samed‟histoires). Car une fois par moi ce n‟est pas 26
beaucoup bien que je comprenne pourquoi. Pour peu qu‟il y ait une séance où l‟enfant soit 27
malade ou les parents non-disponibles. Voilà que ce soit plus fréquent.
28
Moi : Ce partenariat vous voudriez aussi qu‟il soit plus fréquent ? 29
Madame LE MARCHAND : Oui, ça, c‟est clair. Le mardi après-midi il y a Sandrine qui travaille au 30
centre social CAF Albert Jacquard qui vient. Mais c‟est vrai que si Hélène pouvait venir plus 31
souvent ça serait bien. C‟est complémentaire, car elles n‟ont pas les mêmes types d‟intervention 32
même si elles n‟ont pas la même formation. Sandrine est plus sur ce qui est l'éveil sensoriel.
33
Gauthier Mélanie | Mise en œuvre d‟une enquête des publics dans le cadre d‟un projet de service.
109 Annexe 63 : Réponses par mail de Nadia Ouachekradi (directrice adjointe de la Maison de la petite enfance Lucie
Aubrac)