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Chapitre 2. Modèles de jonction voile-plancher

3 FORMULATION ET MISE EN ŒUVRE D’UN MODELE NON LINEAIRE DE JONCTION

3.5 Détermination des paramètres du modèle à partir des données de la section de béton armé armé

3.5.2.2 Seuil d’initiation de la plastification

Les hypothèses faites ici sont celles d’un effort normal nul et d’un comportement élasto-plastique pour le béton avec un diagramme de type « triangle-rectangle » équivalent conformément aux hypothèses de l’EN1992-1-1.

On évalue la courbure correspondant à l’apparition de la fissuration 𝜒𝑝𝑙 et le moment correspondant 𝑀𝑝𝑙 en écrivant l’équilibre des efforts dans la section au moment où la limité élastique des aciers inférieurs ou supérieurs est atteinte, suivant si l’on est en flexion positive ou négative.

On identifie comme précédemment deux cas pour la résolution :

- Dans le premier cas, la limite élastique des aciers tendus est atteinte avant que la déformation limite élastique en compression du béton 𝜀𝑐3 ne soit atteinte sur le parement comprimé : le béton comprimé a donc un comportement élastique linéaire ;

- Dans le second cas, la déformation limite élastique en compression du béton 𝜀𝑐3 est atteinte sur le parement comprimé avant que la limite élastique des aciers tendus ne soit atteinte : une partie du béton comprimé a donc un comportement plastique.

Remarque : on ne considère pas ici le cas où la rupture en compression du béton sur un parement interviendrait avant d’atteindre la limite élastique des aciers, ce cas ne devant jamais se produire dans une section de béton armé non précontraint bien dimensionnée.

3.5.2.2.1 Cas 1 : béton comprimé élastique

On développe tout d’abord les équations d’équilibre de la section dans le premier cas, qui conduisent à la résolution d’une équation du second degré dont les coefficients sont les suivants lorsque la face inférieure est tendue :

𝑎1𝑖 =𝐸𝑐𝑑 2 𝑏1𝑖 = −ℎ. 𝐸2 − 𝐸𝑐𝑑 𝑠𝐴𝑖𝑥− 𝐸𝑠𝐴𝑠𝑥+𝑁𝐸𝑓 𝑠 𝑦 𝑐1𝑖 =2. 𝐸8𝑐𝑑+ 𝑦𝑖𝑥. 𝐴𝑖𝑥. 𝐸𝑠+ 𝑦𝑖𝑥. 𝐴𝑖𝑥. 𝐸𝑠𝑁𝐸𝑓 𝑠 𝑦 𝑦𝑖 Lorsque la face supérieure est tendue, les coefficients prennent la forme :

𝑎1𝑠 = −𝐸2𝑐𝑑 𝑏1𝑠= −ℎ. 𝐸2 − 𝐸𝑐𝑑 𝑠𝐴𝑖𝑥− 𝐸𝑠𝐴𝑠𝑥+𝑁𝐸𝑓𝑠 𝑦 𝑐1𝑠 = −2. 𝐸8𝑐𝑑+ 𝑦𝑖𝑥. 𝐴𝑖𝑥. 𝐸𝑠+ 𝑦𝑖𝑥. 𝐴𝑖𝑥. 𝐸𝑠𝑁𝐸𝑓 𝑠 𝑦 𝑦𝑠 On calcule le déterminant : Δ1= 𝑏12− 4𝑎1. 𝑐1

Si Δ1 est positif ou nul, ce qui doit toujours être le cas, on calcule la valeur des deux racines de l’équation :

{

𝑦11 =−𝑏1+ √Δ1 2. 𝑎1 𝑦12 =−𝑏1− √Δ1

2. 𝑎1

On retient alors la racine dont la valeur absolue est la plus faible, qui est celle qui va correspondre à une position de l’axe neutre à l’intérieur de la section.

Le coefficient 𝑏1 étant toujours négatif lorsqu’un effort normal de compression est appliqué, on retiendra donc lorsque 𝑁 ≤ 0 :

𝑦1=−𝑏1− √Δ1

2. 𝑎1 (2.101)

La valeur absolue de la courbure correspondant à l’initiation de la plasticité dans les aciers (𝜎𝑦= 𝑓𝑦) s’écrit alors lorsque la face inférieure est tendue :

𝜒𝑝𝑙𝑖 = − 𝑓𝑦

𝐸𝑠

𝑦𝑖𝑥− 𝑦1 (2.102)

Lorsque la face supérieure est tendue :

𝜒𝑝𝑙𝑖 = 𝑓𝑦

𝐸𝑠

𝑦𝑠𝑥− 𝑦1 (2.103)

On évalue la déformation au niveau de parement comprimé pour vérifier que l’on est bien dans le premier cas :

𝜀𝑠𝑢𝑝 = −𝜒𝑝𝑙𝑖 (2 − 𝑦1) (2.104)

Et :

𝜀𝑖𝑛𝑓 = −𝜒𝑝𝑙𝑠 (2 + 𝑦1) (2.105)

Si 𝜀𝑠𝑢𝑝≥ −𝜀𝑐3 lorsque la fibre supérieure est comprimée ou si 𝜀𝑖𝑛𝑓 ≥ −𝜀𝑐3 lorsque c’est la fibre inférieure qui est comprimée, on est bien dans le premier cas.

On a alors lorsque la fibre inférieure est tendue, la valeur absolue du moment correspondant à l’initiation de la plasticité :

𝑀𝑝𝑙𝑖 = 𝜒𝑝𝑙[𝐸𝑐𝑑(24 −3 𝑦8 ℎ1 2+𝑦6 ) +13 (𝑦𝑖𝑥− 𝑦1). 𝑦𝑖𝑥. 𝐸𝑠. 𝐴𝑖𝑥 + (𝑦𝑠𝑥− 𝑦1). 𝑦𝑠𝑥. 𝐸𝑠. 𝐴𝑠𝑥]

(2.106)

𝑀𝑝𝑙𝑠 = 𝜒𝑝𝑙[𝐸𝑐𝑑(24 +3 𝑦8 ℎ1 2𝑦6 ) +13 (𝑦𝑖𝑥− 𝑦1). 𝑦𝑖𝑥. 𝐸𝑠. 𝐴𝑖𝑥 + (𝑦𝑠𝑥− 𝑦1). 𝑦𝑠𝑥. 𝐸𝑠. 𝐴𝑠𝑥]

(2.107)

3.5.2.2.2 Cas 2 : béton comprimé élasto-plastique

On calcule d’abord une estimation de la position de la fibre neutre en négligeant la participation des aciers comprimés, dans le cas où la face inférieure est tendue :

𝑦2𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑥𝑖 =−𝑓𝑦. 𝐴𝑖𝑥+ 𝑓 𝑐 𝑓𝑦. 𝜀𝑐3. 𝐸𝑠. 𝑦𝑖𝑥 2 + 𝑓𝑐. ℎ2 + 𝑁 𝑓𝑐 𝑓𝑦. 𝜀𝑐3. 𝐸2 + 𝑓𝑠 𝑐 (2.108)

Et lorsque la face supérieure est tendue :

𝑦2𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑥𝑠 =𝑓𝑦. 𝐴𝑠𝑥+ 𝑓 𝑐 𝑓𝑦. 𝜀𝑐3. 𝐸𝑠. 𝑦𝑠𝑥 2 − 𝑓𝑐. ℎ2 + 𝑁 𝑓𝑐 𝑓𝑦. 𝜀𝑐3. 𝐸𝑠 2 + 𝑓𝑐 (2.109)

Le calcul en prenant en compte les aciers comprimés conduit à la résolution d'une équation de degré 2.

Dans le cas où la fibre inférieure est tendue, les coefficients de l’équation sont les suivants : 𝑎2𝑖 = −𝑓𝑓𝑐 𝑦. 𝜀𝑐3.𝐸2 − 𝑓𝑠 𝑐 𝑏2𝑖 =𝑓𝑐𝜀𝑐3𝑓𝐸𝑠𝑦𝑖𝑥 𝑦 + 𝑓𝑐(2 + 𝑦𝑖𝑥) − 𝑓𝑦(𝐴𝑠𝑥+ 𝐴𝑖𝑥) + 𝑁 𝑐2𝑖 = −𝑓𝑐. 𝜀𝑐3.𝐸𝑓𝑠 𝑦 𝑦𝑖𝑥2 2 − 𝑓𝑐 ℎ 2 𝑦𝑖𝑥+ 𝑓𝑦. (𝐴𝑖𝑥. 𝑦𝑖𝑥+ 𝐴𝑠𝑥. 𝑦𝑠𝑥) − 𝑁𝑦𝑖 Lorsque la fibre supérieure est tendue, ceux-ci prennent la forme :

𝑎2𝑠 =𝑓𝑓𝑐 𝑦. 𝜀𝑐3.𝐸2 + 𝑓𝑠 𝑐 𝑏2𝑠= −𝑓𝑐𝜀𝑐3𝐸𝑠𝑦𝑠𝑥 𝑓𝑦 + 𝑓𝑐( 2 − 𝑦𝑠𝑥) − 𝑓𝑦(𝐴𝑠𝑥+ 𝐴𝑖𝑥) + 𝑁 𝑐2𝑠= 𝑓𝑐. 𝜀𝑐3.𝐸𝑓𝑠 𝑦 𝑦𝑠𝑥2 2 − 𝑓𝑐 ℎ 2 𝑦𝑠𝑥+ 𝑓𝑦. (𝐴𝑖𝑥. 𝑦𝑖𝑥+ 𝐴𝑠𝑥. 𝑦𝑠𝑥) − 𝑁𝑦𝑠

{

𝑦21=−𝑏2− √Δ2 2. 𝑎1 𝑦22=−𝑏2+ √Δ2

2. 𝑎2

On sélectionne alors la racine dont la valeur est la plus proche de 𝑦2𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑥.

La valeur absolue de la courbure correspondant à l’initiation de la plasticité dans les aciers (𝜎𝑦= 𝑓𝑦) s’écrit alors lorsque la face inférieure est tendue :

𝜒𝑝𝑙𝑖 = − 𝑓𝑦

𝐸𝑠

𝑦𝑖𝑥− 𝑦2 (2.110)

Lorsque la face supérieure est tendue :

𝜒𝑝𝑙𝑖 = 𝑓𝑦

𝐸𝑠

𝑦𝑠𝑥− 𝑦2 (2.111)

On évalue la déformation au niveau de parement comprimé pour vérifier que l’on est bien dans le second cas :

𝜀𝑠𝑢𝑝 = −𝜒𝑝𝑙𝑖 (2 − 𝑦2) (2.112)

Et :

𝜀𝑖𝑛𝑓 = −𝜒𝑝𝑙𝑠 (2 + 𝑦2) (2.113)

Si −𝜀𝑐𝑢3≤ 𝜀𝑠𝑢𝑝 < −𝜀𝑐3 lorsque la fibre supérieure est comprimée ou si −𝜀𝑐𝑢3≤ 𝜀𝑖𝑛𝑓 < −𝜀𝑐3 lorsque c’est la fibre inférieure qui est comprimée, on est bien dans le second cas.

On pose alors :

𝑦𝑐 = 𝑦2+𝜀𝑐3

𝜒𝑝𝑙 (2.114)

Où 𝑦𝑐 est la coordonnée du premier point où on atteint la limite élastique en compression du béton −𝜀𝑐3.

On a alors lorsque la fibre inférieure est tendue, la valeur absolue du moment correspondant à l’initiation de la plasticité :

𝑀𝑝𝑙𝑖 = 𝜒𝑝𝑙[𝐸𝑐𝑑(13 𝑦𝑐3𝑦2 𝑦2 𝑐2+𝑦6 ) +23 (𝑦𝑖𝑥− 𝑦2). 𝑦𝑖𝑥. 𝐸𝑠. 𝐴𝑖𝑥 + (𝑦𝑠𝑥− 𝑦2). 𝑦𝑠𝑥. 𝐸𝑠. 𝐴𝑠𝑥] + 𝑓𝑐. (8 −2 𝑦2 )𝑐2

(2.115)

𝑀𝑝𝑙𝑠 = 𝜒𝑝𝑙[−𝐸𝑐𝑑(13 𝑦𝑐3𝑦2 𝑦2 𝑐2+𝑦6 ) +23 (𝑦𝑖𝑥− 𝑦2). 𝑦𝑖𝑥. 𝐸𝑠. 𝐴𝑖𝑥 + (𝑦𝑠𝑥− 𝑦2). 𝑦𝑠𝑥. 𝐸𝑠. 𝐴𝑠𝑥] + 𝑓𝑐. (8 −2 𝑦2 )𝑐2

(2.116)

3.5.3 Détermination des paramètres du modèle

De façon à éviter des problèmes de convergence dans code_aster, le choix a été fait de ne pas coupler dans le modèle les seuils d’endommagement et de plasticité à l’effort normal résultant de la simulation, ce qui aurait pu être fait en faisant évoluer les seuils en fonction de l’effort normal dans l’élément, suivant les équations développées au paragraphe 3.5.2. Sur une structure très élancée avec des problématiques de décollement de la fondation sous séisme par exemple, l’évolution des efforts normaux au cours du chargement serait à suivre au niveau des jonctions pour s’assurer que le paramétrage du modèle reste raisonnable par rapport aux variations de l’effort normal.

On considère donc que les paramètres sont déterminés a priori, en se basant éventuellement sur l’effort normal sous chargement statique concomitant pour la détermination des moments correspondant à l’initiation de la fissuration et à l’initiation de la plasticité.

On propose dans un premier temps de paramétrer le modèle de la façon suivante :

Soient 𝜒𝑐𝑟𝑖 , 𝜒𝑐𝑟𝑠 , 𝑀𝑐𝑟𝑖 , 𝑀𝑐𝑟𝑠 , 𝜒𝑝𝑙𝑖 , 𝜒𝑝𝑙𝑠 , 𝑀𝑝𝑙𝑖 , 𝑀𝑝𝑙𝑠 les valeurs caractéristiques de la section de béton armé de l’élément connecté, au niveau de sa connexion avec la jonction,

Soit 𝛥𝑧 la largeur afférente à l’élément le long de l’axe de la jonction, Soit 𝐿 la longueur caractéristique attribuée à l’élément,

Les paramètres du modèle sont définis par :

{ 𝐾𝑒=1𝐿 ⋅𝑀𝑐𝑟𝑖 𝜒𝑐𝑟𝑖 ⋅ Δ𝑧 𝐾𝑑+=1𝐿 ⋅(𝑀𝑝𝑙𝑖 − 𝑀𝑐𝑟𝑖 ) (𝜒𝑝𝑙𝑖 − 𝜒𝑐𝑟𝑖 ) ⋅ Δ𝑧 𝐾𝑑=1𝐿 ⋅(𝑀(𝜒𝑝𝑙𝑠 − 𝑀𝑐𝑟𝑠 ) 𝑝𝑙𝑠 − 𝜒𝑐𝑟𝑠 ) ⋅ Δ𝑧 𝐾𝑝= 100 ⋅ min (𝐾1 𝑑+, 𝐾𝑑) ⋅ Δ𝑧 𝜃𝑑+= 𝜒𝑐𝑟𝑖 ⋅ 𝐿 𝜃𝑑= −𝜒𝑐𝑟𝑠 ⋅ 𝐿 𝑀𝑦+= 𝑀𝑝𝑙𝑖 ⋅ Δ𝑧 𝑀𝑦= −𝑀𝑝𝑙𝑠 ⋅ Δ𝑧 (2.117)

Figure 2.38 – Paramétrage proposé du modèle non linéaire

La longueur caractéristique attribuée à l’élément représente la taille de la zone fissurée. Compte tenu des observations expérimentales, on proposera en premier lieu d’utiliser 𝐿 = 0.10𝑚.

La détermination et le calage de ce paramètre seront discutés au Chapitre 3.

Néanmoins ce choix de paramétrage présente le désavantage d’ajouter une petite souplesse au modèle élastique de jonction (composé uniquement de l’élément volumique élastique, lié par des relations cinématiques aux nœuds des plaques connectées). Le comportement du modèle non linéaire (dans lequel les éléments rotules non linéaires sont intercalés entre l’élément volumique de jonction, toujours élastique, et les plaques connectées) avec ce paramétrage n’est donc pas exactement identique dans sa phase élastique à celui du modèle de jonction élastique seul.

Pour pallier ce désavantage, on proposera le paramétrage alternatif ci-dessous :

{ 𝐾𝑒= 100 ⋅𝑓12 ⋅ Δ𝑧𝑐3 𝜃𝑑+=𝑀𝐾𝑐𝑟𝑖 𝑒 𝜃𝑑= −𝑀𝑐𝑟𝑠 𝐾𝑒 𝐾𝑑+= (𝑀𝑝𝑙𝑖 − 𝑀𝑐𝑟𝑖 ) (𝜒𝑝𝑙𝑖 ⋅ 𝐿 − 𝜃𝑑+)⋅ Δ𝑧 𝐾𝑑=1 𝐿 ⋅ (𝑀𝑝𝑙𝑠 − 𝑀𝑐𝑟𝑠 ) (𝜒𝑝𝑙𝑠 ⋅ 𝐿 − 𝜃𝑑) ⋅ Δ𝑧 𝐾𝑝= 100 ⋅ min (𝐾1 𝑑+, 𝐾𝑑) ⋅ Δ𝑧 𝑀𝑦+= 𝑀𝑝𝑙𝑖 ⋅ Δ𝑧 𝑀𝑦= −𝑀𝑝𝑙𝑠 ⋅ Δ𝑧 (2.118)

Figure 2.39 – Paramétrage alternatif proposé du modèle non linéaire

Ce second choix de paramétrage permet d’assurer une cohérence parfaite avec le modèle élastique de jonction. Néanmoins la raideur initiale très forte pénalise fortement la résolution du calcul éléments finis, et entraine des difficultés numériques lors de la résolution avec code_aster.

Il nécessiterait de bénéficier d’un élément fini spécifique permettant d’assurer la relation cinématique correspondante entre les degrés de liberté concernés sans avoir à affecter de raideur « infinie » (raideur de pénalisation très forte devant les autres raideurs du modèle). Un tel élément existe dans code_aster mais ne porte pas de degrés de liberté en rotation à l’heure actuelle.

L’ajout de degrés de liberté en rotation à un tel élément et l’implantation de la loi de comportement non linéaire dans l’élément en question pourra faire l’objet d’un développement ultérieur à effectuer dans le code pour faciliter la convergence lorsque ce second choix de paramétrage est retenu. Néanmoins, on verra au Chapitre 3.2.2.2 que l’écart entre les résultats obtenus avec ces deux paramétrages sur une structure est faible ; on pourra donc, en l’attente de développements ultérieurs, privilégier la première méthode de paramétrage présentée.