piuceaii.
Savoir ce qu'on fai! ou ce qu'onaùfairu, etbien fairecequ'on saic
Ilfatil,premièrement, se perfectionneravec
une
incessante persé-vérance dansle dessin,qui estla base de toute imitation de Linature, el, selon les avis de tous lesgrandsmaîtres ancienset modernes, ilest indispensable de
mener
l'élude de la perspectivedo front avec celledu
dessin; oncopied'abord les objets les plus simples,d'aprî's nature el d'après la bosse, puison
dessine lafigurevivante, etles animaux.On comprend
que l'éducation del'œil etde lamain demande une
attention entière, bien soutenue, cl ne se f;iil pasen donnant quelques heures distraitesàun
travail souventinterrompu.Admettant quele lecteur ne soit pas très-avancé
comme
dessina-eur, maisqu'il veuillenéanmoins
s'exercer quelquepeu aumanie-ment
de celle peinture, je lui conseillerai de s'occuper d'abord de peindre en camaïeu ou grisaille, el de prendre pour modèle quehiues gravures àlamanière noire, dites aquatinla, de les dé-calquer soigneusement surdu
papierà peindre,du
cirton imprimé a l'huile, ousurtoile. Les sujets gravés parJazcl, d'aprèsII. Vernet.so'il excellents.
Ce
premier travail étant ainsi préparé, on pro-cédera à l'applicalion de lacouleurgrisailleoucamaïeu; onlanomme
aussi en clair-obscur. Celle expressiondésigne le mélanged'une cou-leur quelconque avec
du
blanc.On
voil, dans la décoration archileC' turale, des tableaux en camaïeuou
clair-obscur représentant, en manière de ironipc-l'œil, des liijurcsou
des Lasreliefsde marbre, de— 2i —
bronze, de bois, d'ivoire
ou
de métal; ces sujets y sont imitésdans leurslumièresetleursombres
avec lamême
couleur plusforteou
plus faible, etcomme
le sujet ledemande.
Il faut donc, pourcopierune
gravureaquatinla,prendredu
blanc sur lapalettepourlesplus grandsclairs,et
du
noirou un brun
quelconque, pour lesombres
;on mêle
les
deux ensemble
pour obtenir les passagesgraduésdela lumière dans l'ombreou
les demi-teintes.Le
but de copieren
camaïeu est de familiariserV.main
aveclapâle etle pinceauou
la brosse.Une per-sonne
qui sait bien dessiner à l'estompe, d'après la bosse, arrivera plusaisément qu'une autre à peindreune
grisaille, d'aprèslabosse.Ilfaut d'abord,
une
fois le trait trouvé etbienarrêté, poser les bruns desombres
à partirdu
contour, etindiquerla masse en peignantcar-rément
lesplansgénéraux, sans tenircompte
d'aborddes reflets qui peuvent exister sur le plâtre ; puison
couclie la masse des plus grandsclairset ensuite celle desombres,en ayant soind'empâterplus que pour les ombres. Ces choses d'abord établies, etpendantque
les couleurs appliquées sont eneore fraîches,on
les fond sur leurs bords et l'une dansl'autre, ce qui contribuera à arrondirlessurfaces.Ou
emploie toujours plusde
minceur
dans lesdemi-leintes, etilfaut tou-jours chasserpréférablement leclairvers l'ombre avec la brosse. Les blaireaux dedifférentesgrosseurs etformasdonnent
lemoyen
le plus simplede fondreles teintes entre elles. Il est essentield'empâter con-venablement,etplus l'on veutreprésenter des lumières saillantes et vives, plusil faut empâteren
mettantpeu
d'huile. Plus vous liquéfiez votre couleuretmoins
ellecouvre,devenant,parle fait,transparente;Rembrandt
empâtait extraordinairementlespartieslesplus éclairées de sonmodèle,comme on
peut le voir dansplusieursde ses peintures, etspécialement danssesportraitsd'homme. En
règlegénérale, il faut bienchoisirlegrain desatoileou
de l'impressionsur laquelleon
veut peindre.Lessujets qui comportent
un
haut fini exigentune
surface lisse.Quelques artistes, tels
que
Meissonier, Mieris, Metzuontchoisi despanneaux
de boisou
decuivre, imprimésconvenablement ou
presquelisses, etil est
bon
de répéter que plus le sujet est petit, etmoins
la surface sur laquelleon
peintdoit être rugueuse.On
n'arrivera pastoutd'un coup,quand on
n'ajamaispeint,à trou-verle degréexactdeliquiditéou
deconsistanceàdonner
àlacouleur.On
observeranéanmoins
quelescouleursen
tubesou en
vessie,qu'on dépose surlapalette, sont assez maniables sans yajouter d'huilepour
es parties claires; quelques-unes sont plusou moins
douées de la qualitécouvrante.Si elles ne couvrent pasimmédiatemeut
ledessous— 25 —
au
premiercoup, laissez sécher etredonnezàsecune
seconde couche en brossant ensens inverse, afin demieux
garnir les intervallesdes petits sillons laissésparlabrosse. Si vous avezàrendrel'aspectd'une surfaceplate, couchez la couleur en brossant avecune
brosse carrée plate et [larcoups rectilignes et parallèles.Ne
donnez pas vos coups de pinceau irrégulièrement, maisméthodiquement;
inclinezlahampe
de voire pinceauà peu prèscomme
celledu
crayon, etappuyez-voussur l'appui-mainou
travaillezàmain-levée, selon lebesoin.Ou
éprouvera d'abord quelque gène à travailler sur lechevalet, contrairementà ce qu'on faitpour dessiner, maisl'onsurmonterafacilement ce petit obs-tacle parquelquesessais; je croisutilederecommander
laplusgrande attention à s'installerdevant son chevalet, soit qu'onveuille travailler deboutou
assis.Travaillez-vousassis? Ilest nécessaire d'être fortàl'aise: la chaise ne doitpasôlretroploinde latoile, afin d'éviterau corpslafatiguede trop sepencher en avant, cequi, en portant le poidsdo la titc et des épaules surles mains, empêcherait la légèretéde latouche et nuirait àla liberté desdoigts. Arrangez-vous de façon que votre torse soit presqued'angle droit sur les cuisses: les mains agiront avec liberté etlégèreté,si vousplacez votredroitedevantvousau niveau
du
creux de l'estomac, et votre gauche tenant l'appui-main inclinéun
peuen
dessous. Les personnesmyopes
sont obligées de ployer les bras da-vantage,dese tenir beaucoupplus près de l'ouvrage, parconséquent, etilleur estpresque impossible,pourcette raison, d'agiràmain
levée pourtracer des courbes étenduessans lunettes. Si vous travaillez de-bout,même
observationpourlaposedesmains.L'habitudedepeindre deboutestpréférable pourdes ouvragesun
peu grands ettouchés à effet;elle estplus favorable, hygiéniquement parlant, lesreins n'é«prouvant pasde ploiement,etplus
commode
pours'éloigner et juger de l'effetvu
à distance. Les fonds unis derrièreune
bosseou un
ob-jetquelconque servant àlesdétacher, doivent être brossés régulière-rement etpeints d'une pièce, car c'est de la valeur de leur tonque
dépendent lesvaleurs relatives desclairs et des ombres.Comparez
toujours les plus grandsblancsauplusgrandes vigueursouaux
noirs les plus profonds, etvous trouverez par induction la valeur voulue pour vos demi-toinles.De même,
en coloraiiun,pour arriveràla jus-tesse des teintes, ayez sous lesyeux
des types de couleurs vierges pureslesplus éclatantescomme
unitédecomparaison,etrapportez les teintescomposées à cestypesde couleursmêmes,
c'est lemoyeu
le plus sûr.Quand
vous voulezobtenirun
fonduni, préparez bien voira couleurau
couteausur lapaieitc, en quantité sufiisante [our ne^asêtre obligéde
vous
déranger pourrefairede lamême
teinte, etcom-mencez
parle haut devotretoile;peignez avecles grosses brossesde soie de porc, sile fond est grand,ou
des brosses plates carrées et larges;on
agit alorsà plein pinceau, de hautvers le bas etde droite à gauche, par touchesjuxtaposées,delalongueurdu
pouce de lamain
plutôtmoins que
plus, et parallèles, defaçonque lacontexture géné-raledu
travail ressembleàlapluie : il s'agit d'abordde couvrir, et cela vous enseignerala régularité et la propreté méthodiques. L'im-pressiondu
dessous se refusera quelquefois à prendre la couleur;sidans labrosse elley esttropcompacte, ajoutez alorsdel'huilegrasse
modérément.
Sivous
en mettiez trop, lacouleur déposée surla toile se retireraitparplaces,en faisantdesyeux
et des vides; maiscela ne se produirapas, si vous prenez soinde frotter d'unpeu
d'essencede térébenthine lasurface de votre toile. 11 est à observeraussi que, sil'impression quisertde litàvotre ouvrage estspongieuse par tampon-nage, lacouche de couleurs'y loge plusvite etplus facilement.Les
effets
du
pinceau sont à étudier dèsleprincipecomme
ceuxdu
crayonquand on
dessine.La
brosse courte etrondedonne
des touches fer-mes, se vide facilement;la brosse longue et plate adela souplesse, elle estcapable de contenir plusdecouleuretvous permetd'agir plus longtemps sansen
reprendre; elle coule davantage, et, étant plus flexible, permet des touchesplus longues, elleamincit plus facilement l'épaisseurdela couleur.Sivous
employez dela couleur très-Uquide avecune
brosse longue,vous
faites ce qu'onnomme un
frottis, qui hisse voiren
transparent le dessous.Sivous
peignez épais avecceltemême
brosse,vous
étalezmieux
votrepâte,,selonque
vous appuyez plusou
moins. Les pinceauxplatsen
martre, ayant le poilplus fin,conviennent
mieux
pour des petites surfaces, qu'on veut très-lisses.Lespinceaux de martre coniques
ne
doivent pas avoir de ventre; ilsconviennent
pour
modeler finementprèsdescontours.On
doiten
avoir de longs etde courts;les longs sent pour filerun
irait, les courts, ayantplus de fermeté, sontpourtravaillerlemodelé ou
regarniruns
ébauche qui estdéjà séchée.Revenons
à notre fond qui entoureun
objet
donné
; lorsquevous
arriverez dansle voisinagedu
contour,nombre
de peintres,par inadvertance, traînent les coups de brosse danslemôme
sensque
ce contour, et pourpeu
qu'il yaitde pâte dansl'emploi de leur couleur,il seforme danslefondune
autre con-texture, bienque
lacouleur soitlamême;
celteinadvertancefâcheuse suffitpour empêcher
lesujet de s'enleveruniformément, en formant autour de luiune
sorte d'auréole qui l'incruste dedans. 11fautdonc
laplus grande circonspectiondanscecas, et fairearriver les coups do
brosse aussi régulièrementprès
du
contouretdansleursens primitif;de
même
que sivous dessiniez parliacliure, pourobtenirun
fond qui passe derrière l'objet,aussibien àdroite qu'àgauche,au-dessus qu'au dessous,etde tellesorte,enun
mot, quevoire fondcontinueà passer derrièreen quelquepoint que vousleconsidériez. Sivouspeigniez ce fondpar touches de brosses horizontales,comme
seraient des lignes d'eauou
la surfacede l'eau, il faudrait qu'où vît bien que les lignes touchées àdroite continuent bien dans cellesde gauche, malgré l'in-terpositiondu
sujet.On
peutpeindre à l'huiled'une infinitéde manières, et,pour deve-nir hahile,il estbon
deles étudiertoutes, l'ourpeindre enpleinepâle,il ne fautemployer quedes brossesen soiedeporc,quiprennentplus decouleuràlafois,et sont excellentes pour ébaucher.
Si l'onvoulait peindre de cette manière, d'après la bosse et do grandeur naturelle,
on
plaquerait d'abord lesombres, puis les clairs, d'une façon grossière, mais bien tranchée,en manière de nio.~aïiiue,employantla brosse platecarréeetla brosse ronde avec à-propos:
on
prendraitensuite cesmêmes
brosses sèches, et, en fai.-antun
feiton en va-el-viont pouropérer la dégradation et la fusiondu
clairavecl'oîiibre,c'esl-à-dirc pour produire les dcnii-leintes; lessurfaces s'ar-rondirontimmédiatement. Il esttrès-important de comprendre qu'une brosse plate,plus elle est large,plus elle couvre dosurface, et moins l'objol qu'on veut peindre sera longà couvrir. Celte [larlic plali- do l.\
brossepeut ôlre
maniée
suivantlebesoin, en liranllahampe
de haut en bas verticalement,ou
en biais,dansun
sensou dansun
autre,oa
horizontalement;mais,on traînantlalouchehorizantalcmcnt, labros.so pla.le enquestion ne trace plus qu'une ligne. Si donc nous latenons dansles doigls d'une certaine façon, elle peut formerune
bande de couleurde toutesa largeur;en latournantun
peu,elle produiraune
b;uiilc nioin-, large; et en la tournant encore, clic donnera
un
filcomme
une lame de couteau qu'on traîneraitdm;
le sens desa lon-gueur;c'estun
iraitd'une grosseurqui sera proportionné à lafoison pluson moins épaissedu
poil qui garnitlabro-sc. Celle observation éclaircira toutlegrand mystère dela louche, qui faitrétonncmenl
et l'admirationdes personnes qui, n'ayanljamaisvu
peindre, sont stu-péfaitesde voirpeindre très-finement avec de très-gros pinceauxou
brosses.Le pinceau ne diffèrede la brosseque parlafinesse,
comme
le che-valdesellediffi'reduchevaldetrait;à l'unapparticniréléganceelle poli delalouche,à l'autre, lestravauxdeforceet d'ulililéfondamentale:lcur associationdo travail estnon
moins utileà l'ensembledu
résultat.— 28 —
Un
pinceau estun
cône de poils comparableau
cône que formele crayon taillé; en usantun
crayon surun
corpsdurcomme du
papier émeriou
lalime,vous y formezun
plan carré favorable à certaines touches dansle dessindemine
de plomb, labrosse platejouelemême
rôle relativement
au
pinceau quelecrayon taillé plat,relativementau
crayonpointu.On
obtiendrait,avec de lapatienreetdu
temps,un
très-grand fond, exécuté avecun
très-petitpinceau aumoyen
de touches très-serrées lesunes
contre les autres. L'amateurquiverraitcetravails'étonnerait d'une très-grande patience, ce qui est généralement rare; mais, d'autre part,ilne
pourrait s'empêcher de riredel'usagemême
decette vertu, qui, bien employée, est le faitdugénie. Qui veutla finveut lesmoyens,
ditle proverbe; les plus courts,quand
ilsmènent
au but, sont lesmeilleurs; la vie estcomposée
demoments,
sachonslesrem-plirderésultats lesplusimmédiats, et
non
de longsennuis.Lorsqu'on a couché son fond brossé régulièrement, ilprésenteà
l'œil, àcause
du
sens dans lequel il aété peint,un
aspect brut quine
saurait paraître
un
travail achevé: tous lescoups de pinceau sont vi-sibles. C'est afin de les faire disparaître qu'onmet
en jeu ce qu'on appelle le blaireau, gros pinceau rond dontles poils, liés fortement àla monture, s'épanouissent en forme de
pomme
d'arrosoir. 11faut choisirle plus souple possible, et ayant lafleurdu
poil bien fine, la surface agissanted'unblaireau arrondi,vue
deprofil, doit êtreconvexe comme une
lentilleou
verrebombé
;on
doit lemanier
àlasuperficie de lapeinture fraîcheen
lepromenant
en décrivant desanneaux
en-trelacés, oucomme
l'on feraitdes bouclesd'écriture, et très-légère-remenl. Il fautd'abord letenirbien perpendiculaire autableau. Cette opération abat les tracesdu
gros pinceau de l'ébauche, et finitpardonner une
espèce de poliau
travail qui dissimulelamanière dontilestfait.
11y a aussi des blaireaux plus petitsdela
même
forme, et d'autres carrés, grands,moyens
et petits, dontl'usageestlemême
pour polir etachever;on
doit toujours les employerà sec, et, àmesure
qu'ils se salissentetqu'ilss'imprègnent de couleur, avoirgrand soinde les biennettoyer.Le
bîaireautage se fait quelquefois autrement qu'en rond, c'est ceque
l'expérience enseigne.On ne
pourrait se passerdeblaireaux pour des cielsnuageux ou
pour des teintes qui doivent se fondreproprement
lesunes
dans lesautres. L'excès debîaireautage estun
défaut très-gravedans certaines occasions;un
terrainou
des ro-chersde premierplandansun
paysage, ne devront jamais êtreblai-—
29—
roautés: lesrugositésetlarudesse do la pâte dans ce cas feront tou-jours bien sur le sol ou pour représenter des surfaces qui
ne
doivent pas être lisses d'habitude. Voulez-vous peindre de belleseaux?
blaireautez-les, aucontraire, afin de faire disparaître toutesles aspérités de la pâle ; vous devez les rendre poliescomme
l'émailou
la surface
du
miroir, et les petits filetsde lumièreoù les étincellesqui scintillentsur toutes les eaux calmes n'en ressortiront quemieux
sivous lesempâtez avecesprit pardessus. Le principal but
du
blaireau estde fairedisparaître lechatoiement quedonnent
àla peinture les poils delabrosse.Il resteàparlerencore d'un<^enre de pinceaux qu'on
nomme
pu-tois, pinceauxroides
eu
poilsnoirs rondsen forme do balai. Us sont faitspourcaresser la suporliciede la couleur,quand
elle estdevenue
plusferme que lorsqu'on l'aposée; ce qui a lieu sixou
septheures après. Les putois, ainsi que les blaireaux, ne s'emploient jamais qu'à sec; maiscomme,
en s'en servant, ils retiennent toujoursun
peu de couleur, pourlesendébarrasserquand
ilsn'encontiennent qu'une petite quantité,on
lesvergettedoucement
surune
pii^ce de drap ten-due avec quelques cloussurune
planchette,puis, onsouffleraensuite fortement dessus ; quelquesartistespromènent
ces pinceaux surdu
snblon, quigroupe elroulela couleur eu boulettes qui sedétachent ensuite facilement.Lorsqu'on cesse do travailler, si l'on veut continuerle lendemain avec les pinceauxet les brosses sans les laver au savon noir (ce qui les useet lesabîmesouvent), il sufTit detremperlapointedans l'huile d'olive; cette huile,
ne
séchant pas, leurconservera touteleur sou-plessesansaucun
inconvénient.Il faut, selon la saison où l'on peint, mettre plus d'huile grasse l'hiverque l'été; iln'estpas nécessairede laver sespinceaux tous les jours; on éviteraavec soin de les laverà l'essence de térébenthine, qui les briile,etde les laisser traîner à lapoussière. Si on doit rester longtempssans peindre, ilest
bon
de l.'s mettre àl'abri de toutes les injuresdu
hasard, lesmitesen ronyent souventlepoil; mais, en les serrant daiiide vieilles bnîtesà cigares imprégnées de l'odeur
du
; mais, en les serrant daiiide vieilles bnîtesà cigares imprégnées de l'odeur