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Les plateformes de rénovation énergétique labélisées OCRE : une analyse des

PARTIE I Quelques éléments de contexte et de matériaux d’enquête dans une tradition

Chapitre 3 Les plateformes de rénovation énergétique labélisées OCRE : une analyse des

labélisées OCRE : une analyse des stratégies, des négociations et des

traductions

En premier lieu, je me suis posée la question du processus de fédération des

acteurs locaux (les entreprises, les collectivités, la société civile…) autour d’un projet commun. Pour y répondre et rester en correspondance avec notre problématique, il a fallu

prendre en compte l’émergence des dispositifs. L’action collective n’est pas un phénomène naturel : c’est une construction sociale dont il faut expliquer les conditions d’émergence et de maintien119. Dans un même temps, j’ai approché les dynamiques, soit les relations, jeux de pouvoir et négociations entretenus par les membres des dispositifs avec leurs partenaires (publics-privés) et leurs publics cibles (ménages, entreprises). Qualifiés d’initiatives locales, nous verrons qu’ils ont nécessairement besoin d’un « réseau de relations territoriales pour

prendre forme et constituer des leviers efficaces pour le développement »120. Afin de soutenir les différents constats, j’ai opté pour une image métaphorique : celle de l’araignée, personnifiée par les dispositifs, qui tisse sa toile.

À travers la sociologie des organisations121, le focus sur l’araignée et ses destinations a permis de faire surgir les stratégies, attitudes et modes de gouvernance latente des différentes parties prenantes. Il en a été de même avec l’évaluation de leurs ressources et contraintes pouvant limiter leur marge de manœuvre. Prenons l’exemple des différentes formes juridiques des quatre dispositifs. Elles ne sont pas que de simples contenants. Elles résultent de choix concertés ou imposés par des membres internes ou externes à ces structures. J’ai fait

néanmoins l’hypothèse que c’est le contenu (projet) imaginé collectivement par les membres des dispositifs qui est plus décisif que le contenant (structure). Il a donc fallu

comprendre ces contenus, les décisionnaires et les moyens mobilisés pour atteindre les objectifs qu’ils se sont fixés.

« Action collective et organisation sont donc complémentaires. Ce sont les deux

faces indissociables d’un même problème : celui de la structuration des champs à l’intérieur desquels l’action, toute action, se développe. »122

119 CROZIER M. et FRIEDBERG E. L’acteur et le système. Les contraintes de l’action collective. Op.cit. 120 VACHON B. Le développement local. Théorie et pratique. Réintroduire l’humain dans la logique de développement. Québec. Gaëtan Morin. 1993 (p.97)

121 CROZIER M. et FRIEDBERG E. Op.cit. 122 Ibid., p.20

60 Dans la continuité de la citation ci-dessus, j’ai observé si les interactions entre individus, groupes et structures différentes poursuivant des objectifs divergents, voire contradictoires, pouvaient s’allier au profit d’un objectif commun et développer des actions communes. N’oublions pas l’attribution des rôles aux acteurs du processus de la rénovation énergétique. Qu’ils les acceptent ou les réfutent, les écarts, tout comme les régularités et comportements dominants, font partie intégrante de mon observation de l’action collective. Peut-on dire que celle-ci se constitue comme un système de pouvoir ? Je suppose qu’au sein de ces relations,

il existe des pressions, conflits, concurrences et alliances qui opposent et rassemblent.

Cela peut être le cas de lobbyings par lesquels les dispositifs étudiés sont placés dans des situations contraignantes en raison de ressources moindres. Minoritaires dans le paysage, ces dispositifs arrivent-ils à se faire entendre ? Globalement, les capacités, ressources ou positions structurelles occupées induisent-elles l’appropriation de la problématique environnementale (bien que centré ici sur la rénovation) ? Est-ce suffisant pour exercer un pouvoir entrainant des échanges déséquilibrés favorisant une des deux parties en relation ? Si oui, est-il possible et comment renverser les situations de dominé-dominant ? Une des réponses est donnée par Crozier :

« À l’intérieur des contraintes souvent très lourdes que leur impose le système, ils

disposent d’une marge de liberté qu’ils utilisent de façon stratégique dans leurs interactions avec les autres »123

Cette marge de liberté, la manière dont elle a été utilisée par les acteurs, ainsi que les stratégies mises en place, ont été questionnées et observées. Comment peut-on avoir la même prestance que les grands groupes énergétiques alors que l’on est bénévole d’une coopérative ou d’une association ? Une série de questions et d’hypothèses s’en est suivi. L’une d’entre elles, inspirée de Crozier et Friedberg, a été la suivante : l’acteur qui a le plus de

connaissances et d’informations sur l’autre ou sur le contexte aura plus d’un coup d’avance et une maîtrise des incertitudes qui lui permettra de dominer dans les négociations124.

Dans cette perspective, il fut crucial de prendre en compte les ressources internes et externes de chaque dispositif, en tant que structure organisée par les membres qui la compose. La question organisationnelle à travers la sociologie des organisations nous a paru importante, mais non suffisante pour notre étude.

123 Ibid., p.30

124 « Plus la zone d’incertitude contrôlée par un individu ou un groupe sera cruciale pour la réussite de

61 Poursuivons en reprenant notre image de l’araignée. À partir d’une vision plus macrosociologique en se penchant sur les fils de la toile, j’ai analysé les réseaux constitués des dispositifs à partir de la sociologie de la traduction ou acteur-réseau125. Cela m’a permis d’éclairer le caractère dynamique du système d’action de la rénovation dans le parc privé. Autrement dit, j’ai pu observer comment les jeux stratégiques identifiés fonctionnent sur des exemples concrets via des chantiers pilotes de rénovation réalisés par le biais de dispositifs. Avant toute chose, il a fallu saisir ce qui a été reconnu comme des problématiques pour les acteurs. Selon Callon, elles

« résultent de la définition et de la mise en relation d’acteurs qui n’étaient pas

encore liés les uns aux autres. Problématiser c’est définir une série d’acteurs et dans le même mouvement identifier les obstacles qui les empêchent d’atteindre les buts ou objectifs qui leur sont imputés. »126

Cette identification a été possible par une description de chaque acteur de la rénovation et de la traduction effectuée par chaque dispositif face aux problèmes et solutions rencontrés au sein de leur territoire. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles je me suis

demandé s’ils s’ancrent sur leur territoire. Mobilisent-ils les acteurs au sein de leur

périmètre pour trouver des solutions à leur problématique ? Si oui, de quelles natures sont les réseaux constitués ? Ont-ils un rapport avec les ressources de leur territoire ? Nous constaterons rapidement que toute une dynamique « problèmes-solutions » est impulsée dans ces endroits où agissent les dispositifs étudiés, suscitant la mobilisation de plus en plus d’acteurs privés et publics. N’oublions pas que même s’ils peuvent former un groupe porteur d’actions collectives répondant à une problématique définie ensemble, des tensions persistent. Car avant d’être uni à un groupe via un projet commun, chaque acteur a sa vision et son intérêt à participer à ces actions.

« Le périmètre de l’enjeu, l’analyse de ses causes et les voies d’action possible

diffèrent, même entre des groupes apparemment proches. (…) L’arène est conçue comme l’espace de confrontation de l’ensemble des positions divergentes qui s’expriment sur un enjeu. (…) Les multiples interactions qui se développent dans les arènes publiques tendent toutes à produire une problématisation d’un enjeu : sa délimitation, ses dimensions, des imputations de responsabilité et des voies de changement. »127

125 AKRICH M., CALLON M., LATOUR B. Sociologie de la traduction : textes fondateurs. Op.cit.

126 CALLON M. « La domestication des coquilles Saint-Jacques et des marins-pêcheurs dans la baie de Saint-

Brieuc. » Op.cit., p.183

127 CALLON M., LASCOUMES P. & BARTHE Y. Agir dans un monde incertain – essai sur la démocratie

62 À travers diverses expérimentations que pilotent les dispositifs (et qu’eux-mêmes sont par ailleurs), j’ai observé et participé à des campagnes d’intéressement. Dans ces dernières, plusieurs acteurs s’enrôlent sous l’impulsion d’autres acteurs via un ensemble de négociations. Déceler leurs formes selon l’acteur en présence est l’une de mes préoccupations. Est-ce qu’un argument qui permet de convaincre un élu aura la même valeur pour un particulier ? Est-ce un agglomérat d’intérêts ou leurs fusions qui entraînent des actions collectives ?

Entre rapports et actions collectives, il fut impossible de faire l’impasse sur la notion de négociation. Mais qu’est-ce que négocier ? Pour Thuderoz, il s’agit d’un :

« mode de prise de décision collective, où les parties elles-mêmes, avec ou sans

l’intervention d’un tiers (on parlera alors de « négociation médiée »), et volontairement, après une phase de confrontation, sélectionnent, parmi différentes options possibles, une option, à propos de laquelle elles s’accordent, celle-ci ne correspondant pas à leurs prétentions initiales – mais qu’elles élaborent. »128

Aujourd’hui, le terme négocié est inscrit dans le quotidien. Il est de l’ordre de la décision personnelle et collective : on négocie son avenir, un virage, une vente… Négocier, c’est faire correspondre une intention et une perspective. De ce fait, cela répond à un processus et une relation d’échange. La négociation née lorsqu’un individu – un négociateur – souhaite une chose d’un autre et qu’il est prêt à concéder une partie de ce que ce dernier désire. Il s’agit d’un échange raisonné, pouvant être lié à un conflit dû aux intérêts distincts. En effet, atteindre ce juste milieu permettant un effet de gagnant-gagnant, impose une négociation avec soi-même et l’autre partie. Chaque conflit n’est pas négatif. Bien au contraire, il peut être constructif via des terrains d’entente, une co-construction d’idée, etc. À quel degré une négociation à venir est préparée pour maximiser sa réussite ? Je me suis aussi demandé ce que

les négociations produisent au niveau des dispositifs et des publics cibles, en tant que processus d’actions collectives conduisant à des gains mutuels. Pour y répondre, il m’a

fallu identifier les comportements, pratiques et tactiques employés selon les acteurs. Nous verrons que les négociations engagent des compromis divers, qui peuvent être renégociés sur un territoire pour permettre une action mutualisée dans l’objectif d’une massification de la rénovation énergétique. Ainsi, mon choix s’est porté sur une approche considérant tous les individus – savants et profanes – comme des acteurs en interaction avec leur environnement – social et technique – et dans leurs intérêts – propres ou communs. Ils

63 négocient, trouvent des accords, entrent en conflits, etc. dans des arènes au sein desquelles les non-humains ont toute leur place, considérés comme des :

« entités nouvelles qui font parler ceux qui s’assemblent autour d’elles et qui

discutent entre eux à leur propos. (…) Est acteur tout ce qui en modifie un autre dans une épreuve. »129

Les environnements étudiés regroupent, entre autres, le territoire, les logements, les objets techniques, etc. faisant partie de ces non-humains auxquels une voix est donnée. J’ai enquêté sur l’implication de ces derniers dans leurs relations avec les acteurs humains et sur la traduction qu’ils en font. Mais aussi sur la traduction qu’ils en font. Ainsi, j’ai formulé l’hypothèse que la traduction des acteurs non-humains diffère selon les acteurs humains

et encourage la mise en place de solutions distinctes.

Arènes pour certains ou forums pour d’autres, le fait est que les dispositifs reposent sur une

multitude d’acteurs appartenant à diverses disciplines des sciences sociales et techniques. Ce qui questionne aussi leur expertise. La SCIC de Sombrelieu est un cas d’étude idéal, notamment par son caractère hybride. Du profane au savant, et vice-versa, les savoirs spécifiques et d’usage s’enrichissent mutuellement par des registres abordés multiples et transversaux à l’enjeu de la rénovation d’un quartier – techniques, sociaux, économiques, politiques…

Ce passage de profane à savant a pu être mis à l’essai dans une commune pilote130. Elle se rapproche d’un laboratoire, pour une co-construction d’un projet de ville en transition incluant la rénovation énergétique. Ce terme de transition ne semble pas recouvrir la même signification, ni le même contenu pour les acteurs. Je me suis demandé si ce projet ne

remettait pas en cause un régime technopolitique, car il nécessite un changement (visions, pratiques…) à l’échelle des habitants et des pouvoirs publics en place. C’est la

raison pour laquelle il a fallu faire appel à différentes parties prenantes négociant les conditions de réussite du projet. Après tout, « il n’y a guère d’autres solutions que de faire

participer [les individus] à l’élaboration du changement qui les concerne. »131

C’est ainsi que des ateliers, pouvant être considérés comme des forums hybrides, ont été :

« de remarquables laboratoires pour mettre au point et tester des procédures dont la généralisation à des situations plus difficiles pourra ensuite être considérée. Ils

129 LATOUR B. Politiques de la nature. Comment faire entrer les sciences en démocratie. Op.cit., p.104 130 Je le détaille au chapitre 7, partie II.

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devraient permettre de progresser dans l’art de gérer politiquement, et démocratiquement, la difficile question des minorités. » 132

Majoritairement, ce sont les courants sociologiques de la sociologie des acteurs stratégiques et de la traduction qui ont été employés pour étudier les actions collectives de ces dispositifs. L’un complète l’autre et permet autant d’analyser une dimension statique passée, qu’une dimension dynamique, en cours. Nous verrons que des situations qualifiées de problématiques, qui furent identifiées hier, le sont toujours aujourd’hui et que pour les résoudre demain, il requerra de lever plusieurs obstacles.

De plus, pour comprendre l’ensemble du processus de la rénovation énergétique et des dispositifs qui portent l’objectif de sa massification, il était nécessaire de prendre en compte les enjeux des politiques publiques. Cette thèse constitue une de leur commande et les dispositifs étudiés ont pu se développer grâce au soutien de l’ex-Région Lorraine. J’ai fait le choix d’aborder la question de la place des politiques publiques par le prisme des actions collectives. D’autant qu’un évènement a dû être considéré au cours de la thèse : la fusion des Régions en 2016. Aujourd’hui, la Lorraine fait partie de la Région Grand-Est. Pour analyser la mutualisation de politiques publiques et sa conséquence sur les dispositifs en cours, je me suis appuyée sur une sociologie compréhensive, en m’attachant au sens de la parole associée au geste.

« Si l’on adopte cette vue de sociologie compréhensive sur le contexte politique,

en interrogeant la façon dont les acteurs s’y orientent, le perçoivent et l’évaluent et dont ils l’érigent en cadre, en ressource, en objectif et en enjeu des conflits auxquels ils participent, ce concept devient un élément pertinent pour la lecture des dynamiques de mobilisation. »133

Que ce soit en amont ou en aval de l’appel à projets OCRE, les fondateurs des dispositifs ont préparé leurs actions en lien ou en anticipant les politiques publiques. Pour répondre au mieux aux critères, ils ont construit leur dossier avec l’appui d’un chargé de mission à la Région, responsable de cet appel à projets. Pour la Région, les plateformes de rénovation énergétique OCRE, « dès lors qu’elles auront été « testées », expérimentées dans leur acceptabilité,

pourront être diffusées plus largement dans le cadre de politiques publiques. »134

Ces dispositifs sont pour la Région de véritables laboratoires expérimentaux. Ils constituent autant de nouvelles connaissances (organisationnelles, techniques…) que de moyens pour une

132 CALLON M., LASCOUMES P. & BARTHE Y. Op.cit., p.330

133 CEFAÏ D. Pourquoi se mobilise-t-on ? Les théories de l’action collective. Op.cit., p.282

134 POIROT-DELPECH S. et RAINEAU L. « Introduction », in POIROT-DELPECH S. et RAINEAU L. Op.cit.,

65 montée en compétences locale via un partage et une mise en réseau entre les acteurs. Ils s’inscrivent ainsi dans une concurrence inter-régionale et intra-régionale. L’expérimentation va de pair avec l’innovation que chacun prétend générer par une prise en compte des questions sociales, économiques et écologiques. Je me suis donc questionnée sur ce que les

membres des dispositifs perçoivent comme relevant de l’innovant. En effet, peut-on parler

d’innovation à propos des dispositifs étudiés ? Si on considère que :

« le concept d’éco-innovation peut être défini comme étant l’ensemble des

innovations techniques, organisationnelles, conceptuelles et méthodologiques contribuant directement ou indirectement à une amélioration de l’état de l’environnement. »135,

alors il est possible que les actions menées par les dispositifs entrent dans ce cadre. À nouveau, c’est en prenant appui sur la sociologie de l’acteur réseau que j’aborde ce point au chapitre 9.

Néanmoins, continuons notre réflexion. En quoi la création des caissons préfabriqués de rénovation par le dispositif de la SCIC Sombrelieu relève-t-elle d’un caractère innovant ? La question ici n’est pas tant dans l’objet technique, qui en est le résultat, mais dans sa conception. Autrement dit, dans l’identification de la distance que les membres du dispositif ont parcourue afin d’être en mesure de déchiffrer les différents stades, ses acteurs et (re)négociations. Il s’agira de mettre en avant les réseaux entretenus entre un acteur non vivant, les représentations que l’innovation amène et son imbrication dans l’environnement ; mais aussi comprendre en quoi et comment des utilisateurs, avec l’aide de concepteurs, sont devenus eux-mêmes des utilisateurs-concepteurs d’outils dits innovants.

« Le type d’activité résolutoire utilisé, à savoir la limite dans laquelle sont

présents des éléments productifs, dépend à la fois des caractéristiques du problème et de l’expérience passée du participant. »136

Ces participants, nous tacherons de les distinguer. Nous constaterons qu’il y a des leaders au sein des dispositifs, c’est-à-dire des membres-porteurs des dispositifs qui sont avant tout des organisateurs de mouvements collectifs. Ils mobilisent et revendiquent au sein de leur structure et sur leur territoire. Selon l’hypothèse que je formule, les actions des dispositifs se

reconnaissent à ses leaders, étant l’incarnation des valeurs du groupe, et assurent sa cohésion. Pour en savoir plus, nous avons regardé du côté de la biographie des leaders.

Néanmoins, est-ce que ce rôle est stable ? Peut-il y avoir des leaders pionniers et des leaders

135 COULBAUT-LAZZARINI A. & NEMOZ S. L’éco-innovation au prisme du développement durable. Regards et contributions des sciences sociales. Paris. L’Harmattan. 2013 (p.66)

136 MARCH J-G & SIMON H-A. Les organisations – Problèmes psychosociologiques. Paris. Dunod. 1999

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naissant dans ces dispositifs, notamment en cas de crises ? Si la réponse s’avère être

affirmative, ces derniers ont besoin de connaître les règles du jeu afin de contourner et faire

bouger les cadres pour s’extirper des contraintes territoriales imposées par les politiques

publiques et les partenaires. Celui qui maîtrisera le fonctionnement des acteurs-partenaires, acteurs-financeurs, et acteurs non humains, maximisera ses chances de garder sa position de

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Chapitre 4 : Les propriétaires de maison individuelle : une analyse