SUR LE PftIX DE MAIN-DVEUVRE ET LES FAUX« FRAIS FOUR LA fabiucahon des cablçs en fil de fer

Lafabricationdescâhlesenfildeferétantencore,quant auxprixde main-d'œuvreetfauxfrais,une chosetout-à-faitinct)nnu£fje disinconnue, parcequelespersonnes qui possèdent des donnéessur celle lualièreneles ont paspuMiécs),j'ai

cm

devoir consignericilesrésoltatsexlmits des piècesdedépensedelacomptabilitédupont Marie.

Voicil'étatdel'atelier:ilyavaitdeux métiersétablissurdeuxlignes pa-rallèles,cequi permettait de confectionner deux demi-câbles en

même

temps.

On

^étaitabritésousunegaleriede 66 mètresdelongueur,etde3 mètres de largeur,nonfermée,etoonTorteen cbanme. Sacbarp^ote, constmiteaTec tootelalégèreté possible,en cbéoe re&ndu,avaittout justela solidité né-cessairepourrésisteran-vent-,lesfermes enétaientespacéesà troismètresde milieuen milieu,etsecomposaient chacune de deuxpote.-iuximplantés dans le solà60 centimètres de pro/bndeur,et arc-boutésde dehors en dedanspar depietitescoAtrefidies,plusde denxAriielilriersréunisàdend-bantcurpar imentrait.Lespoteanv,danslesensdelalangueur,étaient coifféspardes coursdesablières,etles arbalétriersréunispar des pannes nunombrede trois pnrjrclirirfnr»vcr«;u!t,dontlesdeux supérieurestenaient lieudefaîlc.

Tousces bois étajcnl(iégale force,snrGcentim.d'«iquarrissuge,elassemblas àsimplesentaillesavec desclous.La pailledelacouverture n'emp^cbant pointlapluiedeIbuetterparcôté,onavaitnUacliéauxsablières,en forme devoiles,delongues piècesdetoiles,qu'onrabattaitdanslestempsdepluie.

Une

grange, attenante auchampoùél;utlagalerie,servaitd'ailleursde magasin pour logerles colisdefildefer,et lesdiversustensileset outils del'atelier.

Leschoses étantainsidisposées,onadansl'espacedesept

mob

etdemi r^unienfaisceaux,tantpourlesgrands ciblesque pourles petitescordes desuspension,ao,ç)5i kilog.defildefer n*.18,

y

^comprisle poi<lsdesGis n*.8,et n". aemplo^esauxligatures.

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4i

Lesao,951kâa|^.-_,pris àLyonal

nndai

à AifMtoti

ont coûte deport etd achat «1,886fr.

^e.

Pourformerlesfaisceaux,les lier,vernir préalaWe-otenl et ;iprèscouplesbrins,onadépensé(les

ou-vrier»étant pajésà%fr. ftS c.par jour},ci *^afi^^fr*38c.

Lesfans

frm

pourgd«ritt,aiagasiD,loyer

du

csban*

tier,outils,chnrpeotei,ferremens,gardeds ebmlitr etœaduiteàntravail,se sontélcTésà

^909

^-n

aétédépensé en

bmlede

lin,litbai|^,cénue,

essencepourlesTernis,ci.

...

«!,»77'fr.gac.

Ainsi, ladépensetotalepourlesao,^Si kiiog.de

«éUesprêtakmettre«iplace,s'estélevéeà fr.Si«.

Partantlekilog.decible,noncomprislesfontes

ponrcnmpièrei,acoùlé,ci tfr.433

En

«jottlaftt lesfentes,ci ufr.0:^6

Bvieipt entMitp«rkilofp. > fr.

Ce

prixseraitun peufort à raisondel'obligationoùl'ons'esttrouvéde repeindreleslîâsoeaia «prèslesavesrdéliés et liésunesecondefois;on.es«

limeiju'ileûtétépossiUe,ensuivantnneautremarche, ^éoQnooiiscrjoofr»

surlesfraisJe peinture:maïs,d'un autrecôte,i!eût

&Qa

âaigirla galerie deamètrespour pouvoiry^{laissertousles}câble* àcouvert. Ainsi,tout compensé,onpeut accorder pleine confianceauprixci-dessus,quandonse déddcia kprocéder

comme

jel'ai

indi^

,ethdonner à ce genre detravail

,toofles soins qu'ilrédame.

Un

entrepreneur pourrait aisémentsecharger d'une semblable fourniture ^"

à Ifr,5oc.lekilo;,'.,i-. parcequ'iltrouveraitdesouvriers àmoins de afr.a5c.par jour;a-,parce«luii tireraitpartidespailles, toiles, Lois, 1ers etoutilsprorenantdesfaieries, matièreset objetsdontje n'aitenuaucun compte.

Lesfaux fraisdanslecompterendu qui précèdeseeODiâevésàpeuprès au

même

tauxquelamain-d'œuvre.Cessortesdedépen-ifs sont la vériliLlc pierred'achoppement de touslesdétails estimatifs;lesprixde main-d'œuvre, quoique uûeœtcouDus, varient cependant encore entre

dm

Mmites très-étendues_,et les

madrés

circoastancealesmodifient tellement qu'enne sauraitmettre tropdeseinkentenirnote,ainaique

du

degré d'inHuance exercé parelles.

On

aelTeclué_,enida8

,pourles culées,retenueset piliersdupont d'Ar-gentat864niélres5ocfnt. cnliesdemaçonneriedemoellon(schistetendre

6

4»

de 6à i5 cent,d'épaisseursurunesurfncedelitJe.',à;mètrecarréjsur larive droite, et â'jamètres cubessur la rivegauche:de partet d'autre l'as-sujettissementà desparemenscirculairesdeTOÙtM,à des angles,etc.,était lenéme.[Fvjr.lescoupeset élévationSf Pl. I.)Maieturlarive droite,

U

fallaitprendrelesmatériauxau niveau des fondationspourlesmonteràtoutes lesbautetirs,depuisamètresjusqu'à 19mètresfo^<ont ;înr!nrive droite, lesmêmesmatériauxétaicjitdéchargés surlasommitéd une herge, élevée elle-mêmede 7 mètres $6 ^cent.au-desMUdes fondations,etdeplueces matériauxconscmientDéceMalremciitan peuplusdevoiiuiieqveceuzde

larivedroite,qui supportaienttoutledéchetdûau passagedela rivièreen Lateau.Parleseul faitde cesdifférencesila(alla,savoir:

Pourlacoofi)«tioildes804*^*^'^ Jouroccsde maçons...iSSaj.98

larive droite | Id. d«tnaowuvres.i64i ^»

Pourlaoonfectioade 82amèti-escubesfJournées demaçons... 985 18 delarivegandie *'**

t

^

asanosones.aôSf »

Ilestvraidedira(et cela étaitderigueur),quelanaçoimerieaété faite avecbeancovp desoin:roeenpatioiideemanceirtree coasktaitàmonterle moellonetle Qortitf-,kfaire lemortieraulabot,etàdvetseretdémonter leséchafauds.

On

voit,parcetexemple,qu'ilasufGdusecoursd'unebergeetd une lé-gèreTariationdanslevolumedumoellonpourproduireunedinùnutionde prèsde_{I sur}leprixdemain«d'«ettvre.Sil'oncompare,d'aiUenrs, «es résul-tat*à ceuxquefeuroissentd'autresespéricnoeafaitesaur des maçonneries bassesàunseulparement ou sur des remplissages,ontrouve desdiflérences énormes, qui fontsentirlanécessitéde procéder avecbeaucoupde réserve quand onétab]il,desprixparanoJogteavecd'autres prixconnus.

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Gopgle

PONT SUSPExNûU DAKGEjNTAT.

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OEI".DELACOBÙZE.

Dans le document DESCRIPTION DU PONT SUSPENDU. CUiNSIKUlT SUR LA I)ORDOGN, A ÀR6ENTAT, DÉPARTSHBIIT DE LA CORREZE. (Page 48-51)