FabricaUaa descâbles,
I«
fildefergénéralementemployéestle n*.18$ ilaétéfourni-parMH.
S^(nin.Ce
filestarrivépar paquetaannulairesemballés dansàe&tonnes.
A
mesure qnecestonnesentraientau magarin,on
lesdéfonçaitt4
d'unseulcôtépoar.enaortir
ks
pA^nebi qu'on dânitsuccessiYément pourlesplongerpendantquelquesminutes dansunbain d'huiledelio houillantc,etoxigénée parlalitbarge,letoutconformémpnt aux in-structionsdeM.
Séguin.Cette opération nepeutse fairequ'enplf>innir, encoreest-elledangereuse; ilestpresque impossiblequelesouyiieiâ emploies nesoient pointatteintsplusou moins delacolique ditedes peintres.Usdmvent
setenirrarleventdelàchaudière,etboirebeancoup delaitpendantladoréedu
travail..
Ghaqoe
paquetétait,ausortirde llnnle,suspenduhun
bAtonetégoutté parseoooœessurlachaudièremême,
puisacccochéàunebaieartificielle poury
prendreledegrédedessiccation convenable.Quoiquebien ogout-tés,1espaquetsabandonnentencoredeThuile quiserasseniljlcdansle bas desanneauxetproduitun mauvaisettétsil'onu'a soinde l'en-leveravecunebrosse.L'emploideTeasenoedevientqudquefoisindis^pensable.Far
un
beau temps, deux outroisjoursauffisaientk ladessîocation dellrailegrasse.Ou
enlevait alorslespaquets qn*onrq»1açattdansles tonn^,etoncontinuaitainsidesuite.. Lesdéfauts apparensdufîldeferdeviennentdifficileskapercevoir quandlevernisestposé;il importedonc deprocéderàl'examendes paquetsquandle ferestnu,et c'est aussiparcet
examen
qu'oi\.a com'-mencé.On
adonuéàchaquegrandcâble64 mètres de longueur,afinque ]a totalitéde chaquecourbe,j
comprislesparties64S'^âtuécsen-deçk despiliers,p&tsecomposerde deus longueursseulement.Le
fiiiaeesua été fiKtnéenligne droiteettendu horizontalement aumoyen
depetites potences semblable-»àcellesdes corderies.Lesrévolutions étaient appli-quéesetcontenuesparran|a;sparallèles,danslesgorgesde deuxcroupières deferfondu,aveclaprécaution, indiquée parM.Sét^uiu,de séparerles rangspardeslames detôle,pour qu'aucunlilne pûtforcerentredeux autresetsyloger.Chaque
brinaététenduh5o kilogrammes pendantlaformationdes faisceaux,etparun procédéquia renducettetenaontoatp4i-fait indé-pendante delaforceetdelavolonté des ouvriers:quand unbrinarrivait àl'extrémitédelaligneiléUiit saisipar unfreindefer(Pl.IV,fig.1); ce frein étaitlui-même tiré par unecordepassant
mr
nue poulie de renvoi,dontlachapependaithl'extrémitéd'une \oIée(IM.IV,fig.i5^t bis).Cette voléeétaitassembléeàunarbrevertical, et,par une
Digitizedby
LiOOgle
i5
d«ni-révolution,dieenrottlaitlebrÎDdanslagorge de
k
croupièreen leHMtntenaDtdans unetensionconstante, régléeparunpoidsde 5o ki-logrammes suspenduk lacorde<îufrein.Lefreinnecessaitdetenir lebrin,quelorsquelebout deten)(^me brin,parvenuà l'autreextrémité delabgne,éuiitsiiisiparleïvciudu secoud mécanisme;et ainsidesuite jusqu'àladernière révolution.
LescroupiireaAaienIpméeshoriaoïilaleaientsur leur plat et
accro-.
diécAkdefortsgoujons,aasujettisens-mtoies à
un s^tème
de diar-pente(Pl.IV»
fig.i5,i5 eti5 ter) qui penaettait,àPaidedefortes vis,delâcherouderappelerlesgoujnns selonlebesoin.Cettemesure étaitindispensable, car200brins, terulusà5ole ilngrnmmes,produisaient untiragede 10,000 kiloeramiues;cet efibrt:ii!;is.s;uitsurlesassemblages des charpeutesetmême
surleterrain, eutrainait toutlesystème:il fallaitdoncpouvoirdetempsentempsrappelerlescroupières, sans quoila«jUsUnoede 64 mètresn^eûtpas étémaintenueetlesdernieis brins eussent ^té bien plustendusquelespremiers.Desrepèresfixes avertissaient desmoindresmoovemens.Ilest faciledeconcevoirquele
même
appareil auraitpermisde tendre lesfilsà100etin'"me
ài5okilogrammes; mais dansce caslesarrêts n'eussent peut-être pas Irnu coup,ileutfallules fortifieretsubstituer auxvisderappel desvisplus puissantesetàfiletscarrés.Les paquets defildeferétaientréunis d'avanceparquatre, cinqou siiselon leur force,sur
un
dévidoir, etainsi livréskceux qui formaient les foisceaux.Cette précaution permettaitdepasser cinq,dx ou
sept révolu tionssans s'interromprepourlierlesbouts.Ces boulaétaient réunisparjuxta position, etainsi serréssurune longueur de10 eeniimèrres,parlesrévolutions succe^ives d'unfildefer n".Iou2,recuit.Pourlacilitcrcetteopérationonavaitrenduportatifs depetiissystèmesde charpentefortlégers,consistantprincipalementeu deuxpoteaux,maintenusverticalementàdistanceetarmés chacund'un freinkelavettes.Lesdenxbootskjoindre étaienttendnsl'uncontre l'autreparosafreins(Pl.IV,fig.16 et16
to
},pendant queVonvrier enronlaitlefildelàligature.Quand
lenombre
des révolutions vouluespourlacoofoctiond'un grandcâbleétaitcompl^'t,on lâchaitlescroupièrespourdétendrele faisceau,etpermettre\\u\hnwides'éparpiller, etceafinde pouvoirles passerencouleur.Immédiatementaprèson
tendaitle fiiisceaupourJei6
lierfortementde 5o en 5ocentiiiilftrpsnvecdufiln*8reciiii,en rapfjMO^-chantlesbrins àl'aidedetaux enhois (Pl.V,fig.i8).Cettedennèiv opérationfinie,lecAbleëtailprilpvp rt<lf''|-vosésuruneairedemadriers, oùonlemaintenait, autant<][uepossible,dansunesituation recti-bgne.
Lesfidsceauxverdcauxdesuspensioii
ont^
tanaé»delamême ma>
«ère, àcettedifliSrenceprès, qu'étant-dediflGSrentei
bngnean
etpour laplupartfort coiirti,iln'étaitpas-ponible4eleurappKqnerTappareil drégale tensionemployé pour\escâblesparaboliques;lesIwinsontdooc ététendusaujuger.Maislesinégalitésdetensionquienrésultent né-eessairemcut âontconiyfn>a>sentre deslimite^;pfuétendues.L'excèsde
forcedecesfaisceauxnnidd'ailleurs Iracojiséquences decesinéi^alités peudangereuses.Ilestboud'observercependant qu'aucunlil ne parais-saitlâdie, etqoeFueilnepoovait reooDnalcre auenn- dëftut, signe cer-taind^une appRnimatïonsuffisanteTerslar^laritécherchfevPourtendre ofeagnefaisoean,
on
aeoroehaklescroupièfes eitrâm
ea -A deuxbecsdefer,fix^eux-mêmes
àdeuxcolliersdebms
,qui pou-vaient couriràvolonté surunepoutrede chêne, delamôme
manière queks
porle-poinies d'untrousse-qiiincourentlelongdelenrtige.On
apu
ainsi,sans elianger d'appareil,sedonnertoulfs leslongueurs possi-bles,et larésisUucedelapoutre maintenaitderesteiccartement des emipières*Ilestbond'ajouter qu'àdiaquerévolutiott
^un
Inrin,cebrinétaitas^sttjettikpasserdansTonl
du
boulondestinéfctmerserlapoutrelledu
tablier.Celte condition eûtétéune grandecausedetemps perduet
de
difficultés,s'ileûtfalludéviderchaque paquet defddefer,et fairepour
r\vAr[\\vrévolutionl'immensecircm't exigépouréviter lesfauxpliset f enibiouillement desbrins.
Au
lieude procéderarinsi,onprenaitle iild'unpaquetpar un desesbouts,etpendaut qu uuouvrier déroulaitle paquetentre sesmains,
un
antrefiiisaitan dehors descroupières,mais enenfilantchaquefois Tceildoboukm
,touteslesrévolutionsnéeenai*respourépuiser lepaquet;chaquerévolutionaiuâpréparéeétaitléebe etséparéedela révolution précédente(pouréviterlaconfusion
)par lesdents d'unpeignecomposé desimples pointes deP.iris,enfontées.sur leboisdescolliers,derrièrelescroupières.Ilnes'agissaitplus ensuiteque deprendre une;iune, en
commençant
parlapremière,lesrévolutions ainsiarrangées,etdeleslogerdanslescroupières eule^tendantconve-Digitizeoby
LiOO^lc
'7
mblement.
On
opérait sur lesecond paquet defildefer,comme
surle - premier,après qaoion cdliaitlesbouts;etainsidesuite.Tris sontlesprocédésqu onaemployés pour formerles fiiisccauxdes càhleidu pontd'Argcntat.Il
me
reste àdiremaîntenantavecfranchise enquoicesprocédés sontfléffclueux,ethindiquerlesaméliorations dontjelescroissucepitbles;maisilme
paraitutile,auparavant, de signalerlesdéfautsduiUdefei\Lesdé&uts appareus
du
fildeftrsontdetroissortes:i*.lescassures parlidlesquitranchentun
filau an;,ou
au ,etc.,de son diamètre,
véritablescriquesanalognesàodlesduferenbarre;A'>.1espaillesoubarbes qui
commencent
enpmntesdéliées ets'étendentenserâdôrçant;3*. les filandrurcsqui«livisentlebrin loiif^itudinalcmcnt endeuxoutroisfilets.Lesdéfauts cachés sont dedeuxsortes: i*.les souflliircsquioccupent unecertaine étenduedelasection;a°.lespartiesquej'appelletrempées, h causedeleurextrêmefragilité.
CesdiversaoddenspeuTentôterà
un
brin le j,lej, etquelquefoisles^
desafi»rce.Ilestdifficileque
lesdéfautsapparensécliappentàTin*vestigatioo serupnlense
de
chaque paquet examinébrinàbrin;cependant ilenpassetonjoursquelques uns.Quant nuxdt' fautsintérieursilsrestent tous innprrrns,à moinsqu'un heureux hasard nelesmetteen évidence dansleuuiniementdespaquets: c'estainsiqu'endévid;intcespaquets etparlasimplerectificationdelacourbure,leshrius cassentquelquefois netcomme
leverre.Cetavertissementestunindicequ'ilnefautpas né-gliger:on
doit alorsinfléchir lesboutsdu
brin cassé avecune forte pince-libec,jusqu'àunecertaine distancedelacassure,pour recouoaU'trerendrait-oà£nttlatrempe;car.il estimpossiblequ'elle soitlimitée
ilanseulpoint.
11résultedecetexposé que,dansl'étendue d'uncâble,touslesfils n'of-frentpointuneéî^nle résistance:sidonc untelcâbleétaitsoumisk une tensioncapabledelerompre,etquelestiisfussentindépendanslesuts des autres,ibserompraient chacun au pointde sa résistance
mi-nima
}donclaféswttinee totaled'unfaisceausecomposeraitdek
siwime dearteisloiiocsmÂltmA-dasesfils;ce.quiseraitun
cas.très>défiivorabte.SiaU'oOttttaire lesfilaétaientrendus dépendanslesuns desautres psrde. fiincB'ligatures,alors,le fortprat^eaot.lefaible, larupture au-raitlieu en unpointunique,làoùlarencontre.fortuitedetousIca pointsiàibles seraitchoseimpœsible.
3
t8
Ainsi,lesligaUiresdosfaisceaux
nont
pas spulomeiitpour olijct<Ie contenir réparpillemeiit des brins,eldelesdéfendrelesunsparles au-iT& detout accident;maisleur fonction essentidOeestde donoer an fois-oeauuneforcequ'iln'aurait oertaineoient point,ailesbrins étaient in-dépendaus.Remarquons
maintenant quela dépendanoedes brins assimileno fais-ceau kunebarredefer:etdemême
qu'onne peutinfléchirunebarre defer au-delJ»du terme permispnrmn
élaslicitr,snnsallongerou rom-pre certainesfibresetenrefoulerdautres;demême
aussi,ou ne peut infléchirunfaisceaubienlié,etdontlesbrins sontd'aiUeursi collés en-semble par unvernis,sansrompre ouallongerkootTsnœ
lesfilsqui oc«cupentlaconvexité
du
faisceau,et sans refoulersur-euz-mémes ceux quisonten dedansdu
pli.On
peut doncposerenprincipequetoutcftbiedefildefer convena-blementlié, c'est-à-dire,dontlesligaturesremplissentl'objetcapital dont onaparlé, doitêtreconsidérécomme
ayantla riL^idité d'une barredefer; etconséquemment untel câblenepeut plusèiieroulé uituurmeuté pardesplis etcontre-plisquelconques, etconséquem-ment
encore,on
ne peut,lorsqu'ildépasseune
oertainelongueur très-limitée,ni le transporter, nilemettre aulevage;Que
sisur certains travauxcependant,on
amis aulevage,tds «péi, descâbles préalableniait vernis etliésettransportésdeloin,etque par suiteiln'yaiteunifilsrompusnifilsl/^chcs,c'estquelesfilsontpu
glisser lesunssurlesautresdansleschangemens defiguredufaisceau; etconséquemmentlesligaturesquisesoot prêtéeshceglissement n'a-vaientetn'ont pointactuellementledegrédetensionqui assurela dé-pendancedesfiis;d'oùilsuitqu'dles sonth peuprèsen purepertepour la fiiroedes finsoeauzqui,rdativement àcette force, sontplacés,etmime
on
lafaitvoir,dansun
csstrès-défiivorable.Cesréflexionsexpliquent parfaitementledésordre observédansles ligatures et lesbrinsdenosgrands câbles,aprèsle cotirt trajet qu'ilsont euàparcourirpourpasserdumétier, l'airedemadriers surlarjuellpil»
ontétédéposés.Cedésordresemanifestait,parlechevuueiienieni des révolutionsdes ligatureslesunessur les autres,parlesinclinaisons di-versesquecesrévolutions,naguèrejperpendîcnlaires kTaxe
du
finsceau, af-foctaieiitmaiotenant,etc.;dTun autre côté,desbcinssortnent etlàîssient l'arcdanslintervalle deslîgstures,ettout cdttannonçaitévidemmeAtleDigitizedby
Googic
dépkoemetttrelatifdes
bons
fiivorMéfwrl'iiinledu
venustocon
li«qoide,etoe
d^tcement
étaitdû
àk
formefi»toiiii<equelec&Ue
avaitpriiedanssonmouvement.Jeregardai d'abordces petitsaccidens
comme
sanscoméqttence,
perstiadéque,lescâblesunefoi-^en place, toutesclios/'^sîirningprfiient parl'eflctdelatnisnju;maisj raisonnaismal:ap[issi'imoislesvernis s'étaientepais^s,ettoutglissement des brinsdului&ceaulesunssur ]esantresdevenaitmanifestemtntimpossible;)arupture d'angrand
nombre
defib etl'inégaletennon delaplupart des antres eût étéle ré-sultatinAlQililedn
partiqu'onaurait pris,delaisserleseliosesin stûtuquo.Pourprévenirdeplusgrandsaccidens,je n'héàïtaipointà làire en-lever touteslesItgattirrs,pn laissantseulementen place decViarnne d'elles deux on troisrevolutioosdefiln".8,pours'opposerseulement à1ccartemcxit desiils.C'estencetétatquelesgrandscâblesontclé transporlÀetmis aulevage,ainsiqu onTespliquera plusloin.
Mes
prévisionssurle refusdesfilsdeglisseretdes'égaliser,ontété justifiéesparTesemple despetits cébles verticauxdesuspension: ceux-Ifc,cependant, n'avaientque quarante brins;celan'a pasempécbé qu'il n'ait falluendélier sur place plusieurs,dontlesfilsrefusaient abso-lument decourirsouslesligstures,poursetendreetreprendreleur placedansle faisceau.pe
ce qui précè<leje croisêtre endroitdeconclure,qu'il nefaut lierlescâblesqued*unemanièretoot-à-faitprovisoire avant leurmise enplane;qu'ilconvientdelaisserauxfils«neentière libertédecourirIm
unssur.lesautres etde8*é||pliserjusqu'aprèslelevagedu
tablier.AlofS
on
peutprocéderauxligaturesdéSnitiv^,etpourqu'ellessoient efficaces,ilfautlesdistribuerde 5o en 5ocentimètresaumoins,donner à cbacuned'ellesde 8àlocentimètresdelonajupur, et n'effectuer les révo-lutionsduiiln°.8,quaprès avoirrapprochélesbrinsdufaisceau leplus exactementpossible,kl'aided'étauxdebois,dontlesmâchoire:» por-tentebacunemie
partieeiotr^ dela demi^grwsettrdu
eftble.J*aipromisd'êtresinoire, je tiendrai parole.Je m'étaistdiement aooootumé
à
envimgarla flexSalité-descâblesenfildefer,comme
celledes cordesde cbanvre(pour desplisd'unefaiblecourbure s'en-tend),ettout cequej'avaislusurcellematière m'inspiraità cetégard u^etellesécurité,qu'iloem'étaitpas
mCmc
venu àlapensée denioc-3.»
cuper de llnaoencequelesnouveUescourbures desfiiiweMxtak
en
placepeuventexercer sur Vé^lité de teimon des brios. Cellein-.flueuceest
énorme
cepcDdant: pour en donner un eiemple,jesupnj'osrrriiqn'tinf:ii«orîuiaitf^lcforméen ligne droite,ouktrès-peu près
,
^ur niLtrrsdvlongueuretsur5 cciiiiinètresdegrosseur;jf>supposerai que,misen placeetparlantd'un point daltacbc^ilviennebuilinha danslagorged'une poulie placéesur Jepilier
deU «mpennon
,pour.ensuite se ratfadieràd'autrescibles,
oomme
au pont de Vienne, par exemple:silediamètredn
faisceauae maintient,oukpeuprès,dansle coursde FinArxion,etquelerayondecourburedecelteinflexionelsa cordesoientl'un el l'autredeGocenlimèlres,ladiUcrencedesclieminâ pnrrouruspnrlesfilssupérieurs otparlesfilsinférieurs s'élèveraù àcfuiiiuèlit s;(Iniicli>sbrinssupérieurs seronttendus déjà 4 laSkilog.l'un,quand ceux dedessousneleseront qu'à zéro.
Au
pontde Tain,ceteffetdellnflenon parait avoir étéâudé
par réparpillemcntspontanédn
fiiisceausurlasorfaoe d'inflexion;mai»aiusî lesfilssontisoléssuroneassesfgeaaielongueur,et
ne
seprot^ent pluslesunslesautres.Au
pontd'Argentat,ilestarrivéqueladifférencedes demi-courbes paraboliqiu's,stipérieiiipsrtinf('ri<»urc«.(V diaqucfaîscesu,s'esttrouvée ù très-ppiiprès égaleàlatlillércncedti»deuxarcs circulaires corrcspon-dans dei'iuUexiuu:cuuséquemmeut^etùcausedela libertéqu'onteue lesfilsdeglisser lesunssurlesautrespendantlelevagedu
tablier,la compensations'estparfaitement établie, et T^galitédeteasiondea brins«étémaintenue;cedontje doiare
n
ieiieiarlehasard.Pour
prévenircettecaused'inégalité danslesteasioos,ilfimdrait évidemment coiiffciiotiner lesfaisceaux suivantla courburemême
qu'ilsdoiventprendreétantenplace,ce quin'offinraitpaade grandes diflicuUés.
Lesautres causesd'inégalitéssont:1°.lesplisoupetit»festousque font certainsfds;festonsqui semaintiennentsousunelensioudeplus .
de5o kilogrammes,et quipeuventdisparaître sonai5okilogranuiMB, plusou
mmns
;s*, lespetitsaliongemensque
subissent auasiles ajoo-turcsdesbrins,boutkbout,pourdca tentioDS snpérieoreaà 5okflo-grammes;
3*.enOn,lesvariationsbrusquesdelatempérature pendant laconfection desfaisceaux.Énoncercesdifficultés, c'estindiqueren
même
tempslesmoyens
deDigitizedby
91
Im
écarter.Lea plw»etc.',sooat
sans iaflueuce«il'onlendW
fils,soituttCaDtattémcnt,soit d^urnsmiiinèrepa'inaaente,euformaatlefaisceau ,
klindegré qui nepnisaeplu» être çurpasséparlestenabnsuliijrîeares vouluesparlasuspenaion; et,quant aux changenieas de température,
0:1peutconHjkcr un ihermomètre,et,suivantson indicalion,ilôLander ouLancierlofaisceauquel'onconfectionne,pour maintenirl'égalitédes longueurs,etconséquemmcatdestension».
0:1peutconHjkcr un ihermomètre,et,suivantson indicalion,ilôLander ouLancierlofaisceauquel'onconfectionne,pour maintenirl'égalitédes longueurs,etconséquemmcatdestension».