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klindegré qui nepnisaeplu» être çurpasséparlestenabnsuliijrîeares vouluesparlasuspenaion; et,quant aux changenieas de température,

0:1peutconHjkcr un ihermomètre,et,suivantson indicalion,ilôLander ouLancierlofaisceauquel'onconfectionne,pour maintenirl'égalitédes longueurs,etconséquemmcatdestension».

Pour

donner uneidéederciTctd'un abaissementoud'une éîtivaiiou luroaqae.dela'température,jesupposeraique pendant une matÎDée de novembre oneflEsetuoplusieurs révolutionsd'un faisceaude

64

mètres delongueur,k5*au-^desausdezéro;quelelendemainun

miremcnt

de temps fasse,àmidi,monterlethermomètreà 12*,lesfilstendusla veilleh5*,seront tous plus longsdeS"'"'46 quelesderniers;

consé-quemment,

dansletravailgénéral desfaisceaiix,lesderniers porteront prèsde 10 kilogrammes chacun,avant<^uelesautresaient

commencé

à travailler.

£n somme, on

vdtqa*il iimt l)eauconpdeprécautionspourrésoudrele problèmede. l'égaletensiondesfik;encorene

peut^n

espérerdele nioudrequ'ajjproisiraativemeni,

m

déduisantlesdiflKrencesk 4ott5

kilo-grammes

parbrin.

Lesfiisdefern". et18,etprobablementtouslesnutrcs, s*;i!Ion-gent proportionnellementàlacharge, depuis0kilogramme,jusqu'au terme oùle

mode

decoLi:i n (!e>; moléculesdufernVstpasencore sensiblementaltém

Ce

termeestau moins de 400 kilogrammes pourles

filsn*. 18,de 5 à 600 Ulogramines deforce absolue; etde 3oo

kilo-grammes

pourlesfilsn*.17,.

du

poidsde43**

^

lemètre courant, et de 400 kilogrammes dejR>rceabsolue.Desexpérienees laitesavec le plus

i^ndsoin,

surdesbrinsde

64

mètresde longueur, ont donné, savoir:

.Tourlen".18, o™"'orSB d'allongementpar mètre pour 10

kilo-grammes

decharge, depuis okilogrammejusqu'à4^*0kilogrammes;

Pourle n".17,o'^'ogSi d'allongement parmètre pour 10 kilo-grammes,de

diai^

,deptns

o

kilogrammejusq^u'à3oo kilogrammes.

'

Onlroure

dansle

Mémoire

de

M.

Séguinle tableaudesallongemens d^infiln*.7yrapportés

.comme

ordonnéesildesabscuses représentant lestension»,etilparaîtraitqnele lieudes allongemensestune courbe dontla

Qonmité

regardel'a» desabscisses.Biaisilest impossibleque

1

SI

lefil

n\

'2puisse constitueruneexception àla loi

commune^

lerésultat ébteinipar

M.

Séguindoit êtrea£fectéde quelquelégère«ffffoir.

SiToacberdb*, d'aprèslesdoonéesprécédente!,

raUong^iMDt

pro>

dnitpar

on

kilogrammesur

un mtoe

de longnenr

de

iU,etpour

no

nOlimètie de«ectioii,

on

trouve,wvoir:

Pourlen". i8. . . . o"^'-oS^tjj

Pour

len*.17. . , .

o^o536.

LeméniecoeiilciiL-nt, déduit des expériencesde

M.

Daleau,a donné pourle fereubarre,o"""'o5oo.

A

l'aidedecesrésultatsoupeut,entoute confiance,serendrecompte der«11oiigemeDt deeotmriiesparaboliques d'unpontsuspendu, sous

un«

cliargeocanue,e^r%ler, en conséquence,

à

jfuiaritles longueursde ces courbes»pourarriverhtuneflèchedonnée. Mais,nonolistàttt fntae-titudcdescalculset lessoinsapportés àresécatk»,onpeut être assuré de nejamnisaUcindrplapréc isionnécessairepourqu'auIcv;!'-,'»^toutsoit bienà saplace.Les personnes qui ont l'habitude des travaux en com-prendrontfacilementla raiiioa.Aiusi,illautdetoutenécessitése

mé-nagerles

moyens

d*acconrdr etRallongerentre certaines limites,soit les tigesvertialesde suqpennon,soit lescâbles paraboliques.Il serait

mieux

encorede pouvoiruserdesdeuxezpédiensàle fois.

Le

cboixde ces

moyens

n'estpasunepetiteafiàire-.l'ordonnance

du

système en dépend,etsouventtelpartiqui, considéréenluinnérae,piaitfort simple,npporteaulevagedesdifltcultcsincroynWes,pi aiisrmeiite consi-dérablementladépense.Lesvis et lesboulonsbrisésontétéemployés jiuxpontsdeTainet

du

Drac. Jert-vicadraisur cetarticle.

Peinture àêsjtk defer,

Taisuivila

mètbode

indiquée par

MM.Séguin,

jelacrois défectueuse;

Thuilesiccativequis'attacheauxfilsl^ouillisprendconsistance sansfaire corps, tellementquellelesenveloppeà lamanièredunepclliculc élas-tique et tendre, doutla ténncitécède à un légerfrottement. Cette pelliculerendtout-à-faiiinelEcaoeslescouches subséquentesdecé^'use dont

on

enduit rintérieuretTextérieurdesfaisceaux} eten.effetle secondTcmis,neportantpas immédiatementsur lefer,estsoumisfc

toutes lesdiances dedestruction qui menacent

Tenv^ppe

d'huile

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Hocattve;deplus, cette buîleempûclietesbrinsd'adhérer epsemfalèan

même

degréques^ilsétaientliéspar

un

vernissolide.

Sij'avaisde DouveaaxcAUes àcoDfectioiiner, jeferaistous

mes

efToris pourtrouverun

mojen

expédîtifetéconomique,d'enduire

préalable-ment

lesbrins d'uneou de deuxcoucbesdepeintureau

minium

j j'es-saieraispour

y

parvenir d'éparpiller chaqtiepaquet delilsenle suspen-dantù tinebarrearmée de deutsoupointespour enisolerles révolu-lions; bref, je tenteraistousles

mojens

d'arriverkoe

baL

Ainsi vernis les 61sdeferpourraient,sans couriraucunrisqued'osidatton, être pliés,tirés,en

un mot

assemblesen&isceau3C etmis aulevage.Après Jelevage,onpasserait sur les &isceauz,

non

liésencore,une bonne con-clicàlacériiserendueun peuliquideparuneadditiond'huile d'olive, afinque la couleurpût s'insinuerjusqu'au centre.

Un

commencerait cetteopération immédiatementaprèslaposedutablier,puison pro-céderaitsansdélaiauxligatures; etunedernièrecoucheviendrait cou-vrirlespartiesestéricttres

endommagées

par lesétauz ou pard^ai^res causes idiéreocesaulevage.

J*appronvefi>rtlepartiqa*ont pris

MU. S^in d'empkjer

lacérnae depréférenceauxautresoxidescolorés,pourlapeinture extérieure des (ilsetdescâbles.Surleblanc,lemoindrepoint d'oxidationsedécèle parun suintement rougequiavertit. Si lesuiutemeatason originedans l'intérieurdufaisceau,ilfautchercher^peuprès quelleestl'ouveriuro supérieureparoùlapluieOUlarosée s'introduisent,et^verserun peu diluilegrasse bouillante^

On e&oe

ensuitelatadiede raaiUe avec

un

peu decéiinse,et

n

elleneréparaitplusc'estune preuve quefbuilea produitTcSet attendu.

Con/ietùm des grandset petits

^aùums.

Lefer en barres paraît devoirlapréférencequ'ilaobtenue, jusqu'à présent, surlefildefer,pourles parlic^îdes retenues qui traversentles

maçonnerim

etdescendent sousle sol,àlacraintequ'ona eue de ne pouvoir maîtriser parfiiitement l'ondationdesfrisoeauxdans

un

miliea constamment

humide

et

d'ailleurstoute inspectioa devientimposd«

Ue.

n

estselon

moi

uneraisonpins déterminanteencore,c'estqu*ttB faisceaudefilsde bt,n*. i8»nesedresse,pamablement quesous

une

teositmde 5okîlog.,au moins, parbrin,et

que

pourtendreà ce dsgié

a4

•eulement,lesfaisceauxdereleoue d'amoot

Ou

d'avald'anpont ordi-naire,ilf;iudr:iitagir prcalal)lement surouxa?ecunepuissancede à (iomillekiiog.,ce quinsLiinpo.ssii>ieiiilativfiment auxdiflicultésde j>ositiou,etc.

Or

on

comprend

derestequ ouiiedoit point envelopper, dansune maçonneriesansélasticité,uncùbledefildeferdontla iou-goeurtat imoeptibled'uoeYariationde pluoeuts caotàmktm.

I/eniploi

du

feren'barrasétaU

doM «me

nécenili

da

système adopté pourlepontd'ilrgeDtat;ilest difficiledese figurerlaquantitéde dé*

iàulsdontceferestrempli.Surenvironaoo pièeetde3'-oo de longueur rlinctine,etde 3osur5omilliniî-'trcs d'équarri^'^igc,piècesspéciîfl.'ment

commandées

pourlesgrandschaînons,auxtorgesle^plusrcuommées du Limousin,iines'en estpas trouvé 3o,exemptes defissuresoucriques transversales

commençant

auxarêtes et s'éiendaDtplusou moins dans rintérieorde clwqae barre, dontlasection se trouvaitainsidiminoéc detouteTétendue

du dé&ut

Cesfer^étaientd'ailleurscalibrésavecsi peud'exactitude,que,pournepesrcsterau-di^sous lasectionvOulne»

ilafalluaccorderunetolérancedeprèsdecinqunUimètros en sus chaque dimensiond't'quarrissage;onadonc payé beaucoupdeferiimlilc.

T^est'ersdelaplupart despetitschaînons, des boulons, destabliers,cfc.

,

ontété tirésdes forges des

Hans

etdeBourzollesdanslesdépartcniens delaDordogneetdu Lot;ilsétaientparfaitsdequaliuietdecalibre»

et je sain« cette occasion d'entémoigner publiquement

ma

reconnais"

sanceh

M.

Delthél, matere desdeuxétabliaaemens(i).

Les grandsobatiions etlesboucles ont» été-«8Bajéa

à

i6kiiog.pav millimèteeeané,

comme

ilaété ditpage7.Surquarant»4ittitgrands chaînonsnoseul a cnssénetdans une desesbranches:en ce pointune crique tranchaitlabarreàplusdemoitié; cintjousixautressesont ouverts aux soudures desuoncaux.

Sursoixante-douze bouclesoupetitschaînons,uneseule acasséau miliende- lasoudure

de

l-ennetn,maistoutescellesqui awaieni été (bfgécsenfer

du

limousinsesontouvertes plus

ou

moinseU' divers points;ilalâllnenrefairequatiMne etenréparer

une dowwne.

Les pettu chaînonsatvaientdepnis 0^*

60

jusqu'à'i***00 de longueur

de

de-*

(0

H

estjustedefaire reiapf(|iier4|iiecesferan'avaientpoiot d'anni fortesifigicn' Mun^enloii^iKiii<{I 1 desgrandscbabioos, ^ullaétépiesfiicUeeeméqaenr*

i£entd'en soignerlaijunlitc.'

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LiOO^lc

a5

daus en dedans des anneaux,et

o"

lod'intervalle«ntrel«un branches dontr^quarrissageétaitde millimètres sur 4o.

De

toutescesexpériencesetdecellesquej'aiété h portéf'defîMrf"dans lecoursde mestravaux,je croispouvoir conclure qu'àrigoureusement parleron nepeut connaîtrelaforced'unel>arredeferqu'aprèsl'avoir cassée;jusque-là

KM»

lesosais possiblesn'apprennentantre chose

si-non

quelabarreéprouvéea

r^té

àla,16 ou 30 kilogrammes par mil*

Itmètiedesection;le reste n'est

^'une

probabOité dontledi^rése nsch sure sur l'apparencedelabarre.

Outrelescrevassesapparentes,ilenestde lellemcntserréesquela loupe

même

nesaurait lesfaire apercevoir;on nelesdécouvre qn'en chauffantleferaudegréconvenable àsaqualité,etenlecouil».utde manièreà placer surlaconventé desa courburelelieu prétiuincdcâ crevasses;die»s*ouvrent infailliblement8*U

y

ena.

Maison

sentqu'une tdleépreuve,pour de

kwgues

barreauqullAndraitsuccessivementinfléi chir surdeuxsens,danstoute leurétendue,coûteraitfortcber,etpar le travail etparledéchet.

Leferestquelquefoistrancliéàl'intérieurpar depetitesportionsde laitierquelemartinet onÎpsivlin1resn'ontpuexpulser,etqui, éten-duesoulaminées aveclabarre,^-tormeut dedangereuscii soluiionsde continuité.Les

chanc»

deces accidens diversdiminuentavecla^rosrf seur

dn

fer:aussioooTicndrait-Udesubstituerleferméplatau.fer carré, danslaconfectiondes ebainonsdesponts suspendus,et

de

s*amnger de maniirequel'épaisseurdu méplatn'excéd&tpas o** oi5.

On

avuquelefildeferavaitaussi ses défauts,et qu*àcesdéfauts s'ajoutent desinégalitésde tension presque inévitables;cependantj'aila conviction,toutecomparaisondedépenseà part,qu'ilyabienmoins dechancesàcourirdansl'emploides câblesenfildefer,que danscelui des chaînonsdeferenbarre.

, Hais, danslesdeuicas,ilfeut se tenirdans

de

lar|plimites relaii-vement aucalculdessections.

Pour

le ferenbarre, imparfeit

comme

il l'estactuellementdansle

commerce,

jenevoudrais pasdonnerplus

de

6 kilogrammes detensionàchaquemillimètre carrédansl'état per-mnnent,et je calculerais d'ailleurs lasectionavecun cinquièmeensus, pour compenserlesdéfautsdeibrge,s'ilsétaientpartrop multipliés(1).

(t)

Ma

propoMtioBn'aurapliudefond^isaoldàsfa'Uteradéoioatréqu'onprut

ra-4

96

Ln

imparfcciiou

du

ferétant,

comme on

iraent

de

le

ItreoMs,ilimporte de nepointjajoaterpar des formesvicieuses

oa

d'une exéculioadifficile.

Je

oçn'adresse pasiciauxingénieurs qui soot placésdïïns leyoi»iDa^edeces{î;mncîs ctablisspmcn<;où toiuw res-sources sout déployées,oùies ena;ins etiesmetrmi-iueslesplus ingé-nieuxhiiiilluis k tadispositionde:>ouvrierslesplushaliiles;maisbienà ceuxqui,

comme moi

,loindetous ces secours, n'aurateut,poarsetirer d'afbire

,qnele Itrasd*imforgeron de

moyenne

forceet

de mojemie

intelligence, etlesouIiIb lesplus indispenésUes.

A

oenz-ifcje conseille fort,quandils'agiradegrosfer,de n'employerjamais des chaînons à deuxbranches, lasoudurepourceschaînonsn'estpraticablequ'aux extrémités,dansîemilieu des parties coudées:or, danscos p;irtiês,on nepeut battrele ferquesurles facesde côté;ilest,parco]ih( (|n(ut

,

impossibledelepareren dedans,

comme

aussidebien rapproctieretde lûenaouder

ks

bordsdeTsmorce danscette partie. C'estenvainqu'on emploieles cliAssesrondesetlesmandrins,lededansde Tanneann'est jamaisassesarrondipourcollerexactementsurson goiqon;.ilfimtdonc ÉToir recours àlalimeet auburin,ousedédderk calerde prodie en proche: grande dépense danslepremiercas, sujétion effrayantedansle second.Iln'estpas besoin dedire cjue letrop justeouletrop largepen*

ventprovoqucrlarupttiredeliiinii ;ni

Lesbarresuniques tenuiiices paruncciiàchaquebout, sont d'une exé-cutionbienplu.s

commode,

etdoivent être préférées sanscomparaisoni

mais dies eugeutencore dessouduresancollet; etilseraitàdésirer

que

toutle travail

du

forgeron lut réduità dessoudures droites, ordinaires,

n

faudraitpourceladonneràchaque dbatnonlaformed'un

8

droit et allongé(Pl.

V

,Og.ao):cetteforme permet,eneffet,de couderlefer dansson plein,etilucrestequ'àréunirlesquatreboutsau.milieupar une soudureunique; cest-à-dire qu'onlied';ibord lesdeux branches de dtaquGpartiepar unepetitechaude,etqu'oùlesamorceensuiteconvc>

'pulacrcomplctcmcntlelaithier et la(boled'aiielouped'unlortvoleiae^ et ^étirerpar unpi'Dcéd^constant(l'affina{(ectdemai't^-la^eunebarreîlefersans crevassesuipaîllctt BMis, taotquecelleperfecttoo dépeadi-a àla Ibisdelaqualitéducbai-bonemployé»

del'adresse,delabonne^'«oloiitéou dela

comdenœ

d'an forgencmqaîestàtel pièces,onverra, cequ'on• tOujoiir« vu danslesfersdefortesdimension*,dei barres 'pai-faiteaaecidentellcncBt, etpinsgraoUnombrepleine*de ddaaii.

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17

cablementpourprocéderà lasouduredesquatre branche» réduites

à dMn.

llaâi

qaand

liinoMBÉiondes

dMlseM

n'a

pu bmtÂû

d*<lretrUeulét»

oo

peutloÊtdonner

dm feme

plut«impie

enooM

:

on

&itporter tête

à

chaquebarre,et«ettetéte estprisedans

an

ezoèide

kr ménagé

h

Y\m

des bouts, dansl'acte

même

dumartelage. Les tigesainsiterminées peuventêtreliéesentreelle®,soilparriniermé<!inirp des moises enfer fondu,soitparun enchevôtrementfortsimple destèiosquatrekquatre (Pl.

V

,fig.21ei22).

L

écxiiKwnîequirésulteraitdecettemain-d'ceuvre porteraitprincipalenieiit surlasuppressiondeaeylindie»ongoujons

,

très-dilfieilcsà

Ûen

arrondir avecle lealaecoun deaétarapet, etfort

«herdqoandil

6«t

lestournerai)*

£n

dernière analyse,lebut qu'on

dmt

s'eibroerd'attôndre,c'estde simpHfier!f»travaildelaforije,I*.endiminuantautantquepossiblele

nombre

dessoudures;2*.enleséloignant des partiescompliquées ou contournées,qu'onne peutfrapperimmédiatementetpromptementsur louteslesfaces;3*.enévitantlesformesqui nécessitent l'emploiultérieur

delalime

ou du

tooci

Le

tablierdevantêtresoutenukij"-B?nu-dp^^sdes Lasses cauï de larivière,ilétaitimpossibledesongeràétablirun pont de service quelconque,sansune dépenseexcessiveetde grandsdan^^ers;car surun ibud deroc parfuitemeutànu,ileûtblluimplanterdes goujonsdefer jMNBr fixerdea montaoa^

ou

donner nne grandebaseansystèioepour en

I j]

(i)Lecapitaine firviraa praporf{JSdiathmrgphitotophiealJouiud,n*.Ki) l*ettl]i1oii:\c-ihrirri";^^t^!itr^fcnrorrf'rs':tiiTctffrmilés ft dispOséc*de manière3 rtt'C retenaetdans noepattede joinuàboites,(/'o^exaawiJNavitir,pag. 47*}

U

o»taisé 4aKaaafaiMreifaelfesyâièiaada•pilakui

Bmtm

1S§k

n

a

t

a

H

al

ha

iaBtdiariiw qu*jepropOM!daosletyi^oMd*tSmftmmt«igliii*«a aftt*1mbanatMMl terminéesentctcdei-o'-u,cldohent con^éqiicmmcntaiîîravecunepiiissince iai-ueose pourouvrii- lesWltcs daosle«c{uelle«i'euci)e\êu%uientalicti^,et bieo i|ue .cesbottes aoièatterr^par desiïeasdefer,Sa*ca estpataMiint^vïdeatque

U

ifciimnoe d«PauMililage est plaichiao^ateencore daatleaiedcordinairepar .aaaeewi^ctparipNiîovi*

4.'

a8

prévenirledévefseraenl;et,malgrétout cet

ad», om

crue saLile(elle*

ontété trës-fréqttenu»dana Téléde 1839),aidéedestroncs

d'arbna^

dautracoq»

ftottani,auraitpu, enquelques secondes,emporter réeba-fuudage,diargc detoulelacbarpenledutablier,descàUet, CtC

Onae

figuresans peineles résultatsd'unetelleavarie.

Desobstacles invincibles empôcliaieni,d'ailleurs,rétabhsbexnentd'uu poul deservicesur bateaux,savoir: lesrochers'afleurd'eaudontla rivière estcouverte, et riowflisaoceen grandeuretenforcedeabaieaox

du

paj's(bateauxlégerssans

dous

nifers,

du

portde 6,000 Ulog. dia-cnn).Ainsi,

d

unepart, imposnlHliiède mettre kflotdes bateauxd*utte forceconvenable,etdeVautre impossibilitédes'enprocurer.

Le

parti prisde procéder au levage sans point d'appui intermédiaire entreles d.uxculées,étaitdonc unvéritable parti denécessité, auquel, dèsle

commencement

,jaidu subordonnerlesystème desuspension,etc.

Essayons dedécrirelamanoeuvre dece levage,qui,sansoffirirdes d'IBcuiltés .essentielles,exigecependantbeaucoup de prudenceetd'atp tention.

On

aérigésurlaplate-fonne

dei^que

pilier,en

eomiaen^nt

P r r rtXd*aval,

un

cbevaletàquatre pieds,surmontéd^nn tour à canne-lures;deuxrouleauxontétéappuyés en

même

tempssurlesjambes

du

cbevalet,de manièrekdominer nnp<ni le!)<'itdesuspension. D'autrestours entêtéassujettisaus^sisur l'extradosdes voûtesderetenue,au

moyen

de tiransdeferetdetravei'sespassant sous Tinlrados des

mêmes

voûtes.

(PI.

m,

fig.i3.)

A

l'aidedecesappareils,ila étéfaciledejetord'une riveàTautreuneIbrte trailledecent quatre-vingtsfilsdecarretCette toaillea été «Tabordtendueeeuaune courbure de 10k 12 mètresde flèche,etdetellemanièfv,relativementà salongueur, qu'après avoir embrassétrois fois letour d'appeldela rivegauche,etdépassé ce tour decinqà sixmètre»,ilenrestaitencore surlarivedroit»"pn-deçàdu tour coiTe!>jH>ndantunrouleaude i3o mètres deloni^ueur,qui, avecla

(PI.

m,

fig.i3.)

A

l'aidedecesappareils,ila étéfaciledejetord'une riveàTautreuneIbrte trailledecent quatre-vingtsfilsdecarretCette toaillea été «Tabordtendueeeuaune courbure de 10k 12 mètresde flèche,etdetellemanièfv,relativementà salongueur, qu'après avoir embrassétrois fois letour d'appeldela rivegauche,etdépassé ce tour decinqà sixmètre»,ilenrestaitencore surlarivedroit»"pn-deçàdu tour coiTe!>jH>ndantunrouleaude i3o mètres deloni^ueur,qui, avecla

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