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Faciliter l'insertion dans l'emploi par le développement de l'alternance

INDICATEUR DPT-232-3651

DPT-Taux d'insertion dans l'emploi des salariés ayant bénéficié d'un contrat d'apprentissage (du point de vue du citoyen)

Taux d’insertion dans l’emploi des salariés ayant bénéficié d'un contrat d’apprentissage - Guadeloupe

% 41,9 36,4

Taux d’insertion dans l’emploi des salariés ayant

bénéficié d'un contrat d’apprentissage - Guyane % 38,9 39,2 Taux d’insertion dans l’emploi des salariés ayant

bénéficié d'un contrat d’apprentissage - La Réunion

% 42,6 40,8

Taux d’insertion dans l’emploi des salariés ayant bénéficié d'un contrat d’apprentissage - Martinique

% 35,8 38,4

Unité 2019

Taux d’insertion dans l’emploi des salariés ayant

bénéficié d'un contrat d’apprentissage - Mayotte % Non

déterminé Non

déterminé Taux d’insertion dans l’emploi des salariés ayant

bénéficié d'un contrat d’apprentissage - total France entière

% 61,8 62,3 75 Non

déterminé Part des apprentis préparant un diplôme de

niveau IV et V - Guadeloupe % Non

déterminé Non

déterminé Non

déterminé Part des apprentis préparant un diplôme de

niveau IV et V - Guyane % Non

déterminé Non

déterminé Non

déterminé Part des apprentis préparant un diplôme de

niveau IV et V - Martinique % Non

déterminé Non

déterminé Non

déterminé Part des apprentis préparant un diplôme de

niveau IV et V - La Réunion % Non

déterminé Non

déterminé Non

déterminé Part des apprentis préparant un diplôme de

niveau IV et V - Mayotte Part des apprentis préparant un diplôme de

niveau IV et V - total France entière % Non

déterminé Non

déterminé Non

déterminé

Précisions méthodologiques

Pour le flux de nouveaux contrats d’apprentissage enregistrés :

Source des données : les données sont issues du tableau de bord des Politiques de l’Emploi PoEm, qui combine des éléments chiffrés remontés par les organismes d’enregistrement des contrats d’apprentissage et des données issues du système de gestion informatisée des contrats d’apprentissage Ari@ne.

Pour la part des contrats, parmi les nouveaux contrats, qui permettent de préparer un niveau de diplôme IV ou V :

Source des données : les données sont issues du système de gestion informatisée des contrats d’apprentissage Ari@ne, traitements réalisés par la DARES.

Méthode de calcul :

Numérateur : nombre de nouveaux contrats d’apprentissage enregistrés sur l’année civile permettant de préparer un niveau de diplôme IV ou V, c’est-à-dire un niveau de diplôme inférieur ou égal au baccalauréat.

Dénominateur : nombre total de nouveaux contrats d’apprentissage enregistrés sur l’année civile.

Lecture : 64,4 % des nouveaux contrats d'apprentissage enregistrés en Guadeloupe en 2017 permettent de préparer un niveau de formation IV ou V (du CAP au baccalauréat).

Remarque : le volume de contrats enregistrés dans les Drom est relativement faible, environ 6000 contrats chaque année (environ 2 % du total de la France entière). Les fluctuations observées sont donc à interpréter avec prudence.

JUSTIFICATION DES PRÉVISIONS ET DE LA CIBLE

L’année 2019 se caractérise par une augmentation sans précédent du nombre de contrats d’apprentissage avec, pour la première fois, une croissance à deux chiffres : avec 491 000 apprentis en France fin 2019 (368 000 nouveaux contrats), le nombre d’apprentis a augmenté de 16 % par rapport à l’année précédente. Cette dynamique s’est accompagnée d’une extension de l’offre de formation avec 1 200 CFA ouverts fin 2019 (1830 à fin août 2020).

Toutefois, la crise sanitaire et économique que traverse le pays risque de porter un coup d’arrêt au développement de l’apprentissage. Aussi, le gouvernement a mis en œuvre un plan de relance apprentissage pour en limiter les effets. Ce plan comprend une aide exceptionnelle à l’embauche d’apprentis et l’accueil des jeunes sans contrat en CFA, jusqu’à 6 mois après le début du cycle de formation. Il est particulièrement difficile de prévoir l’impact de ces mesures mais il est à minima possible d’envisager un maintien du nombre d’entrées.

La mise en place de l’aide unique aux employeurs d’apprentis a bien eu un effet positif sur le nombre des apprentis de niveau IV et V pour autant sa part est restée à 59,9%. Compte tenu de cette période de tension économique due à la crise sanitaire, une prévision à 61% est envisageable.

INDICATEUR DPT-232-87

DPT-Part des apprentis préparant un diplôme de niveau IV et V (du point de vue du citoyen)

Part des apprentis préparant un diplôme de

niveau IV et V % 59,9 57,4 61 61 61 Non

déterminé Part des apprentis préparant un diplôme de

niveau IV et V (Guadeloupe) % 59,4 57,2

Part des apprentis préparant un diplôme de

niveau IV et V (Guyane) % 50,3 45,3

Part des apprentis préparant un diplôme de

niveau IV et V (La Réunion) % 71,1 65,6

Part des apprentis préparant un diplôme de

niveau IV et V (Martinique) % 56,4 52,4

Part des apprentis préparant un diplôme de

niveau IV et V (Mayotte) % 100 94,8

Précisions méthodologiques

JUSTIFICATION DES PRÉVISIONS ET DE LA CIBLE

INDICATEUR DPT-232-6211

DPT-Taux d'insertion dans l'emploi des salariés ayant bénéficié d'un contrat de professionnalisation (par tranche d'âge de : -26 ans, 26-45 ans, +45 ans) (du point de vue du citoyen)

Moins de 26 ans - France entière %

De 26 à 45 ans - Outre-mer % 54,5 49,2

De 26 à 45 ans - France entière %

Plus de 45 ans - Outre-mer % 57,9 55,4

Plus de 45 ans - France entière %

Précisions méthodologiques

enquête spécifique menée par la DARES sur un échantillon de 100 000 sortants, permettant de connaître leur insertion à 6 mois après leur sortie effective. Les sortants sont repérés grâce aux données du système d’information Extrapro alimenté par les OPCA (organismes paritaires collecteurs agréés).

Mode de calcul : ratio entre le numérateur et le dénominateur

Numérateur :nombre de sortants de contrats de professionnalisation en emploi non aidé, 6 mois après la fin de leur contrat de professionnalisation.

Dénominateur :nombre de sortants du dispositif (en y incluant ruptures et échecs à l’obtention de la qualification).

L’indicateur relatif à l’année n concerne les sortants de l’année n.

JUSTIFICATION DES PRÉVISIONS ET DE LA CIBLE

La loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » prévoit la mise en place d’une expérimentation relative aux contrats de professionnalisation qui doit permettre aux entreprises et aux opérateurs de compétences (les financeurs du contrat) de définir ensemble et en lien avec le salarié les compétences à acquérir dans le cadre du contrat de professionnalisation. Cette expérimentation doit permettre de créer des parcours en alternance plus individualisés et au plus près des besoins réels et propres de l’entreprise. Dans cette optique, il peut être envisagé que les entreprises recrutant des personnes en contrat de professionnalisation expérimental embauchent davantage les personnes au sein de l’entreprise une fois le contrat de professionnalisation terminé.

Par ailleurs, la loi a permis de porter à trois ans, au lieu de 24 mois, la possibilité d’allongement du contrat de professionnalisation pour certains publics éloignés de l’emploi tels que les jeunes qui sortent de l’enseignement secondaire sans qualifications, les demandeurs d’emploi longue durée, ou les bénéficiaires du RSA. Cet allongement devrait permettre d’ouvrir le contrat de professionnalisation à des qualifications supérieures à 24 mois qui jusqu’alors ne pouvaient pas être réalisées en contrat de professionnalisation. Cette mesure pourrait avoir un effet positif sur l’insertion dans l’emploi.

Ainsi, les prévisions relatives aux taux d’insertion dans l’emploi en contrat de professionnalisation sont à la hausse sur l’année 2020.

AXE 2 : OFFRIR UNE VÉRITABLE ÉGALITÉ DES CHANCES À LA JEUNESSE