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SLIMANI Saleh, concours des banques à l’investissement : Méfiance infantile ou prudence d’adulte, El Watan N°4152, Juin 2004. P7.

(35) TLEMÇANI Salima, La tirelire des scandales à répétition, El Watan économie N°31, Novembre 2005. P3.

(36) REZOUALI Akli, Banques publiques : Recapitalisation et baisse des taux d’intérêts, El Watan économie, octobre 2005. P2.

(37) BOUDEDJA Nora, Concours bancaires au financement de projets d’investissements des patrons insatisfaits, El Watan économie, Octobre 2005. P5.

(38) Lancement du système de paiements de masse, le Phare N°51, mai 2006. Sous

Section 3

3-1-En 2008 : Un projet d’une banque d’investissement devait se concrétiser,

dont le capital social serai de 100 milliards de dinars, cette banque devra bien évidemment cerner son approche de crédits pour financer les (

P

ME) et (PMI)(39).

Depuis 2008 les autorités financières ont pris des mesures concernant l’activité bancaire en commençant par la fermeture du marché interbancaire pour obliger les banques privées d’accroître leurs ressources propres.

Vers la fin de 2008 la banque d’Algérie fait passer le seuil du capital social exigible pour les banques privées de 2,8 milliards de dinars à 10 milliards de dinars et prend une série de mesures de renforcement des règles prudentielles face à la crise financière internationale.

Enfin, en Août 2009 l’interdiction d’accorder les crédits à la consommation par la loi de finances et l’obligation de recourir au crédit documentaire dans le financement des importations. Et l’orientation des flux de financement des banques privées vers L’immobilier et la (PME)(40).

(39) EL KADI Ihsan, face aux difficultés de financement de l’entreprise : la banque algérienne de l’investissement arrive enfin, El Watan Economie N°147, Avril 2008. P3.

(40) EL KADI Ihsane, Une série de mesures est venu « recadrer » leur activité en Algérie : les banques privées dans le collimateur, El Watan Economie N°213, octobre 2009. P3.

L’étude du système bancaire algérien s’avère très intéressante, avant la mise en œuvre des réformes le secteur était constitué d’une banque centrale, cinq banques publiques une caisse de développement et une caisse d’épargne qui étaient fondées afin de favoriser les orientations de l’Etat, principal actionnaire de ces banques et qui était au cœur de l’économie.

Après les années quatre-vingts et constatant que la planification centralisée faisait obstacle à la croissance économique. L’Algérie a mis en place un programme de réformes économiques, la plus importante concerne la loi de 1990 sur la monnaie et le crédit qui a constitué le fondement du nouveau système bancaire, tant par son processus de règlementation que par son organisation. Aussi les évènements les plus importants ont été ; l’ouverture aux capitaux étrangers ; la mise en place d’un marché de capitaux et d’une bourse des valeurs mobilières.

Aujourd’hui notre système bancaire ne cesse d’évoluer et de se moderniser, entre autre par des opérations plus pratiques et rapide, des partenariats avec les institutions bancaires et financières internationales à travers la privatisation, et aujourd’hui nombreuses sont les banques étrangères qui souhaiterai investir en Algérie et apporter leur technologies et devenir partenaire des banques publiques algérienne. Quelles son ces banques, pourquoi s’intéressent elles à l’Algérie comme étant un marché promoteur et qu’ont-elles apporté aux clients et au secteur bancaire algériens. Des questions auxquelles nous tenterons de répondre au prochain chapitre.

PREMIERE SECTION: Les banques internationales : présentation D’un concept.

Sous Section 1: Définition de la banque internationale.

Sous Section 2: L’internationalisation des banques et des opérations bancaires.

Sous Section 3: Les différentes méthodes d’internationalisation.

DEUXIEME SECTION: Les banques à capitaux étrangers en Algérie. Sous Section 1: Pourquoi les banques s’intéressent elles à l’Algérie.

Sous Section 2: Présentation des banques à capitaux étrangers en Algérie. Sous Section 3: Les perspectives des banques à capitaux étrangers.

TROISIEME SECTION: Les caractéristiques des banques à capitaux

Étrangers en Algérie Sous Section 1: Le renforcement de la concurrence.

Sous Section 2: La technologie. Sous Section 3: Le savoir faire.

Le mouvement d’expansion des banques à l’étranger est devenu un phénomène marquant de la finance contemporaine, désormais les grands groupes bancaires mondiaux ont choisie l’internationalisation comme stratégie, puisque aujourd’hui les entreprises sont financées par les crédits, les banques accompagnent leurs clients dans leurs investissements à l’étranger.

Dans la première section de notre présent chapitre nous essayerons de comprendre le sens de la banque multinationale, des opérations qu’elles mènent, pourquoi les banques s’internationalisent. Nous verrons aussi les formes de pénétration dans les marchés mondiaux.

La libéralisation et l’ouverture du système bancaire algérien au secteur privé, a attiré les capitaux étranger, nous exposerons les différents points qui ont rendu le marché algérien attractif dans la deuxième section, en suite nous présenterons brièvement les banques à capitaux étrangers, leurs métiers, leurs produits et prestations, puis leurs perspectives et leurs projets quant à leur activité en Algérie, et leur différence par rapport aux autres banques.

Enfin dans la dernière partie de notre chapitre nous verrons les caractéristiques de ces banques qui ont fait leur spécificité.

A travers ce chapitre nous aurons une vision plus détaillée de la notion de banque internationale opérante dans un pays qui a choisi de s’ouvrir à travers une économie de marché, et est ce que cette expérience a porté ses fruits, autrement dit a été bénéfique pour le client algérien.

Depuis la seconde guerre mondiale, les banques se sont orientées vers un mouvement d’expansion à l’étranger, et cela en quête de nouveaux marchés, ou simplement comme critère de développement et de modernisation. Le phénomène peut être repéré de deux manières, le premier était le nombre significatif de succursales et de filiales des banques à l’étranger, le second c’est les opérations que mènent ces banques à partir de leurs différents établissements.