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la formation de capital a augments de ?o 5 ^nages) alor.s qu'en 1985

Volume) contre 4,3 (ou 0^4 Zr cert) llil T"" ""' en.valeur <°" 22 P°ur cent en tendances expliquent les fluctuations du JZ ,C??SOramatlon fjnale- <=«• differentes en 1980 a -3,6 pour cent en 1984^ d s o P"8"6 paSs6 d6 18'7 Jlour cait'

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418. Le total des engagements exterieurs contractes par le Niger s'est inscrit a 524 milliards de FCFA an 1985 centre 392,4 et 456,7 milliards en 1$83 .et 1984 respectivement. On a egalement note une haussc des taux de prelevement passes de 70 §. 74,5 pour cent entre 1983 et 1985, alors que le ratio du service de la dette continuait dc ditninuer : 27,3 pour cent en 1982;.17,6;- 18; et

16,4 pour cent en 1983, 1984 et 1985 respectivement.

419 Cette1 dette a ete fournie en moyenne a 39 pour cent par des sources multi-:

latSrales (AID, ¥Hly BAD) alors que son allocation sectorielle a Ste* de 22 pour cent en faveur des transports et communications, 20 pour cent pour les batiraents et travaux publics et 12 pour cent pour le deVeloppement de 1'energie. thermique.

Les conditions d'octroi de cette dette exterieure semblent avoir evolue favorablement car les taux d'interet sontpasses de 7,2 pour cent en 1982 a 2,6 pour cent en 1985 avec des durees moyennesde paiement de 17 ans et une

pSriodede grace de 5 ans. .

420. La masse monetaire qui a connu en 1983 une legere contraction a cru

de *23 et 16,6 pour cent en 1984 et 1985 respectivement. Ces performances sont

le re"sultat;d!une attenuation de la position debitrice des institutions

mon^taires de 18,4 et 7,1 milliards de FCFA en 1984 et 1985 respectivement, attenuation consecutive a un rapatriement plus regulier des recettes tirees de l'exportation de l'uranium. La position debitrice nette des institutions publiques a continue a se deteriorer au cours de la periode en raison notamment des arriSres de paiements qui ont et& honores en 1984 et 1985. Elle est passSe de 18,1 milliards en 1983 a 24,8 milliards de FCFA en 1985. Pendant la meme pSriode on a note une contraction du credit a 1'economie en raison du

ralentissement de lfactivite Sconomique. Au total, le credit interieur a.

regulierement flSchi au cours de la periode sous revue: -4S1 pour cent en 1984

et -2 pour cent en 1985.

V. COMMERCE EXTERIEUR, BALANCE DES PAIEMENTS ET DETTS EXTERIEURE

421 Les echanges conimerciaux avec l'exterieur se sont soldds par une reduction substantielle du deficit de la balance commerciale de 55,5 milliards de FCFA en 1982 a 2 milliards de FCFA en 1985 avec un leger excedent de 400 millions de FCFA en 1984. Cette evolution est le resultat ri'utie diminution des importations d?environ 9S6 pour cent avec 1'amelioration de la situation alimentaire du pays et l'achevement de certains grands travaux d1infrastructures. Le probleme majeur du secteur exterieur reste la crise que traverse le secteur de l?uranium avec le flechissement:de la demande mondiale, malgre un relevement des cours, qui a entraine en 1985 une baisse des recettes d'exportation de 9,1.pour cent par , rapport a leur niveau de 1984. " On a enregistre une bonne couverture des

tions par les exportations malgrS ces tendances irrSgulieres. Le taux de couverture s'est situe a environ 99 pour cent en moyenne entre 1983 et 1985.

■mniiritumnii-'in mm

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422.

VI. Evolution sectoriellc A. Le secteur rural

38 6 pour cent (ou, 17,3. pour cent du PIB) par i'elevage et 7?S poufcent 4 ^ "C1°n "" .condltions cliaatiques qui, privant le. bStail

loir eelt 1» L^J el"VaSe1alorS que cell<* dG I'asriculture diminuait de 3,4

^^1de

4pour ?r.o^fan ^ ^ prcduction' les'meilleures perfcrnances ont:8te. enregatrl

-( 1 8rre "" XS Producti™ ^P^c ti

(43 900 1 8rre "" XS Producti™ ^P^"c ™ stagnation en 1984-1.^.5 4 154 >o^r , f' ^S"'™'1" de 6»5 P<»r cent, en 1985-1986 se situant a

pour ceTe 'en 1983- gTiATf"8 ^ ^ ^^ ™ 1982"1983 de 59'A

v i-ent ec eniybj 1SB4 de 23,3 pour cent, ont presaue triple en 1985-1986

^ d6-la P^'-^trie revenue a ;la no'tmale et des bonnes recolte

i°o^ "■ ^ ^ 8«?ho<,c«P^^ 1" rScoltes expeptlonnelles de

i ont permis la constitution d'importants stocks de produits

1 "f/6 d"f"5* Cgrgali ' U Si 1^3-1985 Les

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426. L'elevage est le sous-secteur qui a le plus souffer.t cte la'degradation des conditions climatiques il a surtout ete contraint par les difficult^ de reconstitution du cheptel bovin.dont le taux de croit n'a e"t§ que1de i?6 pour.cent entre 1980 et 1984 alors.que ce taux a e"te de 2S9 i>our" les "ovins,

et caprins. ..;■.-. '. - . •■ ■ ~ ..

B, :.■:■ Les industries extractives :

427. Elles restent dominees par la production d'uraniun. LfEtat _ nigerien,,-avait beaucoup raise sur ce prdduit pour le financemeht de ses differents programmes rdHnyestissements. La conjohcture Sconomique difficxle^ qtie connaissent les.payS: industrialises'a aiaene ces derniers: S r&duire leur% programmes

Slectronucleaires. Ainsi le flechisseraent de la demande aondiale d'uranium a ....

reduit la production nigerienne de ce mineral de 69Z pouir cent parkn eintre 1980 et 1985 (3000 tonnes en 1985 contre 4129 tonnes en 1980). Les recette;s tirees dea ventes d!uranium ont connu des variations tres irrSgulifer^s malgre; ..

les hausses r^gulieres--des prix de cession entre 19B1 et 1984 qui ont prece"de la baisse de 4,9 px?ur cent constatfie en 1983, : ' ,',,.,..

C- Les industries manufacturieres ..-..■■'.= '

428. Leur structure-dorainee par les.hui-leries et le textile les fend fbrtement ';;

tributaire de la conjoncture agricole. La .baisse des livraisons d'arachides aux huileries.a entraine la ferroeture de la plupart d'entre elles etla seule qui fonctionne encore tourtie a environ 30 pour cent de sa capacite. Les

industries textiles ont quant a elles souffert d'un manque de debouche" du a la fermeture des frontieres nigSriannes kvec des'chiffres d*affaires baissant de 2,4 pour cent:taalgre les bonnes :campagnes enregistrSes pour le coton depuis 1983.

429. Au total, les industries manufacturietes qui contribueiit eri moyenne pour 399 pour cent a la formation du PIB ont vu'leiir valeur ajoute"e ex'primee aux prix de 19803 baisser de 17^4 pour cent eri 1334 puis augmenter de 1833 pour cent en 1985. Ces performances proviennent essentiellement du dynamisme des industries chimiques et des inateriaux de construction qui ont beneficie" de la dencnde crSee