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Le premier but premier de cette section est de présenter un panorama général de l'information

dans le monde actuel. Le deuxième objectif est de démontrer l’absolue nécessité pour les

investisseurs de disposer d’informations pertinentes dans un contexte socio-économique et financier en mutation permanente.

Nous présentons le concept général d’information, ainsi que le concept plus spécifique d’information financière, dans un contexte d’ « explosion de l’information », sous les effets

d’une irréversible mondialisation. Cette situation requiert un renouvellement des typologies des systèmes et des besoins d’information exprimés par les investisseurs.

1 Densification et explosion des flux d information dans le monde

contemporain

Dans un sens étymologique, l'information est ce qui donne une forme à l'esprit. Elle vient du verbe latin informare, qui signifie « donner forme à » ou « se former une idée de »

.En outre, le dictionnaire Petit Robert définit l'information selon trois significations différentes.

« Une information est soit un renseignement, soit une enquête ou plus généralement, un élément ou un système pouvant être transmis par un signal ou une combinaison de signaux. En réalité, l'information exprime une connaissance inscrite ou enregistrée, sous forme écrite ; imprimée ou numérisée ; orale ou audiovisuelle ».

Fondamentalement, l'information contient la notion de sens. Lors de l'échange d'informations, les utilisateurs de l'information doivent s'appuyer sur un système de signe (le langage) pour détecter la signification de l'information transmise par un message. Il nous faut rappeler que le signe est un élément du langage qui associe un sens à un signifié ou à un signifiant : signe alphabétique, mot, signe de ponctuation. En réalité, ce message peut être diffusé par un support spatial et temporel imprimé, ou par un signal électrique, une onde sonore, etc... L'information est utilisée dans les multiples domaines de la vie quotidienne. Selon Freud, l'information permet d'abord à l'utilisateur de satisfaire un simple plaisir de connaître ou d'être informé sur les événements politiques, sur les progrès de la science et de la technologie. Dans les domaines de la recherche, l'information aide les chercheurs non seulement à connaître les derniers objets et résultats de la recherche, mais aussi à suivre les progrès de la connaissance scientifique. En réalité, le but de l'information réside dans l'appréhension de sens. Autrement dit, la préoccupation de l'information réside dans la pertinence de phénomènes tels que la

connaissance, la transmission des supports et des structures. L’exemple le plus banal est le

renseignement, les nouvelles données par un journal, par la radio ou la télévision.

Selon l’unanimité des experts, le monde aurait créé plus d'informations au cours des deux dernières années que pendant toute son histoire. Il s’agit là d’un apport décisif du progrès technique au progrès social. Cet avantage provient essentiellement de la puissance créatrice des langages et du raisonnement logique. Ainsi, on perçoit clairement l'importance de la communication verbale et écrite de l'information.

.Les innombrables opérations de multiplication et de mémorisation sont considérées comme les origines de l'explosion de l'information. La croissance de la littérature scientifique, par les

revues primaires ou secondaires, et l’essor des banques de données sont les exemples les plus

De plus, ces tendances sont renforcées par l'avènement de l'électronique, qui assure le passage de supports matériels à des supports immatériels, et celui de l'informatique, puis par le développement de la communication des informations à distance. Démultiplication, amplification et mémorisation de masses d'informations sont les trois étapes importantes dans le processus du traitement de l'information.

Néanmoins, ces mutations profondes détériorent fréquemment la qualité des informations perçues. Ainsi, il nous faut parfois douter de la convivialité de la nouvelle société de l'information.

En réalité, le progrès technique et social est en lui-même générateur de flux d'information. Cela s'exprime à travers de la circulation d'importantes quantités d'information par unité de temps, ce que l’on peut exprimer par l’expression générique Q= i/t

Avec l'explosion de l'internet et le développement des technologies de l'information et de la

communication, n’importe qui peut devenir fournisseur d'information. De ce fait,

l’environnement informationnel tend à être plus diversifié et plus riche. Cette tendance permet des connexions permanentes par delà les frontières nationales, ce dont résulte une internationalisation des marchés de l’information. Cependant, dans ce contexte, les utilisateurs sont confrontés aux difficultés de maîtriser les informations concernant des problèmes économiques, juridiques ou politiques complexes. Ces difficultés proviennent d’une information dont la qualité n'est pas fiable. De plus, les utilisateurs ne peuvent pas recevoir les informations au moment opportun lorsqu'ils doivent prendre leurs décisions. Cela leur permet de comprendre l'intérêt grandissant du just in time knowledge ou temps réel de la

connaissance et de sa pratique, en l’occurrence la veille informative.

2 Typologies des sources d information

Sur les marchés financiers, les investisseurs reçoivent souvent une quantité massive d’information avant de prendre leurs décisions d’investissement. Dans ce contexte, ils doivent avoir la capacité de traiter des informations de manière efficace afin réagir très opportunément au changement de l’environnement. Pour ce faire, les investisseurs doivent déterminer les

typologies des informations obtenues pendant le processus d’investissement.

Il est possible de proposer la typologie suivante des sources d’information

En premier lieu, les investisseurs peuvent classer les informations selon leurs demandes. En réalité, ils expriment leur besoin en informations au veilleur, qui est en charge de leur fournir l’information pertinente nécessaire. Ces informations dépendent de la nature de la demande des investisseurs et de la nature du problème décisionnel à résoudre (organisationnel, humain, technologique, commercial, financier...). Dans ce type d’information, les investisseurs doivent prendre en considération les informations relatives aux perspectives opérationnelles et stratégiques des entreprises ciblées. En réalité, ces informations permettent aux investisseurs d’apprécier la profitabilité éventuelle et les performances futures de leurs placements. De

plus, les informations relatives aux résultats de la période en cours et des périodes à venir et celles relatives aux risques et engagements assumés par l’entreprise sont de nature à attirer l’attention des investisseurs

En deuxième lieu, les investisseurs peuvent parfois examiner des informations en fonction des canaux de transmission utilisés. Selon cette perspective, B. Martinet et J.M. Ribaut(1988)

distinguent deux catégories d’information :

 L’information dite formelle contenant des données transmises sur un support et sous

forme de papier ou électronique.

 L’information dite informelle correspond aux autres données (rumeurs, relations,

réseaux, conseils, « tuyaux », « téléphone arabe »).

En troisième lieu, les investisseurs, notamment les sociétés de gestion, prennent en considération les informations en fonction des champs décisionnels des différents protagonistes : décisions opérationnelles pour les exécutants, décisions tactiques pour les cadres moyens, décisions stratégiques aux niveaux des états-majors et des directions

générales. Dans cette perspective, Chedia Dhaoui (2008) définit les trois types d’informations

suivantes :

L’information opérationnelle est une information ciblée et précise. Ce type

d’information concerne ceux qui travaillent dans la recherche et la production, par exemple une information sur une norme ou un brevet. Dans le cas d’une société de gestion, cette norme correspond aux champs d’intervention du gestionnaire des fonds d’investissement.

L’information tactique est une information moins précise que l’information

opérationnelle. Cette information comporte un intérêt pour ceux qui gèrent les projets de développement au sein de l’entreprise. Dans le cas de la société de gestion, les gérants du fonds d’investissement peuvent utiliser cette information pour déterminer les éventuels scénarii sur les marchés financiers. De plus, cette information leur permet également d’assurer les normes de la politique de risques définie initialement sont bien respectées.

L’information stratégique permet au décideur de connaître, de décrypter et de

comprendre l’environnement de l’entreprise, ainsi que la capacité de cette dernière à faire face aux menaces et dangers en provenance de l’extérieur. De plus, le décideur

peut utiliser également cette information pour déceler des opportunités d’affaires, les

entretenir et les développer éventuellement.

En quatrième lieu, les investisseurs doivent tenir compte de l’origine de cette information. Pour ce faire, il convient de se référer aux différents canaux de transmission, tels que l’information blanche, l’information grise et l’information noire.

L’information blanche est publiée sur les canaux classiques (édition, presse…). Cette

information couvrirait environ 80% de l’information mondiale.

L’information grise est diffusée par des canaux confidentiels ou d’un accès restreint

scientifiques, des travaux universitaires, des revues spécialisées…Environ 15% de l’information mondiale correspondrait à ce type d’information.

L’information noire est celle qui est protégée par des secrets. Nous ne pouvons pas la

consulter sans violer des interdits et encourir la qualification d’espionnage. Ce type d’information concernerait seulement 5% de l’information mondiale.

En cinquième lieu, les investisseurs peuvent classer l’information selon les sources, en

fonction de sa localisation, interne ou externe à l’entreprise ou en réseau. En outre, les investisseurs peuvent classer la source d’information selon le type de support matériel, textuel, électronique ou informel.

 Les informations de type textuel ou formelles peuvent être enregistrées sous forme de

textes gérables par ordinateurs. On peut y inclure les sources audio, télévisuelles ou multimédia. En général, les investisseurs les trouvent facilement à travers des bases de données internes ou externes, etc.

 Les informations de nature informelle sont celles que les investisseurs doivent aller

chercher à l’extérieur de l’entreprise ciblée par une attitude active. Ces informations

proviennent souvent des visites de clients, des rapports sur les concurrents, des réunions avec les fournisseurs de matériels ou de matières premières.

En outre, François Jakobiak (1998) a suggéré une distinction entre les sources générales et les sources spécifiques. Par référence aux sources générales, les investisseurs peuvent trouver les informations nécessaires à travers des périodiques, des ouvrages, des encyclopédies, des

thèses, des brevets et des bases de données…. Les sources spécifiques découlent des rapports

officiels, des normes réglementaires, des colloques, des expositions, des foires…Il existe

également d’autres sources spécifiques afférentes aux activités sociétales de l’entreprise, aux relations avec les organisations syndicales, avec les clients et les fournisseurs, avec les administrations et les pouvoirs publics…

En sixième lieu, les investisseurs peuvent se référer à la qualité de l’information, soit

l’information primaire ou brute, soit l’information secondaire ou celle résultant de l’expertise.

 Les informations primaires ou brutes sont celles qui ne sont pas traitées ou élaborées

directement par les utilisateurs. Les bilans comptables et les rapports annuels produits par l’entreprise ciblée en font partie.

Les informations secondaires ou informations d’expertise sont celles qui sont

directement et préalablement traitées par les experts ou les spécialistes. Ces informations comportent une valeur ajoutée pour les décideurs, notamment les investisseurs. Toutefois, ces informations doivent être considérées avec prudence. Les informations secondaires sont élaborées à partir d’informations primaires. L’analyste qui les exploite court le risque de commettre un écart, voire un contresens entre la signification de la donnée brute et son interprétation. Lorsque la donnée secondaire est exprimée par un tiers de confiance, elle peut être utilisée. Dans les autres cas, il faut l’analyser avec prudence, voire circonspection.

d’investissement, peuvent distinguer les informations en se référant à trois flux spécifiques : les flux d’information produits par l’entreprise même à laquelle ils s’intéressent ; les flux d’informations prélevées à l’extérieur de l’entreprise et enfin les flux d’information à destination de l’extérieur. Pour chacun de ces trois flux, les investisseurs peuvent par ailleurs

obtenir deux catégories d’informations interdépendantes telles que les informations d’activité

de l’entreprise ciblée et les informations de convivialité. Les informations d’activité permettent aux investisseurs d’évaluer la profitabilité, la performance actuelle et future de l’entreprise ciblée. De plus, elles sont aussi utiles pour les investisseurs lorsqu’ils essaient de

déterminer les risques encourus par l’entreprise concernée. Ces risques peuvent au demeurant

provenir du non respect par l’entreprise des engagements souscrits auprès de certains de ses

partenaires (les investisseurs, les actionnaires, les clients, les fournisseurs...). En outre, les investisseurs peuvent exploiter les informations de convivialité pour apprécier le climat social au sein de l’entreprise ciblée. Selon Chedia Dhaoui (2008), ces informations témoignent de la façon dont les acteurs de l’entreprise vivent en groupe et en relation avec les personnes extérieures à ce même groupe. Ces informations permettent d’apprécier utilement la cohérence entre l’objectif global de l’entreprise et les comportements individuels.

Les informations de convivialité jouent doivent être prises en considération par les investisseurs lorsque ces derniers apprécient les perspectives de partenariat entre des entreprises. Cela permet aux investisseurs de formuler des scénarii stratégiques possibles. En

effet, les investisseurs utilisent ce type d’information afin d’analyser l’environnement de

l’entreprise ciblée de manière prospective et donc de limiter les conséquences éventuelles de risques difficilement prévisibles.

Selon E.A.Pateyron (1998), une autre typologie de l’information peut être exprimée, typologie

concernant le fonctionnement, l'évolution, les nouveaux procédés de fabrication, la situation concurrentielle et commerciale au sein de l'entreprise cible.

 Les informations de fonctionnement de l’entreprise incluent les informations

financières et comptables, les fiches de stocks, les relevés de clientèles…Ces

informations permettent aux investisseurs de comprendre la réalité du fonctionnement de l’entreprise cible.

Les informations d’évolution sont utiles pour les investisseurs lorsque ces derniers

s’intéressent à la réglementation régissant les activités de l’entreprise.

Les informations mentionnées ci-dessus sont indispensables aux investisseurs lorsqu’il s’agit

d’élaborer des projections concernant l’évolution générale de l’entreprise cible.

Par ailleurs, les investisseurs s’intéressent aux informations d’influence produites par

l’entreprise cible. Chedia Dhaoui (1998) pense que « les informations d’influence ont pour but d’influencer les acteurs internes (les journaux et les revues internes…) et les acteurs externes de l’entreprise (la publicité, les articles de presse…) pour assurer un environnement de convivialité et d’influence sur les comportements des acteurs extérieurs à l’entreprise afin de créer, anticiper et s’adapter ». A partir de cela, ces informations permettent aux investisseurs d’évaluer la réputation de l’entreprise perçue par les parties prenantes en général

(les clients, les fournisseurs, les créanciers, les salariés, les sociétés civiles…) et la communauté des investisseurs en particulier.

Enfin, les informations d’anticipation permettent aux investisseurs d’être avisés avant même que ne surviennent des changements significatifs dans l’environnement, ce qui leur permet des déceler des menaces et de saisir des opportunités susceptibles de se concrétiser.

Sans être exhaustif, le tableau ci-dessous représente les différentes classifications. Selon le niveau dans le

processus décisionnel

d’investissement

Information opérationnelle, tactique, stratégique

Selon la forme de

l’information

Information formelle de type textuel ou informelle de type oral

Selon la demande

informationnelle du décideur

Information scientifique, technologique, commerciale, juridique, sociale, financière, stratégique

Selon la nature de

l’information

Information blanche, grise ou noire

Selon la qualité de

l’information

Information primaire (brute) ou secondaire (expertise) Selon la facilité d’accès

d’information

Information publiquement accessible

Accès restreint à

l’information Accès à l’information strictement limité

Selon les sources

d’informations

Sources ouvertes Sources fermées Sources clandestines

Tableau 2 : Classification des sources d’information

3 Sphère financière et demande sociale d information

Dans un monde économique globalisé, les investisseurs utilisent des sources d’information

variées lorsqu’ils prennent leurs décisions, sources d’information que nous pouvons classer en deux catégories :

 Les sources formelles sont celles dont les éléments sont enregistrés sur un support

quelconque (support magnétique, papier, films, micro-fichies…). Dans les sources

formelles, les informations sont principalement de nature documentaire.

 Les sources informelles sont celles qui ne rentrent pas dans cette première catégorie,

mais qui sont issues d’observations, d’entretiens auprès de différents acteurs

fournisseurs, concurrents dans les salons professionnels, responsables d’études dans des instituts privés, publics ou dans des organismes professionnels… ).

Présentons sommairement quelques sources d’information spécifiques.

Les bases de données

Les bases de données sont des stockages d'informations normalisées et structurées en rapport avec une activité définie. Les bases de données sont enregistrées sur des supports exploitables, par le biais de l'informatique. A travers ces bases de données, les utilisateurs, notamment les investisseurs, peuvent trouver de nombreuses informations corrélées et de plusieurs natures afférentes aux secteurs de la finance, du commerce, des assurances, des écoles, de l'administration publique, des médias…

En fait, les utilisateurs peuvent considérer les bases de données comme des sources qui

orientent la veille technologique vers l’exhaustivité, la fiabilité et la facilité d’accès. Pourtant,

les utilisateurs doivent avoir des connaissances et une expérience probante lorsqu’ils utilisent

des bases de données. Chaque base de données est souvent reliée à un domaine spécifique et dispose souvent d’un langage particulier d’interrogation, ce qui permet den distinguer trois catégories :

 Les bases bibliographiques permettent aux investisseurs de consulter des références

concernant la plupart des informations scientifiques et techniques (articles, colloques, brevets, bibliographies…). En fait, les investisseurs tiennent compte de ces informations selon leurs besoins. Ces bases sont en général très bien structurées. Après avoir traité des données, les utilisateurs peuvent relever les informations disponibles à la seule lecture séquentielle.

 Les bases de texte intégral fournissent des informations littérales sous une forme

directement utilisable (articles en version intégrale). Il faut noter qu’en général ces bases ne sont pas aussi bien structurées que d’autres types de base.

 Les bases numériques fournissent des informations chiffrées statistiques ou

monographiques.

Dans le monde économique globalisé, il nous faut remarquer que la plupart des bases de données sont constituées par des analyses financières. Ces bases de données concernent soit des informations comptables et financières de caractère analytique ou factuel, statistique ou monographique, littéral ou quantitatif ; soit des informations relatives aux marchés et aux mouvements de capitaux. Les investisseurs peuvent trouver facilement le contenu des bases de données à travers un réseau de télécommunication. Avec le développement des technologies de stockage, de traitement et de transmission des données, les serveurs ne sont pas seulement un outil du stockage, mais aussi un outil de diffusion des bases de données. Ces dernières sont également stockées et diffusées par CD-ROM.

Outre les trois types des bases de données mentionnées ci-dessus, les investisseurs peuvent également qualifier les bases de données selon les deux types suivants :

 Les banques de données ne comportant pas d’appréciation sur le risque ou la

performance des entreprises ou les banques de données brutes

 Les banques de données à valeur ajoutée.

Les banques de données brutes contiennent des informations fournies par des prestataires qui n’expriment pas d’appréciation sur le risque et la performance des entreprises, mais se bornent à fournir des données de nature financière, comptable, juridique et économique. Pour ces banques de données, les utilisateurs et notamment les investisseurs doivent assurer par eux- mêmes leur analyse financière et leurs jugements propres. Dans certains cas, les données centralisées et diffusées sont celles qui sont fournies par les entreprises elles-mêmes. Le prestataire est seulement en charge de recueillir, de centraliser et de diffuser ces données brutes. Dans les autres cas, le prestataire vérifie et enrichit les données selon des indications puisées à d’autres sources que les entreprises-elles mêmes. Les investisseurs peuvent accéder à ces banques de données par connexion libre ou par abonnement.

Dans les banques de données à valeur ajoutée, les investisseurs peuvent trouver non seulement des informations brutes ou corrigées et enrichies, mais également des appréciations relatives au risque et à la performance des entreprises recensées. De plus, ils peuvent également accéder à une cotation ou un avis autorisé sur la solvabilité. Les banques de