Mis à part la ressemblance évidente du site de l’Elysée avec le site de la Maison
Blanche, qui a attiré l’attention de toutes les rédactions de presse, les journalistes ont
remarqué plusieurs disfonctionnements dans le site de la Présidence.
Ainsi, un « bug » du système de lecture en voix haute pour malvoyants a suscité un
véritable « buzz »: la voix lisait une page en anglais avec une prononciation française
36
Martin Lessard, « Bâtir sa crédibilité sur les réseaux sociaux »,
63
totalement inadaptée. La fonction a été désactivée le jour même pour les administrateurs du
site, mais les enregistrements vidéo du bug sont toujours disponibles.
Concernant le moteur de recherche « speech to text », les journalistes n’ont pas
tardé à l’utiliser à l’encontre du Président. Anne Brigaudeau
37, de France 2, relai un
twitter de @salam93.: « Dans le moteur de recherche vidéo d'Elysee.fr
"Agriculteur+entrepreneur"= Sarkozy a bien répété 3 fois le même discours ».
Fabrice Epelboin, quant à lui, notait que le moteur de recherche par reconnaissance
vocale est «un gage de transparence, mais également une manne pour les milliers
d’internautes souhaitant remixer et détourner les discours du Président, le moteur de
recherche est tout ce qu’il y a de plus efficace »
38Nicolas Sénèze, de La Croix, constatait que le moteur de recherche par reconnaissance
vocale dans les vidéos n’est pas infaillible : « Mais si, sur la recherche « Laïcité positive », le
site renvoie sur le discours adressé à Benoît XVI lors de son voyage en France le 12 décembre
2008, nulle trace dans les résultats du discours du Latran, pourtant première occurrence de
l’expression dans le discours présidentiel »
39.
Sur l’image nous pouvons noter, outre l’absence du discours de Latran, que les
résultats de la recherche ne sont pas donnés d’une manière très claire. On arrive à voir la date
des discours dans lesquels l’occurrence « laïcité positive » a été prononcée, mais pas le titre
du discours.
37
Anne Brigaudeau, « Les habits neufs d'Elysee.fr, avec accessoires 2.0 », france2.fr
38
Fabrice Epelboin, ibid.
39
64
Nous avons constaté régulièrement d’autres inexactitudes du moteur de recherche par
reconnaissance vocale. Dans l’image suivante nous pouvons lire le sous-titre : « de présenter
aujourd’hui travers vous » (sic). Il serait souhaitable que, dans un site comme l’elysée.fr, où le
nombre de vidéos mis en ligne quotidiennement est limité, une vérification puisse être faite à
posteriori.
:
De plus, le lecteur de vidéos ne fonctionne pas parfaitement. Avec le navigateur
explorer, les vidéos s’arrêtent systématiquement trois, quatre ou cinq secondes avant la fin, ce
qui peut être parfois très frustrant.
On retrouve d’ailleurs le même problème sur le site de la principauté de Monaco,
développé aussi par Nexint.
Par rapport à la distribution des contenus, nous nous permettrons de faire quelques
recommandations.
Par rapport à la page d’accueil : Sans revenir sur le fait qu’il aurait été souhaitable de
se différencier un peu du site inspirateur, nous trouvons qu’elle est trop « longue » et avec
beaucoup des contenus redondants. La « longueur » du site, comme on peut l’apprécier à
continuation, s’approxime au seuil d’acceptabilité. Le site de la Maison Blanche, pour ne
prendre qu’un exemple est beaucoup plus court.
65
Les répétitions de contenus
du même type sont
indiquées avec des flèches
de la même couleur :
-Vert pour les activités (5)
-Bleu pour les dossiers (5).
-Bleu ciel pour
l’international (2)
-Orange pour la Présidence
(7).
-Jaune pour la presse (3).
-Rouge pou la médiathèque
(3).
-Rose pour les moteurs de
recherche (2).
Avec une meilleure
distribution des contenus,
le site pourrait être
considérablement
raccourci.
66
L’organisation des contenus audiovisuels n’est pas très intuitive. Les résultats d’une recherche
ne sont pas toujours ordonnés par ordre chronologique. Les reportages didactiques et
historiques produits par la cellule internet sont très difficiles à trouver.
En outre, quelques « big fat stories » n’est sont pas très soignés. Il manque parfois d’inclure
l’intégralité de documents liés à l’événement (vidéos, textes du discours, communiqués,
diaporamas, etc).
Concernant aussi les dossiers, il serait souhaitable de trouver un moyen de hiérarchiser
les actions du Président pour pouvoir identifier les actions importantes. Actuellement, toutes
les actions passent « à la Une ». Parfois il s’agit des déplacements peu importants, parfois de
grands discours « fondateurs » comme celui de Toulon ou celui de Grenoble. Actuellement,
un citoyen lambda (et un journaliste lambda) n’a pas vraiment de moyens de distinguer en
temps réel les actions importantes de celles qui le sont moins (car purement formelles ou de
communication sur le terrain).
En lien avec ce dernier point, mais touchant un problème de fond, il faudrait peut-être
repenser la ligne éditoriale du site. « Coller aux basquets » du Président ne le sert pas. Il
faudrait laisser « un peu d’air », rendre un peu plus rare la parole et la présence présidentielle.
Cela peut se faire en utilisant parfois des visuels ne le concernant pas directement, en évitant
de mettre en page d’accueil les actions moins importantes.
Cela serait positif pour la communication du président et permettrait, au passage, de
réduire des parodies moquant son omniprésence, comme celle que voici :
67
5. Conclusion partielle.
Dans cette deuxième partie nous avons procédé à l’analyse du nouveau site de la
Présidence. Pour nous aider à apprécier les vertus et les défauts de celui-ci nous avons fait une
double comparaison avec l’ancien site de l’Elysée et avec le site de la Maison Blanche, tant
sur le fond que sur la forme.
A l’issu de la comparaison avec l’ancien site de l’Elysée, nous avons retenu le retour à
une communication institutionnelle du nouveau site, sur le fond et sur la forme, et une
valorisation des contenus écrits qui ont une meilleure traçabilité et une meilleure « durée de
vie » sur internet que les contenus vidéos sans indexer. Mais nous avons surtout remarqué
l’introduction des outils 2.0, Facebook et Twitter en tête. Ces outils sont un excellent moyen
d’aller là où sont les gens et de baisser au maximum les barrières d’entrée à l’information sur
l’action présidentielle.
Au regard de ces éléments, nous avons confirmé la première hypothèse que nous
avions formulée en introduction : les innovations structurales apportées par la nouvelle
stratégie de communication internet de l’Elysée sont d’une telle ampleur que nous pouvons
parler d’une vraie rupture avec les anciens sites. Nous avons nuancé cette conclusion en
disant que la rupture était moins évidente avec la dimension institutionnelle du site Chirac,
mais que la nouvelle manière de traiter les informations et les innovations technologiques et
participatives étaient telles que nous pouvions parler aussi d’une véritable rupture.
Puis nous nous sommes livrés à l’exercice délicat de comparer le site de l’Elysée avec
celui de la Maison Blanche car leurs chartes graphiques sont très proches. Nous avons conclu
que les éléments repris sont objectivement très appropriés et difficilement remplaçables dans
un site avec les mêmes couleurs nationales. Cependant nous devons nous rendre à l’évidence
que la ressemblance graphique était recherchée volontairement étant donné les nombreux
éléments qui coïncident. Sous la surface de la charte graphique de la page d’accueil, nous
avons identifié des éléments de divergence assez importants, notamment, la façon
révolutionnaire qu’a adoptée l’Elysée pour montrer les informations, au moyen des « big fat
stories ».
68
Nous avons donc confirmé à la fois la dernière partie de la deuxième hypothèse (la
ressemblance se limite surtout à la charte graphique) et la troisième hypothèse (avec elysée.fr
on assiste à la transformation d’un site institutionnel classique à un véritable site
d’informations.
Enfin, à la fin de cette partie, nous formulerons quelques recommandations qui
pourraient améliorer l’efficacité du site elysee.fr.
69
Conclusion générale
Avec l’avènement du web social, l’espace public tel qu’il était connu
jusqu’aujourd’hui a changé. Les décideurs publics ont dû adapter leurs stratégies de
communication sur internet. Avec l’introduction d’une gamme très variée et originale d’outils
graphiques, technologiques et participatifs sur le site elysée.fr, la Présidence de la République
a fait preuve d’une réelle adaptabilité. L’Elysée a innové aussi en développant un véritable
site d’informations.
Au long de ce mémoire nous avons répondu affirmativement, parfois avec nuances,
aux trois hypothèses que nous nous étions fixées. Nous sommes donc en mesure de dire que le
nouveau site de l’Elysée constitue une révolution dans la courte histoire de la communication
internet de la Présidence de la République Française.
Cependant, nous avons constaté que la nouvelle manière de présenter l’information,
au moyen des « big fat stories• » n’a pas suscité d’intérêt particulier chez les journalistes, à
quelques exceptions près.
Les journalistes qui ont remarqué la nouvelle ambition du site, de devenir un média de
proximité et réactif afin de favoriser une « désintermédiation » entre le Président et les
citoyens, ont manifesté leur inquiétude face à une tentative de courcircuiter les médias.
Fabrice Epelboin
40s’étonnait que le site veuille faire la « pédagogie de l’action
présidentielle » en jugeant cet objectif dérangeant. Si l’Elysée était le seul site d’informations
disponible aux internautes ses craintes seraient justifiées. Mais on voit mal vouloir interdire
au Président de faire un discours plus pédagogique (grâce à un big fat story) au motif que les
journalistes sont trop pressés pour faire bien leur travail et qu’ils vont devoir adopter la
version officielle sans un regard critique.
40
Fabrice Epelboin,
http://fr.readwriteweb.com/2010/03/30/a-la-une/elysefr-partie-immerge-de-liceberg/
70
Nous ne croyons pas que cette manière de traiter l’information puisse influencer
réellement les journalistes quotidiennement. Peu d’entre eux semblent regarder les dossiers «
big fat », car ils se limitent souvent à la lecture des discours et des communiqués.
En pleine « tyrannie de la communication, où le véritable danger est la surinformation,
sur laquelle le temps court joue de ces effets maléfiques »
41, ce sont les internautes qui
bénéficient le plus d’un site d’informations de ce type. Un site qui informe de première source
sur les actions du Président, peut venir aider les internautes perdus au milieu de la « jungle
médiatique » et en manque de repères, à condition qu’il reste neutre et le plus institutionnel
possible.
À l’heure où l’on n’a plus le temps du temps long, un site qui mène les débats à
maturité, en les traitant en profondeur, est toujours le bienvenu.
Néanmoins, comme on a déjà eu l’occasion de le dire, le site, et la communication du
Président gagnerait à être plus sélectif lorsqu’il s’agit de choisir les informations qu’il publie.
À l’instar du site de la Maison Blanche, le site pourrait s’ouvrir plus souvent à d’autres
personnalités du gouvernement, quand les circonstances l’exigent. On pourrait y vanter les
réalisations collectives et les réformes mises en place par le gouvernement.
Ce faisant, étant donné que la rareté donne de la valeur, la parole du Président
ressortirait valorisée. Ce n’est pas parce que l’on dispose d’un média qu’il n’est plus
nécessaire de maîtriser l’agenda médiatique.
La ligne éditoriale actuelle de la partie site d’informations reste trop centrée sur les
actions, les grandes et les petites, d’un seul homme.
De même, il serait souhaitable pouvoir disposer à l’avance des signaux qui indiquent
la relevance d’un discours important, comme celui de Toulon ou celui de Grenoble.
Aujourd’hui les différentes actions ne sont pas vraiment hiérarchisées.
41
71
Reste maintenant à voir si l’Elysée va continuer dans son élan à s’ouvrir aux sites
participatifs 2.0. On pourrait songer, par exemple, à des consultations publiques à la façon
département d’État américain
42, ou à des dispositifs de questions mises en débat sur le site
officiel, comme le fait la Maison Blanche, ou encore à des émissions en direct où les
internautes poseraient des questions via Internet.
On pourrait imaginer aussi un équivalent français de data.gov qui force les
administrations à publier l’essentiel des données publiques pour laisser aux citoyens la
possibilité de les exploiter.
On pourrait aussi envisager la publication de quelques notes, études, et requêtes des
lobbies, comme le fait Obama sur l’espace « You Seat at The Table » de change.gov.
42
Cf. (www.state.gov/opinionspace), Voir Benoit Thieulin, « Whitehouse.gov et elysee.fr :
Président digital vs Président analogique, dans
http://owni.fr/2010/03/30/whitehousegov-et-elyseefr-president-digital-vs-president-analogique/
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Ecole des hautes études en sciences de l'information et de la communication
(Page 62-77)