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CHAPITRE 4 : RESULTATS ET DISCUSSION

4.2 Discussion

L’accroissement de l’économie nationale et la facilité des échanges commerciaux des pays sont des rôles primordiaux joués par les ports dont la quasi-totalité emprunte la voie maritime (Kaada, 2005). Ce sont ces échanges entre les pays qui occasionnent des phénomènes des invasions biologiques.

Ainsi, la présente étude nous permet d’aborder la perception des acteurs portuaires au Port Autonome de Cotonou, Bénin sur les invasions biologiques.

A cet effet, nos résultats démontrent que 89,7% des acteurs portuaires ont vu de jours comme de nuits des rongeurs sur la plateforme portuaire de Cotonou et 10, 3% ont vus ces derniers le jour ou la nuit. Ce qui nous permet d’affirmer la prédominance des rongeurs dans le port autonome de Cotonou. Nos résultats confirment ceux de Conroy et al., 2011 et Kalémé et al., 2011 qui respectivement dans les ports de San Francisco et de la RDC ont montré la présence et la prédominance des petits mammifères sur ces plates-formes portuaires.

Notre travail bien qu’il s’appuie sur une méthode indirecte (enquêtes auprès des acteurs portuaires) nous permet de montrer qu’il existe 5 types de petits mammifères sur la plateforme portuaire à savoir : Mastomys natalensis, Mus musculus, Rattus rattus, Rattus norvegicus, Crocidura Olivieri à travers les témoignages des acteurs portuaires. Cela rejoint (Dossou, 2015) qui avec une méthode directe de capture a observé qu’ils 5 types de petits mammifères avec des proportions différentes dont : Mastomys natalensis (0,94%), Mus musculus

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(2,82%), Rattus rattus (10,80%), Rattus norvegicus (51,64%) et Crocidura Olivieri (33,80%). Notons que notre enquête est faite surtout dans la zone 1 du port autonome de Cotonou. Nous avons pu noter à travers les témoignages des acteurs portuaires que l’espèce de rongeur la plus présente et plus dominante dans cette zone est Rattus norvegicus. Dans le port de Douala, Rattus norvegicus représente 93% des petits mammifères capturés (Voelckel, 2011), ce qui corrobore avec nos résultats obtenus au niveau de la plateforme de Cotonou.

Ce travail traite aussi des dégâts que causent les rongeurs sur la plateforme portuaire de Cotonou. Parmi ces dégâts, les plus accrus sont ceux observés au niveau des magasins, des infrastructures portuaires et sur les marchandises qui sont consommés plus tard par l’homme. Ce qui confirme les travaux de (Cleavealand et al., 2001) qui montrent que les rongeurs contribuent à d’énormes dégâts économiques, environnementaux et sanitaires. Ils justifient en disant que ces rongeurs se déplacent avec des maux qui peuvent être vite transmis aux populations autochtones et ceux-ci peuvent proliférer avec grande vitesse grâce aux conditions favorables du milieu. La prolifération des maladies représente une menace majeure pour le bétail, pour la santé humaine, les activités récréatives et la conservation de la biodiversité (Glowka et al., 1994).

Nos enquêtes nous en disent plus en nous permettant d’affirmer qu’il existe des rongeurs de jours comme de nuit et en plein temps au port autonome de Cotonou à cause de la vétusté des infrastructures du port, à savoir les magasins de stockage, les fers rouillés, les bacs de tas d’ordures contribuant à la prolifération des rats. Notons aussi que la saleté du port affirmée par quelques travailleurs contribue également à la prolifération des rongeurs. Du coup, d’après cette enquête, des activités menées dans le port sont susceptibles de favoriser la prolifération des rongeurs allochtones avec pour corolaire des dégâts qui leur sont associés. Ce que justifie Lack et al., 2013 qui montre que la concentration des entrepôts de toutes sortes, les industries de navigation et la proximité des

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bateaux sont sources de dominance des rongeurs. Les invasions biologiques entrainent la disparition des espèces natives (Glowka, et al., 1994) et peuvent donc exterminer les populations existantes. Néanmoins, la question qu’on se pose est de savoir si les nombreux rongeurs qui arrivent au port parviennent-ils à survivre étant donné que les conditions climatiques n’étant pas les même ? Selon Sax & Brown, (2000) et Facon et al. (2006), le succès d’invasion d’une espèce exotique est conditionné par la capacité de cette espèce à atteindre l’aire nouvelle, y survivre, s’y reproduire, et enfin y proliférer. Comment, au sein d’une nouvelle zone potentiellement différente de son lieu d’origine, une espèce a priori non adaptée aux conditions locales peut-elle se développer, voire y remplacer des espèces natives qui ont normalement co-évolué dans cet environnement ?Des recherches sur les traits génotypiques et physiologiques des rats envahissants du port seraient une continuation de la recherche abordée sur l’invasion des rats dans le port autonome de Cotonou.

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CONCLUSION ET SUGGESSION

La présente étude nous a permis d’aborder de façon plus claire les risques des invasions biologiques au port autonome de Cotonou selon la perception des acteurs portuaires. Elle nous a permis de savoir que les rongeurs sont très nombreux sur la plateforme portuaire de Cotonou et reste visible à tout moment de la journée de jour comme de nuit et à plein temps. Ils sont associés à plusieurs dégâts surtout les dégâts créés aux stocks de marchandises dans les magasins, aux infrastructures du port favorisant la prolifération des espèces exotiques.

Ainsi, il est important au vu des résultats de l’étude menée, de trouver des approches solutions pour une meilleure gestion des invasions biologiques des rongeurs dans les ports : Il s’agit :

 Mettre en place une équipe de surveillance pour instaurer le respect des normes qui régissent le transport maritime au Bénin de façon à permettre une réduction du taux des invasions biologiques enregistrés ;

 Recruter et former des agents d’entretien pour nettoyer et suivre la propreté du port autonome de Cotonou de façon régulière ;

 Empêcher la prolifération des rongeurs par réparation des infrastructures et l’amélioration des conditions de stockage dans les magasins.

 Sensibiliser et/ou faire des colloques avec les entreprises et/ou pays convoyeur de marchandises vers le port autonome de Cotonou pour les amener à prendre conscience des dégâts qu’occasionnent les invasions biologiques.

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ANNEXE

Invasions biologiques de rongeurs dans le port autonome de Cotonou Sexe du répondant

Caractérisation du répondant 1- Quel âge avez–vous ?

2- Quel est votre métier ? En quoi consiste-t-il ?

3- Depuis combien d’années travaillez–vous dans le port ? A quel poste ? 4- A quel moment de la journée travaillez-vous ? Le jour ou la nuit ? Les rongeurs dans le port

5- Avez- vous déjà vu un rat dans le port le port ? 6- En voyez–vous souvent ? Où dans le port ?

7- Quand et où avez-vous un rongeur dans le port pour la dernière fois ? 8- Comment sont–ils (taille, couleur, etc.) ?

9- Etes-vous rentré dans un bateau ? Si oui, y avez-vous des rongeurs ? Ou dans le bateau ?

10- Avez-vous vu des rongeurs circuler le long des cordages des bateaux ? Expliquer ?

11- Voyez-vous desrongeurs lorsque l’on décharge ou que l’on décharge les bateaux ? Expliquer ?

12- Avez-vous vu des rongeurs dans les camions ?

13- Les avez-vous déjà vus monter ou descendre des camions ?

14- Avec quelles marchandises les rongeurs sont le plus souvent observés ? 15- vous d’où viennent les rongeurs que l’on observe au port ?

Savez-vous s’ils voyagent ?

16- Avez-vous d’autres choses à nous dire ? 17- Avez-vous des questions à me poser ?

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TABLE DES MATIERES

CERTIFICATION ... ii

DEDICACE ... iii

REMERCIEMENTS ... iv

SOMMAIRE ... vi

LISTE DES SIGLES ET ABREVIATION ... vii

LISTE DES TABLEAUX ... vii

LISTE DES FIGURES ... vii

LISTE DES PHOTOS ... vii

LISTE DES ANNEXES ... viii

RESUME ... ix

INTRODUCTION ... 1

CHAPITRE 1 : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE ... 3

1.1 Invasion biologique et réglementation portuaire ... 3

1.1.1 Notion d’invasion biologique ... 3

1.1.2 Impacts des invasions biologiques ... 3

1.1.3 Réglementation portuaire ... 4

1.2 Communautés de petits mammifères rencontrées dans le port ... 5

CHAPITRE 2 : MILIEU D’ETUDE ... 7

2.1. Situation géographique de la ville de Cotonou ... 7

2.1.1. Relief ... 7

2.1.2. Climat ... 7

2.1.3. Température ... 8

2.2. Historique du Port Autonome de Cotonou (PAC) ... 8

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CHAPITRE 3 : MATERIEL ET METHODES ... 10

3.1. Matériel ... 10

3.2. Méthodes d’étude ... 10

3.2.1 Collecte des données sur le terrain ... 10

3.2.2 Entretien direct ... 10

3.2.3 Recherches documentaires ... 10

3.2.4 Enquêtes ... 11

3.2.5 Personnes cibles ... 11

3.3 Traitement des données ... 13

CHAPITRE 4 : RESULTATS ET DISCUSSION ... 14

4.1 Résultats ... 14

4.1.1 Identification des rongeurs à partir des observations faites par les acteurs portuaires ... 14

4.1.2 Fréquence d’observations des rongeurs par les acteurs portuaires ... 15

4.1.2.1 Présentation de la population concernée ... 15

4.1.2.2 Périodes de travail des personnes interrogées : ... 16

4.1.2.3 Proportions des personnes interrogées... 17

4.1.3 Description de la mobilité des rongeurs par les observations des acteurs portuaires ... 17

4.1.3.1 Dégâts causés par les rongeurs ... 17

4.2 Discussion ... 19

CONCLUSION ET SUGGESSION ... 22

TABLE DES MATIERES ... 29

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