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sensation autre que celles liées directement aux stimuli produits pendant l'hypnose, AM avait suggéré au sujet qu'il n'entendait rien d'autre que sa voix. Le fait que AM ait oublié d'effacer cette limitation sensorielle avant de procéder à l'expérience peut être la source de l'échec du conditionnement à un stimulus sonore.

Sujet DG. Expérimentateurs AM et CL (1936). Après que DG eut été hypnotisé par AM, il est piqué dans les côtes avec une règle, et on lui dit de

regarder un objet en face de lui. L'objet est un chronomètre plat en nickel tenu à environ huit pouces de ses yeux. De trois à cinq secondes lui sont accordées pour regarder l'objet; la combinaison règle dans les côtes et chronomètre à regarder est répétée six fois, six à quinze secondes de repos entre chaque répétition. Le sujet est averti qu'il ne doit se rappeler de rien de ce qui s'est produit durant la séance d'hypnose; d'autres suggestions concernant une démonstration en classe lui sont faites, puis il est réveillé de façon coutumière. Après son réveil, AM lui demande de s'étendre et de regarder une carte noire. La carte est placée au même endroit qu'était le chronomètre. On demande à DG de rapporter tout ce qu'il ressent. AM se déplace dans la pièce et frappe différents objets avec la règle. Puis il frappe DG dans les côtes de la même façon que lors de l'expérience. Celui-ci s'écrie immédiatement: "Hé, attendez, que diable!" Il rapporte voir un anneau se former sur la carte aussitôt qu'il est frappé aux côtes, il rapporte que l'anneau apparaît encore sur la carte noire, qu'elle a un trait au centre et qu'elle est argentée. DG n'est pas capable de donner plus de détails sur l'image apparaissant sur la carte. Il commence à être effrayé et intrigué par le phénomène. Plus tard, marchant dans la pièce, il attrappe la boîte du chronomètre sur la table et il est sûr que l'anneau vu sur la carte était ce c h ronomètre.

Sujet DG. Expérimentateurs AM et CL ( 1 9 3 6 ) . DG est hypnotisé par AM. Pendant que CL fait claquer un criquet, AM pique la main de DG. Cette combinaison criquet-piqûre est reprise 5 fois, à intervalles de 10 à 15 secondes. DG est réveillé. On lui demande de rapporter tout phénomène étrange qui pourrait se produire pendant que CL expérimente différentes choses. Aussitôt que le criquet claque, le sujet retire sa main du bras de la chaise et déclare que quelque chose l'a piqué, tout en frottant l'endroit. Tous les autres stimuli sont sans effet.

Sujet DG. Expérimentateurs AM et CL (1936). AM hypnotise encore le sujet et lui dit de porter attention à CL. Ce dernier tient une petite bouteille de créosote sous le nez du sujet et lui demande de la sentir à chaque fois qu'elle est placée sous son nez. En même temps, Am frappe avec le plat de la règle le bras droit du sujet. L'expérience est reprise cinq ou six fois. DG est réveillé. AM frappe alors différents objets avec la règle, même la jambe de DG, sans obtenir de réaction; mais aussitôt qu'il frappe son bras, celui-ci déclare qu'une odeur vient d'envahir la pièce. Quand il est frappé de nouveau au bras, il déclare que l'odeur est plus forte mais qu'elle ne dure pas très longtemps. DG demande à AM s'il ressent quelque chose et AM répond non. DG semble intrigué. Faisant apparaître cela aussi accidentel que possible, AM frappe encore le bras du sujet et celui-ci rapporte sentir encore quelque chose, comme "une route goudronnée". "Comme du créosote", déclare-t-il finalement. L'odeur apparaît seulement quand son bras droit est

frappé, aucun autre stimulus n'a d'effet. DG est vraiment intrigué par l'apparition de cette odeur et demande ce qui la cause. Il déclare qu'elle apparaît soudainement mais qu'il est incapable de trouver sa source.

Sujet JD. Expérimentateur CL (193 8 ) . Le sujet regarde durant une minute une carte ESP (perception extra-sensorielle) avec un rectangle dessus pendant que CL frappe sur un classeur en métal. Peu après que le sujet soit réveillé, on lui donne une carte blanche qu'on lui demande de fixer. Il doit rapporter tout ce qu'il y voit. CL joue avec ses clefs, marche dans le

bureau, frappe des objets. Au moment où il frappe le classeur, le sujet dit "C'est là; je ne sais pas ce que c'est exactement, mais cela ressemble à une figure géométrique". Quand on lui demande la couleur, il répond qu'elle a un contour noir. Quand on lui donne un jeu de cartes ESP, il désigne le rectangle comme la figure perçue précédemment. La figure réapparaît chaque fois que le classeur est frappé, mais elle disparaît rapidement.

Sujet JD. Expérimentateur CL ( 1 9 3 8 ) . CL pique le sujet environ 8 fois sur la partie charnue de la main droite, entre la base du pouce et l'index, tout en frappant une petite boîte avec un crayon. A son réveil, on demande à JD de rapporter tout ce qu'il peut voir ou ressentir avec une série de stimuli. CL frappe des objets, tape du pied, puis finalement frappe la petite boîte avec un crayon. JD gratte alors l'endroit de la main droite où il avait été piqué, en déclarant qu'il ressentait une douleur à cet endroit. Il arrête de se gratter quand CL cesse de frapper la boîte, recommence à se gratter quand CL recommence à frapper la boîte.

Sujet VF. Expérimentateurs PB et CL (19 3 6 ) . DB montre au sujet un petit poisson dessiné au crayon et à l'encre pendant que ce dernier bouge son bras neuf ou dix fois d'avant en arrière. Après son réveil, on demande à VF ce qu'il ressent alors qu'on lui demande de faire un certain nombre de mouvements. Il doit bouger ses jambes, puis son bras droit. A ce point, il déclare que quelque chose lui vient à l'esprit, qu'il est incapable d'exprimer exactement. Quand on lui donne un carton noir à regarder, il déclare "je vois un poisson d'environ 2 ou 3 pouces de long et de 7/8 de large qui disparaît quand je cesse de bouger mon bras".

Sujet VF. Expérimentateurs DB et CL (1936). Le sujet est piqué cinq ou six fois avec une aiguille sur la partie charnue de la main gauche pendant qu'une corbeille à papiers en métal est frappée avec un crayon. Après le réveil de VF, la série usuelle de stimuli n'apporte aucune réaction de sa part. Quant la corbeille est frappée, il bouge rapidement sa main gauche, la

regarde, touche la partie charnue et reste intrigué. Quand on lui demande ce qui se passe, il répond qu'il se sent comme s'il avait été piqué par quelque chose de petit et pointu. Cela est venu quand DB a frappé la corbeille et cela a disparu quand il a cessé.

Sujet VF. Expérimentateur DB ( 1 9 3 6 ) . On montre au sujet un cube dessiné dans une boîte pendant qu'il bouge son bras. Après le réveil, la répétition du mouvement lui permet de voir clairement le dessin en image.

Sujet VF. Expérimentateur D B . Le sujet regarde l'expérimentateur lever et baisser son bras et frapper la table avec un crayon quand son bras se baisse. Au réveil, le lever et l'abaissement du bras agissent comme stimuli conditionnés pour entendre le bruit du crayon sur la table.

Sujet RF. Expérimentateurs DB et CL (19 3 8 ) . Un criquet est claqué environ sept fois tandis qu'on fait sentir à RF une petite bouteille de créosote. Au réveil, CL produit une série de sons. Quand le criquet claque, RF dit "créosote", remue son nez et tourne la tête. Les mêmes résultats réapparaissent quand on varie l'ordre de présentation des stimuli: il ne réagit qu'au criquet. RF est intrigué par l'odeur et demande ce que c'est.

Sujet M. Expérimentateurs AA et Cl (19 3 9 ) . On fait claquer le criquet pendant que M sent la créosote environ vingt secondes. Le sujet ne rapporte aucune sensation après son réveil lors de la série de stimuli. Interrogé, il déclare avoir senti quelque chose quand le criquet a claqué. Parmi deux odeurs, il choisit la créosote comme étant l'odeur sentie.

Sujet FM. Expérimentateurs AA et CL (1939). On fait sonner une petite cloche pendant que FM regarde une paire de ciseaux environ quinze secondes. Quand on lui fait regarder une feuille de papier noir, il déclare voir "un couteau ou une lame ou quelque chose comme cela" quand la cloche sonne. Quand quatre objets différents lui sont présentés, il choisit les ciseaux comme l'objet qu'il avait perçu.

Sujet LB. Expérimentateur CL (1939). LB sent du créosote durant 15 secondes pendant que la cloche sonne. Après, quand la cloche sonne seule, il renifle et déclare sentir quelque chose, "comme le produit qu'ils mettent dans la naphtalène. Je ne peux le nommer". A l'odeur de créosote, il dit: "Oui, c'est çà".

Sujet LB. Expérimentateur CL (1939). LB regarde ses lunettes pendant que le criquet crépite. Par la suite, le criquet ne fait apparaître aucune image sur un carton noir (LB avait peut-être quelques difficultés à voir sans ses lunettes).

c ) Résultats et conclusion

Leuba explique que de ce protocole, il est apparu que les sensations conditionnées (les images) sont fréquemment accompagnées par des réponses objectives, tels un mouvement, un grattement vers la main blessée, toucher son nez, renifler quand la créosote n'est qu'imaginaire lors de l'expérience. Ces mouvements sont des réponses rapides et spontanées suivant immédiatement le stimulus conditionné et procurent une preuve matérielle objective au rapport introspectif du sujet généralement, le mouvement manifesté précède la réponse que rapporte le sujet.

Selon Leuba, le sujet est invariablement surpris et intrigué par la sensation conditionnée. Elle arrive soudainement de nulle part et disparaît également soudainement. Elle est entièrement involontaire et automatique. Après que le stimulus conditionné ait été répété plusieurs fois, le sujet a généralement conscience que l'image suit ce stimulus particulier. Il est toujours étonné de l'existence d'un tel lien stimulus-image.

Il continue en disant que les sensations conditionnées sont si fréquemment intenses et vivantes qu'elles sont prises pour des sensations

immédiates ; le sujet pense réellement sentir une odeur ou qu'il est réellement piqué à la main par un objet pointu; mais les images sont fugitives et difficiles à examiner. Elles apparaissent et disparaissent avec le stimulus conditionné et si le stimulus persiste, elles deviennent bientôt plus fugaces. Le sujet peut rarement nommer l'objet de l'image en une seule fois; le chronomètre était un anneau d'argent avec un point au centre; la créosote était une odeur pénétrante; le rectangle était juste le contour d'une figure; mais les images réfèrent toujours au bon stimulus parmi un ensemble de s t i m u l i .

Leuba fait allusion à Hull (1933), qui rapporte l'apparition d'un phénomène similaire à ceux qu'il décrit lui-même, comme une observation fortuite dans une expérience de Scott prévue pour découvrir la différence entre conditionnement sans transe, dans ce cas l'étude du retrait du doigt lors d'un conditionnement sonnerie-choc électrique. "Plusieurs de ces sujets (totalement amnésiques)... lorsque stimulés par la sonnerie seule, rapportent ressentir un choc électrique à leurs doigts. Au moins un de ces sujets insiste pour dire qu'il avait reçu réellement un choc malgré l'affirmation de

1'expérimentateur.

A la fin de son article, Leuba ajoute que l'état hypnotique revient à la même chose que la privation de nourriture, l'isolement sonore et l'exclusion des stimuli étrangers, conditions qu'on retrouve généralement dans les expériences. En limitant l'attention du sujet aux stimuli pertinents, il est possible de démontrer un principe psychologique fondamental qui agit tous les jours de nos vies mais qui est fréquemment obscurci par la présence simultanée de plusieurs stimuli et réponses. Ainsi les expériences de Leuba démontrent que lorsqu'un stimulus inadéquat est présenté plusieurs fois pendant qu'un individu expérimente certaines sensations, plus tard, le sujet reproduira par lui-même et automatiquement, sans intervention d'aucun processus conscient, ces sensations. Une image peut par conséquent être considérée comme une sensation conditionnée.

a) Présentation

L'étude expérimentale d'Ellson (1941) concerne la nature des hallucinations chez des personnes normales et en absence de drogue.

Dans l'introduction de son article, Ellson mentionne les expériences sur "les perceptions qui se présentent en l'absence des stimuli qui les déclenchent", et qui ont été menées dans le cadre de la suggestion par Brown (1916), dans le cadre du conditionnement sensoriel des hallucinations par Grovey (1933), Coley (1939), Mowrer (1933) et Ellson (1939), et dans le cadre du conditionnement sensoriel sous hypnose par Scott (1930) et Leuba (1940).

Aussi, Ellson fait allusion à quelques expériences de conditionnement sensoriel qui n'utilisent pas l'hypnose. Il cite comme exemple les expériences de Kelley (1934), Cason (1936), Bogolowski (1937), Fieandt (1938) et Brogden (1939). D'après Ellson, bien qu'il est sûr que des hallucinations se produisent, il est difficile d'identifier avec certitude, sur la base des expériences déjà réalisées, le cadre dans lequel le conditionnement sensoriel se produit ou ne se produit pas.

b) Description de l'expérience

Lors de l'expérience sur le conditionnement sensoriel d'Ellson, le sujet et l'expérimentateur étaient dans des pièces adjacentes, le sujet dans une chaise Moris avec le dos tourné vers une fenêtre. Durant l'expérience, la porte entre les deux chambres était fermée. Il n'y avait pas de contrôle acoustique aussi que l'expérience fut-elle interrompue par la présence bruyante d'un camion de livraison, d'avions qui passaient et de la cloche du campus qui sonnait toutes les quinze minutes. Le bruit peut être caractérisé comme étant au niveau de celui d'une chambre de troisième étage ouvrant sur un endroit relativement calme du campus.

Le stimulus inconditionné était un son de 1000 cycles produit par une radio Général Radio B.F. Oscillateur, l'intensité étant contrôlée par un boîtier d'atténuation calibré sur 2 décibels. Le son était transmis par un haut-parleur situé dans la pièce de l'expérimentateur, à environ 10 pieds de la chaise du sujet, et était extrêmement difficile à localiser. Le stimulus conditionné était la lumière d'une ampoule de verre translucide de 2.5 volts placée sur le bras gauche du siège. Derrière la lampe, un rectangle de carton blanc, de 2 pouces par 3, servait de réflecteur. Sur le bras droit du siège était placée la clé d'un télégraphe, opérant un signal combiné d'une lumière et d'un déclic dans la chambre de l'expérimentateur. Sur la table de l'expérimentateur se trouvait une horloge électrique et un chronomètre qui faisait entendre chaque seconde de faibles tic-tac inaudibles pour le sujet.

Les sujets étaient, en général, des étudiants de seconde année, hommes et femmes, d'un cours de psychologie élémentaire. Ils prirent part à cette expérience et à d'autres comme exigence du cours. La répartition des sexes entre les groupes expérimentaux fut la suivante: groupe I (groupe expérimental, 23 hommes et 17 femmes), groupe II (groupe contrôle, 52 hommes et 33 femmes). Ce dernier groupe fut divisé en trois sous-groupes de 30 sujets chacun, groupe II-A (18 hommes et 12 femmes), groupe II-B et II-C (17 hommes et 13 fernm.es chacun); et le groupe III (contrôle, 39 hommes et 21 femmes ) .

Lors de la procédure, la lumière Cs, fut couplée avec le son, Is. Le sujet avait reçu l'instruction d'actionner la clé quand il entendait le son. Le son différait des stimuli inconditionnels utilisés dans des expériences de conditionnement conventionnels, car l'impulsion et le déclin étaient graduels, arrivant au seuil, en général, quelques secondes après la lumière. A l'entraînement, l'envoi du son coïncidait avec celui de la lumière. Au cours des essais de tests renforçés, il y avait un intervalle de 13 ou 30 secondes entre l'envoi du son et celui de la lumière. En conséquence, si le sujet

pressait la clé pendant la période où la lampe était allumée et le son inaudible, une réponse conditionnée ou hallucinatoire était enregistrée. Dans la principale expérience, avec une exception (groupe III), tous les tests d'essais étaient renforcés par un son, soit immédiatement après la pression sur la clé, soit, en l'absence de réponse, après l ’intervalle de test.

c) Résultats et conclusion

Selon Ellson, les résultats obtenus à la fin de son étude lui permettent de conclure que des hallucinations auditives peuvent être produites par un stimulus induit avec un son, dans ce qui est essentiellement une situation de conditionnement. La similitude majeure entre les hallucinations auditives évoquées par le stimulus lumineux dans l'expérience actuelle et la réponse conditionnée classique repose dans les conditions antécédentes: deux stimuli furent associés de façon répétée, ce qui a pour résultat que l'un des stimuli présenté seul a pu déclencher la réponse précédemment évoquée par

l'autre stimulus.

Faisant allusion à l'article de Leuba (1940) dans lequel celui-ci suggère que le conditionnement sensoriel puisse compter comme imagerie, c'est-à-dire que les images sont des sensations conditionnées, Ellson croit qu'une telle conclusion aurait été reçue plus charitablement par les béhavioristes stricts si elle avait été formulée un peu différemment, par exemple que les sensations conditionnées ou les perceptions sont ce que les psychologues introspectifs appelaient autrefois images.

a) Présentation

Brogden, dans son article (1947), fait mention de l'une de ses expériences qui démontre la présence d'un préconditionnement sensoriel chez des sujets humains.

L'expérience peut se décrire brièvement ainsi: un son et une lumière, qui constituent les stimuli de préconditionnement, sont présentés ensemble à plusieurs reprises. Ensuite, on conditionne une réponse instrumentale à la lumière: il s'agit d'une pression sur le clavier d'un télégraphe chaque fois que la lumière s'allume. Si le sujet réagit trop lentement, il reçoit une légère décharge électrique. Après avoir expérimenté la réponse à la lumière, le son est présenté seul.

b) Description de l'expérience

Les sujets pour cette expérience sont des volontaires, de classes de psychologie élémentaire à l'Université du Wisconsin. I 1 y a un groupe expérimental (I) et trois groupes contrôles (II, III et IV).

Les groupes sont organisés comme suit: un pour la généralisation sensorielle, excepté pour les essais de préconditionnement au son et à la lumière. Un second groupe contrôle reçoit le signal sonore seul à la place des essais de préconditionnement sensoriel, mais sans aucun autre changement. Le troisième groupe reçoit seulement l'entraînement de réponse à la lumière avec un nombre suffisant d'essais additionnels pour fournir un standard pour l'extinction de la réponse à la lumière aux trois autres groupes.

Le préconditionnement chez les sujets du groupe expérimental a pu être démontré grâce:

1) à une plus grande fréquence de réponses aux essais du son que celle obtenue par les sujets des groupes contrôles II et III;

2) des réponses aux essais du son offrant une latence plus courte (temps de réaction plus rapide) que la latence (temps de réaction) des réponses des sujets des groupes II et III;

3) une fréquence moins élevée de réponses aux essais de lumière que la fréquence de réponses obtenue par les sujets des groupes II et III;

4) une plus longue latence (plus longue période de réaction) que la latence des réponses des sujets des groupes II et III.

D'après Brogden, la meilleure performance des sujets du groupe expérimental par rapport aux sujets des groupes contrôles serait attribuable

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