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Degré d’information des personnes enquêtées par rapport aux plantations

IV. RESULTATS

4.2. Résultats des enquêtes effectuées auprès des populations riveraines de

4.2.2. Degré d’information des personnes enquêtées par rapport aux plantations

 La plupart (137) des personnes enquêtées ont connaissance de l’existence des plantations forestières sous gestion de l’ONAB dans leur région. Une minorité par contre n’a aucune idée de l’existence de ces plantations. (Figure 5)

Figure 5 : Proportion des riverains informés par rapport à l’existence des plantations forestières

Présenté et soutenu par Marius A. M. ALLAMAGBO Page 43

 Des 150 personnes enquêtées, nous avons dénombré 60% qui sont au courant de l’existence dans leur région des organes de cogestion (COGEPAF et OVIGEPAF) des plantations forestières. Quant au reste, ils en n’ont aucune information. Cela se présente dans le tableau 3:

Tableau 3 : Proportion des enquêtés connaissant les organes de cogestion des plantations forestières

 Parmi les 90 personnes qui savent que des organes de gestion participative (COGEPAF et OVIGEPAF) existent dans leur région, 30% ne sont pas au courant du fait que ces organisations sont ouvertes à toute personne physique ou morale résident dans le village riverain de la FCA (Tableau 4).

Tableau 4 : Taux d’accès aux organes de gestion participative Savez-vous que les organes

Présenté et soutenu par Marius A. M. ALLAMAGBO Page 44 4.2.3. Degré d’intervention des personnes enquêtées dans les plantations de la FCA En considérant la taille de notre échantillon (150), nous avons pu dénombrer 69 personnes qui interviennent dans les plantations de la FCA pour mener quelconque activité. 81 personnes n’ont par contre aucun rapport avec ces plantations (Figure 6).

Figure 6 : Proportion des enquêtés intervenant dans les plantations de la FCA

Intervention des personnes enquêtées dans la forêt en fonction du sexe

Les enquêtes effectuées sur le terrain nous permettent de constater que 47% des hommes enquêtés participent aux activités dans la forêt. Quant aux femmes, 45% d’elles participent aux activités dans la forêt. Cela s’observe clairement dans le tableau 5 :

Tableau 5 : Proportion d’intervention des personnes dans la forêt en fonction du sexe

Homme Femme Total

Effectif total enquêté 83 67 150

Effectif intervenant dans la forêt 39 30 69

Proportion intervenant dans la forêt

%

47 45

En considérant une marge d’erreur α=5% nous avons supposé qu’il y a une différence entre les proportions d’hommes et de femmes intervenant dans les plantations (hypothèse Ho). Le test de conformité de deux proportions nous a permis de conclure que la proportion d’hommes intervenant dans les plantations forestières est sensiblement égale à celle de femmes

54% 46%

OUI

NON

Présenté et soutenu par Marius A. M. ALLAMAGBO Page 45 y intervenant (puisque P-value=0,787, ce qui nous a amené à réfuter l’hypothèse Ho). Il n’y a donc pas de discrimination suivant le genre (voir annexe 3).

Variation de l’effectif des intervenants dans les plantations en fonction de la classe d’âge :

En ce qui concerne le paramètre âge, notons qu’il détermine d’une manière donnée la participation ou non des riverains aux activités d’aménagement des plantations forestières. En effet, la tranche d’âges comprise dans l’intervalle [35-60[vient en tête avec une proportion de 40,57% ; ensuite les âges [15-25[ans avec une proportion de 27,53% ; les personnes ayant un âge compris entre [25-35[viennent ensuite avec une proportion de 26,08% ; quant aux personnes ayant un âge supérieur à 60 ans, elles viennent en dernière position avec une proportion de 05,79%.

Participation des riverains à la gestion et Connaissance des organes de cogestion Au cours de nos travaux, nous avons considéré deux paramètres importants et nous avons supposé que ces paramètres pourraient être dépendants l’un de l’autre (hypothèse Ho), et ceci en considérant une marge d’erreur α=5%. Il s’agit de la connaissance des organes de cogestion et l’intervention des riverains dans les plantations (Tableau 6).

Tableau 6 : Tableau montrant la participation des riverains à la gestion en fonction de la connaissance des organes de cogestion

Participation aux activités

Participe Ne participe Total Connaissance

des organes de cogestion

Connaît 56 36 92

Ne connaît 13 45 58

Total 69 81 150

Présenté et soutenu par Marius A. M. ALLAMAGBO Page 46 Le test d’indépendance khi-deux de Pearson nous a donc permis de conclure que la participation des riverains aux activités d’aménagement des plantations forestières dépend de la connaissance des organes de cogestion (puisque P-value= 0,000 ce qui nous a permis d’accepter l’hypothèse Ho) (Annexe 4).

Intervention dans les plantations en fonction de la classe d’âge :

Le dépouillement des informations recueillies sur le terrain nous a permis de constater que les riverains participant aux activités d’aménagement sont répartis comme suit :

- 27,53% des participants ont un âge compris entre [15-25[ans ; - 26% ont un âge compris entre [25-35[ ;

- Près de 40,57% ont un âge compris entre [35-60[ ; - Près de 06% ont un âge > 60 ans.

Tableau 7 : Proportion des intervenants dans les plantations en fonction de la classe d’âge Tranche d’âge Effectif

4.2.4. Activités menées par les personnes enquêtées dans les plantations de la FCA

Les activités menées par les personnes enquêtées qui nous ont confirmé leur intervention dans les plantations de la FCA sont les suivantes :

o Sarclage ; o Piquetage ; o Jalonnage ;

Présenté et soutenu par Marius A. M. ALLAMAGBO Page 47 o Productions des plants (pépinières) ;

o Mise en terre ;

Ces résultats montrent bien que l’ONAB ne néglige pas les populations dans la gestion puisque ces populations réalisent effectivement les activités prévues dans le plan d’aménagement.

4.2.5. Perception des enquêtés sur le développement des plantations

La plupart (66%) des personnes enquêtées estiment que les plantations forestières sont entretenues ; 18% affirment que ces plantations sont peu dégradées ; 04% et 03% par contre estiment respectivement que ces plantations sont dégradées et très dégradées. Quant aux 9%

restant des enquêtés, ils n’ont aucune idée sur l’état des plantations. (Figure 7)

Figure 7 : Graphe montrant la perception des enquêtés sur l’état actuel des plantations 4.2.6. Pressions anthropiques exercées sur les plantations

73% des personnes enquêtées estiment que les plantations forestières ne subissent aucune pression anthropique ; par contre, 15% affirment que ces plantations subissent des pressions anthropiques telles que la récolte des parties aériennes des plantes surtout les feuilles pour emballer les aliments (akassa, piments, tomates, moutarde,…), la transhumance, les feux de

Entretenu

Présenté et soutenu par Marius A. M. ALLAMAGBO Page 48 brousse engendrés par les populations mécontents du fait que leurs terres leur ont été arrachées afin de servir d’emplacement aux plantations forestières. Quant aux 12% restant, ils n’ont aucune information sur le fait que les plantations forestières subissent ou pas des pressions anthropiques.

4.2.7. Interdictions connues des personnes enquêtées

De toutes les personnes enquêtées, seulement 13 soit 09% ne connaissent pas les interdictions fixées par l’ONAB vis-à-vis des plantations. Ainsi, les interdictions dont nous ont fait par les 91% restant des personnes enquêtées sont les suivantes :

 Ne mettre feu ni aux bords ni à l’intérieur des plantations forestières ;

 Ne pas effectuer des prélèvements d’arbre ni de feuilles dans les plantations forestières et ceci quelque soit l’essence ;

 Ne pas chasser dans les plantations forestières ;

 Pas de transhumance dans les plantations forestières ;

 Pas de circulation anarchique dans la forêt ;

 Pas de pièges dans les plantations ;

 Ne pas dépouiller les plants de leurs feuilles ;

 Ne pas faire ses besoins naturelles dans les plantations ;

 Eviter l’utilisation d’objets ou de produits inflammables dans les plantations (pétrole, essence,…) ;

 Ne pas labourer la terre à l’intérieur des plantations sauf en cas d’autorisation de l’administration forestière ;

 Pas de fabrication de charbon de bois à l’intérieur ni aux bords des plantations.

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V. DISCUSSION DES RESULTATS

Présenté et soutenu par Marius A. M. ALLAMAGBO Page 50 5. Discussion des résultats

5.1. Motifs de l’implication des populations riveraines dans la gestion de la FCA

L’adoption formelle de l’ONAB pour une gestion participative de ses teckeraies domaniales est faite sous la conjugaison de deux facteurs importants. Il s’agit d’une part, de la pression des activités illicites des populations riveraines dans les teckeraies et les exigences de gestion efficiente, et d’autre part, de l’adoption de la nouvelle politique forestière et la promulgation de la loi 93-009 du 02 juillet 1993 portant régime des forêts en République du Bénin et de son décret d’application n° 96-271 du 2 juillet 1996.

Tout ceci permet :

- la création d’emplois et l’amélioration des revenus des villageois, en vue du développement local ;

- la participation à l’amélioration de la production ;

- la participation à l’entretien et à la protection des infrastructures forestières ; - la participation à la protection de la forêt.

L’objectif global de la politique forestière nationale est donc de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations du Bénin en favorisant le développement durable et une gestion rationnelle de ses ressources forestières. C’est donc dans le souci d’améliorer les conditions de vie des populations riveraines de la FCA que l’ONAB a opté pour le mode de gestion participative. Cela est d’ailleurs une bonne initiative pour les populations riveraines qui ont besoin des produits forestiers comme les feuilles pour mener à bien certaines de leurs activités quotidienne (DAN, 2009).

5.2. Activités réservées par l’administration forestière aux populations riveraines

Dans le souci de faire participer les populations dans la gestion des plantations forestières et d’atteindre les objectifs fixés, l’ONAB a réservé aux populations plusieurs activités, tant pour la mise en place des plantations, que pour leur protection. Cette participation se fait donc sur deux plans. D’une part nous avons les activités à réaliser et d’autre part les interdits.

En ce qui concerne les activités à réaliser, l’intervention des populations dans les plantations forestières se fait par l’intermédiaire des sous-traitants qui constituent un groupe de personnes reliant l’administration forestière et la population. Les populations participent

Présenté et soutenu par Marius A. M. ALLAMAGBO Page 51 également à la mise en œuvre des plans d’aménagement par l’intermédiaire des différents sous – traitants qui sont des prestataires de service agréés à l’ONAB.

Plusieurs activités sont réservées aux populations aussi bien dans la mise en place des plantations que dans leur exploitation. La FCA étant considérée comme une nouvelle plantation de l’ONAB, nous nous sommes juste intéressés aux activités entrant dans la mise en place des plantations c’est-à-dire les activités liées au reboisement. Ainsi les activités réservées aux populations sont :

- La fourniture de semences forestières sauf sur des parcelles planifiées à la coupe de régénération ;

- La production de plants forestiers ; - La mise en place des plantations ; - L’entretien des plantations ; - Le gardiennage des plantations ;

- L’ouverture des pare – feux périmétraux.

Les interdictions quant à elles entrent dans le cadre de la protection des plantations forestières et donc de la bonne gestion de celles-ci. Ainsi, nos enquêtes ont montré que 91%

des personnes enquêtées sont au courant des interdictions. Dont la carbonisation interdite aussi dans la Lama (Odjo, 2013). Selon leur perception, aucune autre activité n’est autorisée mise à part celles entrant dans la mise en place et la protection des plantations forestières et toute personne surprise à l’intérieur de celles-ci (l’âge des plantations n’étant pas pris en considération) est considérée comme étant en infraction. La majorité des personnes enquêtées estime que la récolte de feuilles dans les plantations à des fins commerciales est strictement interdite de même que la réalisation des champs. En réalité, ces activités ne sont pas strictement interdites mais plutôt règlementées selon des normes bien définies.

Retenons quand même que les populations aussi, conscientes de la sauvegarde de l’environnement dans lequel elles vivent, participent effectivement à la gestion à travers la mise en place des plantations et leur protection.

5.3. Activités effectivement menées par les populations riveraines

Il s’agit ici de la participation réelle des personnes enquêtées dans les plantations forestières.

Ainsi, les 150 personnes interviewées participent à 46% aux activités de cogestion. Dans cette région à prédominance Fon, près de 80% des participants aux activités de cogestion appartiennent au groupe ethnique Fon. Les autres groupes ethniques sont par contre peu représentés (Adja, Mahi, Goun et autres).

Présenté et soutenu par Marius A. M. ALLAMAGBO Page 52 En ce qui concerne le paramètre âge, notons qu’il détermine d’une manière donnée la participation ou non des riverains aux activités d’aménagement des plantations forestières compte tenu de la nette différence des proportions obtenues par tranche d’âge.

Les activités menées sont les suivantes : o Le piquetage ;

o Le jalonnage ;

o La production des plants (pépinières) ; o La mise en terre ;

o Les activités d’entretien (sarclage, layonnage, entretien des pistes, etc.)

o Le gardiennage (Garde-feu ; surveillance des plantations contre les délits ;…).

Toundoh, 2012 a également cité les mêmes activités dans son étude sur les caractéristiques structurales, la dynamique et la productivité des plantations forestières de teck de la Lama.

5.4. Conformité entre l’implication effective des populations dans la gestion durable de la forêt classée d’Atchérigbé et les textes règlementaires

Nos enquêtes ont révélé que les 46% des enquêtés qui participent aux activités forestières réalisent effectivement toutes les activités de cogestion prévues dans le plan d’aménagement de la FCA. Cela nous permet donc de confirmer que la gestion à ce niveau est réellement participative. Cependant cette proportion des riverains participant à cette gestion est un peu faible pour une forêt située dans une région à faible activités de revenu, comparativement à la forêt classée de la Lama où la population participe aux activités de cogestion à 53,67%

(Evaluation d’impacts socio-économiques de la cogestion des teckeraies domaniales de la région de la LAMA sur les populations riveraines, 2007).

Parlant des interdictions, nos enquêtes nous ont révélé que l’ONAB est effectivement écouté par les populations car ces dernières respectent strictement les lois proscrites vis-à-vis des plantations forestières. Cependant, les populations riveraines de la FCA ne tiennent pas compte de la nature des interdictions. Elles ne font pas la différence entre les activités strictement interdites, celles partiellement interdites, et celles règlementaires.

Cette perception qu’ont les populations vis-à-vis des plantations n’est pas réellement conforme à ce qui est prévu dans les plans d’aménagement de la FCA. Cela est donc dû à une sous information des populations par rapport au mode de gestion des plantations forestières.

Présenté et soutenu par Marius A. M. ALLAMAGBO Page 53 Cette situation leur est d’ailleurs défavorable car elles sont privées de tous les avantages qu’elles pourraient tirer de l’application minutieuse des normes règlementaires.

Présenté et soutenu par Marius A. M. ALLAMAGBO Page 54 CONCLUSION ET SUGGESTIONS

La forêt offre une grande diversité de services qui représentent une ressource fondamentale pour les communautés locales et pour notre société dans son ensemble. Les moyens de subsistance de nombreuses communautés humaines dépendent de la forêt et la société dans son ensemble dépend des services des écosystèmes fournis par les forêts. Par conséquent, le maintien des forêts et de leurs fonctions est essentiel et nécessite une gestion durable, qui intègre les dimensions sociale, économique et écologique grâce à un système de bonne gouvernance, reposant sur la participation de chacune des parties prenantes.

Le présent travail dont l’objectif principal est de contribuer à la gestion durable des ressources naturelles et à l’amélioration des conditions de vie des populations à travers l’évaluation du degré d’implication des populations riveraines dans la gestion nous a permis d’évaluer la cogestion des plantations forestières de la forêt classées d’Atchérigbé.

Il ressort de cette étude que près de 50% des populations riveraines de la forêt classée d’Atchérigbé sont impliquées dans la gestion des plantations que cela soit pour la mise en œuvre des activités d’aménagement ou pour la protection et ceci sans distinction de sexe.

Ceci offre à la plupart des participants une amélioration considérable de leurs conditions de vie à travers les rémunérations ainsi que l’installation des infrastructures communautaires.

Cependant, notons un manque d’information des populations en ce qui concerne les textes règlementaires qui régissent les plantations forestières.

Il serait donc souhaitable à l’Office National du bois (ONAB) qui est le principal gestionnaire des plantations d’Atchérigbé, de:

 Elargir les domaines d’intervention des populations afin que ces dernières se sentent plus concernées par la gestion;

 Revoir la politique de sensibilisation des populations :

- afin que la participation à la gestion soit équitable quelque soit l’ethnie ou l’âge;

- afin d’élargir le niveau d’information des populations par rapport aux organes de cogestion et aux normes règlementaires liées aux plantations;

Présenté et soutenu par Marius A. M. ALLAMAGBO Page 55

 Développer des méthodes de surveillance basées sur une équipe mixte de riverains et des agents des eaux et forêts, comme cela a été si bien relaté dans la Revue semestrielle de Géographie du Bénin en 2008. Il faut également développer des activités génératrices de revenu autour des forêts afin de convertir les braconniers. Il y va pour la conservation de l’état de la forêt classée d’Atchérigbé.

 Etendre la présente étude dans d’autres forêts et dans les plantations domaniales d’âges supérieurs à celles étudiées afin de faire ressortir la notion de cogestion dans l’exploitation forestière.

Présenté et soutenu par Marius A. M. ALLAMAGBO Page 56 VI- REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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